La TROMPERIE INTERNATIONALE du 11 JANVIER, EN PHOTOS  

CapturehtyuikjMais où étaient Hollande et consorts lors de la marche du 11 janvier ?    Maintenant, parlons de l’attitude des journalistes français qui ne diffusèrent jamais la deuxième photo. Montrant, ainsi, combien ils étaient aux ordres du politiquement correct. Même si, sur le moment, la télévision y fit allusion, il fallut des journalistes étrangers pour prendre ce cliché avec vue plongeante et cadrage élargi, montrant le confinement du groupe dans une impasse sous la surveillance des CRS et gendarmes mobiles.

 

Marche

 
Une centaine d’êtres supérieurs (nos gouvernants), entourés par une multitude de policiers et de gardes du corps, faisaient semblant, bras dessus, bras dessous, de manifester.

Le 11 janvier, des centaines de milliers de Français se réunissaient autour de la place de la République pour ce qui restera la Marche de la défense de la liberté d’expression. Cette marche avait été organisée, après les tueries de Charlie Hebdo et de l’épicerie casher, par le Premier ministre Manuel Valls afin de montrer que le peuple et les gouvernants, main dans la main, se dressaient face au terrorisme.

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Sauf que le peuple ne savait pas qu’il pouvait toujours tendre les mains : impossible d’empoigner celles des hommes politiques de tous bords (sauf ceux du FN rejetés dès le départ) et de tous pays.

 

Eh oui, que voulez vous, c’est bien beau, de manifester contre la violence, mais il ne faudrait pas que cette même violence touche les élites. Alors pour ces chefs de gouvernement, on a délocalisé la marche. La foule marchait, ou plutôt piétinait, autour de la statue de la République, alors qu’une centaine d’êtres supérieurs (nos gouvernants), à un kilomètre de là, entourés par une multitude de policiers et de gardes du corps, faisaient semblant, bras dessus, bras dessous, de manifester. D’un côté, l’exaltation d’une masse compacte et recueillie, de l’autre : tournez manège ! Car l’important, pour ces gens-là, n’était pas le peuple qui communiait plus loin.

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Non, l’important était les centaines de journalistes qui les flashaient tous unis pour l’occasion, tous rassemblés autour du président français. Ce jour-là, il ne fallait pas être avec la masse, il fallait simplement être sur la photo. Nous avons assisté à de la « comm’ », à une simple mise en scène bien huilée : les chefs de gouvernement défilant vers les caméras dans une ruelle bien gardée et barrée par le service d’ordre et les gardes du corps d’un côté, et le peuple… ailleurs.

Ancien officier de GendarmerieDiplômé de criminologie et de criminalistique