• La 2 et Anne Sophie Lapix complices du pouvoir !

    Publié le 28 février 2018 par FSC

    Quand Marianne à propos de la contre-réforme SNCF met à nu le comportement complice du pouvoir de la présentatrice du journal de 20 heures de la 2, Sophie Lapix  et de sa participation à la campagne contre les cheminots.

    A l'instar de nombreux médias sur le pont pour la confrontation qui s'annonce !
     
    *******************

    Hervé Nathan

    Directeur adjoint de la rédaction

    Au JT de France 2 ce lundi 26 février, Anne-Sophie Lapix a épargné à Edouard Philippe les questions de fond sur la réforme de la SNCF. Mais quoi d'étonnant quand règne dans certains médias un consensus pour condamner par avance les cheminots et leur statut, voire pousser l'exécutif à prendre sa revanche sur le conflit de 1995…

    On prête à Emmanuel Macron des propos très désobligeants sur le service public de l’audiovisuel. Franchement, en regardant le 20 heures de France 2 ce lundi 26 février, on était tenté de lui donner raison : le JT phare de France Télévisions semblait avoir mis un point d’honneur à soutenir le bienfondé de la réforme à venir de la SNCF. A commencer par l’abolition promise du « statut », celui des cheminots. Ah, ce statut, comme il est enviable ! Des billets de train gratuits, rendez-vous compte ! Un avancement à l’ancienneté, une retraite calquée sur le modèle de la fonction publique… mais on oublie de préciser que même si théoriquement,

    le cheminot peut partir à la retraite à 52 ans en 2018, il doit, s'il veut toucher sa pleine pension, aligner plus de 41 annuités comme dans le secteur privé, et bientôt 43.

    Il ne manquait qu’un élément au sujet préparé par la rédaction : quel salaire ? Pour juger d’un « privilège », c’est pourtant une question évidente. En fait, les cheminots sont proches du revenu médian des salariés. Quel avantage ! De la même manière, Anne-Sophie Lapix face au Premier ministre aura mis toute son énergie à contourner le sujet qui fâche. Puisque Edouard Philippe a mis en cause la déficit abyssal d’investissement dans les lignes de proximité au profit du tout TGV, choix assumé selon lui par les gouvernements successifs pendant « quatre décennies », pourquoi la présentatrice n’a-t-elle pas simplement demandé : « Dites-nous alors quel est le problème avec le statut, puisque c’est d’abord un problème de défaut d’investissement ? »

    Après tout, si d’aventure une réforme préconisait qu’on remette en question le statut des journalistes, très enviable par certains aspects, afin de réduire le déficit des journaux, imagine-t-on que le rapport entre l’un et l’autre ne soit pas mis sur la table ? Mais pour les médias souvent fainéants, le statut des cheminots est devenu un tel épouvantail que le consensus, la pensée unique, a d’ores et déjà voté son arrêt de mort. Les Echos titrent « Edouard Philippe lève le tabou des cheminots ». Le Figaro : « Le premier ministre confirme la fin du statut pour les nouveau cheminots »

    Anne-Sophie Lapix préfère évoquer la dette de « 46,6 milliards d'euros » : « Qui va la payer, la SNCF ou les contribuables ?». Tous les poncifs y passent. Les téléspectateurs n’auront donc droit qu’à trois questions répétitives sur les « ordonnances ». « Le passage en force », voici le problème pour la journaliste dans ce dossier. Les ordonnances, c’est méchant ! Comme si le sort des 130.0000 cheminots et des millions de passagers de la SNCF n’était qu’une broutille en regard d’un problème de méthodologie qui n’intéresse que les états-majors syndicaux et la classe politique.

