• Législatives : quand Macron recycle les ministres de Hollande

     

    Plus les investitures de la République En marche ! s’affinent et plus la résurgence des gouvernements Hollande prend forme. La liste des circonscriptions sur lesquelles le mouvement de M. Macron n’investit pas de candidat laisse ainsi apparaître que la majorité des ministres du quinquennat Hollande qui se représente se voit protégée. Les coupables du quinquennat précédent sont donc recyclés. Le renouvellement annoncé par M. Macron est donc d’abord affaire de continuité. 

    Il y a avait dans le dernier gouvernement Hollande 18 ministres de plein exercice en comptant le 1er ministre. Parmi ceux-ci, 8 d’entre-eux ne se présentent pas aux législatives à venir : MM. Ayrault, Cazeneuve, Sapin, Baylet, Kanner et Mmes Royal, Azoulay et Rossignol qui elle redevient sénatrice.

    Parmi les 10 autres ministres sortants, deux ont poursuivi leur carrière ministérielle sous les ordres de M. Macron : M. Le Drian et Mme Girardin, même si Emmanuel Macron avait affirmé qu’il n’y aurait aucun ministre des gouvernements Hollande dans le sien.

    N’en reste donc plus que 8. Et parmi ceux-ci, quatre d’entre-eux bénéficient de la mansuétude présidentielle en n’ayant pas d’opposant de LRM lors des législatives : l’ancien porte-parole du gouvernement et très hollandais M. Le Foll, ainsi que les ministres El-Khomri, Marisol Touraine, Ericka Bareigts. Ajoutez à cela des secrétaires d’état pareillement épargnés comme George Pau Langevin et vous avez sous les yeux la grande lessiveuse macroniste qui essore le PS tout en préservant les vieux habits défraîchis.

    La méthode vaut bien sûr également pour M. Valls qui, lui non plus, comble de la tartufferie, ne se verra opposé ni candidat Macron…ni candidat PS. D’ailleurs, à y regarder de plus près, l’examen du dernier gouvernement de M. Valls est tout aussi éclairant : sur les 18 ministres de plein exercice, là encore 8 ne se représentent pas (MM. Ayrault, Sapin, Cazeneuve, Baylet et Kanner et Mmes Royal, Rossignol et Azoulay). Mais sur les 10 qui restent, 7 sont recyclés par M. Macron, soit qu’ils soient déjà dans son gouvernement (M. Le Drian et Mme Girardin), soit qu’ils se voient ménagés pour une symbiose future (M. Valls et Le Foll et Mmes Touraine, El Khomri et Bareight) : 70 % ! Il faut dire qu’il s’agit du gouvernement dont M. Macron était lui-même membre.

    Aux législatives, que vous soyez dans une de ces circonscriptions ou ailleurs, la punition sera la même : si vous votez pour les candidats présentés ou préservés par M. Macron, vous recyclerez le pire du vieux PS déconfit. Pour faire place nette et dégager les responsables des politiques passées et à venir, il n’y a pas d’autre choix que de voter pour une majorité insoumise.


  • 22 Mai 2017

    Publié par El Diablo

    Non à l'OTAN - Non à la guerre – MANIFESTATION – BRUXELLES les 24 et 25 mai 2017

    Non à l'OTAN - Non à la guerre

    Tous à Bruxelles les 24 et 25 mai 2017

    Les 25 et 26 mai 2017, un sommet de l'OTAN se tiendra à Bruxelles pour l'inauguration de son nouveau siège. Ce sera la première visite en Europe de D. Trump depuis son élection.

    Un collectif international regroupant plus de 500 organisations venant de plus de 50 pays (chiffres provisoires, en augmentation continue) organisera à cette occasion :

    -Le 24 mai : une grande manifestation dans Bruxelles pour la « bienvenue » à M. Trump et pour demander la dissolution de l'OTAN.

    -Le 25 mai: un contre-sommet dans des locaux dans le centre de Bruxelles avec débats, ateliers, projection de vidéos, témoignages, ...

    Autocar depuis Paris:

    Un autocar affrété par la CGT partira de la place de la République à Paris le 24 mai à 11h environ pour la manifestation de Bruxelles, retour le soir même avant minuit (avant le dernier métro !)

