• 27/05/18

    Saint-Cyr fait preuve «d’ouverture d’esprit».

    Parmi nos élites , certains affligés d'une "bornitude" infinie. Mais pas tous.

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    Saint-Cyr : un cours, deux pro-Assad

    Par Cédric Mathiot 21 mai 2018 à 20:46// Libération

    L’armée française a un sens certain de la contre-programmation. Alors que la France s’est engagée dans des frappes en Syrie visant des armes chimiques, les cadets de la prestigieuse école militaire de Saint-Cyr devaient assister, du 15 au 17 mai, à un séminaire en présence de deux personnalités controversées, connues pour leur position pro-Assad et leur mise en doute de l’usage d’armes chimiques par le régime.

    Le programme de ce séminaire, intitulé «Future Wars», indiquait la présence de Vanessa Beeley et de Piers Robinson. Robinson, prof à l’université de Sheffield, se présente comme un spécialiste de la propagande. Auteur de chroniques pour le Guardian jusqu’en 2016, il est décrit par des médias comme un soutien des théories conspirationnistes pro-Assad.

    Vanessa Beeley, au départ simple blogueuse, s’est fabriqué une notoriété en dénonçant la «propagande occidentale» sur la Syrie et en menant un combat actif contre les Casques blancs syriens (les secouristes civils), qu’elle présente comme une organisation terroriste. Antisioniste extrême, elle déclarait récemment que la France était gouvernée par les sionistes. Elle était apparue lors de la conférence «Palestine» en 2014 au théâtre de la Main d’or, avec Dieudonné.

    Interrogé par Libé, le capitaine Moustafa Taïeb, l’un des responsables des relations internationales à Saint-Cyr, confirme la présence de Vanessa Beeley et Piers Robinson, mais affirme d’abord qu’ils ne sont venus que «comme auditeurs, et pas conférenciers». Sauf que des photos sur Twitter montrent Piers Robinson parlant au pupitre. Interrogé, le capitaine Taïeb convient finalement que Piers Robinson est intervenu devant les cadets, mais assure que Vanessa Beeley n’a pas pris la parole. Le programme indiquant sa présence n’est pas la version à jour, selon lui. «Elle devait intervenir mais elle n’a pas pu.» Le ministère des Armées insiste sur le fait que Vanessa Beeley n’a «en aucun cas pris la parole», et que «Piers Robinson s’est exprimé sur le sujet des stratégies de propagande dans les guerres futures, et non actuelles».

    Plus sévère, le cabinet de la ministre Florence Parly prévient : «Nous veillerons à ce que cela ne se reproduise plus.» La semaine prochaine, Beeley et Robinson devraient intervenir lors d’un «procès des médias» dénonçant la «propagande médiatique occidentale». Le musée où devait se tenir l’événement a annoncé son annulation, mais il devrait se dérouler ailleurs. Samedi, un soutien de Beeley se félicitait sur Twitter que Saint-Cyr ait fait preuve «d’ouverture d’esprit».

    Cédric Mathiot
     
    lien:  http://www.liberation.fr/france/2018/05/21/saint-cyr-un-cours-deux-pro-assad_1651708
     
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  • infoSOLIDAIRES n°125
    26 mai 2018

    InfoSOLIDAIRES n° 125

    Le 1er ministre a annoncé une reprise partielle de sa « dette » du ferroviaire d’ici à 2022. Loin d’être un cadeau pour les cheminot-e-s, cette annonce est avant tout une obligation nécessaire si le gouvernement persiste à vouloir changer le statut juridique des EPIC SNCF en Sociétés Anonymes. C’est également un beau cadeau fait aux entreprises ferroviaires privées qui viendraient candidater à d’éventuels appels d’offres dans des conditions qui, de fait, ne seraient pas les mêmes qu’aujourd’hui.
    Personne n’est dupe, depuis 1997 où la SNCF a séparé l’infrastructure de l’exploitation, la dette est à chaque fois mise en avant dès lors qu’il devient urgent de privatiser les profits, mais également le prétexte utilisé pour passer les contre-réformes. Cette fois-ci, ce sont bien des dizaines de milliers de suppressions d’emploi, la fin du statut, la fermeture de milliers de kms de lignes qui sont prévues pour financer cette reprise partielle de la dette, ce que permet évidemment le pacte ferroviaire.