    Le statut du cheminot est vu par l’exécutif comme un obstacle à la libéralisation du rail

    Pourquoi fallait-il absolument évoquer l’enjeu du statut ? Parce que le Premier ministre aurait été contraint d’expliquer que le statut est vu par l’exécutif comme un obstacle à la libéralisation du rail, voulue par les institutions européennes avec l’accord du gouvernement français, et qui commencera dès 2019. Car là est le véritable enjeu de la réforme et si le gouvernement veut aller vite, c’est qu’il ne dispose plus que de neuf mois pour transcrire dans les lois françaises le quatrième « paquet ferroviaire européen » qui permettra à des opérateurs privés (Veolia, Deutsche Bahn, TrainItalia…) de reprendre des lignes TGV ou des réseaux TER (ou des morceaux de réseaux). Il faudra bien reclasser les cheminots dans ces entreprises, et offrir à ces géants capitalistiques les conditions de profitabilité auxquelles ils sont accoutumés.

    Selon le rapport Spinetta, le statut provoquerait une augmentation des rémunérations de 2,4% par an. Alors désindexons les salaires des futurs cheminots, propose le gouvernement, qui affirme qu’ils bénéficieront dans l’avenir des seules « garanties du code du travail », c’est-à-dire rien ! L’entrée massive de salariés « privés », permettrait aussi à la direction de la SNCF de placer les cheminots qui demeureront encore longtemps (jusqu’à 40 ans…) sous statut, en situation de concurrence à l’intérieur même de leur entreprise. On a déjà vu les dégâts d’une telle cohabitation chez France Télécom, privatisée en 1997. Questionner Edouard Philippe sur les vertus de la baisse des rémunérations des salariés, ou des effets réels de la mise sur le marché du monopole de la SNCF, ou des effets sociaux de la concurrence de tous contre tous aurait donc apporté l’éclairage nécessaire sur les causes profondes de la réforme voulue par le gouvernement. Mais non, Edouard Philippe a pu dérouler ses arguments sans aucune contradiction. Pas terrible pour le service public...

    D'autres médias surjouent à fond la confrontation. Comme s'il voulaient obtenir enfin la peau des cheminots et de leurs syndicats trop remuants. Pour les nostalgiques de la confrontation sociale, c’est l’heure de la revanche du conflit de 1995, lorsque la grève des transports avait mis à genoux le gouvernement d’Alain Juppé. Pour le Parisien, « il s’agit de montrer qu’il est possible de réformer la France et d’affaiblir durablement les syndicats. » Nicolas Beytout, patron de l’Opinion , journal subventionné par de grands groupes mondialisés donne même la marche à suivre : « Beaucoup va maintenant dépendre de la bataille de communication : aucun grand changement ne peut aboutir si les opposants parviennent à imposer leurs arguments. » Avec la réforme de la SNCF, l'information est devenue un sport de combat idéologique.


  • Record d'impopularité pour Emmanuel Macron et Edouard Philippe selon un sondage

    - Avec AFP

    Record d'impopularité pour Emmanuel Macron et Edouard Philippe selon un sondage© Ludovic Marin/Pool Source: AFP
    Edouard Philippe et Emmanuel Macron en octobre 2017.
     
    Avec des scores en chute libre, moins 6 points pour le président français et moins 7 pour son Premier ministre, les deux hommes à la tête de l’Etat ont atteint leur plus bas niveau de popularité depuis leur prise de fonction, selon un sondage.                                    

    Un sondage Odoxa diffusé le 27 février a révélé que les cotes de popularité d'Emmanuel Macron et d'Edouard Philippe avaient chuté respectivement de 6 et 7 points en un mois pour atteindre leur plus bas niveau depuis leur entrée en fonction en mai 2017. 

     

    Avec 43% (-6) des Français interrogés qui pensent qu'il est «un bon président de la République», le chef de l'Etat perd un total de 11 points depuis décembre, tandis que le chef du gouvernement a perdu 14 points.

    Emmanuel Macron se situe désormais 1 point en dessous de sa cote de septembre/octobre (44%), jusqu'alors son plus bas niveau, selon cette enquête pour L'Express, La Presse régionale et France Inter.

    Le chef de l'Etat entraîne le Premier ministre qui perd pour sa part 7 points, avec 43% également d'opinions favorables.