    Participation aux frais : 50 euros

    Si vous êtes intéressé(e)s, dites-le nous très vite, dans la mesure des places disponibles selon la formule habituelle : contact@otan-non.org

    Nous devons exiger :

    -que la France sorte complètement de l'OTAN, qui devra être dissoute ensuite,

    -que l'OTAN cesse de nous désigner nos ennemis,

    -que la France développe des relations « courtoises », sans vouloir les humilier, avec tous les pays, au-delà des désaccords qui pourraient exister (Russie et Chine par exemple)

    -que la France participe à la Conférence des Nations Unies pour un traité d'interdiction des armes nucléaires en juin 2017 prochain,

    -une véritable sécurité des peuples du monde entier, sans recours à un bouclier anti-missiles par essence agressif, par des partenariats mutuellement profitables,

    -un arrêt de l'escalade des budgets d'armement,

    -un traité sur le commerce des armes incluant un embargo dans les régions en guerre.

    Seule une mobilisation de tous les peuples du monde nous permettra de l'obtenir.

    Pour plus de détails :
    www.stopnato2017.org
    www.otan-non.org

    SOURCE :


  • 22 Mai 2017

    Publié par El Diablo

    Une déclaration des communistes insoumis : STOP A LA CONFUSION POUR UN VOTE SANS AMBIGUÏTÉ AUX LÉGISLATIVES

    STOP A LA CONFUSION POUR UN VOTE

    SANS AMBIGUÏTÉ AUX LÉGISLATIVES

    « Alors que la confusion des valeurs s’établit au sommet de l’Etat, les communistes rassemblés dans la France insoumise sont inquiets de la multiplication d’accords aux législatives qui en rajoutent sur le brouillage politique actuel.

    Le PS, EELV et le PCF successivement dans trois départements, le Jura, les Yvelines et la Marne et de façon plus éparpillée dans des circonscriptions diverses en France ont conclu des alliances sans clarté.

    Ces alliances du type « union de la gauche » ont été condamnées par les électeurs de gauche justement, dès lors qu’ils et elles se sont rendu compte du ralliement de Hollande et de ses gouvernements aux politiques libérales menées par la droite.

    Ces alliances ne donnent pas non plus de sécurité aux électeurs sur l’attitude à venir de ces candidats puisque nombre de députés socialistes sont déjà passé dans le camp du président et d’autres sont prêts à le rejoindre sitôt élus.

    Le vote des citoyens et des citoyennes ne peut être confisqué par les politiciens qui s’entendent entre eux pour faire toujours la même politique.

    Le seul vote non récupérable est celui en faveur de toutes les candidates et de tous les candidats soutenus par la France insoumise.

    Si les 7 000 000 d’électrices et d’électeurs qui ont soutenu le programme « l’avenir en commun » confirment leur vote aux législatives et invitent celles et ceux qui se sentent floués ou abandonnés par les partis pour lesquels ils ou elles ont voté à faire de même, alors une nouvelle majorité est possible.

    La seule majorité qui respectera votre vote et ne fera aucun compromis avec le président libéral.

    Nous appelons au rassemblement le plus large autour de ce vote sans ambiguïté aux élections législatives en faveur des candidates et des candidats soutenus par La France insoumise »

    Espace politique les communistes insoumis :

    Christian Audoin, Bernard Bandelier, Francis Parny, David Pellicer, Françoise Quainquard.

    SOURCE : Facebook

    YVELINES : Les socialistes, les communistes, les radicaux de gauche et les écologistes ont passé des accords sur cinq circonscriptions, où les candidats se présenteront sous la bannière PCF-PS-EELV-PRG. Angéline Silly, conseillère municipale (PS) de Saint-Germain-en-Laye, a ainsi décidé de retirer sa candidature sur la 6e (Saint-Germain-en-Laye), au profit de Josiane Dupé-Suarez, (PCF), dont elle devient la suppléante Changement également pour la 3e (Le Chesnay) où le PC se retire pour laisser le champ libre à Nicolas Hue (PS). Sur la 2e (Vélizy), Colette Gergen (PCF) sera la suppléante de Tanguy Ruellan (EELV). La 7e (Conflans) a été réservée à Gislaine Séné (EELV) et la 5e (Houilles) à Isabelle Amaglio-Terisse (PRG).

    SOURCE: Le parisien.fr

     

    JURA : PS, PCF et EELV présentent des candidats en commun

    Les trois partis présentent des candidats uniques dans chacune des trois circonscriptions et veulent défendre une gauche socialiste et écologiste.

    […]

    LIEN VERS LA SUITE DE L’ARTICLE CI-DESSOUS


  • 22 Mai 2017

    Publié par El Diablo

    Mascarade de L'ANTIFASCISME
    Mascarade de L'ANTIFASCISME

    La plupart des réflexions ci-après sont issues de la lecture du Crépuscule de la France d’en Haut de Christophe Guilluy (Flammarion 2016)

    Pier Paolo Pasolini soulignait déjà en 1974 (!) qu’en abandonnant la question sociale, la gauche chercherait à instrumentaliser un « antifascisme facile qui a pour objet un fascisme archaïque qui n’existe plus et n’existera plus jamais ». Lionel Jospin reconnaîtra plus tard que cette « lutte antifasciste en France n’a été que du théâtre » et que le « Front national n’est pas un parti fasciste ». Et ce n’est pas un hasard si de BHL à Pierre Bergé, du MEDEF au entreprises du CAC 40, de Hollywood à Canal plus, les plus grands pourfendeurs du « fascisme » sont aussi les meilleurs zélateurs de la mondialisation. On remarque également que bien souvent les groupes « antifa » recrutent leurs membres non parmi les ouvriers mais parmi les jeunes diplômés de la bourgeoisie.

