• 5 Juin 2019

    Publié par El Diablo

    Il y a 78 ans - la RÉSISTANCE COMMUNISTE pendant l'Occupation - Du 27 mai au 9 juin 1941 : 100 000 mineurs en grève dans le Bassin minier, un mois avant l'agression allemande contre l'Union Soviétique...
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    Un mécontentement grandissant

    Le charbon du bassin minier du Pas-de-Calais est, dès le début de l’Occupation, l’objet d’enjeux économiques considérables. Appartenant à la zone interdite, le département est rattaché comme celui du Nord au commandement militaire de Bruxelles ; placées sous tutelle de l’Oberfeldkommandantur 670 de Lille, les compagnies minières doivent accroître à tout prix leur production au profit de l’Allemagne, au mépris des conditions de travail et de sécurité des ouvriers. Les acquis sociaux obtenus sous le Front populaire sont clairement remis en cause. L’hiver de 1940-1941 est particulièrement rude pour les populations. La misère, la disette, le froid et les conditions de travail qui se dégradent créent chez les mineurs un fort climat de mécontentement. Lorsque, le 1er janvier 1941, l’occupant allemand décide d’allonger d’une demi-heure la journée de travail sans augmentation de salaire, l’exaspération est à son comble et entraîne la multiplication des grèves perlées. À cette grogne sociale s’ajoute un profond dégoût envers la politique de collaboration menée par les compagnies. Les conditions de vie des mineurs et de leurs familles, rendues pénibles par les difficultés de ravitaillement et la mise en place des cartes de rationnement (rations manifestement insuffisantes et qui ne sont même pas respectées à la distribution), ainsi que le fort sentiment national provoqué par l’Occupation, forment dès lors un terreau favorable au Parti communiste français clandestin qui crée un "Front national" ouvert à tous les courants politiques.

    Dès le 1er mai 1941, des mouvements sociaux s’organisent autour des comités d’unité syndicale et d’action (CUSA). Drapeaux rouges et tricolores sont suspendus aux fils électriques, des milliers de tracts sont distribués, des cahiers de revendications sont rédigés dans tout le bassin minier. L’agitation s’étend même jusqu’en Belgique et touche les sidérurgistes et l’industrie textile. Mais une action d’une plus grande ampleur se prépare. La colère est à son paroxysme lorsque les compagnies tentent d’imposer la réintroduction du paiement des mineurs à l’abatage par équipe. La grève éclate à la fosse 7 des mines de Dourges, dite du Dahomey, le matin du 27 mai, à l’instigation du délégué mineur Michel Brulé et d’Auguste Lecœur, puis s’étend rapidement aux fosses voisines, les autorités n’en ayant pas mesuré l’ampleur.

    Plus de 80 % de grévistes

    Le 3 juin, l’ensemble du bassin minier est touché. Sur les 143 000 mineurs recensés, 100 000 ont cessé le travail, soit près de 80 %. La grève générale est très largement encouragée par les femmes, qui organisent des cortèges à l’entrée des fosses pour en bloquer l’accès, et exhortent les non grévistes à rejoindre leurs camarades. Elles manifestent devant les bureaux des compagnies minières avec à leur tête Émilienne Mopty, une femme de mineur et militante communiste.

    […]

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  • Malaise en Malaisie

    Publié le 4 Juin 2019 par Observatus geopoliticus in Extrême-OrientUkraineEtats-UnisEconomie

    Les jours se ressemblent pour l'empire, apportant leur lot de nouvelles mauvaises ou simplement irritantes. C'est dans cette dernière catégorie que se rangent les récentes sorties du leader d'un pays dont on parle peu ici : la Malaisie. Premier ministre de 1981 à 2003 puis, à nouveau, depuis 2018, le sémillant Mahathir (93 ans !) n'a pas la langue dans sa poche et ne s'est jamais privé de critiquer l'impérialisme US.

    En quelques jours, il vient de remettre en cause deux dogmes chers à Washington. D'abord en critiquant assez fortement l'enquête hollandaise sur le MH17 abattu au-dessus de l'Ukraine : "L'enquête est politisée. Ils accusent la Russie mais où sont les preuves ? Pourquoi nos experts ont-ils été empêchés d'écouter les enregistrements de vol ?"

