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      Août 2019
     
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  • 1 Août 2019

    Publié par El Diablo

    image d'illustration - source : France 3 régions

    Alors qu'un grand nombre de services d'urgences rejoignent le mouvement débuté en avril, l'Inter-Urgences appelle les 211 services actuellement en grève à se réunir en assemblée générale nationale le 10 septembre.

     

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  • 6 Juin 2019

    Publié par El Diablo

    Débats avec Jean-Claude Delaunay à Lyon et Béziers

     

    L’auteur de l’ouvrage « Les trajectoires chinoises de modernisation et de développement, De l’Empire agro-militaire à l’Etat-Nation et au Socialisme »paru aux éditions Delga en 2018,

    Jean-Claude Delaunay, sera à Lyon pour nous parler de la Chine :

    -Le vendredi 7 juin 2019 à 18h30 invité par la fédération du Rhône du PCF (1 cours Albert Thomas)

    -Le samedi 8 juin 2019 à 15h30 à la MJC du Vieux Lyon (face à la cathédrale Saint-Jean) invité par L’Improbable.

    Il animera également un débat sur le sujet à Béziers, invité par la section PCF, le vendredi 14 juin à 18h00 ; le débat sera suivi d’un repas fraternel.

    Il nous propose le texte ci-dessous pour présenter son exposé et les thèses qu’il défend. Rappelons que cela fait maintenant quelques années que ce professeur honoraire des Universités vit en Chine et qu’il s’est donné pour projet de comprendre ce pays. Selon lui, la Chine, alors en plein développement, avait encore l’audace, après la faillite de l’Union soviétique, de se déclarer socialiste, d’être fière de son drapeau rouge, et de se donner Marx, Lénine et Mao Zedong pour référence. Et cela, tout en préconisant la mise en place d’une économie socialiste de marché. Le livre qu’il a publié l’an passé aux Editions Delga est le résultat de cette curiosité.
    Lepcf.fr


    Le combat révolutionnaire de notre temps : l’exemple chinois

    En 1950, la Chine était sans doute le pays le plus peuplé mais aussi le plus pauvre du monde. Aujourd’hui (70 ans après), c’est un pays dont le revenu moyen par habitant le classe à peu près au 110ème rang dans l’ensemble des pays. L’illettrisme en a quasiment disparu. Ses gouvernants se sont donnés la tâche de vaincre définitivement la pauvreté, non pas en faisant l’aumône mais en donnant aux pauvres les moyens de s’en sortir. Ils ont l’ambition de faire qu’en 2020, le niveau de vie y soit celui de ce qu’ils appellent « la moyenne aisance ». Comment sont-ils sortis de cet état de misère et de sous-développement extrêmes ?

    Le socialisme chinois a connu deux périodes. La première, dirigée par Mao Zedong, a duré de 1949 à 1978 (29 ans) et n’a pas produit des résultats fulgurants. La deuxième, initiée par Deng Xiaoping, a commencé en 1978 et fut à l’origine du développement actuel. En réalité, il a fallu du temps pour que cette nouvelle politique soit acceptée. Cela s’est produit entre 1992 et 1997. Le développement socialiste actuel date donc de 20 à 25 ans.

    Le problème que nous nous posons, les uns et les autres, est le suivant : la Chine actuelle est-elle socialiste, comme le prétendent ses dirigeants ? En réalité, cette interrogation a 2 origines.

    La première vient de celles et ceux pour lesquels il n’y a de socialisme que celui reproduisant l’expérience soviétique. C’est ce qu’a fait Mao et il a échoué. J’ai montré, dans le livre que les Éditions Delga viennent de publier (Jean-Claude Delaunay, Les trajectoires chinoises de modernisation et de développement, De l’Empire agro-militaire à l’Etat-Nation et au Socialisme, 2018) en quoi et pourquoi le socialisme chinois différait du socialisme soviétique. Je ne suis pas antistalinien pour autant. Je pense que, tout simplement, les 2 époques sont différentes. Bien comprendre cette différence revient donc à bien comprendre que nous avons changé d’époque.

    La deuxième vient de celles et de ceux pour lesquels le socialisme est une horreur. Comme il y a des entreprises capitalistes en Chine, ils disent que ce pays, un jour ou l’autre, va se comporter de façon totalement capitaliste. Ils veulent hâter l’arrivée de ce moment. Dans ce but, ils déclarent, à cor et à cri, que le socialisme chinois est un faux-nez, qu’en réalité la Chine est un pays capitaliste qui ne dit pas son nom.

