• Excellent article !!!

    Catherine Marchais

    Nanterre / Paris. France

     
     
     
     
     
     
     

    vendredi 4 août 2017

    Nouvelle victoire du VENEZUELA à l'ONU au grand désespoir de la droite

     
     
    La droite voulait le soutien de l'ONU pour ensuite justifier une intervention étrangère contre le gouvernement légitime du Venezuela, mais l'ambassadeur d'Egypte Amr Abdellatif Aboulatta, actuel président du Conseil de Sécurité de l'Organisation des Nations Unies (ONU) pour ce mois-ci, a affirmé ce mercredi que la situation au Venezuela ne représentait pas une menace pour la paix et la sécurité internationale.
     
    Il a dit que les faits qui ont lieu au Venezuela sont des affaires internes et cette position élimine la possibilité que la question soit examinée dans les travaux du Conseil de Sécurité de l'ONU. Le représentant de l'ONU a fait ces déclaration aux médias lors de la présentation du programme de travail du Conseil pour ce mois d'août.
     
    Les réflexions du diplomate concernent la situation qu'affronte actuellement le Venezuela, où depuis le mois d'avril, l'opposition développe des manifestations violentes et appelle à une intervention étrangère pour faire tomber le gouvernement du président constitutionnel Nicolás Maduro. Les Etats Unis avaient à la mi-mai apporté la question du Venezuela en consultation au Conseil de Sécurité de l'ONU mais n'avaient pas réussi à obtenir un soutien international contre le pays sudaméricain.
     
    De son côté, le représentant permanent du Venezuela à l'ONU, Rafael Ramírez, a affirmé ces jours derniers que toutes les agressions qui prétendent isoler la Révolution Bolivarienne instaurée par le commandant Hugo Chavez échoueront. Il a également souligné que la campagne contre le Venezuela et son gouvernement ne trouve des échos que dans l'extrême-droite des Etats-Unis et chez les porte-paroles discrédités de la droite mondiale en rappelant "Nous étions au Conseil de Sécurité jusqu'au mois de décembre dernier, nous sommes au Conseil des Droits de l'Homme à Genève et au Conseil Economique et Social (Ecosoc). Nous présidons la quatrième Commission de l'Assemblée Générale, le Mouvement des Pays Non Alignés et le Comité Spécial de la Décolonisation. C'est donc que nous continuons à déployer notre politique de paix et de solidarité".
     
    Traduction : CM