    Lire la suite ci-dessous.


    Les derniers communiqués de presse

    > Le gouvernement annonce place nette … Pour les patrons du ferroviaire privé !
    > Le climat est pourri en macronie
    > Libération immédiate du camarade arrêté abusivement lors de la manifestation Fonction Publique !
    inFORMER  LES SALARIÉ-ES

    "Et voilà" n° 57 - Avril/Mai 2018

    Voici, voilà, le bulletin "et voilà" numéro 57 d’avril/mai 2018 des conditions de travail et de la santé au travail de la commission de l’Union syndicale Solidaires à destination de l’ensemble des militantes et militants impliqués dans la santé au travail. Ce mois nous avons au sommaire beaucoup de choses dont le premier épisode d’une BD exclusive dessinée par Claire Robert destinée à être utilisée sous forme de BD-Tract !
    Le sommaire complet :
    3 Actualités Liquidation générale
    4 Jurisprudences • Une (...)

    ré-agir ensemble

    Pour renforcer la fonction publique et les services publics encore et toujours

    Avec 130 cortèges dans toute la France, la journée de grève et de manifestations du 22 mai a été un nouveau temps fort d’expression des mécontentements des personnels.
    Pour renforcer la fonction publique et les services publics, encore et toujours ! C’est l’expression du refus du projet de régression sociale porté par le gouvernement contre la fonction publique, les services publics et les usager-e-s.
    Les agent-es publics de tous secteurs se sont mobilisé-e-s : Education nationale, Finances (...)

    réINVENTER le syndicalisme
     
    >> Retrouvez toutes les mobilisations sur le site

    Voir le dossier de presse


    © SOLIDAIRES — 2018
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  • 27 Mai 2018

    Publié par El Diablo

    Photo d'une manifestation organisée par le PCI contre les massacres de Gaza

    Photo d'une manifestation organisée par le PCI contre les massacres de Gaza

    A la suite du massacre dans Gaza cette semaine, et la poursuite de l'agression et de la brutalité israélienne contre les Palestiniens à Gaza dans les dernières semaines: 60 Palestiniens ont été assassinés par les tireurs d'élite "snippers", y compris des enfants, laissant des milliers de Palestiniens avec de sévères blessures qui deviennent des handicapés s'ils survivent.

    A Gaza, les hôpitaux sont dans une grande détresse et crient à la fois pour une aide humanitaire médicale afin de soutenir l'équipe médicale qui continue les opérations de   sauvetage des vies et qui a besoin de chirurgiens.

    Dans ces circonstances, le Parti communiste d'Israël a lancé hier, 16 mai, une aide locale humanitaire et une campagne d’aide médicale, pour assister la résistance et la détermination des Palestiniens à Gaza, principalement pour assister l'action des hôpitaux dans Gaza, qui s'effondrent dans ces circonstances invraisemblables où les milliers de blessés  doivent être traités quotidiennement, pendant des semaines maintenant.

    Le PCI transmet ses chaleureuses salutations de solidarité à tous les partis qui protestent contre l'occupation israélienne et les massacres et appellent les partis communistes et de gauche de rechercher les possibilités de recruter et de mobiliser le soutien international pour aider les hôpitaux de Gaza dans ces moments terribles, chacun avec ses capacités et ses méthodes.

    Drapeau palestinien déployé en pleine gueule du loup, les communistes israéliens expriment leur solidarité contre les massacres de Gaza

    Nous vivons dans des jours sombres, où l'impérialisme, le sionisme et les forces réactionnaires essayent d'assassiner la justice, la Paix et l'autodétermination au Moyen-Orient et plusieurs autres régions. Il est de notre devoir de résister et de protester contre ces actions violentes.

    Le 17 mai 2018

    Le Comité Central du Parti communiste d'Israël

    SOURCE :


  • Une conspiration se fait jour pour livrer Julian Assange aux gouvernments britannique et américain

    Mike Head

    Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks qui a fait connaître aux peuples du monde la vérité sur les crimes de guerre américains au Moyen-Orient et sur de nombreux coups d’État et intrigues de Washington pour des changement de régime dans le monde, est de plus en plus en danger.

