• ericko75 a envoyé 3 nouvelles vidéos:
    ▸ Facebook perd des abonnés -
    Selon le journal The Guardian le réseau social Facebook aurait perdu des millions d'abonnés en quelques mois (source de l'info 20minutes.fr et the guardian)

    ▸ Brève de comptoir-La crotte de chien pour fabriquer de l'énergie
    Les crottes de chiens pourraient fournir de l'énergie (source 20minutes.fr)
    Un sujet qui fait intéresse et fait causer dans les bistros


    ▸ Les radars routiers, sont-ils aux bons endroits ?
    De plus en plus de radars sur nos routes. Parfois (souvent) planqués......!!!!
    Est-on toujours véritablement dans le concept "sécurité routière ???"
    (source de l'info leparisien.fr) Analyse et enquète du célèbre voiturologue-routologue-sécuritologue Erick BERNARD



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    30 Apr 2013 12:40 pm | Yolaine De La Bigne

    Bonne Nouvelle : Notre cerveau fabriquerait tous les jours de nouveaux neurones

    Bonne Nouvelle : Notre cerveau fabriquerait tous les jours de nouveaux neurones
     Contrairement à ce qu’on croit  le cerveau adulte est capable de générer des nouveaux neurones. En clair, on ne vieillit pas en devenant un peu plus bête chaque jour! Télécharger fichier audio (Plus-intelligent-chaque-jour-124169665.mp3)   Cette chronique « Bonne ...
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    30 Apr 2013 12:24 pm | Yolaine De La Bigne

    Des escargots géants sèment la terreur en Floride

    Des escargots géants sèment la terreur en Floride
    Ca ressemble à un mauvais scénario de film d’horreur. Depuis quelques mois des escargots géants d’Afrique, des mollusques particulièrement voraces pouvant atteindre la taille d’un rat, prolifèrent rapidement dans le sud-est des Etats-Unis. Ces bêtes, appartenant à l’espèce ...
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    30 Apr 2013 11:18 am | Bruno Lorenzi

    Comment ne plus gaspiller l’eau de pluie?

    Comment ne plus gaspiller l’eau de pluie?
    L’eau se raréfie et devient chère. Voilà pourquoi la société Technipluie, implantée en Bretagne depuis 2005, a mis au point un système de récupération des eaux de pluie pour ne plus gaspiller l’eau de là-haut. Entretien avec Jean-François ...
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    30 Apr 2013 05:00 am | Barbara Krief

    Allergiques, à vos souhaits !

    Allergiques, à vos souhaits !
    Un éternuement chasse l’autre. Avec l’arrivée (enfin) du printemps, les mouchoirs hivernaux s’en vont. Pourtant, les personnes allergiques continuent à dégainer le tissu pour tenter d’éponger un nez qui n’a cessé de couler. Mais que connaissons-nous réellement de ...
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    30 Apr 2013 05:00 am | Grégoire Gantois

    Les pouvoirs publics n’aiment pas les algues

    Les pouvoirs publics n’aiment pas les algues
    Le tribunal administratif de Rennes a contraint l’Etat à rembourser sept millions d’euros au département des Côtes-d’Armor. Cette sanction s’ajoute à celle écopée un mois plus tôt pour quatre communes de la même région.   Les algues vertes ...
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  • Mesdames, venez tester le régime Valls !

    29 avril 2013

    Mesdames, venez tester le régime Valls !
     
     

    Un régime révolutionnaire, testé par la rédaction : pour l’été, vous serez belles et rebelles !

    Où ? Dans le cadre prestigieux des Invalides, du Champs-de-Mars et des quartiers chics de nos belles villes de France.

     

    Avec qui ? Vos amies, vos filles, vos sœurs, vos collègues, mais pas seulement entre filles. Votre mari, vos enfants, vos adolescents, vos parents sont bienvenus. Sans limite d’âge.

    Quoi ? Un programme personnalisé vous permettra d’alterner sport et méditation, travail vocal et activités manuelles. Quelques exemples : nos animatrices vous conduiront au cœur des manifestations (pour marcher, crier, bouger, taper sur des casseroles), vous trouveront les plus belles pelouses pour des sit-in (pour la paix intérieure), passeront avec vous la nuit à veiller (une occasion unique de contempler les étoiles), vous apprendront comment apporter votre soutien aux plus jeunes (confection de banderoles, de kits antilacrymogènes), etc. En option : chant choral. Possibilité d’after (après démaquillage, déconseillé aux personnes porteuses de lentilles).

