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  • 4 août 1789, la fin des privilèges

    Publié le 4 août 2019 par frico-racing

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    4 août 1789, la fin des privilèges

    FRANCE : Dans la Nuit du 4 août 1789, de nombreux privilèges et droits féodaux furent abolis. L'ensemble des droits féodaux sera irrévocablement aboli sans contrepartie ni exception par le décret du 25 août 1792, quelques jours après la chute de la monarchie. Malheureusement, 230 ans plus tard, tout est à refaire !

    Au milieu des applaudissements et des cris de joie, sont abattus les justices seigneuriales, les banalités, les jurandes et les maîtrises, la vénalité des charges, les privilèges des provinces et des villes.

    Dans la nuit du 4 août 1789, les députés de l'Assemblée nationale constituante, dans un bel élan d'unanimité, proclament l'abolition des droits féodaux et de divers privilèges. Ce moment de grande ferveur nationale s'inscrit parmi les grands événements mythiques de la Révolution française.

    La Grande Peur

    L'abolition des privilèges est la conséquence inopinée de la prise de la Bastille. Dans les semaines qui suivent celle-ci, les paysans s'émeuvent. Ils craignent une réaction nobiliaire comme il s'en est déjà produit dans les décennies antérieures, avec la réactivation de vieux droits féodaux tombés en désuétude.

    Une Grande Peur se répand dans les campagnes. En de nombreux endroits, les paysans s'arment sur la foi de rumeurs qui font état d'attaques de brigands ou de gens d'armes à la solde des «aristocrates». Le tocsin sonne aux églises des villages, propageant la panique.

    Les députés qui siègent à Versailles s'en inquiètent. «Le peuple cherche à secouer enfin un joug qui depuis tant de siècles pèse sur sa tête, s'exclame à l'Assemblée le duc d'Aiguillon, l'insurrection trouve son excuse dans les vexations dont il est la victime».

    Le 3 août, une centaine de députés, ardents partisans de la Révolution, se concerte sur la stratégie à adopter. Plusieurs sont originaires de Bretagne. C'est le «Club breton» (futur club des Jacobins). Ils prennent la résolution de détruire tous les privilèges des classes, des provinces, des villes et des corporations.

    Euphorie patriotique

    Le lendemain soir, à huit heures, l'Assemblée, passablement troublée, se réunit et disserte sur les moyens de rétablir l'ordre. C'est alors que le duc d'Aiguillon (29 ans) propose d'offrir aux paysans de racheter les droits seigneuriaux à des conditions modérées. Ce libéral est aussi la deuxième fortune de France après le roi.

    Le vicomte de Noailles, un cadet de famille sans fortune, surenchérit et propose d'en finir avec les droits seigneuriaux, «restes odieux de la féodalité» selon ses termes. Il suggère rien moins que d'«abolir sans rachat» les corvées seigneuriales et autres servitudes personnelles.

    L'évêque de Chartres monte à la tribune et propose l'abolition des droits de chasse, ce qui ne lui coûte rien mais pèse sur les nobles. Le duc du Châtelet dit à ses voisins : «L'évêque nous ôte la chasse ; je vais lui ôter ses dîmes». Et, montant à la tribune, il suggère que les dîmes en nature (impôts payés à l'Église par les paysans) soient converties en redevances pécuniaires rachetables à volonté.

    Là-dessus, voilà que sont attaqués les privilèges des provinces. Le mot privilège vient du latin et désigne une «loi particulière» : il fut longtemps synonyme de liberté. En effet, chaque fois qu’une nouvelle province était annexée, le roi promettait de respecter ses privilèges, c’est-à-dire ses libertés, les lois particulières traditionnelles, les coutumes et droits immémoriaux de ses habitants. C’est ainsi qu’au cours des siècles s’étaient imposés des droits garantissant les libertés locales.

    Tout cela prend fin en cette nuit mémorable. Les représentants du Dauphiné, suivis par ceux de Bretagne et des autres pays d'État, provinces jouissant de privilèges, font don de ceux-ci à la Nation. Les représentants des villes font de même. Pour finir, un membre du Parlement de Paris proclame le renoncement à l'hérédité des offices (charges de magistrature).

    Au milieu des applaudissements et des cris de joie, sont ainsi abattus les justices seigneuriales, les banalités, les jurandes et les maîtrises, la vénalité des charges, les privilèges des provinces et des villes.

    Une application mesurée

    Passé le moment d'euphorie, les députés prennent le temps de réfléchir. Ils décident que seuls les droits féodaux pesant sur les personnes seront abolis sans indemnité d'aucune sorte.

    L'avocat Adrien Duport, ardent député, rédige le texte final. Il est voté et publié le 11 août au soir. Avec lui disparaissent à jamais certains archaïsmes comme la corvée obligatoire, de même que des injustices criantes comme la dîme ecclésiastique, uniquement payée par les pauvres.

