• profencampagne

     
    Lundi 2 décembre 2013 1 02 /12 /Déc /2013 20:18
     
     
     

  • SNCF : quand Pepy investit dans la privatisation

    Publié le 3 Décembre 2013

    Ce n'est pas une des nouvelles spéculations sorties des cavernes cérébrales de Canaille le Rouge mais un très sérieux article d'un portail internet aussi confidentiel que bien informée "MobiliCités :

    Avant de laisser la paroles au parrains, donnons là à un expert :

     

    "Sénateur UMP et président de la Fédération des industries ferroviaire (FIF), Louis Nègre ne tarit pas d’éloge sur cette concrétisation : "Un grand rendez vous. C’est la première fois depuis la guerre qu’un fonds associe public et privé dans ce secteur", nous rapporte le journaliste (qui fait partie de la suite médiatique de la Pepy's connexion).

     

    Si après cela un(e) cheminot(e) actif(ve) ou retraité(e)attaché(e) au Service Public ne se sent pas concerné par la journée d'action du 12 décembre ...

    SNCF : quand Pepy investit dans la privatisation

    Le port autonome de La Rochelle comme opérateur ferroviaire, en plein coeur de la Ségolènerie, c'est déjà pas triste...mais mais mais  allez jeter un oeil sur l'anecdotique après le principal de la p@ges ;-) ...comme on se retrouve. 

     

    A partir de l'exemple de La Rochelle lancé en 2010 sous Sarkozy et Pepy la ligne se confirme en 2013 sous Pepy et Blummollet.

    De NKM à Cuvillier, une touchante continuité de l'état pour brader les valeurs de la République dont son Service Publoc fait partie.

     

    "Croissance Rail", c'est le nom du fonds d'investissements de 40 millions d'euros lancé par BPIFrance allié aux grands acteurs du ferroviaire, Alstom, SNCF, Bombardier, RATP et la Banque publique d'investissement. Il doit permettre de faire émerger les entreprises de taille intermédiaire qui font défaut à cette filière industrielle. 

     

    Quatorze millions d’euros apportés par Alstom, dix autres par Bpifrance, sept par la SNCF, six par Bombardier et trois par la RATP : telle est la composition du fonds d’investissement "Croissance rail" lancé sous l’égide de la banque publique d'investissement Bpifrance. Il a été présenté officiellement le 26 novembre 2013 au ministère des transports.

    L'objectif ? Financer le développement de PME-PMI du secteur ferroviaire (matériel roulant, infrastructures, services, systèmes) en apportant à leur capital un à quatre millions d’euros pour une durée d’investissement de quatre ans. Dix à quinze PME pourraient être sélectionnées pour se répartir les 40 millions d’euros du fonds.
     

    "Pas un fonds de rentiers"

    "Nous souhaitons aider à la constitution d’entreprises de taille intermédiaire et ce fonds est là pour ça", souligne le ministre délégué aux Transports Frédéric Cuvillier. Il ne s’agit pas de soutenir des entreprises en difficulté mais de renforcer celles qui ont besoin de se développer"

    Et son collègue du Redressement productif, Arnaud Montebourg d’ajouter : "Ce système de fonds permet de construire la solidité de la filière sur un mode coopératif associant grandes, moyennes et petites entreprises (...) Ce n’est pas un fonds de rentier mais pour des industriels qui prennent des risques" 

     

     

    L'auteur de l'article poursuit, dès fois que les volontaires hésitent à venir taper à la porte de Guiillaime III :

     

    Redistribution

    Ces dernières années, les grandes réflexions stratégiques (Assises de l’industrie, Assises du ferroviaire), les initiatives de prestige (création de Fer de France) et les déclarations d’intention pour traverser la crise et tenter de conquérir le monde se sont multipliées venue de la filière industrielle ou de l’Etat. Avec des résultats peu convaincants. 
    Croissance Rail est peut-être une des premières réponses pragmatiques. Habitués à pleurnicher, les grands faiseurs ont cette fois, sorti leur carnet de chèque.

