• PUBLIE PAR MEUSE.ARDENNES//// C'est clair son "bon peuple" ne l'aime pas !!!!!!!!

    Vendredi 2 mars 2012 5 02 /03 /Mars /2012 08:51

     Après 5 ans à serrer des mains de militants UMP dans des mascarades de visites "au peuple" soigneusement éloigné d'ailleurs par des cordons de CRS, le voilà confronté avec ce qu'il a le plus produit : du "clivage" !

    Voilà sa majesté confronté à son petit peuple ! Hé oui, monsieur Sarkozy, il ne faut pas partir à la rencontre du peuple préalablement non sélectionné ou non composé exclusivement de militants UMP, vous risquez d'être déçu par la réalité !

    C'est clair que ça lui fait tout drôle à Sarkozy d'avoir croisé de vrais français et non pas des militants UMP soigneusement sélectionnés, triés sur le volet ou des gamins des écoles à qui on fait crier des "sarkozy, sarkozy" en agitant des drapeaux qu'on leur a distribués, sans savoir de quoi il s'agit !

    A lireles extraitsde  l'article de sud-ouest ci-dessous

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    [VIDEOS ] La v isite du chef de l'Etat à Bayonne a été particulièrement houleuse.

    Le président a débuté sa visite du centre historique de la ville sous les sifflets et une véritable bronca|| Berniere Patrick
    (Le président a débuté sa visite du centre historique de la ville sous les sifflets et une véritable bronca
     
    La visite de Nicolas Sarkozy a été mouvementée jeudi à Bayonne.
     
     

    Nicolas Sarkozy n’oubliera certainement pas sa visite au Pays Basque  jeudi 1er mars. En effet, alors que le président-candidat multiplie les déplacements en province depuis l’annonce de sa candidature, cette escale restera comme l’une des plus houleuses de son début de campagne (retrouvez ici les images les plus fortes de la journée)

     

    Les hostilités ont d’ailleurs débuté bien avant qu’il n’arrive à Itxassou, vers 13 heures, où il a visité une exploitation agricole. En effet, peu après 11 heures, alors qu’un important dispositif de sécurité avait été déployé, des militants anti-LGV ont d’abord commencé par déployer des banderoles sur le parcours présidentiel avant d’être rejoints par des militants de la gauche abertzale.

     

    Une heure plus tard, vers midi, ces militants de la gauche abertzale, au nombre d’une centaine, ont fait monter la pression d’un cran en tentant de contourner le dispositif de sécurité dans le but d’empêcher Nicolas Sarkozy d’atteindre l’exploitation agricole où il était attendu.

     

    Une action qui s’est soldée par l’interpellation, vers 15 heures, de trois militants qui n’avaient pas hésité à lancer des fusées en l’air à proximité de cette ferme. Toutefois, si ces premiers incidents annonçaient une visite difficile pour le président, ce n’était rien à côté de ce qui l’attendait à Bayonne.

     

    En effet, à peine arrivé à Bayonne, peu avant 16 heures, le président a débuté sa visite du centre historique de la ville sous les sifflets et une véritable bronca notamment de la part de la gauche abertzale. Conspué par ses opposants, Nicolas Sarkozy a alors rejoint, dans une ambiance électrique, le bar du Palais, où l’attendaient des commerçants bayonnais.

    Une mise à l’abri qui n’a cependant pas calmé les esprits. Bien au contraire. Il a fallu un important dispositif de sécurité fort de 50 gendarmes et CRS pour assurer sa sécurité à la sortie de cet établissement. Devant l’hostilité, les forces de l’ordre ont même du charger pour dégager le terrain et avoir recours à des lacrymogènes.

    Face à cette situation, Nicolas Sarkozy a dénoncé "la violence d'une minorité et leur comportement inadmissible", regrettant que "des militants socialistes s'allient avec des indépendantistes basques".

    Nicolas Sarkozy a en effet estimé "anormal" que le Parti socialiste manifeste avec des personnes proches "d'un mouvement terroriste". Face aux journalistes, il a précisé: "Nous sommes sur le territoire de la République française et le président de la République française ira partout sur le territoire de la République française. Et si ça ne plait pas à une minorité de voyous, ils devront s'y faire. Je suis désolé de voir que des militants socialistes de Monsieur Hollande s'associent à des indépendantistes dans des manifestations de violence pour terroriser des braves gens, ce sont des comportements indignes d'un parti démocratique." Et d'ajouter à l'adresse du Parti socialiste: "Si c'est ça la République qu'ils nous préparent et bien ça ne donne pas envie qu'ils arrivent."

     

     

    Nicolas Sarkozy a finalement quitté Bayonne vers 17 heures en avion pour rejoindre Bruxelles. De son côté NKM, sa porte-parole, a aussitôt accusé le PS d’avoir « organisé des manifestations de rue » contre le chef de l’Etat.

    Ce qu’a démenti, dans la foulée, Delphine Batho, la porte-parole de François Hollande. Celle-ci a indiqué que le PS "ne cautionnait aucun incident" et demandé à ce que l'équipe de Nicolas Sarkozy "ne cherche pas à cacher son désarroi en manipulant la réalité". 

    source sud-ouest


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