    Ces deux courants idéologiques se rejoignent et forment un fleuve puissant. Nous nageons dans ces eaux. Parfois, nous ne savons pas très bien quoi dire. Je ne suis pas un adorateur des Chinois et je ne m’incline pas chaque matin devant le portrait de Xi Jinping. Je n’en pense pas moins que la Chine est un pays socialiste et que, à sa manière, ses dirigeants, unis par la force que leur donne le Parti communiste chinois, par la solidité de leurs institutions, par la confiance de leur peuple, mettent en œuvre un principe politique que les communistes français ont rayé des statuts de leur parti, celui de la dictature démocratique du prolétariat.

    Les Chinois lui préfèrent le terme de dictature démocratique du peuple. Quel que soit le principe évoqué (dictature du peuple ou du prolétariat), il veut dire que les intérêts populaires guident la politique et l’économie du pays considéré.

    En France, ce qui règne est le mode de production capitaliste. Toute la politique du pays, nationale et internationale, vise à préserver ce mode, à enrichir toujours plus les capitalistes et à appauvrir le peuple.

    En Chine, ce qui est admis, pour hâter le développement, ce sont des entreprises capitalistes. Ce n’est pas pareil. Les entreprises capitalistes ont le droit d’y faire du profit, mais elles n’ont pas le droit à la parole. Elles doivent respecter strictement les lois de ce pays.

    Au-delà de ce que l’exemple chinois nous apprend sur le changement d’époque par rapport à l’Union soviétique de la première moitié du 20ème siècle, il conduit donc à réfléchir à nouveau sur ce que signifie « la dictature démocratique du peuple » dans l’énoncé d’un projet communiste et dans la construction d’une société socialiste.

    Jean-Claude Delaunay
    Texte paru dans le numéro 97 de L’Improbable

    SOURCE :


  • 1 Août 2019

    Publié par El Diablo

    photo d'illustration

     

    Steve Maia Caniço

    Les circonstances de la disparition de Steve Maia Caniço sont encore «floues», selon Edouard Philippe, qui a promis «toute la lumière» dans cette affaire. Les proches du jeune, le maire de Nantes et les médias s’inquiètent du manque de réponses.

     

    Le 30 juillet, le Premier ministre Edouard Philippe a fait une déclaration dans la cour de Matignon, au côté du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, mutique, pour affirmer la «volonté de transparence totale» des autorités, qui ont rendu public un compte-rendu tiré du rapport de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) concernant l'opération de police après laquelle a disparu Steve Maia Caniço dans la nuit du 21 juin à Nantes. Son corps avait été retrouvé le matin qui a précédé l'annonce du chef du gouvernement.

     

     

    LIRE LA SUITE:

    VOIR LES LIENS CI-DESSOUS:

    JUSTICE POUR STEVE MAIA CANIÇO ! ...

    ... Retrouvé un mois après la fête de la musique dans la Loire.

     

    Par Jacques COTTA

     

    Après que STEVE a été retrouvé dans la Loire, des QUESTIONS incontournables, lourdes de signification politique, demeurent sans réponse.

    1-Pourquoi a t’il fallu un mois pour constater l’inefficacité totale des recherches officielles puisque c’est « un pilote de navibus » qui a aperçu le corps « par hasard »? 

    2-Quid des recherches officielles infructueuses? Le pouvoir a t’il voulu indiquer le peu de cas qu’il fait de la disparition d’un jeune homme après la violence policière, comme s’il s’agissait d’affirmer « il a eu ce qu’il méritait! ».

    3-Apres un mois dans l’eau, « le corps était très dégradé » indique l’avocate de la famille. Quelle conséquence sur l’autopsie? Sur des coups éventuels? Sur l’impact de grenades policières?

    4-Édouard Philippe disculpe la police grâce au rapport de l’IGPN, l’inspection générale de la police nationale. Mais quel crédit donner à celui et ceux qui sont à la fois juges et partie?

    5-L’impartialité de l’IGPN? On veut y croire car il en va d’un pan entier de nos institutions démocratiques. Mais est-ce raisonnable? On a vu par exemple dans le domaine de la justice le procureur de Nice avouer « avoir menti sur la charge policière dont a été victime Geneviève Legay, militante GJ de 73 ans le 23 mars à Nice, pour couvrir le président de la république Emmanuel Macron» qui avait déclaré que la police n’y était pour rien.

    6-« Les jeunes dans la Loire le soir de la fête de la musique, cela n’a pas de rapport avec l’action de la police qui a subi des jets de projectiles » vient de déclarer Edouard Philippe. Le premier ministre fait peu de cas des images qui montrent exactement le contraire. Grossièreté? Cynisme? Aveu de culpabilité?

    7-Dans tout état démocratique le ministre de l’intérieur, responsable politique qui a médaillé les policiers auteurs de violence, devrait démissionner. Là, le voila conforté.