    Ce n'est pas la première fois que Mahathir met en doute la version occidentale mais ce coup de semonce, devant un panel de journalistes japonais à Tokyo, risque de faire du bruit. Certes pas dans la presstituée occidentale, totalement muette pour le coup. Aucune surprise pour le fidèle lecteur, nous avons déjà expliqué la position de la journaloperie sur le MH17 :

    Rarement la basse-cour médiatique occidentale sera tombée aussi bas. Un barrage d'articles délirants, d'accusations hystériques, allant toutes dans un sens et un seul. Le prévenu est condamné avant même l'enquête ! Qu'en 2014, l'Europe soit le théâtre d'un climat digne des pires époques de l'Inquisition laisse songeur... Mais après tout, quand on voit des dirigeants occidentaux soutenir un gouvernement composé pour un tiers de néo-nazis ou que ces mêmes dirigeants, pour ne pas indisposer leur allié ukrainien, s'opposent à l'ONU à un vote condamnant la glorification du nazisme, il faut s'attendre à tout :http://www.politis.fr/ONU-lutte-contre-la-glorification,29095.html

    Les journaux européens sont depuis longtemps noyautés par la CIA, comme l'a montré le scandale Udo Ulfkotte en Allemagne l'année dernière. L'un des plus grands éditorialistes allemands de l'un des plus "sérieux" journaux (Frankfurter Allegemeine Zeitung) bossait en fait depuis des années... pour la CIA ! Et c'est loin d'être un cas isolé en Europe. https://www.youtube.com/watch?v=sGqi-k213eE

    Mais revenons à notre avion... Ainsi donc, pour la volaille journalistique noyautée, c'est un coup des séparatistes pro-russes, donc des Russes ! Et le grand méchant Poutine est montré d'un doigt accusateur par les journaux dans un déferlement de rage collective qui fait fortement penser aux deux minutes de la haine contre Emmanuel Goldstein dans 1984, le fameux roman d'anticipation de George Orwell. Nous y sommes, avec 30 ans de retard.

    Sur quoi se basent nos féroces procureurs ? Sur... et là, ne rigolez pas, je suis sérieux... sur :

    1- les accusations verbales des Etats-Unis [les mêmes que pour les bébés-couveuse de 1990 ou la fiole de Colin Powell à l'ONU ?], Washington se gardant bien d'apporter le moindre début de preuve alors que leurs satellites tournent 24h/24 au-dessus de l'Ukraine.

    2- la vidéo amateur d'un lanceur de missiles Buk, en réalité filmé dans une ville tenue par l'armée ukrainienne comme le montre un panneau publicitaire dans le fond.

    3- un commentaire Facebook effacé depuis [un énorme LOL. Est-il vraiment utile de préciser que n'importe qui peut pirater un compte sur un réseau social...]

    4- une conversation téléphonique enregistrée entre "deux chefs séparatistes", dont il a été prouvé depuis qu'elle a été trafiquée, Kiev l'ayant même retiré de sa liste de "preuves".

    Voilà Mesdames et Messieurs, c'est tout... Et c'est sur ça que se base l'accusation.

    Peu importe que le principal journal malaisien (la Malaisie est quand même concernée au premier chef dans cette affaire) titre, lui, sur la responsabilité de Kiev : http://www.nst.com.my/node/20925

    Peu importe que le plus grand journaliste d'investigation américain - Robert Parry, celui qui a mis au jour le scandale des contras - pointe Kiev du doigt : http://consortiumnews.com/2014/07/20/what-did-us-spy-satellites-see-in-ukraine/

    Peu importe que des spécialistes de la question s'interrogent ouvertement :http://www.atlantico.fr/decryptage/crash-vol-mh17-trois-scenarios-techniquement-possibles-1670633.html#IxzyYhK9PFE7juOL.99

    http://www.rfi.fr/afrique/20140909-ukraine-partie-poker-menteur-autour-causes-crash-mh17-poutine-porochenko-russie-osce/

    http://www.spiegel.de/international/world/expert-criticizes-allegations-of-russian-mh17-manipulation-a-1037125.html

    Peu importe que même les vétérans du renseignement américain doutent ouvertement des accusations de leur gouvernement : https://consortiumnews.com/2014/07/29/obama-should-release-ukraine-evidence/

    Peu importe que les services secrets ukrainiens (les mêmes qui ont annoncé 72 "invasions russes" de l'Ukraine depuis un an) aient étrangement confisqué les conversations entre les contrôleurs du ciel et l'équipage du Boeing : http://www.bbc.com/news/world-us-canada-28360784

    Peu importe que les quatre pays qui enquêtent sur le crash - Hollande, Belgique, Australie et Ukraine (tous dans le même camp d'ailleurs) - aient curieusement signé un « accord de non-divulgation » qui interdit à ces pays de divulguer les résultats de l’enquête concernant le MH17 et leur donne un droit de veto les uns sur les autres.

    Peu importe tout cela... c'est Poutine on vous dit !

    Faire la lumière sur ce qui s'est vraiment passé est le cadet des soucis pour les accusateurs auto-proclamés. Nous sommes dans le rapport de force géopolitique, dont la guerre de l'information est une composante de plus en plus importante.

