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    ▸ Brève de comptoir - Travailler plus longtemps pour payer sa retraite -
    Travailler plus longtemps pour payer sa retraite. Voila une question qui se pose partout en France et souvent dans les bistros !


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    cuba -drapeau1LE mot Cuba reste présent dans la mémoire des Angolais, en raison de la contribution de l’Île à l’indépendance du pays, mais aussi pour ses gestes de fraternité, dont la formation professionnelle de milliers de ses enfants.

     

    L’avocat Carlos Baptista, membre de la délégation angolaise invitée à La Havane à l’occasion de la 22e Foire internationale du Livre, raconte qu’il avait 13 ans quand pour la première fois, il a posé le pied sur cette terre antillaise :

     

    « Ces moments vécus dans les écoles internationales à Cuba me reviennent tous les jours à l’esprit ; c’est pourquoi les souffrances infligées au peuple cubain par le blocus injuste et inhumain des États-Unis sont aussi une souffrance pour moi ».

     

    Le commandant en chef Fidel Castro a proposé au président de l’époque, Agostinho Neto, de sélectionner un groupe de jeunes adolescents pour une scolarisation en primaire, secondaire et sections professionnelles à Cuba. Lorsque le président du Mozambique Samora Machel fut mis au courant de la proposition, il s’informa du nombre de places disponibles. Le premier groupe de 551 élèves venait de ce pays ; ils arrivèrent le 11 septembre 1977 ; suivis, le 17 décembre, de 1 200 enfants angolais, et en août 1978, ce fut le tour de 211 Éthiopiens.

     

    Les enfants choisis pour ce programme étaient issus de familles modestes, des orphelins de guerre, ou des victimes de la guerre, comme ce fut le cas des enfants namibiens réfugiés dans la région angolaise de Cassinga, bombardée par l’armée sud-africaine, le 4 mai 1978.

    Ils furent été accueillis gratuitement et dans les écoles cubaines, et ils purent ressentir la chaleur humaine de leurs professeurs, directeurs et des personnes qui s’occupaient d’eux.

     

    Les cours se combinaient avec des travaux dans les champs de pamplemousses, afin d’inculquer aux enfants le principe de l’école associée au travail. Durant leur cursus, ils ont continué à étudier l’histoire et la géographie de leur pays en langue portugaise. L’engagement était, non pas qu’ils s’installent définitivement dans l’île, mais qu’ils retournent dans leur pays avec de meilleures qualifications. C’est dans ce but que fut élaboré le travail de promotion de leurs racines culturelles, avec la participation à des groupes de danse, de musique, des chœurs, et des représentations théâtrales qui reconstituaient des scènes de leur identité nationale.

     

    En 1979 furent publiés les premiers rapports des élèves diplômés en enseignement technique, dans des spécialités comme l’agronomie, l’agrochimie, la mécanisation agraire, technicien vétérinaire, et des spécialités liées à l’agriculture et diverses branches économiques.

     

    Lors de l’année scolaire 1986-1987, 320 étudiants du Zimbabwe et 90 Angolais se virent remettre leur licence en pédagogie, spécialité qu’ils allaient mettre en pratique comme professeurs dans 27 écoles internationales de 36 pays installées sur l’île de la Jeunesse. Durant cette année, on comptait plus de 15 000 Africains, ainsi qu’un groupe de Coréens et de Sahraouis.

     

    La solidarité de ces étudiants se manifeste aujourd’hui de plusieurs manières : Laurino Juan Miguel raconte qu’en Angola, il existe une organisation appelée Los Caimaneros, évocation de la silhouette du caïman, l’île de Cuba. Ils s’occupent de gérer un réseau d’échanges entre anciens diplômés de l’Île, de les aider dans leurs recherches d’emplois ou de les intégrer dans des activités productives, d’organiser des célébrations en hommage à Cuba, ainsi que des journées de divulgation sur la réalité cubaine, afin que les nouvelles générations d’Angolais soient informées de l’aide solidaire offerte par Cuba à leur pays.

     

    Les écoles internationales ont disparu progressivement dans les années 90 en raison de la crise économique occasionnée par la disparition du camp socialiste et du blocus criminel des États-Unis contre Cuba, mais d’autres modalités de formation professionnelle sont mises en place, notamment dans le domaine des Sciences médicales.

