• Moi président...Ce Que Hollande a oublié de Préciser

     


    "Je ferai passer en force mes projets de loi liberaux libertaires"

    "Je n'écouterai pas mon peuple qui gronde qu'il soit de droite ou de gauche"

    "Je ferai gazer mes opposants cathos et matraquer les syndicats"

    "Je ne déplacerai pas qu'en mobilisant des centaines de CRS"

    "Le parlement votera à main levée en traitant les français de fascistes"

    "La presse sera bâillonnée, surtout BFMTV"

    "Les journalistes récalcitrants seront sanctionnés"

    "Les chiffres des manifestations seront truqués jusqu'au limites du ridicules"

    "Mes ministres auront des comptes en Suisse mais je n'en saurai rien"

    "Ma maîtresse vivra aux frais de la princesse, et elle vous emmerdera vous comme moi"

    "Mon trésorier aura des sociétés dans les îles Caïmans vu que c'est légal et que là non plus je n'en saurait rien du tout"

    "Je supprimerai les allocations familiales"

    "J'augmenterai l'ISF mais je débrouillerai pour ne pas le payer"

    "J'imposerai la loi du genre en primaire"
     

  • mardi 23 avril 2013

    L' ANI : La Trahison Impardonnable des Libèraux du Parti Socialiste

     

    le MEDEF en a révé le PS l' a fait !


    Après les 20 milliards de douceurs aux entreprises,  la perfide ANI pour les salariés! Sous ses airs bonasses, Hollande se révèle un filou de première; élu parce qu'il a  raflé, oui raflé suffisamment les voix  qui lui manquait à partir du moment où il a déclaré," mon ennemi c'est la finance... Bla, bla, je vais taxer les riches à 75 %...Bla bla..". Il cachait bien son jeu, Hollande, depuis il dévoile son vrai visage avec l'ANI, les cadeaux aux riches et les impôts pour les classes moyennes!En 2014 cela va faire mal!
    Hollande est un clone de Sarkozy la morgue méprisante en moins et l'absence de bling-bling! Mais le PS au pouvoir  et l'UMP c'est kif-kif, cherchez la différence en dehors des thèmes secondaires comme le mariage pour tous!
    Filoche que faites-vous au PS bigre ?




    L’accord national interprofessionnel (ANI) sur la sécurisation de l’emploi n’est pas un sujet populaire. D’ailleurs Gérard Filoche l’explique très bien, fort de ses 30 ans d’inspecteur du travail : le code du travail est le plus méconnu de tous les codes, et c’est la hantise des chefs d’entreprise.

    C’est bien pour cela qu’on s’arrange pour ne pas trop en parler. Sur l’audiovisuel public, le sujet est déprogrammé, ainsi que les interventions de Filoche. Arrêt sur Images l’a évoqué il y a peu, et avait déjà constitué un solide dossier sur le sujet, en détaillant les dangers de cet accord trop inspiré des désirs du Medef (A lire ici).



    L’article cite la vidéo ci-dessus en ces termes : "Invité à Argelès-sur-Mer le 14 mars dernier, Filoche tient conférence pendant une heure et quart. Sans notes. Juste un micro. Autant le site est confus, autant sa parole est limpide. Excellent tribun, l’homme nous tient jusqu’au bout de sa démonstration. Son fil rouge est de nous prouver que le diable se cache dans les détails", et se conclu en ces termes : "Je vous invite à regarder entièrement cette vidéo. Sans elle vous aurez du mal à comprendre l’ensemble des enjeux de l’ANI."



    Mais comme 35 députés socialistes ont préféré s’abstenir sur le projet de loi la semaine dernière, le gouvernement a utilisé samedi la procédure du vote bloqué pour accélérer l’adoption du projet de loi sur l’emploi au Sénat, où Marie-Noëlle Lienemann est une des socialistes les plus opposée au texte.
    "Un déni de démocratie", attaque le PCF vent debout contre cette procédure. Eliane Assassi, chef du groupe communiste déclare au JDD : "Je leur avais dit que le temps prévu ne suffirait pas. Ce coup de force lourd de conséquences ne restera pas sans lendemain", menace-t-elle. Avant de conclure lapidaire que ce projet n’est pas "un texte de gauche".



    Bien moins médiatique que l’affaire Cahuzac ou le Mariage pour tous, cette loi sur l’emploi est pourtant l’acte de trahison du gouvernement à son idéologie fondée sur la lutte sociale.

    Cahuzac, justement, lançait il y a quelques temps à Jean-Luc Mélenchon, pendant leur débat télévisé : "vous croyez toujours à la lutte des classes vous ?  je n’y ai jamais cru."



    Cahuzac le traître si commode, comme Goldstein dans 1984 d’Orwell, n’est plus là, mais la vraie trahison est toujours présente, pour rompre avec des siècles de progrès continu des conditions de travail.

