Sale période pour Ségolène Royal. Un mois après avoir applaudi la victoire de son ex-compagnon là où elle-même avait échoué en 2007, la voilà à nouveau battue aux législatives, devant renoncer à son ambition de présider l’Assemblée nationale. Si, dans sa déroute, elle n’a cessé de dénoncer une manœuvre de la droite, elle n’a pas non plus hésité à fustiger la misogynie régnant dans le monde politique, y compris dans son propre parti. Royal victime des machos ?
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