    Lire aussi : Emmanuel Macron hué par la foule lors de son discours en hommage à Johnny Hallyday (VIDEO)

    Emmanuel Macron perd notamment en popularité auprès des sympathisants de gauche hors PS (-6), de ceux de droite (-4) et du Front national (-10). Edouard Philippe perd sur l'ensemble de l'électorat, hormis les proches de La République en marche (+5).

     

     

    La plupart des personnalités pour lesquelles les Français éprouvent le plus de sympathie connaissent une hausse de popularité en février. Avec en tête Nicolas Hulot (36%, +2), Alain Juppé (34%, +1), Jean-Luc Mélenchon (30%, +4) et Nicolas Sarkozy (28%, +4). Gérard Collomb perd 3 points à 20% et Laurent Wauquiez en perd 1 à 14%.

    Enquête réalisée en ligne les 21 et 22 février auprès de 973 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points.

    Lire aussi : Les journalistes virés de l'Elysée, les agences de presse se rebiffent

     

     

  • (Vidéo) France 2 : Pesticides, notre santé en danger (Cash impact – Elise Lucet) ce soir

    Cash investigation
    France 2 : Pesticides, notre santé en danger (Cash impact – Elise Lucet) ce soir 

    LE MEDIASCOPE |LOGO © www.lemediascope.fr 27.2. 2018• Article mis à jour le 27.2.2018 / article publié édité et mis en une par la rédaction.

    En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l’utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d’audiences et vous proposer une navigation optimisée, des services et offres adaptés à vos centres d’intérêts ainsi que la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux.

    Les pesticides – massivement utilisés dans l’agriculture –

    seraient responsables de la mort

    de 200 000 personnes par an dans le monde

    Mardi 27 février 2018 à 22h35 sur France 2 au programme de « Cash impact » : « Pesticides, notre santé en danger »

    Les pesticides – massivement utilisés dans l’agriculture – seraient responsables de la mort de 200 000 personnes par an dans le monde indique un rapport des Nations unies.

    Des ouvriers agricoles seraient les principales victimes de ces pesticides.

    Enquête de Cash impact cons conduira dans le vignoble bordelais, en Bourgogne et en Europe où sont exportés vers des pays moins regardants sur les impacts sanitaires, des produits français.

    68 000 tonnes de pesticides vendues en 2016 dans l’hexagone  soit 6 % de plus qu’en 2009.

    La France reste l’un des plus important consommateurs de pesticides en Europe. La baisse  de la consommation de e pesticides promise par les différent gouvernements qui se sont succédés depuis plusieurs dizaines d’années,  reste pour l’heure sans effet.

    Les ouvriers agricoles sont en première ligne parmi les victimes de pesticides.

    L’une d’elles Sylvie B. a travaillé plus de 25 ans dans les vignes du Médoc et en paie désormais elle le prix. Elle est atteinte de la maladie de Parkinson à 47 ans.

    Cash Impact : Pesticides : notre santé en danger, diffusion mardi 27 février 22h35 sur France 2.

    Présenté par Elise Lucet

    (Vidéo) France 2 : Pesticides, notre santé en danger

    (Cash impact – Elise Lucet) ce soir

     

    Présenté par Elise Lucet

    (Vidéo) France 2 : Notre santé en danger – Pesticides

    (Cash impact – Elise Lucet) ce soir

     


  • 2018 – La diplomatie russe au Moyen-Orient prend un départ sur les chapeaux de roue

    2018 – Russia’s Middle East Policy Gets Off to a Strong Start

    « Les événements récents témoignent du fait que les jours de la domination incontestée des États-Unis au Moyen-Orient sont terminés. Le retour de la Russie dans la région en tant que nouveau courtier en puissance a été un succès retentissant et reflète la primauté croissante de la Russie sur la scène mondiale.» – Peter Korzun

    Par Peter Korzun – Le 20 janvier 2018 – Source Strategic Culture

    Qu’on le veuille ou non, l’influence de la Russie au Moyen-Orient se développe à pas de géant. Une fois que vous avez rassemblé les faits, l’image devient claire : le poids de la Russie est en hausse, ce qui en fait la nation de référence pour les pays de la région.

