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    1)Venezuela : Le Venezuela préside la réunion ministérielle du MNOAL à New York, un article d’Alba Ciudad du 26 septembre 2019 traduit par Françoise Lopez.
     
    2)Venezuela : Une résolution en faveur des Droits de l'Homme approuvée à Genève, un article de Telesur du 26 septembre 2019 traduit par Françoise Lopez.
     
    3)Bolivie : 5 points pour comprendre les élections, un article du Resumen Latinoamericano du 26 septembre 2019 traduit par Françoise Lopez.
     
    Bonne lecture à tous,
     
    Françoise Lopez.

    •  

      - RÉSOLUTION DU « PARLEMENT EUROPÉEN »: VERS UNE NOUVELLE GUERRE DE CLASSE CONTRE LA RUSSIE ? (Avec Vidéos)

      Le 19 Septembre 2019, le « Parlement Européen » a voté une Résolution adressée entre autres, mais principalement, à la Fédération de Russie, et lui enjoignant expressément de formuler des jugements de valeurs sur sa propre histoire tout à fait à l’opposé de ce qu’ils sont actuellement, et principalement sur la période de construction du socialisme en URSS, précédant la seconde guerre mondiale, période dite du « stalinisme ».

       

      La Fédération de Russie ne se revendique aucunement du socialisme mais assume pleinement, et même le plus souvent, avec fierté, la reconstruction de la Russie durant cette période socialiste qui a précédé la seconde guerre mondiale, et notamment, la reconstruction de sa défense militaire, qui lui a finalement permis de vaincre le nazisme sur son propre sol et dans une grande partie du reste de l’Europe.

       

      La période de recul, mais pas sans Résistance, en URSS, face aux armées nazies, n’a duré que six mois, se terminant en Décembre 1941 par la Bataille de Moscou, que les nazis ont renoncé à prendre face à la contre-offensive soviétique.

      Bien avant Stalingrad, c’est déjà le tournant décisif de la seconde guerre mondiale, alors que toutes les armées européennes occidentales se sont effondrées dès les premiers jours de la guerre, sauf les Britanniques, néanmoins contraints à se replier sur leur île.

       

      La reconstruction des forces armées de l’URSS s’est effectuée en parallèle de la construction du socialisme en URSS et n’aurait pu réussir sans cette construction et ce type de développement économique accéléré.

       

      En réalité, et de plus, ce développement économique s’est réellement effectué sur la période très courte qui va de la fin de la NEP à l’Opération nazie Barbarossa, soit une dizaine d’année en tout, de 1931, véritable début de l’industrialisation socialiste, à 1941.

       

      En URSS même, des forces politiques révisionnistes et trotskystes se sont opposées à ce choix politique socialiste en cherchant à prolonger la NEP, voire à l’étendre au secteur déjà socialisé (Trotsky). Ces forces politiques ont effectivement été réprimées et parfois brutalement.

       

      Dans le contexte de la montée du fascisme et du nazisme en Allemagne et dans divers pays d’Europe, la survie de l’URSS et le développement de son économie étaient évidemment vitales pour sa capacité de Résistance au fascisme. C’est dans cette optique que des procédures qui peuvent effectivement aujourd’hui paraître expéditives ont été menées contre ces forces politiques d’ « opposition », et en réalité de sabotage, objectif ou délibéré, de la Résistance soviétique, qui était pourtant la seule force réellement déterminée à arrêter le fascisme.

       

      Compte tenu de son isolement et du refus de faire un front uni antifasciste de la part des autres nations européennes, l’URSS n’a pas eu d’autre choix que de négocier, sous la forme du traité de non-agression dit « pacte Ribbentrop-Molotov », un délai pour tenter de parachever sa défense.

      Le prétendu « partage de la Pologne » ne faisait en réalité que remettre la frontière russo-polonaise à sa place légitime d’avant l’agression polonaise de 1919 et ne constituait donc en rien une clause illicite de ce traité.

       

      C’est bien l’Europe occidentale qui était alors non seulement incapable d’assumer ses responsabilités face au fascisme et au nazisme, mais usait de plus complaisamment d’ une double diplomatie dans l’espoir d’affaiblir l’URSS face au nazisme et d’abattre ainsi la première union de nations d’envergure continentale basée sur la construction du socialisme.