    Des décisions se préparent pour expulser Assange de l’ambassade d’Équateur à Londres, où il a cherché l’asile politique il y a près de six ans et a été contraint de vivre comme un véritable prisonnier. S’il est placé en garde à vue par les autorités britanniques, il risque d’être remis au gouvernement américain, qui cherche depuis longtemps à le traduire en justice pour des accusations d’espionnage pouvant entraîner la peine de mort.

    Au départ, le journal britannique The Guardian avait publié certaines des révélations dévastatrices de WikiLeaks en 2010. Il s’est ensuite retourné violemment contre lui, comme d’autres médias internationaux. Maintenant, il lance une campagne infâme, agissant clairement de concert avec diverses agences de renseignement, pour justifier que l’Équateur revienne sur l’asile accordé à Assange.

    La nouvelle offensive contre Assange intervient sept semaines après que le gouvernement équatorien, sous la pression des Etats-Unis, de la Grande-Bretagne et d’autres puissances, a coupé tout contact Internet et téléphonique d’Assange avec le monde extérieur et empêché ses amis et sympathisants de lui rendre visite.

    The Guardian a publié des allégations non fondées selon lesquelles Assange aurait « violé » le système de communication de l’ambassade et « apparemment » lu « des communications diplomatiques confidentielles ». Dans un tweet, WikiLeaks a catégoriquement nié l’accusation et, faisant référence à la source, a indiqué que : « C’est une calomnie anonyme alignée sur l’attaque actuelle du gouvernement britannique et américain contre l’asile de M. Assange - alors qu’il ne peut pas y répondre. »

    Cela ne laisse aucun doute sur l’intention des dernières allégations. Le chroniqueur du Guardian James Ball a été direct. Le fondateur de WikiLeaks, a affirmé Ball, « devrait se rendre et quitter l’ambassade ».

    La une du Guardian déclare : « S’il quitte l’ambassade, il peut s’attendre à être arrêté et à passer jusqu’à un an en prison pour avoir enfreint ses conditions de liberté sous caution. Les États-Unis pourraient alors chercher à le faire extrader. Il contesterait toute tentative de le faire, et pourrait gagner, mais il aurait à faire face à un long séjour en prison pendant que son dossier est traité. »

    Plus tôt cette année, le président de l’Équateur, Lenín Moreno, entré en fonction en mai dernier, a déclaré qu’Assange était un « problème hérité » coûteux et un « hacker » et a fait comprendre qu’il considérait Assange comme un obstacle à de meilleures relations avec les États-Unis.

    Le gouvernement équatorien a accordé l’asile politique à Assange en juin 2012, lorsque ses recours juridiques ont été rejetés contre une extradition vers la Suède pour répondre à des questions sur des allégations inventées d’agression sexuelle et de restitution probable aux États-Unis. Les autorités suédoises ont finalement abandonné leur enquête montée de toute pièce en mai 2017, mais le gouvernement britannique de Theresa May a toujours refusé d’annuler un mandat d’arrêt contre lui, nominalement pour avoir manqué à sa comparution lorsqu’il demandait l’asile.

    Rafael Correa, le prédécesseur de Moreno, a récemment déclaré aux journalistes à Madrid que les « jours [d’Assange] étaient comptés » parce que Moreno, son ancien protégé, le « chasserait de l’ambassade à la moindre pression des États-Unis ».

    Depuis son élection, Moreno a fait un virage brutal à droite, avec des réductions d’impôts pour les grandes entreprises, des coupes budgétaires dans les dépenses sociales et des tentatives de réduire la dépendance de l’Équateur aux prêts et aux investissements chinois en faveur de relations plus étroites avec l’impérialisme américain.

    Le gouvernement équatorien a coupé les communications d’Assange juste un jour après avoir accueilli une délégation du Commandement Sud des États-Unis (Southcom), le bras du Pentagone en Amérique latine et dans les Caraïbes, dirigé par le général Joseph DiSalvo. Southcom a déclaré que des discussions avaient eu lieu pour renforcer la « coopération en matière de sécurité ».

