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    éveil

    L'actuel Président de la BCE auparavant PDG de Goldman Sachs qui a maquillé les comptes de la Grèce !!

     



    Huit banques américianes et quatre banques Françaises jugées systémiques

    BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale et BPCE figurent dans la liste des établissements financiers susceptibles de déstabiliser la planète en cas de faillite.


    Le conseil de stabilité financière -chargé de coordonner au niveau mondial la régulation financière- a dévoilé vendredi en marge du G20 une liste de 29 banques réputées «systémiques». Autrement dit, ce sont des grands établissements financiers mondiaux qui, par leur taille ou la nature de leurs activités, sont susceptibles de déstabiliser la planète en cas de faillite.

    C'est une surprise, pas moins de quatre banques françaises figurent dans la liste: BNP Paribas, Crédit agricole, Société générale et BPCE. En incluant Dexia, la banque franco-belge en difficulté, le contingent tricolore est le plus représenté après les huit banques américaines répertoriées, de JPMorgan à Wells Fargo, en passant par Goldman Sachs. Figurent également quatre britanniques, trois japonaises, deux suisses ou encore une banque italienne (UniCredit) et une espagnole (Santander). Bank of China, enfin, est la seule banque chinoise à intégrer ce «gotha» des gros.

    Ces établissements, dont la liste sera revue chaque année, feront l'objet d'une surveillance renforcée de la part des régulateurs. En particulier, ils devront être encore plus capitalisés que leurs concurrents. Alors que le comité de Bâle exige un ratio de fonds propres durs de 7% pour l'ensemble des banques, ces établissements systémiques devront afficher 1,5 à 2,5 points de ratio supplémentaires d'ici à 2019. Le niveau exact sera fixé pour chaque intervenant en 2014.

    Payer les pots cassés

    Il s'agit pour les autorités de casser cette dynamique infernale dans laquelle les banques s'attachent à devenir de plus en plus grosses, de plus en plus complexes, sans aucun risque pour elle puisqu'au final c'est toujours le contribuable qui paie les pots cassés. Un concept baptisé «too big to fail» («trop grand pour tomber») par les Anglo-Saxons.

    Pour les banques qui figurent sur cette liste, cette stigmatisation est à double tranchant. D'un côté, les exigences de fonds propres vont être coûteuses.

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