     

    C’est en 1963 que Cuba commença son programme internationaliste de missions médicales, en envoyant sa première brigade médicale en Algérie, à l’Université de médecine d’Alger, et c’est en 1975 que la première faculté de médecine fut fondée, à Aden, au Yémen. En 1984, des professeurs cubains furent envoyés dans les facultés du Guyana et de l’Éthiopie ; en 1986, en Guinée Bissau, en Ouganda deux ans plus tard, et en Angola en 1992.

     

    En 1998, est créée la faculté de Guinée équatoriale, en 2000, celle de Gambie, en 2001, celle d’Haïti ; pour l’Erythrée, ce sera en 2003, et pour le Timor oriental, en 2005. Une contribution fondamentale de ce programme fut la création en 1999, à La Havane, de l’École latino-américaine de médecine (ELAM), avec actuellement 24 000 étudiants inscrits, issus de 116 pays, et qui se forment dans 21 spécialités médicales.

     

    Il est aujourd’hui essentiel de souligner la portée humaine de ces actions. En effet, 60 000 jeunes, de plus de 120 nationalités, ont été formés par Cuba. De ces étudiants, 40 000 sont africains. Ils sont le fruit de cette solidarité.

     

    Nuria Barbosa Leon

     

     

    Source : Granma

     

  • Lundi 1 avril 2013 1 01 /04 /Avr /2013 11:46

    http://www.linternaute.com/photo_numerique/galerie-photo/photo/blanc-comme-neige-une-selection-aux-couleurs-des-flocons/image/village-enneige-361359.jpg

     

    Le temps est détraqué!

    La neige est tombée en abondance chez nous!

    Et dire que le ciel est bleu!

    On est en avril... m---e!!!

     
     
     

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             Les Romains donnaient au mois qui succède à Mars le nom d’aprilis, du mot latin aperire, qui veut dire ouvrir, soit « parce que, dans ce mois, les bourgeons commencent à s’ouvrir », soit « parce que la terre semble ouvrir son sein en se couvrant d’une végétation nouvelle ». Le mot latin aprilis est devenu  avril.

             Poisson d’avril, dit-on aussi, dérive par corruption de Passion d’avril, Le vendredi saint tombant souvent dans ce mois là. Aussi En avril, le soleil vient d’entrer dans la constellation zodiacale qui s’appelle les Poissons.

     

             Le 1er avril est traditionnellement    synonyme de farce.

     

        En France, on raconte que jusqu’en 1564, l’année commençait le 1er avril. Cette année là, le roi Charles IX décida de modifier le calendrier. L’année commencerait désormais le 1er Janvier. Le 1er Janvier 1565, tout le mode se souhaitât “bonne année”, se fit des cadeaux, se donna des étrennes, tout comme à un début d’année. Seulement quand arriva le 1er Avril, quelques petits farceurs eurent l’idée de se faire encore des cadeaux, puisque c’était à cette date qu’avant on s’en faisait. Mais, comme c’étaient des farceurs et que ce n’était plus le “vrai” début de l’année, les cadeaux furent de faux cadeaux “pour de rire”, sans valeur.

    A partir de ce jour-là, raconte-ton, chaque année au 1er avril tout le monde, grands et petits, prit l’habitude de se faire des blagues et des farces.

     Comme à cette période de l’année, au début du mois d’avril, en France, la pêche est interdite, car c’est la période de reproduction des poissons, certains avaient eu comme idée de faire des farces aux pêcheurs en jetant des harengs dans la rivière. En faisant cela, ils devaient peut-être s’écrier “Poisson d’avril !” et la coutume du “Poisson d’avril” est restée.

    Aujourd’hui, on ne met plus de harengs dans l’eau douce, mais on accroche le plus discrètement possible, de petits poisson en papier dans le dos des personnes qui se promènent parfois toute la journée avec ce “Poisson d’avril” qui fait bien rire les autres.( hum, une tradition qui se perd!)

    Certains racontent aussi que le “poisson d’avril” serait devenu “poisson” parce qu’au début du mois d’Avril la lune sort du signe zodiacal des Poissons.

     

     

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    Et dans les autres
    pays…

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    La tradition de la blague du 1er avril, au départ occidentale, s’est peu à peu diffusée. Elle s’exprime de différentes manières en fonction des pays. En Angleterre, par exemple, le 1er avril est
    l’ « April’s fool day ». Les farces ne se font que le matin et si vous êtes piégé, vous êtes « une nouille ».

    En Écosse,

    soyez deux fois plus vigilant qu’en France car les farceurs peuvent également sévir le 2 avril.