       

      Aujourd’hui, par cette Résolution du 19 Septembre 2019, le « Parlement Européen » tente essentiellement, sous couvert d’ « anti-totalitarisme » de fédérer les populations occidentales à la fois contre la Fédération de Russie et contre toute tentative de résurgence d’un mouvement ouvrier communiste réouvrant la perspective d’un développement économique socialiste.

      Et cela alors que les nations d’où sont issus les élus de ce « Parlement » sont incapables de régler leur propre crise économique et sociale et continuent d’attiser les différents foyers de guerre dans le monde, et même en Europe, en Ukraine principalement.

       

      Ces « parlementaires européens » ont donc besoin de masquer ainsi leur propre incapacité en tentant d’assimiler le nazisme, dont leurs prédécesseurs ont favorisé l’ascension, et le communisme, tel qu’il a permis le développement du socialisme en URSS et la défaite du nazisme, précisément.

       

      Cette résolution est un tissu de mensonges historiques tout à fait digne de leurs prédécesseurs « munichois » qui ont livré les clefs de la Tchécoslovaquie à Hitler.

      Dans la pratique, elle vise directement, outre la Fédération de Russie, toutes les forces européennes progressistes et réellement antifascistes, conscientes que seule la fin du capitalisme et le passage au socialisme réel, c’est à dire réellement prolétarien, peuvent assurer un avenir de paix et de progrès social.

       

      Cette réinterprétation réactionnaire de l’histoire n’émane pas seulement de ce « Parlement européen » dans son ensemble, mais plus précisément des régimes les plus réactionnaires en son sein, directement inspirés par les « nouvelles » idéologies sociale-fascistes qu’il prétend dénoncer, en réalité comme simple prétexte, mais qu’il cautionne et protège, en pratique, comme c’est le cas en Ukraine, notamment.

      Ce n’est pas simplement en dénonçant cette mascarade pseudo- « démocratique », ni en pleurnichant pour un pseudo- « frexit de gauche » qui ne mène nulle part ailleurs, sinon au social-fascisme lui-même, que les marxistes-léninistes authentiques, rejetant le révisionnisme, pourront organiser une Résistance digne de ce nom, mais bien en unissant le prolétariat et les autres classes populaires sur les revendications sociales qui s’en prennent directement à la cause unique de ce « mal européen » comme des autres : le capital.

       

      On ne connaît pas, actuellement, la réaction de la Russie au sujet de cette « résolution », et bien évidemment il faut d’abord savoir ce qu’elle entend éventuellement faire. Dans le cas d’une réaction suffisamment claire, ne serait-ce que sur le droit des nations à disposer d’elles-même, il serait alors juste pour les ML d’exprimer clairement et ouvertement leur soutien à la Russie sur ce point et sur l’ensemble de ses initiatives de Résistance anti-impérialiste, sans pour autant préjuger du soutien également nécessaire aux forces du progrès social en Russie.

       

       

      Le texte « européen » du 19/09/2019

      DECLARATION PE vs STALINISME TA-9-2019-0021_FR

       

      La notice Wikipédia sur le traité de non-agression du 23 Août 1939, remis en question et incriminé par cette « résolution ».

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Pacte_germano-sovi%C3%A9tique

       

      Ci-dessous, quelques extraits, particulièrement « incriminants » (soulignés en rouge), de cette résolution mensongère, essentiellement anticommuniste, et plus spécifiquement, anti-staliniste, dirigée contre la victoire du socialisme édifié durant la période dite « stalinienne » de l’URSS, c’est à dire la période socialiste prolétarienne, qui s’est terminée avec la contre-révolution khrouchtchevienne de 1953-56, aboutissant, in fine, à la capitulation totale de l’URSS en 1989-91, passant notamment par ce vote du Congrès des députés soviétiques évoqué dans cette résolution, ça ne s’invente pas, …au paragraphe K !!!

