• 31 Octobre 2018

    Publié par El Diablo

    Logo du PTB (Parti du Travail de Belgique)

    Logo du PTB (Parti du Travail de Belgique)

    « Je suis un président de parti heureux parce que, avec les résultats que nous avons déjà, nous avons atteint nos objectifs dans l'ensemble du pays. Pour la première fois, nous sommes passés d'un phénomène urbain principalement à Anvers et à Liège à une percée dans presque quasiment toutes les grandes villes et villes moyennes de Wallonie, Bruxelles et de Flandre. Nous passons de 50 à 156 élus locaux », a réagi Peter Mertens, président du PTB, aux premiers résultats, à Anvers.

     

    « En Région bruxelloise, nous nous ancrons dans la réalité locale en passant de 2 élus dans à peine 2 communes à 36 élus dans 7 communes. Concrètement, nous perçons à Bruxelles-Ville, Anderlecht, Molenbeek, Schaerbeek, Saint-Gilles, Forest et Ixelles. » 

     

    (Retrouvez tous les résultats ici)

     

    « En Wallonie, les résultats sont encore loin d'être complets, mais ils semblent très bons. Nous faisons une percée dans les grandes villes, les villes moyennes et la banlieue rouge de Liège. Nous nous présentions pour la première fois à Tournai, à Verviers, à Huy où nous entrons chaque fois au conseil communal.

     

    A Charleroi, nous atteindrions environ 15 % et aussi à La Louvière. A Liège et dans les communes populaires de l’agglomération liégeoise, nous atteignons entre 15 et 25 %, comme à Seraing et Herstal », ajoute Peter Mertens.

     

    « En Flandre, où nous perçons aussi, nous avons travaillé d’arrache-pied, dans des conditions difficiles, où il fallait montrer que la gauche authentique pouvait percer. A Gand, les résultats ne sont pas encore définitifs, mais pour l'instant, nous sommes entre 2 et 3 élus.

    […]

     

    LA SUITE EN LIEN CI-DESSOUS :


  • 31 Octobre 2018

    Publié par El Diablo

     SERVICES PUBLICS: une évolution qui exclut et éloigne du « partout et pour tous »

    Par Jean-Marc GARDES

     

    Un constat s’impose

     

    Nous ne le mesurons peut-être pas vraiment, mais une réalité s’impose à nous aujourd’hui : l’administration électronique, ou « e-administration ».

     

    Qu’on l’ait souhaitée ou non (les citoyens-administrés, leurs élus ou représentants associatifs ont-ils jamais été consultés ?), elle est là, en place, présente partout, ou presque.

     

    À la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, c’est AMELI pour Assurance Maladie En LIgne pour suivre le paiement des prestations ; avec elle, avec l’ « e-administration », de chez vous, vous pouvez aussi demander une carte grise dans une préfecture, la prime d’activité à la Caisse Nationale des Allocations Familiales, suivre le retrait de points du permis de conduire, une procédure engagée devant un tribunal avec un numéro codé (Sagace pour le tribunal administratif), vous inscrire à Pôle emploi, demander une bourse scolaire… Il n’est pas jusqu’à la poste qui vous demande de préparer, chez vous, vos affranchissements avec votre « machine »… Aux impôts (.gouv.fr),..., c’est une vraie injonction qui vous est faite ! En 2018*, la loi rend en effet obligatoire le paiement de la somme que vous devez par l’un des moyens suivants : smart-phone ou tablette, ou bien sur impôts.gouv.fr, dés lors que cette somme est supérieure à 1 000 euros.

     

    Injonction ? À défaut d’utiliser l’un des modes de paiement autorisés, une majoration de 0,2 % du montant sera appliquée…

     

    Et du côté des collectivités locales, il est aujourd’hui possible, auprès de certaines communes, en Ardèche, de payer la cantine scolaire « en ligne », ou bien encore de payer les transports scolaire Ici, la modernité qui ne prend plus le train, roule en car.

     

    Ce qui, tout de même pose la question, à la fois, de l’équipement avec l’un de ces « outils » pour procéder au paiement (depuis quand la possession d’un smart-phone, d’une tablette, celle d’un ordinateur et l’abonnement à un fournisseur d’accès seraient-ils devenus obligatoires ? en vertu de quel texte ?), et, subsidiairement, la question de la formation à l’un de ces outils pour savoir l’utiliser.

    […]

     

    LA SUITE EN LIEN CI-DESSOUS :


  • 31 Octobre 2018

    Publié par El Diablo

    capture d'écran

    capture d'écran

    Marcel Gauchet est l'invité des entretiens de CRE (Critique de la Raison Européenne). Théoricien de la notion de « fracture sociale », nous l'avons interrogé sur le concept de France périphérique de Christophe Guilluy. Ce qui nous a amené à parler des ressorts du populisme. Nous parlons ensuite du rôle des élites dans la situation actuelle, puis d'Emmanuel Macron et de ce qu'il représente.

    La FRANCE PÉRIPHÉRIQUE contre les élites - Que représente MACRON ? [un entretien-vidéo avec Marcel Gauchet]

  • 31 Octobre 2018

    Publié par El Diablo

    Dessin à la une du Réveil des combattants d'octobre 2018

    Dessin à la une du Réveil des combattants d'octobre 2018

    voir également le lien ci-dessous:

    SOURCE:


  • 31 Octobre 2018

    Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

    Exclusif: pour cause d'Halloween, le président de la République a modifié sa photo officielle

    Avant de partir se reposer quelques jours, me dit-on dans les voix de son maître. Pourquoi, à cause qu'il a trop la grosse tête?

    Pour ceux qui ne suivent vraiment pas, ce qui peut parfois désespérer, la nouvelle tête de notre révérendissime est la planète Jupiter.

    Ceci dit, Halloween est à l'origine une fête païenne celte. Mais on peut la traduire par la "veille de la Toussaint" ou la "veillée de tous les saints". Mais alors, que vient faire dedans l'Eglise de Rome?

    C'est bien simple, les Celtes, ces païens avec qui nous n'avons aucune racine commune, célébraient leur fête mécréante à la fin de l'automne. Pour eux, le nouvel an, avec banquet et festivités à la clé, autour du 1ernovembre. Ils dénommaient cette fête celle de Samain.

    Comme cela faisait désordre depuis trop longtemps, l'Eglise chrétienne de Rome, avec qui, grâce au Ciel, nous avons des racines communes, a réagi par le pape Grégoire numéro 5 (827-844). La fête bien chrétienne de la Toussaint, célébrée après Pâques ou après la Pentecôte, fut donc instituée le 1er novembre.

    Vous l'aurez compris: la Toussaint et plus Samain. Sinon le bûcher, bande d'impies!






    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires