1°)-Antoun Issa Sadoun : Allemagne : à compter de ce matin : restrictions générales dans tout le pays : eau, gaz, électricité, chauffage. Ce n’est pas arrivé depuis 1950 !

2°)-Brigitte Bouzonnie : Les allemands sont privés de produits essentiels, rien que pour survivre seulement : gaz, électricité, eau, chauffage. Ils paient le prix fort de la guerre en Ukraine. La guerre en Ukraine ne dure, que parce que les américains, va-t-en guerre imbéciles, envoient des armes sophistiquées dans ce pays. Refusent de terminer cette guerre, au demeurant, largement gagnée par les russes, après leurs victoires réitérées et définitives à Marioupol. Severodonetz. Lissytchansk.

Des projets de découpage du territoire de l’Ukraine circulent sur le net, avec une grande partie nord-est donnée aux russes et une partie nord-ouest, qui adhèrerait à l’Union Européenne..

Mais les américains font sciemment échouer les négociations de paix. Ils préfèrent la poursuite d’une guerre des tranchées interminable, analyse Karine Béchet-Golovko (voir son article posté sur lettre politique indépendante, il y a deux jours).

Comme écrit très bien mon ami Domi : “la guerre en Ukraine est terminée” sic). Elle ne dure que par la volonté des américains de poursuivre une guerre des tranchées perdue d’avance. Inutile. Cruelle et douloureuse en pertes humaines chez les jeunes soldats ukrainiens. Douloureuse pour les européens obligés de se cailler cet hiver.

En Europe, Biden voudrait favoriser un grand mouvement révolutionnaire, une Révolution en France, une Révolution en Grande Bretagne, une Révolution en Allemagne, une Révolution en Italie… qu’il ne s’y prendrait pas autrement !

Aux Etats-Unis, Biden voudrait favoriser le retour de Donald Trump, ce qui n’est pas pour nous déplaire, qu’il ne s’y prendrait pas autrement !

On se demande ce qu’il a à la place des neurones !

Les allemands paient le prix fort leur soutien au clown Zelensky et à l’alliance atlantique, organisation pourrie du capitalisme mondialisé occidental. L’OTAN veut, ni plus ni moins, la dépopulation massive de 4 milliards de bouches inutiles à nourrir, dixit délicatement le nazi Schwab. Autrement dit, la mort sociale de masse des peuples allemands, français, italiens, britanniques, etc….

Les allemands paient le prix fort les sanctions contre productives ordonnées par Biden/le camp occidental contre la Russie et Poutine.

D’ici peu, les français vont vivre exactement la même histoire. Ils ne pourront pas payer leur note de chauffage, tellement celle-ci aura augmenté. Ce n’est pas moi qui le dit, mais le journal économique libéral Les Echos. De son côté, la chaine parlementaire Public Sénat redoute la conséquence directe du conflit en Ukraine. Les sanctions infligées par les 27 à la Russie. Les économies européennes font face à une forte inflation. Les prix de l’énergie s’envolent. Le spectre de la récession aussi.

Les patrons des trois énergéticiens français TotalEnergies, EDF et Engie appellent  les Français à réduire immédiatement leur consommation de carburant, pétrole, électricité, gaz face au risque de pénurie menaçant « la cohésion sociale”.

Surtout, le projet de loi pouvoir d’achat – présentée en Conseil des ministres– comporte un volet « souveraineté énergétique ». Il donne des pouvoirs inédits à l’État pour « faire fonctionner les infrastructures gazières françaises comme il le jugera indispensable cet hiver ». Cette loi offre des pouvoirs sans précédent à l’État dans le cas d’une crise énergétique majeure cet hiver.

En clair, on va cailler de froid cet hiver par manque de chauffage. Et tout cela, uniquement à cause de notre alliance imbécile avec Biden/Zelensky !

Dans cette guerre en Ukraine, il y a une nouvelle composante. Les Peuples vont monter à leur tour sur la scène de l’histoire. Jouer un rôle décisif. Et ce ne sera que justice après toutes ces années d’hiver, où ils ont été traités comme de la mie de pain par les “élites” du capitalisme mondialisé occidental.

NON A LA GUERRE IMBECILE DES AMERICAINS EN UKRAINE !

OUI AU CHAUFFAGE, GAZ, ELECTRICITE BON MARCHE POUR TOUS !

Comme on disait dans les années 70 :

On a raison de se révolter :