       

      LE COMMUNISME ET LE STALINISME INCRIMINÉS >>>

      « B. considérant qu’il y a 80 ans, le 23 août 1939, l’Union soviétique communiste et l’Allemagne nazie ont signé un pacte de non-agression, connu sous le nom de pacte germano-soviétique ou pacte Molotov-Ribbentrop, dont les protocoles secrets partageaient l’Europe et les territoires d’États indépendants entre les deux régimes totalitaires selon des sphères d’influence, ouvrant la voie au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale;

      D. considérant qu’après la défaite du régime nazi et la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’après-guerre a été synonyme, pour certains pays d’Europe, de reconstruction et de réconciliation, tandis que d’autres sont restés, pendant un demi-siècle, soumis à des dictatures, parfois sous l’occupation ou l’influence directe de l’Union soviétique,et privés de liberté, de souveraineté, de dignité, de droits fondamentaux et de développement socio-économique;

      E. considérant que si les crimes du régime nazi ont été jugés et punis lors du procès de Nuremberg, il reste urgent de sensibiliser l’opinion publique, de dresser un bilan moral de cette période et de mener des enquêtes judiciaires sur les crimes du stalinisme et d’autres dictatures;

      F. considérant que, dans certains États membres, la loi interdit les idéologies communiste ou nazie;

      I. considérant que la commémoration des victimes des régimes totalitaires, la reconnaissance et la prise de conscience des séquelles, communes à toute l’Europe, laissées par les crimes commis par les dictatures communistes, nazie et autres revêtent une importance cruciale pour maintenir l’unité de l’Europe et de ses peuples et construire une Europe à même de résister aux menaces extérieures contemporaines;

      K. considérant que bien que le Congrès des députés du peuple de l’URSS ait condamné, le 24 décembre 1989, la signature du pacte germano-soviétique ainsi que les autres accords conclus avec l’Allemagne nazie, en août 2019, les autorités russes ont rejeté toute responsabilité dans ce pacte et ses conséquences et promeuvent désormais une théorie selon laquelle la Pologne, les États baltes et l’Europe de l’Ouest sont en réalité les véritables instigateurs de la Seconde Guerre mondiale;

      L. considérant que la commémoration des victimes des régimes totalitaires et autoritaires, la reconnaissance et la prise de conscience des séquelles, communes à toute l’Europe, laissées par les crimes commis par les dictatures stalinienne, nazie et autres revêtent une importance cruciale pour maintenir l’unité de l’Europe et de ses peuples et construire une Europe à même de résister aux menaces extérieures contemporaines;

      2. souligne que la Seconde Guerre mondiale, conflit le plus dévastateur de l’histoire de l’Europe, a été déclenchée comme conséquence immédiate du tristement célèbre pacte de non-agression germano-soviétique du 23 août 1939, également connu sous le nom de pacte Molotov-Ribbentrop, et de ses protocoles secrets, dans le cadre desquels deux régimes totalitaires ayant tous deux l’objectif de conquérir le monde se partageaient l’Europe en deux sphères d’influence;

      3. rappelle que les régimes communistes et nazi sont responsables de massacres, de génocide, de déportations, de pertes en vies humaines et de privations de liberté d’une ampleur sans précédent dans l’histoire de l’humanité, qui auront à jamais marqué le XXe siècle; rappelle que le régime nazi est coupable de ce crime abject qu’est l’Holocauste; condamne sans réserve les actes d’agression, les crimes contre l’humanité et les atteintes aux droits de l’homme à grande échelle perpétrés par les régimes totalitaires nazi, communistes et autres;

      5. demande à tous les États membres de l’Union de procéder à une évaluation claire et fondée sur les principes en ce qui concerne les crimes et actes d’agression commis par les régimes communistes totalitaires et le régime nazi;

      6. condamne toute démonstration et toute propagation d’idéologies totalitaires, telles que le nazisme et le stalinisme, dans l’Union européenne;

      10. réclame une culture mémorielle partagée, qui dénonce les crimes commis par le passé par les régimes fasciste, stalinien et autres régimes autoritaires, de manière à permettre notamment à la jeune génération d’acquérir la résilience nécessaire pour faire face aux menaces auxquelles la démocratie est confrontée à l’heure actuelle; invite les États membres à encourager l’éducation, par l’intermédiaire de la culture grand public, à la diversité de nos sociétés et à la connaissance de notre histoire commune, notamment les atrocités de la Seconde Guerre mondiale, telles que l’Holocauste, et la déshumanisation systématique des victimes pendant de nombreuses années;

      15. maintient que la Russie reste la plus grande victime du totalitarisme communiste et que sa transformation en un État démocratique sera entravée aussi longtemps que le gouvernement, l’élite politique et la propagande politique continueront de blanchir les crimes communistes et de glorifier le régime totalitaire soviétique; invite par conséquent la société russe à accepter son passé tragique;

