• le col du galibier

    Hautes Alpes     col du Galibier     Le col est accessible depuis le versant nord ou le versant sud, celui-ci étant accessible par deux routes se rejoignant à quelques kilomètres du sommet.     Versant nord     Profil du versant nord depuis Saint-Michel-de-Maurienne.     Depuis Saint-Michel-de-Maurienne, la longueur de l'ascension est d'environ 34,5 km à 6,6 % de moyenne. Cela implique d’abord de grimper le col du Télégraphe soit 12 km à 7 %, puis de descendre    sur Valloire avant d'entamer la montée vers le col du Galibier.     Dès le départ de Saint-Michel-de-Maurienne, on aperçoit déjà le fort du Télégraphe plus haut. On entre ensuite dans la commune de Saint-Martin-d'Arc, depuis la sortie de laquelle on domine déjà    Saint-Michel-de-Maurienne. Les premiers kilomètres du col du Télégraphe affichent une déclivité de 8 % alors que l’ascension, après avoir traversé communes et hameaux pendant les trois premiers    kilomètres, s’effectue maintenant dans la forêt. Plus tard, on laisse la route à gauche menant à Valmeinier et on continue tout droit vers le Télégraphe. La pente se radoucit une première fois    avec 5,5 % au niveau d’un buste sur le côté gauche de la route. Les trois derniers kilomètres du col du Télégraphe ont une moyenne de 6,5 % selon un panneau indicateur rond, ce qui est moins dur    que les premiers kilomètres. À 100 mètres du sommet du col du Télégraphe, on peut apprécier le panorama sur Saint-Michel-de-Maurienne, l’autoroute A43 et les petits villages plus élevés. Le    sommet du col du Télégraphe, à 1 566 m d’altitude, est marqué par des panneaux d’information en bois et un restaurant, le Relais du Télégraphe. Le petit bémol du col du Télégraphe est sa forte    circulation automobile, assez importante jusqu’à Valloire. Il faut ensuite descendre 5 km jusqu’à Valloire en traversant des petits hameaux.   

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    http://i39.tinypic.com/zvecsl.jpggrand Galibier  

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    http://i41.tinypic.com/2j1uelv.jpg le col du galibier http://www.imagerun.info/img139/0hua3z52kmawwxoo.png


  • Mercredi 31 juillet 2013 3 31 /07 /Juil /2013 06:30

    Argent-livret-A.pngLes banquiers reçus à l’Élysée    vendredi 19 juillet dernier ont de quoi se féliciter. Leur lobbying a fonctionné.
        Alors que le crédit bancaire aux entreprises est rationné (-2 % entre avril 2012 et avril 2013 des encours de crédits aux entreprises), le gouvernement vient d'annoncer un transfert de 30    milliards d'euros sur la collecte de l'épargne réglementée, notamment le Livret A servant au financement du logement social, au bénéfice des banques, si celles-ci s'engagent à financer les    crédits des PME.
        Cette annonce est faite au moment même où le projet de loi sur le logement, débattu à l'Assemblée, va mettre à contribution les locataires du logement social pour soutenir les organismes du    logement social étranglés financièrement par des crédits à la construction trop cher et des subventions publiques en baisse.
        La démarche du gouvernement est choquante.
        L'argument qui consiste à dire qu'elles n'auront pas les moyens d'honorer les demandes de crédits auxquelles elles devront faire face en cas de reprise est honteux. Les banques françaises ont un    niveau d'actifs équivalent à 4 fois le PIB (8 000 Mds d'euros). Elles ont bénéficié avec toutes les banques européennes de 1000 milliards d'euros de prêts par la BCE en 2012, pour relancer    l'investissement, qu'elles ont rapidement investis sur les marchés financiers !
        Les subventionner sans contreparties réelles par des fonds destinés au développement social et censés financer l'économie réelle, même si elle moins rentable que le placement sur les marchés,    revient à les encourager à poursuivre dans cette voie. C'est un nouveau cadeau fait aux banques.
        Les banques n'ont donc pas d'inquiétude à se faire. Non seulement les réglementations prudentielles et fiscales qui leurs sont imposées en réponse à la crise financière, ne leur coûtera pas un    centime, mais l'État prendra aussi en charge à leur place tous les coûts induits d'investissements potentiels à venir dans l'économie réelle.
        En réalité, le gouvernement n'attend pas des banques du pays un engagement dans la croissance réelle. Cette recapitalisation bancaire sur fonds public montre bien qu'il est en train de leur    rendre grassement ce qu'il fait mine de leur retirer publiquement.  

     

  • La crise de l'Union Européenne [vidéos]

    M-PEP-nouveau  

    Vous trouverez ci-dessous les vidéos de l'université d'automne 2012 du M'PEP (La Baume-lez-Aix, novembre 2012), filière 1     « La crise de et dans l’Union européenne ».  

       

    • Vidéo « Où en est-on de la dette publique      ? » Intervention d’André-Jacques Holbecq, chercheur indépendant, dernier ouvrage publié : « Argent, dettes et banques », éditions      Yves Michel, 2010. http://www.m-pep.org/spip.php?article3186    

           

           

    • Vidéo « Le TSCG : contenu, conséquences et mobilisations, et maintenant      ? » Introduction de Joël Périchaud, secrétaire national du M’PEP à l’organisation. Intervention de Christian Schneider, secrétaire national du M’PEP chargé des questions de commerce      international. http://www.m-pep.org/spip.php?article3154    

           

           

    • Vidéos « Point sur la crise de l’euro » Introduction de Gilles Amiel de Ménard, porte-parole du M’PEP. Intervention de Jacques Nikonoff, porte-parole du M’PEP, auteur de « Sortons de l’euro ! », Mille et une      nuits. http://www.m-pep.org/spip.php?article3120    

           

    Le 29 juillet 2013


  • Catégorie C : un engagement verbal sans priorité concrète

           

    Catégorie C :  

       

    un engagement verbal sans priorité concrète  

           

    Le 23 juillet, le ministère de la Fonction publique a réuni les organisations syndicales, après leur rejet unanime des conditions de reclassement    sur la nouvelle grille temporaire proposée par le ministère.  

