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Mercredi 19 juin 2013 3 19 /06 /Juin /2013 14:07
un peu de ciel bleu, de la semaine dernière....
retour de chasse de Mme Merle
passez un bon mercredi
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Je vous invite à voir d'autres photos en allant sur le site de Monsieur
JEAN-LUC PERAT : http://www.perat.fr
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La Région Poitou-Charentes présente au Salon de l'aéronautique du Bourget
Ségolène Royal rendra visite aux exposants le 18 juin pour confirmer l'engagement de la Région aux côtés des entreprises et de leurs salariés.
La filière aéronautique et spatiale en région Poitou-Charentes regroupe près de 150 entreprises, grands groupes et un réseau dense de TPE PME sous-traitantes, ce qui représente près de 9 000 emplois directs et indirects. C'est pourquoi la Région, en lien avec l'association AEROTEAM qui regroupe les entreprises du secteur de l'aéronautique, se mobilise en soutenant la filière autour de 5 actions en faveur de l'aéronautique pour les années 2013-2015 avec 5 objectifs :
- la restructuration de la filière,
- le développement de l'innovation au sein des entreprises régionales,
- le financement des entreprises,
- la formation et le développement des compétences,
- le positionnement à l'international.
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ROSEMAR
Mercredi 19 juin 2013 3 19 /06 /Juin /2013 10:28
Dans l'académie d'Orléans-Tours, les professeurs de français ont été instamment priés d'appliquer un nouveau barême pour l'épreuve orale anticipée du baccalauréat : afin d'améliorer les résultats de leurs élèves, ils devront noter leur prestation sur 24 au lieu de 20...On peut imaginer le tollé qu'ont suscité une telle décision et de telles consignes qui introduisent forcément une inégalité entre les notations des différentes académies.
Comment expliquer de telles pressions sur les enseignants ? En fait, c'est en raison des mauvais résultats de leurs élèves au bac 2012 que les professeurs de lettres de l’académie d’Orléans-Tours sont appelés à surnoter l’édition 2013.
« Vous allez devoir faire preuve de davantage d’indulgence pour le bac 2013 », votre « attitude de notation est négative » leur a t-on dit.
Lors d’une réunion, quelques enseignants « coordonnateurs » du bac ont été invités à consulter des tableaux démontrant que certains professeurs notent en dessous de la moyenne nationale, voire académique : « La différence peut être de deux points, cinq points. » Voilà des exemples à ne pas suivre ! Et les enseignants ont été menacés d'une inspection s'ils ne suivaient pas les consignes qui leur étaient données et s'ils ne pratiquaient pas une évaluation "positive" !
L’oral de français devra être être noté sur vingt-quatre points, découpés en « compétences » : il faut compter deux points pour la « lecture » et la « compréhension » du texte, quatre points pour la « capacité à mettre les éléments en relation et à réagir avec pertinence », quatre autres points pour « le niveau de langue orale » et les « qualités de conviction » etc.
On comprend la colère légitime des professeurs : c'est une façon de dénier leur travail, leur sérieux, leurs compétences à juger des qualités d'un élève. C'est une façon aussi de truquer et de fausser les résultats du baccalauréat.
Il peut paraître généreux de vouloir accorder aux élèves de bonnes notes mais n'est ce pas aussi leur donner l'illusion de capacités qu'ils ne maîtrisent pas ? Certains risquent de se retrouver sur les bancs des universités complètement désorientés et incapables d'y pousuivre des études.
Les correcteurs devront même remplir deux fiches de barème : l’une, officielle et nationale, sur 20, traduction de la deuxième, officieuse, émanant de l’inspection régionale, sur 24 !
Les professeurs se sont insurgés contre de telles pratiques contraires à la morale car elles introduisent forcément des inégalités dans un examen national...
De plus, les enseignants ne peuvent que se sentir complètement déconsidérés par de telles intimidations à leur encontre... Doivent-ils juger les compétences des élèves ou suivre les ordres des rectorats ? Doivent-ils exercer leur métier avec justice et équité ou se livrer à des bricolages ?
Source : Le Figaro
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Cyril LAZARO
Mardi 18 juin 2013 2 18 /06 /Juin /2013 20:42Et voici un nouvel épisode de ma vie mouvementée à Disneyland Paris.
Mon employeur décide de manière unilatérale de me faire changer de travail... sans promotion naturellement.Il a donc décidé de me remettre en forme en me faisant faire de la manutention ad vitam eternam. Certainement un effet de benchmarking inspiré d'un camp de rééducation par le travail .
S'ils voulaient me pousser à démissionner, ils ne s'y prendraient pas autrement.
Y aurait-il du harcèlement dans l'air? De la discrimination syndicale? Ou les deux à la fois?
C'est donc avec impatience que j'attends le courrier qui doit finaliser la bonne nouvelle. Courrier que je me ferai un plaisir de mettre sur ce modeste blog avec une réponse qui s'annonce d'avance savoureuse, faites-moi confiance, car quand on aime, on ne compte pas...
Il faut dire que dans mon cas personnel, dire non ne suffit plus. Ils font quand même!
Il n'y a pas à dire, Disney prend vraiment soin de ses salariés... surtout des "seniors". D'ailleurs, la dernière campagne de mon employeur s'inscrit autour du thème : "Faire rêver, c'est un métier".
Hé bien pour moi et pour des milliers d'autres salariés de l'entreprise, cela fait un moment que tout cela ne nous fait plus vraiment rêver, on est plutôt à la limite du cauchemard.
A Disneyland Paris, il n'y a à l'évidence plus que les syndicats qui rêvent encore!
Et pour revenir à mon cas précis, faire valoir ses droits, ce n'est pas une sinécure.Entre un Directeur d'Etablissement qui était président du Comité d'Entreprise au moment des malversations et un secrétaire du CHSCT qui était le secrétaire du Comité d'Entreprise au moment des malversations, il est clair qu'ils ne sont pas très enclin à m'écouter.
Mort de rire.Nul doute que le meilleur est encore à venir.
Amitiés à tous et à toutes
Cyril LAZARO
Représentant du personnel CGT à Disneyland Paris