    Il ne fait aucun doute que l’appareil de renseignement et l’establishment politique américains sont aux manettes dans la conspiration contre Assange. L’année dernière, WikiLeaks a commencé à publier des fichiers plus incriminants sur les opérations mondiales de la CIA. Le procureur général américain, Jeff Sessions, a déclaré que la mise en accusation d’Assange était une « priorité ». Le directeur de la CIA, Mike Pompeo, aujourd’hui secrétaire d’Etat, a déclaré que WikiLeaks était un « service de renseignement non-étatique hostile ».

    Le mois dernier, dans une autre tentative pour faire taire WikiLeaks, le Comité national du Parti démocrate américain (DMC) a lancé un procès, citant WikiLeaks et Assange comme conjurés avec la Russie et la campagne Trump dans un supposé effort criminel pour voler l’élection présidentielle américaine de 2016.

    En réalité, les documents publiés par WikiLeaks dévoilaient les intrigues du DMC pour saper la campagne de Bernie Sanders lors des élections primaires présidentielles de 2016, et les relations intimes de la candidate démocrate Hillary Clinton avec les banques et les entreprises de Wall Street.

    Le journaliste et réalisateur de documentaires John Pilger a dénoncé hier la « trahison » d’Assange par l’Équateur. « La poursuite vindicative d’Assange [est en cours] pour une seule raison : il a dit la vérité », a déclaré Pilger à Sputnik International.

    « Il a révélé à travers Chelsea Manning [ ...] les crimes de guerre des Etats-Unis en Afghanistan et en Irak ; et bien sûr, l’année dernière, révélé les machinations du Comité national démocrate essayant de truquer le résultat [du vote primaire] dans ce pays, ce qu’il a réussi à faire ».

    Pilger a condamné les agissements du gouvernement Moreno pour révoquer l’asile politique d’Assange.

    « L’asile politique est quelque chose qui est internationalement reconnu », a-t-il dit. « Ce n’est pas quelque chose que vous pouvez ensuite diluer. Eh bien, c’est ce que le gouvernement de Moreno a fait. Il a négocié avec le gouvernement britannique sans l’accord de Julian, parfois même sans l’impliquer lui et ses avocats. »

    Pilger a souligné l’accommodement que Moreno cherchait avec Washington, qui attaque de front n’importe quel gouvernement en Amérique latine considéré comme un obstacle à l’hégémonie américaine sur ce continent.

    « Il est clair que ce gouvernement s’est incliné devant les Etats-Unis, parce qu’il a coupé les contacts de Julian – par Internet, téléphone, tous les visiteurs sauf les avocats et livraisons de nourriture le jour où le commandant de Southcom Joseph DiSalvo est arrivé à Quito, Équateur pour renégocier une base américaine que Correa avait fermée. »

    Le Guardian a fondé ses accusations non vérifiées contre Assange sur des « documents secrets » qu’il avait « vus », en collaboration avec Focus Ecuador, un site web de droite. Il a accusé l’agence de renseignement équatorienne « d’avoir financé une opération d’espionnage de plusieurs millions de dollars » pour « protéger » Assange à l’ambassade. En six ans, cette activité aurait coûté 5 millions de dollars.

    Un examen plus approfondi du dossier, cependant, indique que la surveillance a été menée principalement contre Assange et WikiLeaks. Une agence de sécurité a surveillé Assange 24 heures sur 24 et installé des caméras de vidéosurveillance dans toute l’ambassade.

    « L’Opération invité » a enregistré chaque visiteur qu’Assange a eu pendant six ans, et a espionné chacun de ses mouvements dans la minuscule ambassade, surveillant son humeur, ses habitudes et ses habitudes de sommeil, a rapporté le Guardian. Les agents ont consigné le but de la visite de chaque visiteur, leurs informations de passeport et les heures d’arrivée et de départ.

    « Chaque mois, l’entreprise de sécurité a envoyé une liste confidentielle des visiteurs d’Assange au président équatorien », a indiqué le journal. « Parfois, l’entreprise ajoutait des prises d’images vidéos secrètes d’invités intéressants, ainsi que des profils et des analyses. »

    Selon le Guardian, ces indices lui ont peut-être permis « de savoir qui lui a donné la mine de documents piratés qui ont contribué à faire chuter Hillary Clinton aux élections de 2016 ». Il a déclaré de façon inquiétante qu’un tel « visiteur » pourrait « intéresser » le procureur spécial américain Robert Mueller, qui dirige une enquête sur les liens présumés du gouvernement Trump avec la Russie.

