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« Je ne suis pas allé partout, mais je suis revenu de tout » (Coluche)
« Je ne suis pas allé partout, mais je suis revenu de tout » (Coluche)
Ce film montre comment l'eau, la santé, les gènes humains, les semences, les connaissances traditionnelles et nouvelles sont de plus en plus accaparés par des entreprises privées, pour leur seul profit, au détriment des populations.
L’eau, la santé, les gènes humains et végétaux, les connaissances anciennes et nouvelles, plus rien ne semble pouvoir échapper au destin de marchandise. Face à la voracité des marchands qu’adviendra-t-il de la notion de bien commun qui est la base de toute vie en société ?
Le marché peut-il être le garant du " Bien Commun " ?
Documentaire réalisé en 2002 par Carole Poliquin (63mn)
Ce film présente une succession de témoignages, tournés au Canada, aux États-Unis, au Mexique, en France, au Brésil et en Inde, qui relatent ces processus de soumission du monde aux intérêts privés et leurs conséquences pour les citoyens. Carole Poliquin a choisi une présentation en clin d’œil aux sept jours qui auraient suffi à dieu pour créer le monde selon la Genèse : mais dans son film, c’est l’homme d’affaire qui asservit le monde en sept jours...
"Dans tous mes films, je me suis attachée à décrire à quelles aberrations nous mène la dérive économiste et marchande de notre société. Avec "Le Bien commun...", ce que j’ai voulu dénoncer, c’est l’extension de la sphère marchande à toutes les activités humaines, le marché se veut non seulement global, géographiquement mais aussi total, faisant de chaque activité humaine, de la nature elle-même, voire de nos propres gènes, une occasion d’affaires. "Carole Poliquin.
Source : Agoravox
le bien commun est une conséquence de la connaissance du bien par l'homme.