Il faudra le remercier. Sincèrement. Surtout si on est à gauche. Et peu importe le résultat du 6 mai prochain.
Nicolas Sarkozy a flingué, vidé, déshabillé son propre camp. C'est la marque des grands prédateurs. Ils font le ménage.
C'est aussi la marque des mauvais: ils s'entourent de plus mauvais qu'eux.
Pour celles et ceux qui, comme moi, oeuvrent à leur échec, c'est presque réjouissant. La droite est délabrée et sans relève.
Médiocre.
Laurent Wauquiez n'est pas à la hauteur. Jean-François Copé sera croqué par la justice. Valérie Pécresse restera dans les Yvelines. Fillon est trop vieux. Guéant est déjà mort. Juppé est ailleurs. Xavier Bertrand n'est pas assez méchant. Qui reste-t-il ?