    Selon le journal, le FBI a déjà interrogé « au moins une source proche de l’Opération invité », indiquant que l’Équateur a remis tous ses documents aux agences de renseignement américaines. En conséquence, toute personne qui a visité ou communiqué avec Assange alors qu’il se trouvait à l’ambassade est exposée à la persécution et, potentiellement, à des coups montés d’accusations de complicité d’espionnage ou d’avoir voulu manipuler les élections américaines de 2016.

    Le complot contre Assange est lié à une campagne de plus en plus intense menée par le gouvernement américain et ses alliés pour imposer une vaste censure sur Internet et supprimer la liberté de parole et les droits démocratiques plus larges. Des allégations non fondées de « fausses nouvelles » et « d’ingérence russe » sont utilisées par Google, Facebook et d’autres conglomérats pour restreindre l’accès à des sites Web - y compris WikiLeaks et le World Socialist Web Site - qui fournissent des commentaires critiques et des révélations sur la classe capitaliste et ses agences.

    Nous encourageons vivement les travailleurs et les jeunes à venir partout à la défense d’Assange et à exiger sa liberté immédiate.

    Mike Head

    A voir aussi :

    Libérez Julian Assange

    L’Equateur laisse entendre qu’il pourrait livrer Julian Assange à la Grande-Bretagne et aux Etats-Unis

    »» https://www.wsws.org/fr/articles/2018/05/17/jasa-m17.html
    URL de cet article 33434
    https://www.legrandsoir.info/une-conspiration-se-fait-jour-pour-livrer-julian-assange-aux-gouvernments-britannique-et-americain.html

       


  • Venezuela : Le Conseil National Electoral publie l'acte de contrôle des transmissions du 20 mai 

    26 Mai 2018, 18:37pm

    Publié par Bolivar Infos

     

    Le Conseil National Electoral (CNE) a publié vendredi l'acte de contrôle du Réseau des Transmissions des Données Electorales I connu sous le nom de Contrôle des Télécommunications I dans le cadre de la vérification et de la transparence du processus électoral du 20 mai dernier.

     

    Le directrice du CNE Tania D´Amelio a indiqué que le nouveau contrôle répond aux normes de la plus haute autorité électorale et respecte ce qui est établi dans la Constitution et dans les lois du pays.

     

    D´Amelio a souligné que pour ce contrôle étaient présents des représentants de tous les partis politiques qui ont participé aux élections présidentielles et aux élections des Conseils Législatifs parmi lesquels le Parti Socialiste Uni du Venezuela (PSUV), le Parti Social Chrétien (COPEI) et Espoir de Changement.

     

    Les techniciens du CNE et des 2 principales entreprises de communications : la Compagnie Anonyme Nationale des Téléphones du Venezuela (CANTV) et Movilnet ont aussi accompagné ce processus.

     

    A ce contrôle étaient présents les techniciens du CNE, de CANTV et de Movilnet et des organisations politiques PSUV, PCV, MEP, PPT, UPV, MAS et COPEI en plus du groupe d'électeurs d'Espoir de Changement . pic.twitter.com/pdClEo35xI

    Tania D´amelio (@taniadamelio) 25 mai 2018

     

    Les contrôles font partie du calendrier établi avant, pendant et après les élections pour donner des garanties de sécurité concernant les résultats qui ont donné gagnant la candidat réélu du Front Large de la Patrie, Nicolás Maduro, qui a déjà prêté serment devant l'Assemblée Nationale Constituante (ANC). 

     

    Le CNE a aussi commencé les proclamations pour donner leurs lettres de créances aux députés des différents états du pays élus.

     

    traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos

     

    Source en espagnol :

    https://www.telesurtv.net/news/cne-acta-auditoria-trasmision-datos-electorales-20180525-0054.html

    URL de cet article :

    http://bolivarinfos.over-blog.com/ 2018/05/venezuela-le-conseil-national-electoral-publie-l-acte-de-controle-des-transmissions-du-20-mai.html