     

    Moscou vient de conclure un accord décisif pour la construction de deux réacteurs nucléaires en Arabie saoudite. Quatre autres pays, y compris les États-Unis, étaient également en lice, mais leurs offres ont échoué, la Russie offrant un meilleur prix, une meilleure efficacité et de meilleures conditions. En accueillant le ministre russe de l’Énergie, Alexander Novak, le roi saoudien Salman a déclaré que les deux pays devaient renforcer leur coopération. Moscou a déjà signé des contrats pour la construction de réacteurs nucléaires en Jordanie (2015) et en Égypte (2017). Aramco, la compagnie pétrolière nationale d’Arabie saoudite, prévoit d’investir 20 milliards de dollars dans des projets russes de gaz naturel liquéfié.

    Ce mois-ci, le ministère russe de la Défense entame des pourparlers avec le Liban pour un accord de coopération militaire comprenant des escales navales, des opérations de recherche et sauvetage en mer, la lutte contre la piraterie maritime, l’utilisation des aéroports, des exercices conjoints, l’échange d’informations et un afflux d’instructeurs militaires russes pour former le personnel militaire libanais.

    Les tensions montent alors qu’Israël et le Liban n’arrivent pas à résoudre leurs différends à propos des frontières maritimes. Jusqu’à présent, les efforts de médiation dirigés par les États-Unis n’ont donné aucun résultat. Peut-être le différend aurait-il une meilleure chance d’être négocié avec succès si Moscou assumait le rôle de médiateur – une mission pour laquelle la Russie a jusqu’ici montré une réelle habileté au Moyen-Orient. Un accord pourrait être beaucoup plus facile à réaliser si des entreprises russes participent au projet. Les pays impliqués dans l’exploitation des gisements de gaz offshore, tels qu’Israël, le Liban, Chypre et la Turquie, sont en bons termes avec Moscou. C’est un avantage unique qui fait défaut aux États-Unis. La Russie ne prend pas parti et entretient des relations amicales avec tout le monde, afin de donner toute sa chance à la diplomatie.

    L’été dernier, Moscou et Bagdad ont signé un important accord d’armement. Selon le ministère irakien de la Défense, la première cargaison de chars de combat dernier cri T-90 est arrivée dans le pays le 15 février. L’accord a été signé pour un total de 73 véhicules. L’accord a été motivé par le succès du T-90 dans le conflit syrien. Le gouvernement irakien a demandé à la Russie de l’inclure dans le processus de paix d’Astana pour mettre fin aux combats en Syrie. Il a également conclu un accord avec les États-Unis pour faire de grandes coupes dans la présence militaire américaine sur son sol.

    Juste avant la visite du secrétaire d’État américain Rex Tillerson à Ankara, la Turquie a annoncé avoir conclu un autre accord avec la Russie pour un deuxième lot de missiles défensifs longue portée S-400 à livrer en 2021. Ce système n’est pas techniquement compatible avec les équipements de l’OTAN, il devra donc rester séparé de l’infrastructure de l’alliance.

    Les dirigeants du mouvement pour l’autonomie palestinienne se sont tournés vers la Russie pour trouver un nouveau négociateur en chef au Moyen-Orient afin de remplacer les États-Unis. La région est confrontée à de nombreux problèmes qui devraient être traités au niveau international. La Russie peut faire ce que personne d’autre ne peut, ou ne veut, faire : organiser et accueillir une conférence internationale ouverte à tous pour promouvoir la paix entre Israël et la Palestine.

