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  • Candidature de Jean-Luc Pérat.

     
     
     

    Le député pour la Sambre-Avesnois

    Ma candidature Pourquoi ?


    Après la désignation, début décembre 2011 du candidat socialiste aux élections législatives de la 3ème circonscription, j’ai pendant trois longs mois mûrement réfléchi la décision de me présenter.
    Celle-ci s‘appuie sur plusieurs observations et constats.
    Je pense tout d’abord avoir une « certaine légitimité », celle d’un député sortant même si le contour de la nouvelle circonscription n’a pas le même périmètre.
    En effet, les cantons de Trélon, Solre-Le-château, Avesnes-Nord viennent se greffer aux trois de la 23ème, à savoir Bavay, Maubeuge-Nord, Maubeuge-Sud. (environ 1/3, 2/3).
    Pour respecter le non-cumul des mandats, je me suis appliqué volontairement, sans y être obligé, le choix de ne plus me présenter comme maire à la mairie d’Anor (commune de moins de 3500 habitants) et de rester seulement candidat au Conseil Général.

    En mars 2011, l’exécutif du Conseil Général n’a pas souhaité me nommer vice-président, au prétexte de ne pas accorder « d’exécutif » à un parlementaire… pour peut-on l’imaginer… me laisser la logique d’une candidature aux législatives de 2012 ?

    Cela aurait été trop beau, puisque vous connaissez le résultat ! Et encore, je ne rentrerai pas dans quelques détails nauséabonds de pressions, de menaces, de paroles non-tenues… ne correspondant en rien à mon éthique et à mes valeurs de la politique.
    Je savais qu’en « osant » me présenter, je devenais « un vilain petit canard » au regard de la fédération du parti socialiste.
    Mais que penser d’un parti qui logiquement doit appliquer ce que les militants socialistes ont approuvé à une très large majorité sur le non-cumul. Cette même fédération cautionne et encourage le candidat désigné ayant déjà dans ses mains les pouvoirs majeurs de l’arrondissement à en avoir un nouveau !

    Je dis NON ! Et pour toutes ces raisons de deux poids-deux mesures, je maintiens ma candidature sans renier, bien au contraire, mes valeurs socialistes, laïques et républicaines.
    Les habitants de la 24ème me connaissent et pour une très grande majorité, apprécient mon engagement, ma détermination, ma motivation…
    Ils le savent, je n’ai pas l’habitude de me laisser faire. Homme de terrain, de proximité, aux convictions profondément ancrées à gauche, je vis au plus prés des difficultés économiques et sociales de notre arrondissement en me battant au quotidien pour aider mes concitoyens.

    Plusieurs députés l’ont dit, l’on écrit :
    « Jean-Luc est un député actif, présent, impliqué. Il est très apprécié à l’Assemblée. Il fait honneur à son mandat en représentant son département et sa circonscription avec détermination et engagement. »
    QUAND ON A UN BON DEPUTE, ON LE GARDE.


    Le député de Gauche Pérat Jean-LucVous avez été très nombreux à partager cet avis, en Avesnois comme en Sambre, au point de m’encourager à ne pas céder et aller jusqu’au bout.
    Toute ma vie, j’ai combattu les injustices où qu’elles se produisent.
    C’est pourquoi, aujourd’hui, je remets ce mandat entre vos mains.
    C’est à vous et à vous seuls qu’il appartient de dire : « OUI, on continue ensemble ».
    Les électeurs de la 24ème sont, je le pense, mes meilleurs ambassadeurs et avocats car eux peuvent vous parler de mon action et de mon activité de député.
    On ne change pas un député qui vous comprend et se bat pour vous, votre avenir et celui de vos enfants.
    Je veux continuer à exercer cette mission pour un 2ème et dernier mandat à votre service, au service de notre arrondissement qui a besoin d’un équilibre territorial des responsabilités avec des élus motivés, impliqués, pour un développement ambitieux et harmonieux de la Sambre-Avesnois.

    Demain, la nouvelle majorité autour de François Hollande aura besoin de députés résolus, compétents et expérimentés, influents et efficaces, mais aussi constructifs et tolérants.
    Elu, je m’inscrirai dans la majorité présidentielle comme divers gauche, gage d’efficacité.

