Tous deux ont discuté une dizaine de minutes durant lesquelles Royal a dit ses "deux points de convergences" avec le candidat du FG: "la réforme bancaire" car "les banques doivent obéir et cesser de commander" et "racketter les gens avec des tarifs bancaires exorbitants" mais aussi "l'interdiction des licenciements boursiers" qu'il faut "inscrire dans une loi" pour "remettre de l'ordre juste".
"Si après, elle va voir François Bayrou et les centristes, c'est son problème!"
Elle a d'ailleurs proposé à son partenaire de "lui transmettre deux projets de loi" sur ces sujets pour que le FG puisse "travailler dessus" et les "finaliser" dans une "démarche participative". Mélenchon a salué "une bonne nouvelle" et dit à "Ségolène": "si tu arrives à centraliser ces questions dans le débat des socialistes on ne peut que s'en réjouir". C'est "formidable que tu sois venue", "tu comprends notre démarche de la radicalité concrète", a ajouté tout sourire celui qui avait quitté le PS en novembre 2008, dénonçant son orientation vers "le centre-gauche" après la victoire de la motion de Ségolène Royal en vue du congrès de Reims. Il lui a également souhaité "bonne chance".
Devant les journalistes, (...) Lire la suite sur lexpress.fr