    Le « Congrès syrien du dialogue national » parrainé par Moscou et organisé à la fin du mois de janvier, a été un pas en avant dans le règlement du conflit syrien. Le rôle diplomatique de l’Amérique dans le conflit syrien est mineur. Les États-Unis ne sont même pas actifs dans le seul forum auquel ils participent : les pourparlers de Genève sous l’égide de l’ONU. La Russie donne le ton en Syrie. C’est le seul acteur capable de prévenir le conflit imminent entre Israël et l’Iran et de négocier un accord entre eux. Moscou peut également servir de médiateur entre l’Iran et l’Arabie saoudite.

    Sotchi semble être un lieu important pour les initiatives diplomatiques de paix. Par exemple, la Russie a récemment offert d’accueillir des pourparlers entre le gouvernement afghan et les talibans, nous devrions donc nous attendre à ce que les grands médias mentionnent le nom de Sotchi dans leurs manchettes alors que cette ville accueille de plus en plus de réunions de diplomates étrangers et de journalistes.

    Un autre événement important est passé presque inaperçu dans les médias grand public. Le 13 février, Sergey Narychkine, chef du Service russe des renseignements extérieurs, s’est entretenu avec le président égyptien Abdel-Fattah El-Sisi au Caire pour discuter de la coopération en matière de sécurité. La réunion a eu lieu dans le contexte de l’opération militaire à grande échelle menée par l’Égypte pour réprimer les activités terroristes dans la péninsule du Sinaï. C’est arrivé le lendemain du jour où le président égyptien avait rencontré le secrétaire d’État américain Rex Tillerson. La Russie et l’Égypte discutent d’un accord militaire qui permettrait l’accès réciproque à leurs espaces aériens et à leurs bases aériennes. La situation en Libye figure en priorité sur cet agenda bilatéral. Moscou a fait des progrès substantiels dans sa quête pour amener toutes les factions libyennes à un dialogue de paix.

    Les événements récents témoignent du fait que les jours de la domination incontestée des États-Unis au Moyen-Orient sont terminés. Le retour de la Russie dans la région en tant que nouveau courtier en puissance a été un succès retentissant et reflète la primauté croissante de la Russie sur la scène mondiale.

    Peter Korzun

    Traduit par jj, relu par Cat pour le Saker Francophone


  • Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
    Si vous ne visualisez pas cet email lisez-le sur le site
    http://www.europalestine.com

    Publication CAPJPO - Europalestine
    •  
      Le général Yoav Mordechai, patron de l’armée d’occupation israélienne en Cisjordanie, a fait très fort, mardi, en affirmant que le jeune Mohamed Tamimi, grièvement touché par un tir dans la tête le 15 décembre, avait en réalité été victime … d’un accident de bicyclette.
      Mohamed, un cousin de l’adolescente... (suite)
       
    •  
      Le gouvernement israélien a annoncé mardi un retrait, au moins temporaire, de son projet d’extorsion de fonds aux Eglises chrétiennes, qui avait amené ces dernières à prononcer dimanche la fermeture, pour une durée indéterminée, de la fameuse Eglise du Saint-Sépulcre à Jérusalem.
      (des fidèles devant les... (suite)
       
    •  
      A l’âge de 15 ans, Hamza Abou Hashem a été sévèrement blessé par un chien d’attaque, que ses maîtres, les soldats de l’armée israélienne, avaient délibérément lâché sur lui.
      Sur cette courte vidéo, on peut clairement entendre les soldats encourager le molosse, aux cris de « va-z-y, mords-le ce fils de p…, Qui... (suite)
       
    •  
      Notre concitoyen Salah Hamouri, qui vient de passer 6 mois en détention, sans charge ni procès, et dont le principal tort est d’être devenu avocat et de défendre les prisonniers palestiniens au sein de l’association Addameer, vient de voir sa détention prolongée de 4 mois, sans que le gouvernement... (suite)
       
    • Soyons très nombreux le lundi 19 mars prochain à soutenir Olivia Zémor, qui comparaîtra au palais de Justice de Versailles pour avoir appelé Vanessa Paradis à ne pas se rendre en Israel et à ne pas rencontrer Shimon Peres... il y a 7 ans ! Stop à l’intimidation et réclamons tous des sanctions contre... (suite)