    "C’est en effet très nouveau, commente un industriel. Les opérateurs publics et les grands industriels Alstom et Bombardier qui vivent essentiellement de commandes publiques en France ont décidé de redistribuer un peu d’argent aux petits acteurs de la filière, sans lesquels il n’y aurait pas de filière".  

    Si l’existence de Croissance Rail, animé par Pierre Farin, vient seulement d’être officialisé pour des questions d’agenda ministériel,  le fonds avait en fait été lancé en septembre 2013. "Plusieurs demandes de PME sont déjà sur la table. Nous examinons plusieurs dossiers", confie un des partenaires du fonds.

    Marc Fressoz

     

     

    * l'anecdote à propos des PME du ferroviaire, en voila une :

     

    oui, oui, c'est bien lui

    oui, oui, c'est bien lui

    Vous savez, celui qui comme président de la FNSEA encourage les "faux nez" rouge à lutter contre tout ce qui ressemble à des activités publiques, outre sa petite ferme de 500 HA  et ses quotas laitiers dispose de suffisament de loisir pour être président (depuis 2008) du Grand Port Autonome de La Rochelle (ou l'Etat et les collectivités trerritoriales sont majoritaires et le confirment) et d'où il organise les raids privatifs contre la SNCF 

    Accessoirement il est aussi  président deSofiprotéol, groupe agro-industriel (chiffre d'affaires 5.5 milliards d'euros en 2009). 

    Rédigé par Canaille Lerouge

    Publié dans #Cheminots et luttes - l'avis duraille


  • Mardi 3 décembre 2013 2 03 /12 /Déc /2013 09:43 - Communauté : les anti-capitalistes PUBLIE  PAR  DIABLO

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  • Mardi 3 décembre 2013 2 03 /12 /Déc /2013 09:40 - Communauté : les anti-capitalistes PUBLIE  PAR  DIABLO

    M-PEP-nouveau

    S’OPPOSER A LA FABRICATION DU NOUVEL INDIVIDUALISME DE L’ « HOMME NOUVEAU » NÉOLIBÉRAL
     
    par le Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP)
     
    Le 2 décembre 2013

     
     
    Résumé:

    La mondialisation n’est pas une nouvelle phase du capitalisme, et le néolibéralisme n’est pas non plus la simple continuité du libéralisme. Le néolibéralisme ne se réduit pas à l’économie, afin de faciliter le libre-échange et la concurrence, où de maximiser les profits. Il s’occupe aussi des cerveaux, afin de les rendre « disponibles », comme l’a dit l’ancien patron de TF1 en expliquant que les émissions de télévision n’avaient qu’un seul but : rendre les cerveaux « disponibles » à la publicité des annonceurs. Le néolibéralisme fait de la dissémination d’armes de destruction sociale et démocratique massive au moyen des « valeurs du marché », c’est-à-dire la marchandisation. La marchandisation, c’est l’invasion, par une prétendue rationalité économique, de territoires qui jusqu’à présent étaient considérés comme hors économie, l’éducation par exemple.

    Sommaire:
     

    I.- L’ÉGOÏSME INTÉRESSE AUX COMMANDES

    II.- L’ÉQUILIBRE DES PASSIONS OU L’INDIVIDUALISME DÉBRIDÉ ?

    III.- ROBINSONNADES ET INDIVIDUS CALCULATEURS : ANTHROPOLOGIE (...)

    IV.- LE DOUBLE ÉCHEC DU LIBÉRALISME : SCIENTIFIQUE ET MORAL
    A.- Une psychologie de la nature humaine, fondatrice de l’utilitarisme

    B.- L’échec moral

     


  • Mardi 3 décembre 2013 2 03 /12 /Déc /2013 09:35 - Communauté : Syndicalisme PUBLIE  PAR  DIABLO

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