• Cyril LAZARO

     
    Mercredi 16 janvier 2013 3 16 /01 /Jan /2013 07:09

     

    La Direction d’EURO DISNEY sanctionne par des avertissements les salariés qui ont osé accompagner le Secrétaire Général du syndicat FO Disney, le camarade MBOE Guy Bruno, à son entretien préalable à licenciement qui s’est déroulé le 23 novembre 2012. Par contre, les  malversations et escroqueries qui ont eu lieu au comité d’entreprise restent toujours impunies.   

     

    Pour avoir accompagné notre camarade Guy Bruno MBOE à son entretien préalable à licenciement le 23 novembre 2012, plusieurs salariés se sont vus sanctionnés par des avertissements. Certains d’entre eux ont été reçus à un entretien préalable à sanction, d’autres ont découvert le courrier d’avertissement déjà signé. 

    Pour un prétendu renouveau du dialogue social, la messe est dite : Répression…, répression…, et encore répression… !!! 

    Et bien alors, le syndicat FO Disney défendra tous ses camarades, amis, sympathisants et adhérents, sanctionnés injustement. Aujourd’hui, nous dénonçons bien plus qu’avant les abus effectués par un clan au sein de notre entreprise. 

    Le 28 décembre 2012, l’expert judiciaire qui a expertisé les comptes du comité d’entreprise de 2001 à 2010, a déposé son rapport au Tribunal de Grande Instance de MEAUX. Ce rapport est une bombe atomique que nous vous mettrons en ligne très prochainement. 

    La direction a toujours clamé que c’est à son initiative personnelle qu’elle a saisi le Tribunal de Grande Instance de MEAUX, qu'elle ignorait tout mais cela ne l’a pas empêché de verser 500 000 euros pour bonne gestion à l’ancien bureau du comité d’entreprise et cela en concluant un accord atypique avec le secrétaire du CE qui a été mis en examen par la suite et cela, malgré l’opposition des organisations syndicales qui voulaient avoir un accord, en toute transparence. 

      

    Nous invitons nos chers lecteurs et lectrices  à lire ici les vraies motivations de la demande d’expertise des comptes du comité d’entreprise par la directionordonnance de référé du tgi ordonnance de référé du tgi  

     

    Comme vous avez pu le lire ci-dessus sur l'ordonnance de référé du Tribunal de Grande Instance de MEAUX, c’est encore le syndicat FO DISNEY qui a été précurseur en la matière.

    La direction qui disait ne rien savoir, invoque des retards de présentation des comptes du comité d’entreprise depuis 2007 pour essayer de se justifier de sa saisine.

     

    Alors pourquoi la direction a-t-elle donné 500 000 euros pour bonne gestion à des personnes mis en examen aujourd’hui et sous contrôle judiciaire dont l'ancien secrétaire du comité d'entreprise ???   

     

    Le syndicat FO DISNEY sera toujours à vos côtés pour défendre les intérêts des salariés de notre entreprise.

     

    Compromis oui, compromission non. Telle est la ligne de conduite de notre syndicat.

     

    Contre vents et marées, le syndicat FO DISNEY est et restera Libre et Indépendant.

    Source fodisney.com

     

  • 15 janvier 2013

    ATTAC : Accord sur la réforme du marché du travail : en attendant la Troïka

       

       

    En signant avec le Medef un accord « au service de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation de l’emploi », trois syndicats minoritaires ont donné en France un aval anticipé aux  réformes structurelles du marché du travail imposées par la Banque centrale européenne, la Commission européenne et le FMI dans le Sud de l’Europe. Tout y est : baisse des salaires en cas de menace sur l’emploi, prédominance de l’accord d’entreprise sur l’accord de branche et sur la loi, facilitation des mobilités forcées et des licenciements. Le Wall Street Journal félicite les patrons français d’avoir « gagné une nouvelle flexibilité ».    

       

    L’accord signé le 11 janvier par le Medef, la CFDT, la CFTC et la CFE-CGC confirme la possibilité, déjà adoptée par la majorité précédente, d’accords d’entreprise dits de « maintien dans l’emploi », avec une baisse des salaires, en cas de « graves difficultés conjoncturelles ». Les salariés qui refuseraient la baisse de salaire seraient licenciés pour « motif personnel », exonérant l’entreprise de toute obligation de reclassement. De même, tout salarié qui refuserait un changement de poste ou une mutation géographique pourra être licencié pour « motif personnel », dès lors que l’entreprise a signé un accord sur la mobilité.  

