• LES BREVES DU POI =

    Ce matin en bref // 2015-02-27 // Vendredi 27 février 2015

    ce matin en brefA la demande de l’Union européenne le gouvernement s’apprête à prendre de nouvelles mesures de réduction des dépenses publiques : « Michel Sapin s’y est engagé, il me l’a écrit, il écrit qu’il fera 0,5% en 2015, il a dit hier à Vienne que des mesures supplémentaires seraient prises« , a dit Pierre Moscovici ce matin sur RTL.
    Le nombre de chômeurs sans aucune activité (catégorie A) a reculé de 20 100 personnes en janvier sur la France entière (DOM compris), selon les chiffres publiés mercredi 25 février par Pôle emploi.
    La CGT relativise :« en incluant les chômeurs ayant exercé une petite activité, la hausse est de 0,3 % », FO également « le nombre de demandeurs d’emploi qui ont une activité à temps partiel et qui recherchent une activité à temps plein (cat. B et C) augmente de 3,4 % ».
    Les appels à la grève interprofessionnelle le 9 avril lancée par la CGT , Sud et FO se multiplient dans les entreprises et branches professionnelles comme celui des fédérations CGT et FO du personnel de la Sécurité sociale et les Organisations syndicales nationales COFICT-CGT et SNFOCOS pour le retrait du Pacte d’austérité et le retrait de la loi Macron : outil de destruction des droits des salariés, du Code du Travail et des Conventions Collectives Nationales.
    Les salariés de l’entreprise Trouvé-Leclaire se sont rassemblés hier devant les locaux de SPIE Batignolles à Neuilly, l’entreprise vendue 100 000 euros pour un chiffre d’affaires de 65 M€ par le groupe du bâtiment green recovry, fonds de pension spécialisé dans le rachat d’entreprise en difficulté a été mise en cessation de paiement.
    Chevilly-Larue : 150 salariés des filiales de Vinci ont manifesté hier matin contre le nivellement de leurs acquis qu’entrainerait la fusion de leurs trois entreprises filiales du groupe.
    Le PS s’attend à une défaite aux élections départementales : « Il n’y a aucun doute que la gauche va perdre des départements, ne serait-ce que parce qu’il y a un quart, un tiers des départements que nous avons gagnés en 2008 et 2011 et parfois d’extrême justesse », explique Christophe Borgel, secrétaire national du PS aux élections, le PS pourrait perdre 30 à 40 départements sur les 61 dont il détient la majorité.