    Jean-Luc Pérat


  • 28 mai 2012

    Christine Lagarde est cuite

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  • Cyril LAZARO

     
    Dimanche 27 mai 2012 7 27 /05 /Mai /2012 19:59

    Air France : la prime de 400 000 euros qui fait scandale

    Le syndicat aérien Unsa et le député UMP Bernard Carayon ont fustigé hier le projet d'octroyer une prime de non-concurrence de 400.000 euros à l'ancien directeur général d'Air France, Pierre-Henri Gourgeon.

    Le syndicat enjoint l'ensemble des actionnaires, des salariés, et l'Etat, qui détient une partie du capital d'Air France, à refuser le versement de la prime lors de l'assemblée générale des actionnaires à la fin du mois. Ces protestations interviennent alors que des menaces de suppressions de postes planent sur la compagnie française.

    La direction a publié une mise au point où elle explique que la prime en question a déjà été versée, qu'elle répond aux obligations et aux usages, et que les actionnaires ne peuvent pas revenir dessus.

    Pierre-Henri Gourgeon, avait été évincé en octobre 2011 de la direction générale d'Air France-KLM en raison de la mauvaise situation de la société, déficitaire et endettée. Dans un communiqué, Bernard Carayon, député UMP du Tarn, juge le montant de la prime prévue pour l'ex-PDG «indécent» et lui demande d'y renoncer, compte tenu de son bilan.

    Source ladepeche.fr

     

    Air France : la prime de l'ancien patron versée dans l'intérêt du groupe

    La direction d'Air France-KLM a indiqué vendredi que la prime de non concurrence de 400.000 euros versée à l'ancien dirigeant, et déplorée par un syndicat, lui avait été imposée dans l'intérêt du groupe.

    «Lors du changement de gouvernance en octobre dernier, le conseil d'administration d'Air France-KLM, sur proposition du comité de rémunération, a décidé d'imposer à Pierre-Henri Gourgeon un engagement de non concurrence pour une période de trois ans», explique un porte-parole du groupe, dans une mise au point écrite.

    «En contrepartie de cet engagement, le conseil d'administration du 17 octobre 2011 a décidé d'allouer à Pierre-Henri Gourgeon une indemnité d'un montant de 400.000 euros, soumise au régime de droit commun des conventions réglementées prévu aux articles L. 225-38 et suivants du Code de commerce», ajoute-t-il. Il souligne que «ceci a été fait dans l'intérêt du groupe.»

    Il indique que cette résolution soumise au vote des actionnaires le 31 mai prochain est «une ratification d'ordre technique de ce versement d'ores et déjà décidé et effectué il y a plusieurs mois». Le syndicat Unsa aérien d'Air France s'était élevé jeudi contre ce projet de résolution devant être soumis au vote des actionnaires et prévoyant une prime de «non concurrence» de 400.000 euros pour l'ancien directeur général.

    Le porte-parole du groupe relève que ces éléments ont été «à l'époque (c'est-à-dire il y a sept mois) immédiatement portés à la connaissance du conseil d'administration d'Air France, lequel compte six représentants de salariés».

    Cette prime fait partie d'une indemnité de départ de 1,4 million d'euros

    Cette prime est connue depuis longtemps et fait partie d'une indemnité de départ dont le montant total s'élève à 1,4 million d'euros, a-t-on souligné dans l'entourage de M. Gourgeon. «Cette clause a véritablement été prise dans l'intérêt du groupe,» a-t-on poursuivi, relevant que M. Gourgeon avait depuis son départ «déjà décliné deux propositions de travail» en raison de cette clause.

    La convention ayant été conclue en complète transparence et dans l'intérêt du groupe, si l'assemblée générale des actionnaires venait à désapprouver cette clause la semaine prochaine, cela ne changerait rien. «Il s'agit plus d'une ratification que d'une décision», a expliqué l'entourage de l'ancien dirigeant. Une source interne au groupe Air France-KLM a souligné que la direction de la compagnie française n'était «pas dupe de l'exploitation d'une polémique qui intervient dans un contexte de transformation de la maison.