      16. s’inquiète vivement des efforts déployés par les dirigeants de la Russie d’aujourd’hui pour déformer les faits historiques et blanchir les crimes commis par le régime totalitaire soviétique; considère ces tentatives comme un élément dangereux de la guerre de l’information qui est menée contre l’Europe démocratique et qui cherche à diviser notre continent; demande dès lors à la Commission d’agir de manière décisive pour contrecarrer ces tentatives;

      22. charge son Président de transmettre la présente résolution au Conseil, à la Commission, aux gouvernements et aux parlements des États membres, à la Douma d’État de la Fédération de Russie ainsi qu’aux parlements des pays du partenariat oriental.

       

       

      VIDEOS :

      Juin 1941 Résistance à Brest-Litovsk

       

      Décembre 1941 Bataille de Moscou (4 épisodes)

       

       

      Et une chanson

       

       

      Source de l'article : https://tribunemlreypa.wordpress.com/2019/09/27/resolution-du-parlement-europeen-vers-une-nouvelle-guerre-de-classe-contre-la-russie/

       

      « - Staline contre le culte de la personnalité

  • Comment éviter à ses enfants les onze vaccins

    obligatoires en toute légalité?

     

    Voici la manière de faire, suggérée par Michel Dogna:

    Lorsque votre enfant aura atteint l’âge de la vaccination, allez voir votre médecin traitant et demandez-lui un BILAN DE SANTÉ de la Sécurité Sociale (ou de la MSA) qui, éventuellement, attestera peut-être que votre enfant est bien APTE à recevoir les 11 vaccins.

    Évitez de dire que vous êtes opposés à la vaccination mais dîtes plutôt que, du fait que votre enfant présente certaines fragilités, vous voulez cet examen de Santé, normalement obligatoire, afin d'être bien sûr(e) à 100% (principe de précaution) que la vaccination ne nuira pas à sa santé délicate. (C'est d'ailleurs précisément pour cela que la loi prévoit cet examen obligatoire, quoi que, dans les faits - nous allons bientôt comprendre pourquoi! -, peu pratiqué.)

    En effet, il est bon de rappeler que:

    L’Examen Préalable de Santé est inscrit dans la LOI VACCINALE 
    et donc OBLIGATOIRE AVANT TOUTE VACCINATION.

    Cela figure dans les articles 3 et 4 de la loi vaccinale: http://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?numJO=0&dateJO=19520305&numTexte=02595&pageDebut=02595&pageFin=

    Loi des 11 vaccins: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2018/1/25/SSAP1732098D/jo/texte

    Vous envoyez ensuite (ou votre médecin) cette demande à la Sécurité Sociale (ou à la MSA) et, dans l’attente, votre médecin devra vous faire un Certificat permettant de pouvoir mettre votre enfant dans une crèche ou à la maternelle. Vous serez juridiquement couverts.

    Si vous avez un médecin récalcitrant (qui vaccine à tour de bras parce que cela lui rapporte), la solution est simple: CHANGEZ-EN !

    Demandez à la Sécurité Sociale (ou à la MSA) de vous faire, suite aux examens qui seront réalisés sur votre enfant, une Attestation, signée par un RESPONSABLE, affirmant que votre enfant est "APTE à la vaccination" et que sa santé n'aura pas à souffrir à la suite de cette vaccination.

    De façon générale:

    Vous attendrez longtemps!

    L’Attestation signée de la Sécurité Sociale (ou de la MSA) est primordiale à demander, car les deux sont des ORGANISMES D'ETAT, ce même Etat qui impose la vaccination.

    Des parents l’ont demandé dans le Sud de la France, les médecins ont fait des certificats qui ont été présentés dans les crèches, dans les maternelles, les enfants ont été pris et, bizarrement, la Sécurité Sociale ou la MSA n’ont, à ce jour, pas donné encore une suite logique et ce depuis début janvier 2018.
    Votre médecin pourra vous renouveler le certificat médical de votre enfant autant de fois que la Sécurité Sociale ou la MSA seront connectés aux Abonnés Absents.

    Vous l’aurez compris, les Bilans de Santé sont gratuits mais coûtent très chers!
    C’est pourquoi la Sécurité Sociale et la MSA donnent rarement suite...