       

    La « sécurisation des licenciements » tant souhaitée par le Medef se traduit aussi dans l’accord du 11 janvier par une réduction des délais de contestation des plans sociaux et des licenciements, ainsi que par une priorité donnée à la conciliation prudhommale, avec des indemnités minimes dont l’acceptation par le salarié interdit ensuite toute poursuite judiciaire.   

       

    Plus profondément encore, l’accord du 11 janvier dynamite toute la législation sur les plans sociaux : un accord d’entreprise peut prévoir une procédure totalement différente de celle prévue par la loi ; et s’il ne parvient pas à obtenir la signature des syndicats, l’employeur peut déposer son plan social à l’Inspection du travail, qui doit motiver un éventuel refus dans un délai de 2 à 4 mois.   

       

    En guise de contreparties, l’accord prévoit essentiellement un renchérissement limité des CDD de très courte durée (moins d’un mois), la généralisation de la complémentaire santé pour les salariés des PME et une majoration de 10% pour les  heures complémentaires des salariés à temps partiel. Des avancées qui seraient appréciables si elles n’étaient pas payées aussi cher.  

       

    Car la France et l’Europe s’enfoncent dans une grave récession, provoquée par les politiques d’austérité et par la frilosité des banques qui réduisent leurs crédits pour préserver leur bilan. Les brèches ouvertes par l’accord du 11 janvier ne vont certainement pas « accélérer la création d’emploi » comme l’annonce le gouvernement ; elles vont plutôt faciliter le passage du tsunami de licenciements qui s’annonce et accélérer la montée du chômage.   

       

    Attac appelle les parlementaires français à corriger les graves dangers que présente ce texte et invite tous les acteurs sociaux à organiser ensemble la résistance et la construction d’alternatives à ces politiques suicidaires pour les salariés et pour les peuples européens. Dans cette perspective, les nombreuses forces syndicales et associatives européennes engagées dans le processus d’Altersommet se réuniront début juin à Athènes en vue d’affirmer haut et fort qu’une autre Europe est possible.  

       

    Attac France,  

    Le 14 janvier 2013  

    Adhérez, réadhérez à Attac : http://www.france.attac.org/adherer

     

    Posté par lino83 à 09:41 - -

  • Cyril LAZARO

     
    Lundi 14 janvier 2013 1 14 /01 /Jan /2013 20:02

    Les patrons reçoivent leurs étrennes, sans l’accord des travailleurs !

    Alors que les vagues de licenciements se succèdent, les patrons se félicitent d’avoir signé un accord qui diminuerait leur « peur de l’embauche »... Ce que Hollande qualifie de « succès du dialogue social » est en fait une vraie machine de guerre contre les travailleurs.

    L’accord vise à généraliser tous ces chantages à l’emploi déjà expérimentés dans différentes entreprises. Prétextant des difficultés économiques, les patrons pourront imposer à leurs salariés des baisses de salaire, des fluctuations de la durée du travail et des mutations arbitraires. Une escroquerie légalisée qui leur permet de faire baisser les effectifs, sans même se soumettre aux quelques maigres conditions juridiques et financières d’un PSE.

    La servilité des syndicats signataires est pitoyable et révoltante. La CGT et FO ont refusé de signer. Tant mieux car c’était la moindre des choses. Mais le vrai refus ne peut venir que d’une riposte collective de tous les travailleurs.

    Source convergencesrevolutionnaires.org

     

  • Mariage-Pour-Tous-rouen-manifestation-19-janvier-2013.jpg

     

    Une manifestation pour l'égalité des droits, le mariage, l'adoption, la PMA et la filiation pour tous les couples aura lieu le samedi 19 janvier 2013 à Rouen.

    Le rassemblement est prévu à 14h, cours Clémenceau, arrivée, place de l'Hôtel de Ville de Rouen.

    Citoyen-nes, familles, ami-es, associations, élu-es, partis politiques, syndicats, homos, hétéros, tous ensemble pour l'égalité des droits !

    Manifestation organisée par LGBT Droits de Cité et Sneaker Normandie.

     

    Page Facebook de la manifestation : https://www.facebook.com