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article134926
     

  • Bienvenue sur le blog d'@dam

    « Je ne suis pas allé partout, mais je suis revenu de tout » (Coluche)

     
     
    Samedi 27 avril 2013 6 27 /04 /Avr /2013 13:30

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    Artiste brésilien vivant à New York, le plasticien Vik Muniz déjà reconnu pour ses compositions représentant des portraits de célébrités avec des objets divers, a imaginé cette série d’œuvres à l’image d’animaux en utilisant des éléments à l’apparence dorée. Un travail nommé " Metal Animals " à découvrir dans la suite.

     

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    http://img4.hostingpics.net/pics/300022VikMuniz2640x803.jpghttp://img4.hostingpics.net/pics/121672VikMuniz3640x800.jpghttp://img4.hostingpics.net/pics/717465VikMuniz4640x801.jpg

     

    Un projet artistique dans une décharge, lieu de vie et de survie.

     

    En 2008, Vik Muniz a réalisé une série " Pictures of Garbage " qui comprend sept images différentes, dont chacune est imprimée en deux formats différents. Il a  rencontré des personnes qui survivaient et vivaient grâce à une immense décharge remplie de nombreux déchets de toutes sortes. L’artiste a demandé aux personnes vivant dans cette sorte de bidonville de participer à son projet artistique afin d’obtenir de l’argent pour les aider. Certains ont accepté. L’artiste a donc choisi de réaliser leur portrait. Il procède, dans un premier temps, par faire un dessin au crayon sur un grand format, par la suite, il positionne différents matériaux pour recomposer l’image. Ensuite, il photographie le résultat. Les photographies ont été mises en vente par la suite. Tous les produits de la vente des tirages grand format ont été transmis à la Garbage Pickers Association du Jardim Gramacho qui a été fondée pour soutenir les 5000 travailleurs et leurs familles dont l’existence allait être affectée par la fermeture imminente de la décharge d'Amérique du sud.

     

    http://img15.hostingpics.net/pics/345681VikMunizAtlasseriesPicturesofGarbage2008.jpghttp://img15.hostingpics.net/pics/149030vikmuniz20083.jpghttp://img15.hostingpics.net/pics/570741vikmuniz20084.jpghttp://img15.hostingpics.net/pics/469643vikmuniz20082390x500.jpghttp://img15.hostingpics.net/pics/431014vikmuniz20081500x335.jpg

     

    Ses oeuvres réalisées à partir de substances inattendues ! 

    Vik Muniz a pour habitude de transformer n’importe quoi en oeuvre. Il utilise toute sorte de matériaux : de la terre, du sucre, des déchets, de la confiture, du beurre de cacahuètes, du ketchup, du fil de fer, du fil de lin, des jouets en plastique, de la corde, du chocolat,  des jetons de couleurs, de la poussière... Il photographie ses oeuvres qui sont construites à partir d’éléments périssables pour les immortaliser.

     

    http://img15.hostingpics.net/pics/748258VikMunizCheGuevara.jpg

     

     

    Généralement, il reproduit des oeuvres célèbres dont des icônes bien connues de l’art, comme par exemple La Joconde de Léonard De Vinci, ou la Marilyn Monroe d’Andy Warhol.

     

     

     

    Son site : Vik Muniz

     
     

     


  • Nouvelle publication sur les échos de la gauchosphère

    Quand la pensée magique du libéralisme social entre à l’hôpital…

    by gauchedecombat
    Cliquez sur l'image pour en connaitre le contenu...

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    Cela semble être la clé de sol de toutes les partitions technocratiques des gestionnaires d'établissements publics, qui justifient par là-même toutes les situations, même les plus inadmissibles, sans contestation possible. Un seul maître mot : l'organisation. Vous n'avez pas assez de temps pour faire ce que vous devez faire ? Vous manquez certainement d'organisation ! Même quand vous faites le boulot de 3 personnes pour le prix d'une... Formations, congés, arrêts-maladie, départs en retraite, et autres absences imprévisibles, ou  syndicales,  non remplacées, tout ce qui fait le quotidien d'un salarié de la fonction publique hospitalière, on s'en fout ! L'important, le vrai, ce n'est pas votre état d'âme et la fatigue ou l'usure de ceux qui restent, mais la continuité du service public, à marche forcée, le doigt sur la couture du pantalon. Et gare à qui dénonce la loi du talion et l'omerta de la souffrance au travail dans les établissements publics, et notamment hospitaliers... Il sera d'emblée ostracisé, vilipendé, méprisé, mis à l'écart, entouré d'une bulle de silence condescendant. On ira même jusqu'à se demander s'il n'y aurait pas là une bonne dose de souffrance personnelle qui viendrait s'y mêler, même quand ce n'est pas le cas, juste histoire de le discréditer un peu plus tout en montrant aux autres quelle est la seule voie possible : le silence et le renoncement, quitte à subir des conditions de travail inhumaines et parfois dégradantes. La peur de perdre son emploi dans une époque qui en manque tant agit à plein... Les contractuels sont légion, dans la fonction publique.