    Certains autres droits féodaux, ceux pesant sur les terres comme les cens et les champarts, devront toutefois être rachetés. À cette seule condition, les paysans pourront devenir propriétaires de plein droit de leurs terres.

    Sitôt connue, cette restriction suscite quelques désillusions dans les campagnes mais elle est abrogée quelques mois plus tard. L'ensemble des droits féodaux sera irrévocablement aboli sans contrepartie ni exception par le décret du 25 août 1792, quelques jours après la chute de la monarchie.

    source : hérodote.net


  • Header Association

    Et pourtant, même l’INRA reconnaît que les pesticides ne sont pas nécessaires !


    Chers amis du Naturel,

    D’un côté, il y a les grandes déclarations d’amour :
      • « La France interdira le glyphosate en 2021 » - Emmanuel Macron

      • « Je suis favorable à l’agriculture bio et la transition écologique » - François de Rugy, ex-ministre de l’écologie

    • « J’ai fixé l’objectif d'au moins 50 % de produits bio locaux ou écologiques dans la restauration collective » - Édouard Philippe, Premier Ministre


    Et puis, il y a la triste réalité des faits :
      • La sortie du glyphosate n’a pas été inscrite dans la loi agriculture et alimentation ; [1]

    • Et la quantité de pesticides aspergés sur les terres françaises a augmenté de 12 % entre 2014 et 2016 !! [2]


    Et pour couronner le tout, l’Union européenne est en train d’assassiner le BIO, sans que personne ne s’en inquiète !

    On dirait que la PAC cherche à TUER les agriculteurs bio !

    Ce n’est pas moi qui le dit, mais Benoît Biteau, auteur du livre Paysan résistant ! et conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine :

    « On assassine le modèle agricole vertueux.

    Une partie des aides européennes dues au titre des années 2015 et 2016 ainsi que l'intégralité des subventions de 2017 n'ont toujours pas été payées aux agriculteurs bio.

    La situation est d'autant plus scandaleuse que les agriculteurs dits conventionnels, qui cultivent à grand renfort de pesticides, ont touché l'intégralité de leurs aides 
    » [3]
     

    Vous vous rendez compte de ce que cela veut dire ?

    Aujourd’hui, passer à l’agriculture bio est un vrai défi pour les paysans : c’est long, cela coûte de l’argent, et il faut presque « tout réapprendre », car le bio est complexe.

    Et en PLUS, l’Union européenne leur met des bâtons dans les roues en ne leur versant pas les aides dans les temps !

    Selon Benoît Biteau, les conséquences de ces « retards de paiement » sont catastrophiques :

    « Certains collègues sont dans des situations financières critiques…

    Je trouve cela criminel. Ces retards de paiements sont à la fois dissuasifs pour les agriculteurs qui veulent se convertir au bio et une source de problème pour ceux qui sont déjà engagés en bio...

    C'est un sabotage en règle contre le développement de l'agriculture biologique
     »



    Selon les chiffres officiels, les trois quarts des 36.000 agriculteurs bio en France, soit près de 27.000 paysans, ont connu des retards de paiement ! [4]

    On voudrait tuer l’agriculture bio qu’on ne s’y prendrait pas autrement !

    C’est d’autant plus absurde que, au même moment, les plus hautes instances scientifiques commencent à reconnaître que les pesticides ne servent à rien !

    L’incroyable aveu de chercheurs de l’INRA sur l’agriculture BIO

    A quoi servent les pesticides ?

    A lutter contre les maladies, n’est-ce pas ?

    Eh bien, figurez-vous que là-dessus, les pesticides font MOINS BIEN que l’agriculture bio !

    C’est ce qu’a démontré une étude toute récente de l’INRA, publiée dans Nature Sustainability[5]

    Et c’est un véritable coup de tonnerre pour la « pensée unique » en agriculture !

    Écoutez bien la conclusion des chercheurs :

    « En utilisant deux méta-analyses distinctes, nous démontrons que par rapport aux systèmes de cultures conventionnels, l’agriculture biologique favorise la lutte antiparasitaire » [6]


    Oui, l’agriculture bio lutte MIEUX contre les parasites que l’agriculture conventionnelle.

    C’est une « découverte » qui va à l’OPPOSÉ des discours officiels sur l’intérêt des pesticides !

    Et le détail de l’étude est encore plus intéressant.

    Plus de mauvaises herbes, mais c’est une BONNE CHOSE !

    Les chercheurs ont étudié trois type « d’agresseurs » :
      • Les agents « pathogènes » - champignons, bactéries, virus, etc.

      • Les « ravageurs » - insectes, acariens, etc.

    • Et les « plantes adventices », comme les mauvaises herbes.


    Conclusions : Il y a moins d’agents pathogènes dans l’agriculture bio que dans l’agriculture conventionnelle.

    Pour les animaux ravageurs, les niveaux d’infestation sont à peu près équivalents.

    S’agissant des « mauvaises herbes », il est vrai qu’il y en a plus en agriculture bio…

    …mais c’est en réalité une bonne chose !