    Votre enfant pourra gravir les échelons de sa scolarité sans avoir à souffrir d’aluminium (qui, une fois dans le sang, migre directement dans le cerveau) et des autres multiples adjuvants dangereux, certificat de votre médecin traitant toujours à l’appui.

    Ceci est le SEUL MOYEN LEGAL pour éviter ce cocktail vaccinal
    soupçonné de déclencher de nombreuses pathologies, dont l'autisme.

    (Aux USA où les bébés reçoivent autour de 35 vaccins,
    les statistiques de l'autisme explosent.)

     

    Maître Jean-Pierre Joseph, un avocat au service de la liberté de ne pas se polluer

     

    Que peut-on trouver dans les vaccins?

     (Un vrai régal!)

     
     

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  • saker_bandeau

     

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    Par Pepe Escobar – Le 18 septembre 2019 – Source Asiatimes.com On est les Houthis et on arrive en ville ! Avec l’attaque spectaculaire sur Abqaiq, les Houthis du Yémen ont renversé l’échiquier géopolitique en Asie du Sud-Ouest. Ils vont jusqu’à introduire une toute nouvelle dimension : la possibilité explicite d’une offensive ...




     
     
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  • Marie et Jean-Paul sont vignerons. Ils travaillent en bio, respectent la terre et veulent faire de la qualité. Pour cela, ils font appel à Sésame, leur cheval, pour travailler la terre. Un mode de production doux, respectueux et non polluant. Mais aujourd’hui, tout cela risque d’être remis en cause. La raison ? Des voisins qui ne supportent plus la présence de Sésame et portent plainte. Anita, vous pouvez agir et soutenir Marie, Jean-Paul et Sésame.

     
    Bientôt plus de chevaux dans nos vignes ?

    Rémy BOSSERT a lancé cette pétition adressée à Cour d’Appel de Colmar et il y a maintenant 39 543 signataires

    Signez cette pétition en un seul clic

    Les avantages de la traction animale dans les vignes ne sont plus à démontrer : Sols aérés et vivants, précision autour du cep, apport de matière organique, pollution nulle, etc.

    De plus en plus de vignerons, surtout en bio, biodynamie ou nature, font appel à des prestataires pour des travaux au cheval ou possèdent leur propre cheval, pour lequel ils ont aménagé un abri et une pâture sur leur exploitation.

    Mais de plus en plus souvent, ces paysans-vignerons se heurtent soit à une réglementation d’élevage trop contraignante pour un seul animal soit à des voisins qui se disent incommodés par la présence d’un cheval et qui brandissent l’arsenal juridique pour le faire disparaître. Ce sont les mêmes, souvent des néo-ruraux, qui rêvent d’une campagne aseptisée, sans odeur, sans insectes, sans coq, sans cloches.

    Le domaine Valentin Zusslin situé à Orschwihr en Alsace et conduit en biodynamie, est en procès depuis presque cinq ans parce que leur chevalSésame, utilisé dans les vignes et lors des vendanges, se trouve sur un pré à côté d’un particulier qui y a construit des gîtes et une terrasse et qui maintenant se plaint des odeurs de crottin et des mouches qui « rendraient la vie impossible » à ses clients.

    Après avoir perdu en première instance, la partie adverse a fait appel, qui sera plaidé dans les prochaines semaines à Colmar, avec des arguments tels que:
    "Toutes les parcelles sont aujourd’hui mécanisables, l’emploi d’un cheval n’est donc pas justifié" ou
    "Il y a des viticulteurs bios qui ne possèdent pas de cheval".

    Le danger pour tous les vignerons adeptes d’une viticulture douce serait que ce cas, qui est loin d’être isolé en France, fasse jurisprudence !

    En signant cette pétition vous vous montrez solidaire de Marie et Jean-Paul Zusslin dans leur litige. Mais au-delà de ce cas particulier, vous soutenez la traction animale pour une viticulture douce, la moins polluante et la plus naturelle possible, que ce soit en bio, en biodynamie ou en ‘nature’.

    Et si vous êtes vous-même vigneron ou connaissez des vignerons qui utilisent un cheval ou envisagent de le faire, merci également de remplir ce simple questionnaire. 

    Merci de signer et de partager un maximum.

    Rémy

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