    Parmi les six représentants des salariés, il y a un représentant de l'Unsa, qui était donc parfaitement au courant de cette clause, a fait valoir cette source. Elle a relevé que, sans cette clause, M. Gourgeon aurait très bien pu accepter un travail chez un concurrent du Golfe, comme ce fut le cas de l'ancien PDG de Qantas parti chez Etihad. «Cette clause ne lui a pas été imposée pour lui être agréable, a ajouté cette source. Tous les dirigeants d'Air France quittant l'entreprise sont soumis à cette clause.

    Le groupe Air France-KLM a lancé en janvier un plan d'économies de deux milliards d'euros à l'horizon 2015, dont les mesures structurelles doivent être arrêtées le mois prochain pour une mise en oeuvre dès l'été. Elle a reconnu pour la première fois jeudi un sureffectif, dont le chiffrage a été renvoyé à la deuxième quinzaine de juin. Des négociations ont lieu actuellement en vue de la refonte des contrats de travail.

    Source leparisien.fr

     

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    Dimanche 27 mai 2012 7 27 /05 /Mai /2012 15:00

     

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    Législatives :

    Ségolène Royal ne cumulera pas

    Source : La Nouvelle République  -  le 21.05.2012


     

    Invitée de France Bleu Poitou hier matin, Ségolène Royal, a annoncé officiellement qu'elle renoncerait à la présidence du conseil régional de Poitou-Charentes si elle était élue députée à La Rochelle le mois prochain. En campagne pour la présidence de l'Assemblée nationale (comme Jack Lang et Jean Glavany d'ailleurs), l'ancienne députée des Deux-Sèvres accepterait ainsi de se soumettre au non-cumul des mandats.

    Pourtant, il y quelques semaines, sur les mêmes ondes radiophoniques, elle déclarait qu'elle honorerait le mandat que lui ont confié les Picto-Charentais tant que son parti n'imposerait pas le non-cumul. L'élection de François Hollande a changé la donne : s'il y a une majorité socialiste à l'Assemblée nationale en juin, il y aura une loi qui limitera le cumul des mandats.
    Cette décision n'étonne donc pas son vice-président, Jean-François Macaire, qui le juge conforme "au fait qu'elle a toujours défendu le non cumul des mandats". Il rappelle qu'elle avait déjà montré l'exemple en 2007 en ne sollicitant pas le renouvellement de son mandat de députée des Deux-Sèvres, "favorisant ainsi l'émergence de Delphine Batho, qui est aujourd'hui au gouvernement"

     

    "C'est une bonne nouvelle pour les Rochelais "
    "C'est une bonne nouvelle pour les Rochelais à qui elle montre que c'est essentiellement à leur territoire qu'elle se consacrera, continue ce fidèle. Et il n'y a pas d'inquiétudes à nourrir pour le conseil régional puisque l'impulsion a été donnée et que le travail se poursuivra." C'est vrai que la collectivité régionale avait continué à tourner pendant la campagne des présidentielles en 2007 ou celle des primaires l'an dernier.
    Ceci dit, Ségolène Royal s'est bien gardée de fixer une date précise pour son départ. A la radio, elle a indiqué que celui-ci se ferait "en concertation avec les équipes", et pas avant d'avoir mené à bien certains dossiers, citant "le photovoltaïque, la banque régionale d'investissement, les digues". Elle n'a pas, non plus, indiqué qui pourrait lui succéder à la tête du conseil régional. "C'est elle que les électeurs ont désignée en 2010, c'est donc à elle d'organiser les choses s'il doit y avoir une succession", estime Jean-François Macaire.

    en savoir plus

    Qui pour lui succéder ?

    Qui s'assoira dans le fauteuil que laissera Ségolène Royal au conseil régional de Poitou-Charentes si elle redevient députée ? Dans cette hypothèse, les regards se tournent immanquablement vers Jean-François Macaire, premier vice-président, fidèle parmi les fidèles depuis 2004.
    "J'ai toujours dit que j'étais disponible et préparé, assure celui-ci. Mais il ne s'agit pas d'une auto proclamation, ce n'est pas à moi de décider."  Parmi les autres « royalistes » du premier cercle, socialistes évidemment, Yves Debien (Deux-Sèvres) ou Françoise Mesnard (Charente-Maritime) pourraient également figurer en bonne position pour cette succession.