    Possibilité de privatisation pour enterrement de vie de jeune fille, anniversaires de mariage, fêtes de famille, etc.

    […]

    Un must : la garde à vue, pour tester votre zen attitude dans les lieux les plus sordides.

    Une certitude : vos kilos superflus s’envolent, votre teint se réveille, votre jeunesse revient ! Pour l’été, vous serez belles et rebelles !

    Durée de l’offre : jusqu’à fin mai au moins – extension possible jusqu’au 14 juillet.

    Anne-Laure Blanc

    Crédit photo : DR.

    Source et article complet : Boulevard Voltaire.

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  • Cyril LAZARO

     
    Lundi 29 avril 2013 1 29 /04 /Avr /2013 22:36

    Contre la CGT, PSA engage son "rebond"

    Le Comité central d'entreprise de PSA a entériné lundi le plan "Rebond 2015", qui entraînera une réduction drastique des effectifs et la fermeture d'Aulnay-sous-Bois. Explications.

    Une longue procédure de validation

    Le 9 juin 2011, la CGT révélait qu'une note interne évoquait la possible fermeture de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois. Près de deux ans plus tard, le Comité central d'entreprise (CCE) du constructeur automobile l'a validé, lundi, dans le cadre du plan intitulé "Rebond 2015". La décision d'engager une restructuration a longtemps été retardée par la campagne présidentielle. Le chiffre d'affaires catastrophique pour l'année 2011 a fini de convaincre la direction de PSA, mais celle-ci a attendu juillet 2012 pour annoncer l'arrêt de la production à Aulnay en 2014 et la suppression de 8.000 postes en France, dont 1.400 à Rennes. Dès lors, le dossier s'est politisé et Arnaud Montebourg a engagé un bras-de-fer avec la direction de PSA.

    Mais, entre l'interview de François Hollande, le 14 juillet 2012, dans laquelle il dénonce le "mensonge" de PSA, et le CCE de lundi, le plan "Rebond 2015" n'a pas évolué dans le sens des salariés. Au contraire, PSA a porté à 11.214 le nombre de suppressions de postes, assurant toutefois qu'il n'y aura aucun "licenciement sec". Outre le site d'Aulnay-sous-Bois, un poste sur quatre sera supprimé sur celui de Rennes, tout comme 3.600 emplois dans les effectifs hors production, tous sites confondus. Le coût initial de ce plan social a été estimé à 600 millions d'euros par le cabinet d'expertise Secafi. Ce qui devrait alourdir un peu plus les finances du groupe déjà en difficulté - en février dernier, PSA a subi une perte historique de 5 milliards d'euros. Face à cette situation, et après des négociations qui ont duré cinq mois, cinq des six syndicats majoritaires ont donné leur feu vert, le 18 mars, au plan social. Seule la CGT est contre.

    L'usine d'Aulnay au centre du conflit social

    Depuis deux ans, le site d'Aulnay-sous-Bois est dans le viseur de la direction du constructeur automobile. L'annonce de sa fermeture, d'abord hypothétique puis confirmée, a entraîné le début d'une grève qui n'est toujours pas terminée. Entamé le 16 janvier dernier, ce mouvement social a paralysé l'ensemble des chaînes de production jusqu'en avril. Aujourd'hui, seule la CGT, emmenée par le très médiatique Jean-Pierre Mercier, continue de bloquer l'usine. La CGT-Aulnay a multiplié les actions coup de poing ces derniers mois, lors de l'inauguration du Train de l'Industrie, au siège de Pôle emploi, au Medef ou encore lors d'un conseil national du PS. Une procédure judiciaire a également été engagée, après le dépôt d'une plainte des syndicats SUD et CGT que la justice a finalement débouté en première instance vendredi.

    Avec 3.000 salariés et 300 intérimaires, le site d'Aulnay est l'un des plus importants sites français de PSA. Pour respecter sa promesse de "zéro licenciement sec", la direction du groupe a décidé de transférer la production des C3 d'Aulnay à Poissy, dans les Yvelines. Dans le cadre du plan de sauvegarde de l'emploi (PSE), voté lundi par le Comité central d'entreprise, il sera sans doute proposé à certains salariés d'aller travailler à Poissy. D'autres attendent "l'après-PSA" : en effet, l'immense site industriel d'Aulnay n'est pas encore démantelé. Des repreneurs pourraient être intéressés par les chaînes de montage de l'usine. "Nous allons regarder de très près la possibilité d'implanter des commerces sur le site PSA", avait ainsi déclaré en octobre dernier à l'AFP Jean-Philippe Mouton, président d'Hammerson France.