    Quelques jours avant, Poutine était au Brésil où il signait l'accord sur la création de la Banque des BRICS qui risque de mettre à mal le système dollar permettant aux Etats-Unis de vivre au-dessus de leurs moyens et de faire financer leurs guerres par les autres pays. Pour nombre de pays émergents, il représentait, et représente toujours d'ailleurs, une forme d'anti-système, parfois une sorte de Che Guevarra des temps modernes, même dans les cas les plus improbables (Haïti, communauté noire américaine) : http://fr.sott.net/article/24115-Apres-Ferguson-les-manifestants-haitiens-demandent-l-aide-de-Poutine

    Après la tragédie du MH17, les pays européens, fortement pressés par Washington, décident de mettre en place des sanctions économiques contre la Russie. A défaut de preuves (et pour cause !) de l'implication russe dans le crash du Boeing, l'émotion suscitée par la campagne de diabolisation médiatique fera l'affaire...

    Le vice-président US, Joe Biden, l'avouera : l'Amérique a forcé la main des pays européens qui rechignaient à cette escalade suicidaire : https://www.youtube.com/watch?v=D0zC4cxzszQ

    Depuis, Ô divine coïncidence, à chaque fois qu'arrive l'échéance des sanctions européennes et la question de savoir si elles doivent être prolongées de six mois, une poussée de violence éclate en Ukraine. Les forces de Kiev bombardent quelques quartiers de Donetsk, entraînant évidemment la réaction des pro-russes, le tout pour le plus grand bonheur de Washington.

    L'Europe a été fortement frappée par le régime des sanctions et contre-sanctions russes et risque de perdre deux millions d'emplois :http://internacional.elpais.com/internacional/2015/06/18/actualidad/1434654005_784654.html

    Aux dernières nouvelles, le gouvernement des Pays-Bas s'est contenté de "prendre note" des déclarations de Mahathir, qui ne s'est pas fait que des amis à Washington. D'autant que le Premier ministre malaisien vient d'en rajouter une couche, en préconisant d'établir pour le commerce de la région une monnaie pan-asiatique gagée sur l'or, c'est-à-dire d'abandonner le dollar. Or, on le sait, le billet vert a été l'alpha et l'oméga de la domination américaine depuis la Seconde Guerre Mondiale :

    Bretton Woods, 1944

    Alors que la poussière du débarquement de Normandie venait à peine de retomber et que la guerre contre l’Allemagne était loin d’être terminée, les Etats-Unis réunirent une quarantaine de pays à Bretton Woods pour préparer leur domination future. Contrairement à la Première guerre, leur intervention dans le second conflit mondial n’avait rien de débonnaire. C’était décidé, ils allaient s’intéresser aux affaires du monde. Et pour ce pays pétri d’idéologie messianique, convaincu d’être "la nation indispensable", s’intéresser au monde équivalait à le dominer.

    Ce 22 juillet 1944, les délégués signèrent ni plus ni moins la domination universelle du dollar pour les décennies à venir, organisant le système monétaire international autour du billet vert. Parmi les nouveautés, un FMI et une Banque mondiale prêtant tous les deux uniquement en dollars, obligeant ainsi les pays demandeurs à acheter de la monnaie américaine, donc indirectement à financer les Etats-Unis. Le dollar était la pierre angulaire de tout le système, intermédiaire unique et indispensable pour demander un prêt, acheter de l’or et bientôt acheter du pétrole (pétrodollar en 1973). De Gaulle s’élevait déjà contre cette capacité inouïe de l’Amérique à "s’endetter gratuitement", donc à faire financer sa domination sur les autres par les autres. Giscard, qui n’avait pourtant rien d’un marxiste anti-impérialiste, parlait de "privilège exorbitant". Nixon répondait : "notre monnaie, votre problème".

    On ne peut certes pas résumer les causes de la domination états-unienne de l’après-guerre au seul statut de sa monnaie, mais celui-ci a joué un rôle crucial. C’est ce que Washington est en train de perdre…

    Oufa, 2015

    71 ans après Bretton Woods, la position dominante du dollar commence à battre sérieusement de l’aile. Le mouvement débuta il y a quelques années quand les puissances émergentes commencèrent à dé-dollariser leurs échanges, rejoints par un nombre toujours plus grand de pays. Chine, Russie, Brésil, Inde, Iran, Argentine, Turquie, Pakistan, Afrique du Sud, Egypte et même maintenant Australie, Canada ou Corée du Sud… tous ces pays commercent, à des degrés divers, en dehors du système dollar ou sont en voie de le faire. Mais c’est la crise ukrainienne qui a été l’accélérateur. Devant ce qu’il voyait comme une volonté hégémonique américaine de contrôler l’Eurasie, Poutine s’est attaqué aux fondations de la domination US, participant à la création d’un système financier entièrement nouveau, parallèle, concurrençant les institutions de Bretton Woods. Chine, Inde ou Brésil, qui réclamaient en vain depuis déjà plusieurs années une redistribution des cartes au sein du FMI ou de la Banque mondiale, ont sauté sur l’occasion.