       

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    L’austérité salariale est une impasse  

      Le 7 février 2013, la ministre de la Fonction publique faisait un constat sans concession de la grille indiciaire dans la Fonction publique, de la    politique indemnitaire, et établissait une priorité pour la catégorie C : _ "En l’espace de cinq ans, la grille de la catégorie C a été déstructurée par les hausses successives du SMIC    et le gel du point. Plus d’un million de fonctionnaires ont aujourd’hui un traitement proche du salaire minimum ...     Le Gouvernement entend avancer rapidement sur ce sujet et vous proposer un ensemble de mesures applicables au 1er janvier 2014… Dans le même temps, les régimes indemnitaires ont pris une place de    plus en plus importante au détriment des grilles. »  

       

    Le gouvernement justifiait son refus d’une augmentation du point d’indice par son choix de concentrer ses marges de manoeuvres budgétaires sur la    catégorie C et les agents les moins rémunérés.  

       

    Depuis le début la CGT considère qu’une démarche isolant une catégorie par rapport à une autre est une impasse, qu’il faut passer au plus vite à une    négociation sur l’ensemble de la grille, et affronter la question du pouvoir d’achat en relevant la valeur du point d’indice. Des mesures partielles ne sont pas tenables dans le cadre de la    politique d’austérité qui est imposée à la Fonction publique et à ses agents.  

       

    L’analyse de la CGT est malheureusement confirmée et au-delà, par les décisions du gouvernement pour la catégorie C.  

       

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    Un engagement que la ministre n’arrive pas à tenir  

       

    Le 21 mai 2013, la Fonction publique proposait aux syndicats un abondement uniforme de 7 points d’indice pour la catégorie C, sauf pour le haut de    l’échelle 5 (adjoint principal de 2ème classe,..) et pour l’échelle 6 (adjoint principal de 1ère classe,…), qui restaient inchangés. En 2015, une nouvelle attribution uniforme de points d’indice    mais sur toute la grille était prévue, de sans doute 5 points.  

       

    L’ensemble des organisations syndicales ont considéré ces propositions extrêmement insuffisantes par rapport à la situation de la catégorie    C.  

       

    Le 28 juin 2013, la Fonction publique a présenté une nouvelle grille de carrière de la catégorie C, temporaire pour la période du 1er janvier 2014 à    2015.  

       

    Si elle était véritablement temporaire, cette nouvelle grille pouvait représenter une amélioration pour la situation des agents de catégorie C. Par    exemple, l’indice de sommet passait de l’indice majoré 430 à l’indice 457 en 2014. Un minimum de progression indiciaire entre échelons était aussi rétabli. Au 1er janvier 2015 une attribution    uniforme de 5 points supplémentaires d’indice sur toute la grille est aussi prévue.  

       

    Le 7 juillet, la Fonction publique a présenté aux syndicats des conditions de reclassement sur la nouvelle grille, équivalentes en moyenne à un    abondement de 5 points d’indice par agent. De très nombreux agents auraient été reclassés à un, voire plusieurs, échelons inférieurs à celui qu’ils détiennent dans la grille actuelle. L’ensemble    des syndicats a rejeté cette proposition, qui fait perdre tout intérêt à cette nouvelle grille, devant de plus être remplacée à l’issue des négociations ouvertes cet automne.  

       

    Le 23 juillet, la Fonction publique représente la même grille, en éliminant quelques reclassements d’échelon qui n’apportait qu’un seul point    d’indice, voire aucun.  

       

    L’ensemble des organisations syndicales ayant répété que la proposition restait aussi inacceptable pour les agents, le cabinet du ministère a    indiqué qu’il retirait la proposition de nouvelle grille temporaire pour la catégorie C, et qu’il attribuerait au 1er janvier 2014 le même nombre de points à toute la grille (4, 5,    6,… ?).  

       

    Une réunion sera convoquée fin août ou début septembre pour présenter le dispositif retenu. Si les négociations n’avaient pas assez avancé en 2014,    une nouvelle attribution uniforme de points d’indice en 2015 (5 points) aura lieu.  

       

    Pour aggraver encore les choses, les ratios de promotion sont encore en baisse pour 2013 et 2014 dans toute la Fonction publique, contredisant une    fois de plus les intentions déclarées de la Ministre.  

       

    Tout cela confirme que pour faire aboutir de justes et indispensables réformes sur les carrières, il faut sortir d’urgence d’une politique    d’austérité, dont il ne peut rien sortir de bon.  

       

    Pour la CGT, le temps des demi-mesures et du dialogue social biaisé est terminé.  

       

    C’est refaire l’ensemble de la grille indiciaire de la Fonction publique, toutes catégories confondues, qui est nécessaire, dès cet automne. Ce sont    des mesures salariales d’ensemble, pour en finir avec le gel du point d’indice et rattraper les pertes accumulées, qui sont nécessaires.  

       

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    C’est l’intervention des personnels, sur leurs revendications, tous ensembles, pour sortir de la politique d’austérité ne permettant aucune réponse    catégorielle, qui est nécessaire.  

           

    Mobilisons-nous, en commençant par le 10 septembre !