    Ces questions font apparaitre l’état grave dans lequel se trouve notre démocratie, menacée par la volonté totalitaire d’un pouvoir qui fonctionne à coup de matraques, de gaz lacrymogène, de lanceur LBD, de grenades de désencerclement contre les Gilets jaunes comme contre les jeunes à la fête de la musique.

    L’UE condamne les violences à l’étranger, à Moscou où à Hong Kong par exemple. Macron parle de régimes autoritaires. Mais les derniers évènements indiquent qu’il ne sert à rien de viser la paille dans l’oeil du voisin lorsque dans le sien se trouve une poutre.

    De plus en plus nombreux dans toute la France ont questionné jusqu’à aujourd’hui: 
    OÙ EST STEVE?

    Une exigence unanime devrait dés lors se faire jour: JUSTICE POUR STEVE! 

     

    SOURCE:

     

     

    UNE COÏNCIDENCE TROUBLANTE

     

    Steve est mort. Je pense à ses pauvres parents qui se rongeaient les sangs entre espoir fou et désespoir asphyxiant. Ton jeune est parti faire la fête et il ne reviendra jamais. Tout l’amour que tu lui portais te reste comme un douloureux membre fantôme. Le futur que ton gamin ouvrait pour toi a fondu dans le néant en un instant comme son pauvre corps.

     

    Avec le décalage horaire et le temps des vérifications je réagis plus tard que vous. Tant mieux. J’ai eu le temps d’éteindre les aveuglements de la stupeur et de la sidération. A présent je lis qu’on ne « saurait établir de coïncidence » entre la disproportion de la charge de police et la mort de Steve. Ils nous diront ensuite, je suppose, qu’on ne peut établir de lien entre sa chute dans l’eau et sa noyade, non plus. Ces mots à eux seuls disent où est rendue la parole officielle dans notre pays. Les Castaner et Belloubet, les bras ballants, toujours prêts à justifier n’importe quoi, débitent leurs grosses ficelles pour gagner du temps et miser sur les dilutions de l’été.

     

    Braves gens, tenez-le-vous pour dit. Il n’y aura pas de justice rendue. Ils sont tous là pour ça. Voilà ce qu’est devenu notre pays. Un pouvoir qui ne contrôle plus la police parce qu’il l’a sollicitée pour des tâches dont il ne veut pas assumer la responsabilité politique. Une police dont les syndicats menacent les juges sans que nul n’y voit rien à redire et surtout pas la ministre concernée Nicole Belloubet. Un magistrat qui avoue avoir menti pour ne pas embarrasser le pouvoir et sa corporation qui se tait avec application. Toute cette chaine de pouvoir aveuglée, arrête, garde à vue pour un oui pour un non, vend à la presse les comptes rendus d’audition et juge à la chaine des opposants de toute sorte : syndicalistes, militants écologistes, députés opposants. Tout se tient. Le régime fait tirer sur une femme de 83 ans au quatrième étage d’un immeuble, madame Zineb Redouane, éborgne 22 personnes et en mutile six autres. Et chaque fois, les mêmes ministres pitresques, Castaner et Belloubet, se sont contentés d’afficher leur mine perpétuellement hébétée de gens qui ne contrôlent plus rien et n’assument jamais rien.

     

    Telle est la France aujourd’hui. Et bien sûr les procès politiques ne sont plus loin. En septembre ce sera celui des six Insoumis choisis au hasard parmi plus de vingt-cinq présents ce jour-là qui ont eu l’audace de vouloir surveiller une perquisition menée au mépris des règles de procédure, sur un motif politique fallacieux et avec des méthodes disproportionnées d’habitude réservées à la traque du grand banditisme. Telle est la France de Macron. Mais comme a dit le policier chargé de la perquisition chez l’insoumis Manuel Bompard : « on est mieux ici qu’au Venezuela ». Police politique et justice politique n’ont pas fini de faire des Steve mourants sans qu’on puisse « établir de coïncidences » avec les brutalités dont ils ont fait l’objet. Tel est devenu ce régime Macroniste qui a ouvert le cycle des violences et de la politisation de la police et de la justice et ne sait plus reprendre une responsabilité dont il a tant voulu se dédouaner.

     

    Conclusion : on peut établir une coïncidence entre la façon dont Castaner et Belloubet dirigent leur ministère et la multiplication des actes de violences policières et judiciaires dans le pays. Une coïncidence troublante compte tenu de la question qu’elle pose : est-ce encore un État de droit que la macronie ?

     

    Jean-Luc Mélenchon

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  • Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
    Si vous ne visualisez pas cet email lisez-le sur le site
    http://www.europalestine.com
    Publication CAPJPO - Europalestine
     
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