    Aussi, quand j'ai entendu cette fable de la Fée Marisol qui consiste d'un coup de baguette magique à transformer la situation intolérable des personnels et des patients (chez nous, on dit usagers) des services d'urgence en havre de paix par la seule intervention de sorciers de la planification rationalisée des occupations de lits,  j'ai le droit, un petit peu plus qu'un autre peut-être, de douter. Je sais de quoi je parle. Et j'adresse toutes mes pensées en ce moment à celles qui tentent avec les moyens du bord de nous soigner le mieux du monde quand nous sommes entre leurs mains... Alors que leur monde, qui est le nôtre quand nous sommes souffrants ou blessés, est en difficulté... Il suffit d'aller sur cette page facebook pour s'enquérir de leur état d’esprit face à cette mesure qui manifestement, en fait sourire (jaune) plus d'un(e)... On est tellement à côté de la plaque (certaines me disent que cela se fait déjà depuis des années ici et là..) quand on voit des situations comme celle que je viens de prendre au hasard dans la page des #NB3NP , ne citant pas son nom pour ne pas lui créer d'ennuis... :

    Capture 1

    Bon, je sais, ce n'est pas le même domaine, mais avec la fonction publique hospitalière, et l'amélioration des conditions de travail des personnels soignants, Marisol, c'est quand qu'on va où ? Car ce genre de situations commence à se généraliser un peu trop dangereusement... Nous en connaissons tous, et de plus en plus. Allez vous adopter dans ce cas vos plus beaux atours et votre belle voix flûtée pour nous parler de l'amélioration de la qualité dans les services, de la rationalisation de l'organisation du travail, et de ces gestionnaires de lits qui ne nous donneront pas plus de bras ? Assez de belles phrases. Des actes !

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  • Cyril LAZARO

     
    Samedi 27 avril 2013 6 27 /04 /Avr /2013 12:39
    Soutien au Syndicat de la Magistrature
    Et maintenant criminalisation de la liberté syndicale de penser en privé !
    vendredi, 26 avril 2013

    Si nous avions pu penser que l’ère des assauts à l’encontre du syndicalisme de lutte était terminée ou presque, l’actualité nous démontre qu’il n’en est rien ! Si nous avions pu espérer que la loi d’amnistie serait votée afin de décriminaliser l’action syndicale, l’actualité nous démontre qu’il n’en est rien puisque la Commission des lois, sur demande du gouvernement, vient de rejeter la proposition de loi.

    Depuis deux jours le courroux politico-médiatique s’est abattu sans relâche sur nos camarades du Syndicat de la Magistrature. Les raisons invoquées sont disproportionnées et délirantes.

    « Les déchainés du mur des cons », et leurs partenaires, leur reprochent donc, d’avoir acté leur liberté de penser syndicale, leur liberté de penser le fait et l’individu politique avec humour dans un local privé ! N’a-t- on donc plus le droit en France d’avoir de l’humour ?

    Si nous avions pu penser que les agressions politiques et médiatiques menées à l’encontre du monde judiciaire, particulièrement à l’encontre des magistrats, durant cinq longues années étaient terminées nous nous leurrions. Si nous avions pu penser que l’ère de la défiance, des menaces, des moqueries, des atteintes graves au professionnalisme et à la réputation des magistrats était finie, nous nous trompions. L’actualité nous montre l’inverse.

    Ce déchainement sans précédent étonne alors que dans le même temps des magistrats sont menacés de mort et rien n’est fait.

    Après la criminalisation de l’action syndicale, après le rejet inacceptable du texte d’amnistie, nous sommes contraints de constater que la liberté de penser dans un lieu privé devient criminel.

    Par contre, nous constatons que les propos et discours homophobes entendus ces derniers temps, les appels indirects à la haine ou les menaces de « guerre civile » de la part de responsables politiques, associatifs, religieux ne sont pas sanctionnés à la hauteur du danger que ces actes collectifs représentent pour notre Démocratie. Les violences verbales et physiques perpétrées au sein de l’Assemblée nationale par les représentants du peuple ne le sont pas non plus.

    Certains ont le droit d’être hors la loi, d’autres non. Ce n’est pas nouveau, nous le savons !

    Si un syndicaliste avait menacé de « guerre civile », il serait emprisonné sans sommations. Si des syndicalistes s’étaient réunis autour de l’Assemblée nationale en pleine nuit pour demander l’abrogation de l’ANI ou l’adoption de la loi d’amnistie alors, ordre aurait été donné à la police de leur tirer dessus avec des Flash Ball, fichés et leur ADN prélevé…

    L’action et la pensée syndicale ne peuvent être criminalisées en Démocratie.

    La CGT apporte son soutien au Syndicat de la Magistrature.

    Montreuil, le 26 avril 2013

    Source cgt.fr