    Un accord de compétitivité à venir?

    Les pressions du gouvernement, qui a fustigé les erreurs de stratégie du groupe et son manque de dialogue, sont restées sans effet sur l'ampleur des suppressions d'emploi. Mais, avec le Crédit d'impôt accordé aux entreprises dans le cadre du Pacte de compétitivité, l'exécutif pourrait obliger PSA à changer sa stratégie à moyen terme. A titre de comparaison, Renault, qui a passé un accord avec les syndicats mi-mars, a d'ores et déjà annoncé la production dès 2016 de la prochaine génération de Nissan Micra à Flins (Yvelines). Après le vote du PSE, lundi, PSA compte donc enclencher rapidement l'étape suivante : la négociation d'un "accord compétitivité" avec les syndicats. La direction du groupe espère débuter les discussions en mai pour les conclure en octobre. Mais, échaudés par neuf mois de conflit social ouvert, les représentants du personnel sont sur la défensive, augurant ainsi une nouvelle phase de négociation pour les dirigeants du groupe.

    Source lejdd.fr

     

    PSA : le CCE donne son feu vert au plan social

    Dix-huit élus sur vingt ont voté pour la mise en oeuvre du plan, qui prévoit la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois et 11 200 suppressions de poste.

    C'était le 12 fevrier dernier avec une manifestation bruyante devant le siège du constructeur à Paris. Mais rien n'y a fait, le CCE a approuvé dans sa grande majorité le plan de restructuration.C'était le 12 fevrier dernier avec une manifestation bruyante devant le siège du constructeur à Paris. Mais rien n'y a fait, le CCE a approuvé dans sa grande majorité le plan de restructuration.

     

    En l'absence notable de la CGT, mais avec une large majorité des autres syndicats, les élus du comité central d'entreprise (CCE) de PSA Peugeot Citroën ont donné lundi un avis favorable aux mesures d'accompagnement prévues dans le plan social. Celui-ci peut désormais être mis en oeuvre, ont indiqué des syndicalistes.

    Dix-huit élus sur vingt ont voté pour la mise en oeuvre du plan, qui prévoit la fermeture de l'usine d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et, au total avec les autres sites français, plus de 11 200 suppressions de poste. Selon la direction, des comités d'établissement vont être organisés dans les jours qui viennent sur l'ensemble des sites concernés, permettant d'entamer la restructuration.

    "La plupart des CE se tiennent dès demain (mardi, NDLR) et à partir de ce moment, sur les sites concernés, le dispositif est applicable", a précisé Denis Martin, directeur industriel du constructeur. Au total, cinq des six syndicats ont donné leur feu vert: FO, CFTC, CFE-CGC, le SIA (syndicat maison) et la CFDT. Seule la CGT a émis un avis défavorable. En revanche, sur la réduction des effectifs, tous les élus ont donné un avis défavorable, selon des sources syndicales.

    "La raison l'emporte sur la passion. Une grande majorité des salariés va sans doute être soulagée et une certaine sérénité va arriver", a commenté Christian Lafaye, délégué FO.

    Un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) est prévu à Rennes (1 400 suppressions de poste) ainsi qu'à Aulnay-sous-Bois (3 000 suppressions) avec une phase de volontariat jusqu'au 31 décembre. Après cette date, s'il n'y a pas assez de candidats volontaires au départ, PSA procèdera à des licenciements économiques.

    Selon Denis Martin il y a d'ores et déjà pour les salariés d'Aulnay-sous-Bois, "3 750 offres d'emploi en tenant compte de la mobilité interne, externe et de la réindustrialisation". "Or, aujourd'hui, les salariés ne sont plus que 2 500 sur le site, nous avons donc largement plus d'une offre par personne", a-t-il dit.

    Concernant Rennes, le directeur industriel a dénombré "plus de 1 700 solutions, en tenant compte des mobilités internes (400), externes (600) et de l'accompagnement lié à la réindustrialisation". "Nous sommes dans des discussions avancées avec quelques entreprises dans des secteurs assez différents, l'agro-alimentaire, le bâtiment, différents types d'industrie", a-t-il ajouté.

    Source lepoint.fr