    Au Mexique,

    l’unique tour consiste à subtiliser le bien d’un ami. La victime aura en échange des bonbons et un petit mot lui
    indiquant qu’il s’est fait avoir. Il existe même une version indienne du poisson d’avril : elle a lieu le 31 mars et se nomme la fête d’ »Huli « .

    En Belgique,

    aussi la tradition du poisson d’avril reste bien vivante.

     » Les jeunes gens, dans les écoles, attachent un poisson en papier dans le dos de leurs camarades, de leurs parents, de leurs professeurs… La presse (tv, radio, journaux) diffuse ce jour-là des
    informations fausses mais crédibles. Parfois même les hommes politiques sont complices. Entre amis, etc, on se fait aussi des blagues téléphoniques ou autres… »

    En Allemagne

      on dit « April April » ou « Aprilscherz » au moment de faire sa blague ou juste après pour faire comprendre que c’est juste une blague de 1er avril.

     » Les blagues du 1er avril existent en Allemagne depuis 1631, mais leur origine serait plus lointaine. Penchés sur le certificat de naissance du poisson d’avril, les experts ne dénombrent pas moins de 800 hypothèses. Tous les pays y trouvent leur compte »

    .En Suisse,

    « Le 1er Avril, c’est le jour des farces! Nous avons fait plein de poissons qu’on a collés dans le dos de nos deux profs.

    Drôlement comique! On fait même de grosses blagues. Par exemple, une année, on a fait croire que les Spice Girls étaient en vacances en Valais, tout près de chez nous. »

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    Quelques
    dictons du mois d’avril.


     

    Avril
    entrant comme un agneau
    S’en retourne comme un taureau

     

    En avril,
    le sureau doit fleurir
    Sinon, le paysan va souffrir

     

    Mars gris,
    avril pluvieux
    Font l’an fertile et plantureux

     

    En avril
    ne te découvre pas d’un fil
    En mai
    Fais ce qu’il te plaît !

     

    Quand avril
    est froid et pluvieux
    Les moissons n’en vont que mieux

     

    Avril
    frais et mai chaud
    Remplissent les granges jusqu’en haut

     

    Gelée
    d’avril ou de mai
    Misère nous prédit au vrai

     

    Avril fait la fleur
    Mai en a l’honneur

     

    Le vin
    d’avril est un vin de Dieu
    Le vin de mai est un vin de laquais

     

    Avril a
    trente jours.
    Si trente et un il avait
    Personne ne s’en plaindrait

     


    Caprices d’avril font tomber les fleurs

    Et trembler les laboureurs

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  • Publié dans : Luttes, actualités


     

    Non titulaires : 

    Titularisation pour tous, ça n’attend plus !

      

     Les organisations syndicales CGT Éduc’action, SN-FO-LC, SNETAA-FO, SNES-FSU, SNUEP-FSU, SUD éducation constatent que le plan de titularisation Sauvadet ne permet pas une réelle sortie de la précarité pour la grande masse des non-titulaires. Sur Créteil seulement 1 500 professeurs non titulaires seront sur quatre ans titularisés laissant sur le côté 2 500 collègues. Les organisations syndicales maintiennent leur revendication de titularisation sans condition de tous les personnels précaires.

     

    Seule une mobilisation de tous les personnels permettra une véritable sortie de la précarité. L’intersyndicale organise une assemblée générale pour décider ensemble des actions à mener.

     

    Plusieurs exigences immédiates doivent être discutées :

     

    - L’assouplissement des conditions d’éligibilité au plan de titularisation et l’ouverture du dispositif à tous

    - Un examen professionnel dès maintenant dans toutes les disciplines y compris les disciplines rares, la MGI,…

    - Un véritable examen professionnel : autant de postes que de candidats, pas de limitation du nombre de reçus.

    - Une clarification des conditions de stage.

    - Une information clarifiée à tous les éligibles et une formation sur les exigences du RAEP.

    - Une remise à plat du mode de calcul du reclassement et la fin de la règle de l’indice butoir défavorable à l’évolution salariale des anciens contractuels.

    - Les problèmes récurrents d’inscription aux indemnités chômage.

    - Un recrutement de personnels à la DPE2 en nombre suffisant pour garantir un suivi administratif correct des personnels.

      

     

    Jeudi 4 avril 2013 à 18h00

    Bourse du travail de Paris (rue du Château d'eau, métro République)

    Assemblée Générale intersyndicale :

    Titularisation de tous sans condition !