• Très intéressant !!!

    26 Septembre 2019

    Publié par El Diablo

    capture d'écran

    L’élection d’Emmanuel Macron après un coup d’état médiatique et judiciaire a abouti à un nouveau système politique qui n’entretient que des rapports très lointains avec une démocratie représentative.

     

    En particulier tout le monde a pu constater que le pouvoir exécutif (Macron et Philippe) avaient mis la main sur l’Assemblée nationale, dérisoire chambre d’enregistrement peuplé d’analphabètes politique caporalisés. Le problème que l’on voit moins que ce pouvoir a également mis la main sur l’autorité judiciaire. Plus nécessaire de donner des consignes ou de se livrer à des pressions, la plus grande partie du corps des magistrats a rallié le pouvoir exécutif et s’est mis spontanément à son service. La séparation des pouvoirs n’existe plus dans notre pays.

     

    On a parlé à de nombreuses reprises de l’instrumentalisation de la justice à dessein politique qui a d’abord été initiée sous le mandat de François Hollande et reprise ensuite par Macron à son profit.

     

    Les trois caractéristiques de cette instrumentalisation sont les suivantes :

     

    - L’utilisation d’une partie de l’appareil pénal (PNF, Pôle d’instruction financier) à l’encontre des opposants politiques comme l’ont constaté à leurs dépens le RN et LFI.

     

    - La protection judiciaire systématique des voyous et aigrefins qui entourent le chef de l’État et qui sont les pièces maîtresses de son système. Protection étendue à la police dans ses débordements violents.

     

    - Une répression de masse invraisemblable à l’encontre du mouvement social des gilets jaunes : 3000 condamnations pénales, plus de 1000 peines de prison ferme répartie sur l’ensemble du territoire national.

    Ce sujet est essentiel et il faudra en faire une analyse précise et détaillée.

     

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