• Journal d'infos :

    EXCLUSIF – Dettes impayables et crise financière existentielle pour l’Europe. Les banques centrales de la zone euro sont-elles encore solvables ?

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    Je vous propose en exclusivité pour vous, mes chers lecteurs, un article du très brillant journaliste Ambrose Evans-Pritchard du Telegraph de Londres dont vous savez que j’apprécie très grandement la qualité du travail et… les informations !!

    Ambrose Evans-Pritchard est le journaliste certainement le mieux informé d’Europe sur l’Europe et ses vicissitudes. Suivre ce qu’il dit dans les colonnes du Telegraph est plutôt une bonne idée.

    Je ne me suis pas foulé. Son titre, c’est le mien. En clair, le titre de cet article c’est le sien, et il juge que nous sommes rentrés dans une crise existentielle pour l’euro. Encore une fois, et comme pour mon édito d’hier, vous remarquerez le silence assourdissant des médias censés nous informer.

    Il s’intéresse à un sujet complexe « Target 2 » et sous cet acronyme barbare se cache en réalité un système de compensation des flux financiers entre pays européens. Bref, en réalité, et on ne vous le dit pas, la situation est grave. Très grave. Préparez-vous à assister à l’explosion dans le pire des cas et au détricotage de la zone euro dans le meilleur des cas.

    Ce n’est pas de la fiction.

    Cela se passe maintenant.

    Cela se passe actuellement.

    D’énormes dettes sont en train d’être transférées, en catimini, de banques privées et de fonds d’investissement vers les épaules des contribuables du sud de l’Europe.

    Il s’agit d’une variante du tragique épisode grec mais cette fois à bien plus grande échelle et avec des conséquences systémiques mondiales.

    Notre pays, la France, est évidemment concerné.

    Hier, je publiais et j’ai laissé volontairement cet édito dans l’édition d’aujourd’hui un article sur l’enquête que les Pays-Bas lançaient pour savoir s’il fallait quitter l’euro et comment le faire.

    Je laisse la parole à Ambrose Evans-Pritchard, traduit en exclusivité pour vous !!

    Il n’y a eu aucune décision démocratique d’aucun parlement pour le transfert de ces dettes, qui approchent rapidement le trillion d’euros. Elles sont l’effet secondaire non-désiré du QE de la BCE, qui a dégénéré en une voie de secours pour la fuite des capitaux des pays du Club Med vers l’Allemagne, le Luxembourg et les Pays-Bas.

    Cette « socialisation du risque » a lieu furtivement, en tant qu’effet mécanique du système de paiement de la BCE Target 2. Si une fronde politique en France ou en Italie déclenche une crise existentielle de l’euro dans les mois à venir, les citoyens des pays créditeurs comme débiteurs de la zone euro découvriront avec horreur ce qu’on leur a fait.

    Un tel risque est plausible. Alors que j’écris ce papier, quatre articles sur cinq du fil du quotidien français financier Les Échos abordent des scénarios de désintégration de l’euro. Je n’ai pas souvenir d’un tel débat ouvert dans la presse continentale...

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    D’après le CBO, la dette américaine augmentera de 10 trillions dans 10 ans… mais la réalité est bien pire

     
    Le CBO (Congressional Budget Office), organisme qui n’est pas affilié aux Démocrates ou aux Républicains, a pour mission d’effectuer des projections concernant la dette américaine sur base des données en sa possession.
    En d’autres termes c’est un peu l’équivalent d’une Cour des Comptes américaine.
    D’après cette institution donc, la dette américaine va augmenter de 10 trillions de dollars dans la décennie à venir, ce qui n’est déjà pas réjouissant en soi.
    Pourtant, la réalité est bien pire, comme l’expliquent Antony Davies et James R. Harrigan (source), alors que le CBO a toujours proposé des projections bien trop optimistes par le passé.

    Cela est bien possible, le léger soucis qu’il ne manquera pas de se poser est que sans croissance cette dette ne sera pas possible car la faillite aura lieu bien avant de pouvoir la doubler encore une nouvelle fois.

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    La Banque centrale suisse ne souhaite pas supprimer l’argent liquide !

    Voilà une bonne nouvelle sur le front de la guerre contre le cash avec la déclaration de la Banque centrale Suisse qui confirme qu’elle ne compte pas du tout supprimer les espèces.

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    Pourquoi Bruxelles veut facturer à Londres 60 milliards d’euros

     

    Juncker, ce gentil démocrate européen et ami de tous les peuples qui a organisé l’un des plus vastes systèmes « d’optimisation fiscale » (comprendre de fraude légalisée) avec le scandale du « LuxLeaks », a bien dit la semaine dernière que le Brexit ne serait pas indolore.

    Le Brexit doit faire mal.

    Il faut punir les Anglais.

    Pas évident qu’ils se laissent faire sans rien dire.

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    « EXPLOSIF ! Les Pays-Bas enquêtent sur la possibilité d’abandonner l’euro » L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    Dans les médias français ? Silence radio. Tout va bien. Le nuage radioactif s’est arrêté à la frontière. Vous avez, comme à chaque fois, les sources tout en bas de cet article, tout à la fin, pour les incrédules qui pensent encore que la presse et les médias les « informent » pour leur « plus grand bien ». Vous avez même trois sources étrangères différentes.

    C’est un véritable coup de tonnerre symbolique parce qu’à ce stade, évidemment, rien n’est fait, mais c’est tout de même explosif. Pour la première fois de l’histoire qui sera vraisemblablement assez courte de l’euro, un pays du tout premier cercle et à la rigueur relativement exemplaire et ayant toujours eu une « monnaie forte », les Pays-Bas, se pose le plus sérieusement du monde la question de savoir s’ils vont ou pas rester dans l’euro.

    Officiellement donc, ils enquêtent désormais sur la possibilité d’abandonner l’euro !! Rien que cela mes amis.

    Les autorités néerlandaises ont approuvé le lancement d’une étude sur s’il était possible et raisonnable pour les Pays-Bas, l’un des pays phares de l’UE, de quitter la zone euro.

    La crise de la Deutsche Bank révèle les dysfonctionnements de la zone euro

    Les milieux politiques des Pays-Bas ont demandé une étude sur la question de savoir si le pays devait rester membre de la zone euro ou non.

    Ils ont également l’intention de lancer un « débat approfondi » à ce sujet juste après les élections législatives qui auront lieu le mois prochain.

    Une motion présentée par le principal parti d’opposition, les démocrates-chrétiens, a été adoptée à l’unanimité jeudi, autorisant le lancement de l’enquête, qui sera supervisée par le conseiller juridique du gouvernement, le Conseil d’État.

    L’enquête examinera s’il est possible pour les Néerlandais de quitter la zone euro, et si cela est possible comment, a déclaré le député Pieter Omtzigt membre de l’Appel chrétien-démocrate (CDA).

    Il a également indiqué que

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