* SANTÉ
- Près d’un tiers des Français (29%) ont dû renoncer à se soigner ou reporter des soins faute de moyens ces derniers mois,  contre 11% seulement il y a deux ans…
Avec 29% de réponses positives en 2011, la France est mal placée par rapport à ses voisins européens et aux États-unis.
Seuls les Polonais sont plus nombreux (36%) à dire qu’ils ont dû renoncer à des soins.

- transfert de charge de la sécu sur les mutuelles et les assurances, d'où 4 millions de Français n'ont plus aujourd'hui de couverture complémentaire. En plus, Nicolas Sarkozy a taxé à plusieurs reprises ces mutuelles ce qui revient à faire payer 2 fois une cotisation sociale !

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* RETRAITE
- recours de plus en plus fréquent à des assurances complémentaires privées.

- réforme poudre aux yeux  ayant pour effet de faire travailler plus certains au détriment des autres : jeunes non embauchés, contrats d'intérimaires interrompus, seniors poussés dehors…(3).

La mesure d'exonération de charges sociales et la défiscalisation des heures supplémentaires a le même effet.

Avec une croissance atone qui tend vers zéro ce mécanisme de vase communicant ne peut que continuer et le chômage s'aggraver encore plus.

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* PARITE SALARIALE
131ème rang mondial pour l’égalité de rémunérations hommes-femmes
Parité salariale : la France bonnet d'âne 
Reste aussi le sexisme et les violences faites aux femmes.

* PAUVRETÉ
- 8,2 millions de personnes pauvres en 2009 (7,84 millions en 2008)
- 15 millions de Français bouclent aujourd'hui leurs fins de mois à 50 €uros près
- 250 000 SDF

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Poulet à la grecque ayant été roulé dans la farine

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site pussycatdreams (vaut le détour / voir la table des rubriques)

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* mon post :
(3) 31.08.11 Retraite & dépendance : poudre aux yeux et esquive

* sur la crise
- 2.12.11 «Crise : La Chine fait tout pour nous déstabiliser»
"L'Occident – États-unis, Grande-Bretagne, Japon, peut-être bientôt la zone euro –, a recours à la planche à billets pour financer ses déficits budgétaires. Cela vulnérabilise le statut des monnaies en question.   A terme, je crains que les producteurs de matières premières, considérant qu'on les paie en dollars-monnaie de singe, n'accepteront plus d'être réglés ni en dollars ni en euros, mais préfèreront facturer en yuans ou en or. Or, les banques centrales occidentales ne peuvent émettre ni des yuans, ni de l'or...   Le recours massif et prolongé à la planche à billets peut déboucher, dans un, deux ou trois ans, sur un renchérissement colossal des matières premières pour les économies occidentales. 

La vraie solution, ce serait des représailles douanières fortes des pays occidentaux contre la Chine. Ce que l'Allemagne, au nom de la zone euro, continue à refuser aux États-unis." 

Il faudrait aussi que l'Allemagne cesse se focaliser à ce point sur   l'inflation (motif de son blocage à l'action de la BCE), d'autant que nous risquons bientôt d'avoir une déflation. 

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* sur la dette publique
- Dette publique de la France

- Dette trimestrielle des administrations publiques au sens de Maastricht - Ensemble

- La France va devenir le plus gros émetteur de dette publique en Europe dès 2013…

-   déficit du régime général de la Sécurité Sociale

- Comprendre la dette publique en 10 minutes vidéo très pédagogique

- 01.12.11 Cessons de nous focaliser sur le déficit public (Point de vue) par Christophe Ramaux, maître de conférences en économie à l'université Paris-I

"Pendant des années, à défaut de voir augmenter leurs salaires, les ménages ont été poussés à la dette. Cela a effectivement soutenu la croissance pendant un temps. Jusqu'à ce que cette   dette privée explose. Depuis,   la   dette publique a pris le relais. Sans elle, les économies se seraient littéralement effondrées."

… " La focalisation sur le trou du public et non sur celui du privé, autrement plus important, renvoie au discours libéral selon lequel le public est improductif et pèse sur le privé. "…

…"  Il y a un moyen simple pour baisser les taux d'intérêt  (48 milliards en 2010) : il suffit que la Banque centrale européenne (BCE) garantisse la dette et s'engage à l'acheter si les taux excèdent un certain seuil. Seule la BCE s'y refuse. …"

…"Le modèle néolibéral s'appuie sur quatre grands volets :
- la finance libéralisée,
- le libre-échange,
- l'austérité salariale et
- la contre-révolution fiscale (les baisses d'impôts pour les riches).
Sortir de la crise, et ainsi réduire la dette publique, ne pourra se faire sans rompre avec chacun d'eux.
Outre la domestication de la finance et une autre politique monétaire, cela passe par le retour à une fiscalité progressive, une relance budgétaire indispensable pour certains besoins et par une relance salariale générale, plus soutenue dans les pays qui ont des excédents commerciaux exorbitants comme l'Allemagne." …

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* sur le chômage
- 29.11.11 Agoravox par Patdu49  Vrais chiffres chômage octobre 2011 : barre des + de 8 millions de demandeurs d’emploi, largement franchie

"A noter que 50,7 % des demandeurs d’emploi inscrits, ne sont aucunement indemnisés, ni par les Assedic, ni par la solidarité nationale (RSA ou ASS)." 

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* sur la pauvreté
- 3.08.11 Samu Social : Nicolas Sarkozy fabrique des SDF à 1 000 € par jour
"Les sans-abris coûtent 20 fois plus cher sans l'aide du Samu Social !"
un engagement de Nicolas Sarkozy en 2007 : "que personne ne dorme plus dans la rue d'ici à 2009..."

- 1.11.11 Rue89   Eva Joly : « Fermons le robinet à SDF » 

-  4.11.11 Danactu-resistance, un site dédié à toutes les formes de résistances (politique, syndicalisme, culture, écologie)   8 millions de pauvres en France, vers un krach social et sanitaire ? 

-  24.10.11 par  La Reine de Saba 5 SENIORS sans travail : CESSONS l'HYPOCRISIE ! Voici les diverses solutions définitives et efficaces.... (humour noir) 

- 13.10.2011 myeurop.info La Grande-Bretagne, royaume des enfants pauvres "Et l’avenir ne s’annonce pas rose. Suite à la   politique de réduction des aides sociales et de gel des salaires, l’Institut d’études fiscales (Institute for Fiscal Studies) estime que 47% des enfants se retrouveront, si la politique sociale reste inchangée, en 2020 dans une situation de pauvreté relative ou absolue, c’est-à-dire vivant dans un foyer aux revenus inférieurs à 60% du revenu moyen annuel.

  Et dés 2013, ce sont 3,1 millions d'enfants qui vivront dans la pauvreté.