• Il faut nous battre !!!

    La guerre terroriste menée par Zélensky/OTAN/CIA est le triste copié/collé de la guerre terroriste menée par Hitler et les nazis au cours de l'année 1944 : Ouradour !

    Article rédigé par Brigitte Bouzonnie le 7 septembre 2022, à partir d'une discussion avec Mireille Chesseboeuf

    11 hr ago
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    Oradour Sur Glane Banque d'images et photos libres de droit - iStock
     

    1°)-Mireille Chesseboeuf : C’est le bateau des tyrans qui coule ! Et les rats continuent à quitter l’embarcation.

    Observons.

    Tout en remontant le moral de ceux qui sont prêts à bouger.

    Je ne sais pas pour vous, mais je parviens, sans forcer, à faire bouger. Faire le peu qu’on peut, et lâcher prise

    2°)-Brigitte Bouzonnie : Euh, c'est le bateau des tyrans ET SURTOUT DU PEUPLE, qui est en train de sombrer. C'est nous qui ne pourrons pas payer notre facture de chauffage, pas les rois absolus, nuance !

    3°)-Mireille Chessebeuf : T’inquiète Brigitte. Ils vont brûler en enfer ces satanistes! Promis!

    4°)-Brigitte Bouzonnie : Nos tyrans ne vont pas brûler en enfer comme on appuie sur un bouton. Pire, ils vont nous entrainer dans leur chute. Ce que nous vivons aujourd'hui, c'est l'année 1944, avec les pires crimes des nazis (Ouradour-surt-Glane, Saint Dié) : quand Hitler savait qu'il avait perdu, et qu'il pratiquait une guerre terroriste criminelle, juste pour retarder l’avance des troupes alliés. Aujourd'hui, Biden, l'OTAN et Zelensky pratiquent la même guerre terroriste, pour retarder la victoire des russes, déjà très perceptible avec les victoires de Marioupol, Severodonetz et Lissitchansk. Ouradour, c'est la centrale nucléaire de Zaporijia, avec un redoublement des tirs d’obus effectués par les ukrainiens, juste au moment de la visite de l’AZIA.

    Comme écrit Karine Béchet-Kolovko dans son article du 6 septembre 2022, posté sur la lettre politique indépendante : “la première tentative de prise par la force de la centrale par des commandos atlantico-ukrainiens ayant échoué le jour de son arrivée, la présence des experts nucléaires n’a pas permis de limiter les tirs d’artillerie, ni sur Energodar, ni sur la centrale elle-même. Un obus tiré d’Ukraine hier encore a touché un réacteur, heureusement à l’arrêt, en perçant le premier mur de protection. Avant-hier, l’artillerie ukrainienne a touché quatre fois la centrale et pas un mot dans les médias occidentaux”(sic).

    Résultat : le premier mur de la centrale nucléaire est enfoncé. Et personne ne moufte !

    Aujourd'hui, Ouradour, c'est l'assassinat de la pauvre Daria Douguine, dont le seul crime est d'avoir dit : "le moment mondialiste est terminé"(sic).

    Aujourd'hui, Ouradour, c'est la campagne de presse haineuse, scandaleuse, menée dans tous les journaux d'Occident, qui s’est aussitôt abattue comme un vautour contre son père, Alexandre Douguine : sans aucun respect, sensibilité pour la douleur d'avoir perdu la fille, qu’il adorait. On vit dans une époque mondialiste, qui a perdu tout sens de la décence et de la mesure.

    Aujourd'hui Ouradour, ce sont les Peuples britanniques, français, allemands, italiens espagnols, qui ne pourront pas payer leur note de chauffage, tellement elle aura explosée. Et qui se mettront à pleurer. Les peuples européens sont pris en otage par les responsables américains dans un affrontement imbécile et cynique contre les russes, qui jusque là nous livraient du gaz bon marché.

    Comme écrit mon amiDominique ; “DANS UN BATEAU, QUAND UN BATEAU SE DISLOQUE, des bruits étranges, précèdent la catastrophe ... Mais des catastrophes sont imminentes, il suffit d'entendre les bruit, d'être assis ou couchés au sol pour les entendre...ON PEUT PARLER DE LA CATASTROPHE QUI VIENT ET ANTICIPER, la pénurie généralisée qui commence à se voir, à se profiler dans les supermarchés...NOUS ENTRONS DANS DES SOCIETES DE PENURIES ... DES PENURIES DANS TOUS LES DOMAINES COMMENCENT A ÊTRE VISIBLES”(sic).

    Et ce n'est pas Poutine qui va nous arranger nos bidons. Libérer la France en défilant sur les Champs-Elysées. C’est à nous à nous battre par nous même.

    Comme on disait dans les années 70 :

    ON A RAISON DE SE REVOLTER !