    Le monde multipolaire se réunit cette semaine à Oufa dans le silence assourdissant de nos petits soldats médiatiques (ça nous gêne, donc on occulte). Un triple sommet monstrueux OCS-BRICS-Union eurasienne a commencé en Bachkirie, regroupant les plus grandes puissances de la planète hors bloc occidental. Le président de la "Russie isolée" va prendre part à un record de 11 rencontres bilatéralesen marge des réunions officielles, tandis qu'une ribambelle d'entreprises signent déjà des accords.

    Parmi les principales décisions prises ce premier jour:

    Quand on sait à quel point la puissance impériale est corrélée à celle de sa monnaie, quand on sait à quel point les sanctions contre la Russie sont un moyen désespéré d'enrayer l'inexorable montée de la multipolarité eurasienne, les déclarations de Mahathir risquent de provoquer quelques crises d'urticaire du côté de DC la Folle...


  • 4 Juin 2019

    Publié par El Diablo

     

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    Dans son rapport sur la France, le Fonds monétaire international (FMI) propose de réduire les dépenses de santé !

     

    Le FMI recommande à la France plus de rigueur budgétaire et de favoriser la croissance.

     

    Dans son rapport sur la France, le Fonds monétaire international répète jusqu’à l’indigestion ses conseils de rigueur budgétaire. Il propose aussi de réduire les dépenses de santé tout en « protégeant la qualité des services de santé publique ».

     

    « La croissance française a ralenti », constate la mission annuelle du Fonds monétaire international (FMI) en France dans son dernier compte rendu. Mais elle estime aussi que cette croissance «reste résiliente et riche en emplois, en partie grâce aux réformes importantes qui ont été mises en œuvre ces dernières années sur le marché de l’emploi et en matière de fiscalité» […]

     

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  • L'Office de Tourisme du Sud-Avesnois vous dévoile chaque mercredi

     

    des idées de sorties pour le week-end

     

    Suivez-nous sur notre page Facebook/Office de Tourisme du Sud-Avesnois

     

     

     

    PROJECTION GÉNESTIN ET LES FOLLES ANNÉES DE L'AUTOMOBILE

    Vendredi 7 juin

     

    18h30

     

    musée du textile et de la vie sociale

     

    FOURMIES

    JARDINS PARTAGÉS

    Samedi 8 juin

     

    Dès 14h

     

    Médiathèque

     

    EPPE SAUVAGE

    LA MÉDIATHÈQUE FÊTE LES ABEILLES

    Samedi 8 juin

     

    A 14h30

     

    Médiathèque Antoon Krings

     

    FOURMIES

    TRIATHLON DES MOINES

    Samedi 8 juin

     

    Dès 9h

     

    Etangs des Moines

     

    FOURMIES

    GALA DE DANSE "BEST OF"

    Samedi 8 juin

     

    A 20h30

     

    Théâtre Jean Ferrat

     

    FOURMIES

    43E OPEN INTERNATIONAL D'ÉCHECS DE FOURMIES

    Du samedi 8 au lundi 10 juin

     

    Salle
    Marie-José Pérec

     

    FOURMIES

    MARCHÉ BIO ET DE TERROIR

    Dimanche 9 juin

     

    De 10h à 13h

     

    Place du village

     

    FERON

    GALA DE DANSES "10 ANS DÉJÀ"

    Dimanche 9 juin

     

    A 17h00

     

    Théâtre Jean Ferrat

     

    FOURMIES

     

    Office de Tourisme du Sud-Avesnois

    20 A rue Jean Jaurès - BP 20077

    59613 FOURMIES Cedex

     

    +33(0)3 27 61 16 79

    contact@sudavesnoistourisme.fr 

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  • 5 Juin 2019

    Publié par El Diablo

    Après le communiqué de presse diffusé le 17 mai, l’avenir du train “des primeurs” restait incertain. Ce train transporte quotidiennement les fruits et légumes de Perpignan à Rungis. Ce transport par rail évite annuellement à 22.000 camions d’emprunter l’autoroute A9.

     

    Or, ce matin la CGT dévoilait que, loin d’avoir trouvé une solution pérenne à cette situation, la fermeture définitive de cette liaison ferroviaire était actée pour le 15 juillet prochain. Contacté par téléphone ce matin, le ministère des Transports s’est d’abord borné dans le silence. Avant qu’Elisabeth Borne, la ministre en charge du dossier, ne réponde à l’interpellation de Mathilde Panot députée France Insoumise […]

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    Train primeurs Perpignan - Rungis : « On nous a menti, il s’arrêtera au 15 juillet » annonce la CGT

     

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