    Car les herbes sauvages participent à la vie du sol – sur les terres arides, par exemple, elles permettent d’apporter de l’humidité bienvenue. [7]

    Mais surtout, c’est précisément parce qu’il y a plus d’herbes qu’il y a moins d’agents pathogènes et de ravageurs !

    La preuve par les « chayottes » de l’île de la Réunion

    Le journal Bioaddict a donné un exemple très intéressant de ce phénomène[8] : la culture de chayottes.
    Chayottes
    Les chayottes : un fruit très prisé à l’île Maurice et l’île de la Réunion
    A la Réunion, la culture de chayottes est très importante.

    Mais ces plantes étaient attaquées par la « mouche des légumes », avec de gros dégâts.

    Les agriculteurs ont répliqué avec des doses toujours plus importantes d’insecticides, sans grand résultat.

    Et puis un jour, des chercheurs en agronomie sont arrivés avec une autre solution.

    Ils ont favorisé l’implantation des « mauvaises herbes » sur les cultures.

    Pourquoi ? Mais parce que les prédateurs de la « mouche des légumes » vivent dans ces herbes !

    L’erreur, c’était de désherber ! Avec les mauvaises herbes, les récoltes ont été meilleures !

    Vous voyez qu’il est GRAND TEMPS de changer de modèle !!

    Il faut arrêter de lutter CONTRE la nature par des produits chimiques.

    Au contraire, il faut utiliser la nature comme une ALLIEE pour de meilleurs récoltes !

    C’est tout le principe de la permaculture, qui va encore plus loin que l’agriculture bio… et qu’il faut aider à développer le plus largement possible !

    C’est un combat de longue haleine, mais nous y arriverons, c’est le sens de l’histoire !

    Votre dévoué,

    Guillaume Chopin
    Association Santé Naturelle


    ​Voir les sources
     

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    1)Venezuela : Trump envisage un blocus naval, Bachelet doit élever la voix , un article d’AVN du 2 août 2019 traduit par Françoise Lopez. Elle devrait effectivement mais personne ne s’y attend réellement!…
     
    2)Venezuela : L'ambassadeur du Venezuela dénonce devant l'ONU les nouvelles menaces de Trump, un article de Telesur  du 2 août 2019 traduit par Françoise Lopez. L’ONU aussi devrait élever la voix...
     
    3)Venezuela : Jorge Arreaza parle de la situation après les nouvelles menaces de Trump, un article de Telesur  du 2 août 2019 traduit par Françoise Lopez. Très intéressant, Arreaza résume très bien la situation.
     
    4)Venezuela : Le navire hôpital des Etats-Unis au Panamá pour « soigner les Vénézuéliens »,un article de La Iguana TV  du 2 août 2019 traduit par Françoise Lopez. Il ne manquait plus que celui-là!
     
    5)Brésil : Bolsonaro ment à propos de la coopération médicale de Cuba ,un article de Telesur  du 2 août 2019 traduit par Françoise Lopez. a la vitesse où les médecins brésiliens fuient les postes qu’on leur propose pour remplacer les médecins cubains expulsés du pays, on va voir ce que va donner le nouveau programme de Bolsonaro…S’il « marche » c’est qu’il aura proposé des postes dans les quartiers chics et donc ne sert à rien… Là, les médecins brésiliens accepteront d’y aller.
     
     
    Bonne lecture à tous,
     
    Françoise Lopez.

  • 4 Août 2019

    Publié par El Diablo

    photo d'illustration

    Le Premier ministre en personne est venu livrer, mardi, les conclusions du rapport de l'IGPN sur la mort du jeune homme, qui s'est noyé dans la Loire après une intervention de la police. La reprise en main de ce dossier, potentiellement explosif pour le pouvoir, interroge. 

     

    Le spectre de Malik Oussekine, tombé sous les coups de la police en 1986, et celui de Rémi Fraisse, tué par le tir d'une grenade offensive lors d'une opération des gendarmes à Sivens (Tarn) en 2014, planent-ils sur l'affaire Steve Maia Caniço ? S'il est trop tôt pour le dire, la mort de cet animateur de 24 ans, qui s'est noyé dans la Loire à Nantes après une intervention de la police, a tout du dossier explosif pour le gouvernement. "C'est un dossier qui peut durer car il cristallise plusieurs choses : d'abord la situation, tout le monde peut s'identifier à un gamin qui fait la Fête de la musique, et puis il y a ce rapport aux violences policières qui est en ce moment très sensible"commente un expert de la communication politique. 

     

    Résultat : l'exécutif, plutôt timide à ses débuts sur le sujet, monte en première ligne, désormais conscient de l'émoi suscité par l'affaire. "Signe de l'inquiétude du pouvoir, relève Le Parisienl'Elysée s'est même fendu, fait rare, d'appels aux rédactions des médias pour faire savoir que le chef de l'Etat avait téléphoné à deux reprises à Philippe et Castaner, depuis Brégançon, pour exiger toute la lumière sur cette tragédie."

     

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