    Cette instrumentalisation de l’antifascisme permet à des élites, qui devraient pourtant être totalement délégitimées et décrédibilisées – ne serait-ce que de par leurs résultats et les scandales à répétition –, de se trouver à bon compte une supériorité morale d’une part et en réduisant toute critique de la mondialisation à une dérive fasciste et/ou raciste. Bien évidemment, cette posture nécessite un ennemi et celui-ci est trouvé : le Front national, qu’il faut alors sur-médiatiser. Pour « lutter contre le fascisme », il s’agit alors, ni plus ni moins, que d’en faire la promotion ! et l’on se lance dans un « combat à mort » où l’on évitera à tout prix de détruire son adversaire pour, tout au contraire, en assurer la longévité. Mais en pratique, ce n’est pas vraiment le FN qui est en ligne de mire mais les classes populaires dans leur ensemble, le problème étant que ce n’est pas tant le FN qui influence les classes populaires que l’inverse : « le FN n’est qu’un symptôme d’un refus radical des classes populaires du modèle mondialisé » et les classes supérieures cherchent alors à fasciser les classes populaires pour discréditer et délégitimer leur diagnostic, « un « diagnostic d’en bas » qu’on appelle populisme ».

    Il ne s’agit ainsi donc pas tant de cesser de dénoncer le Front National pour ce qu’il est réellement (un parti démagogue, opportuniste, sans réelles convictions ni programme consistant (1), conservant encore et toujours ses relents xénophobes et ses fréquentations plus que douteuses – lire Ce qu’est le FN ce qu’il n’est pas), mais d’admettre qu’à lui seul il n’est certes pas en mesure de mettre la République en péril (sinon il aurait dû être interdit depuis longtemps !). Par contre, beaucoup plus inquiétante est l’évolution prise par le mouvement « En Marche ! » et son guide charismatique, tout frais moulu président de la République (lire Emmanuel Macron : en marche vers le fascisme ?). D’autant plus que bien peu ont relevé (et se sont inquiété) du fait (entre tant d’autres choses !), qu’avant même l’élection de M. Macron, il était possible pour une grande radio publique de censurer quiconque n’appelait pas à voter pour le camp du Bien au point d’en acculer l’humoriste Emmanuel Barré à démissionner de France Inter (2).

    Rappelons également qu'historiquement l'extrême-droite n'a pas le monopole du fascisme, loin de là : les différents mouvements fascistes recrutèrent souvent abondamment à "gauche", à commencer par Benito Mussolini et Pierre Laval qui firent leurs premières armes politiques respectivement au parti socialiste italien à la SFIO (tandis qu'à l'opposé, par exemple, la Résistance française compta nombre de membres anciennement issus de mouvements d'extrême-droite).

     

    (1) Et sur ce point la prestation de Mme Le Pen au débat de l’entre-deux-tours fut criante de vérité.

    (2) Benoît Rayski, “Censuré”, l’humoriste Pierre-Emmanuel Barré quitte France Inter [archive],causeur.fr, 27 avril 2017

    S. C., Benoît Daragon et Michaël Zoltobroda, « S’estimant « censuré », l’humoriste Pierre-Emmanuel Barré démissionne de France Inter » [archive], sur Le Parisien, 26 avril 2017.

    « L'humoriste Pierre-Emmanuel Barré quitte France Inter » [archive], sur Le Figaro (consulté le 27 avril 2017).

    SOURCE :

     

     


  • Jeux sanglants


    Par James Howrad Kunstler − Le 12 mai 2017 − Source kunstler.com

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    Ce que vous voyez, dans les miasmes politiques du « RussiaGate », est un exercice de nostalgie. En dehors de l’exploit symbolique d’avoir obtenu un président « noir » élu librement en 2008 (rappelez-vous, M. Obama est également à moitié blanc), le Parti démocrate n’a pas connu un seul triomphe politique en un demi-siècle correspondant à l’extravagance du Watergate de 1972 à 1974, qui a abouti au départ de M. Nixon, grimé en Prince des Ténèbres lors de ses vieux jours. Le Watergate avait eu une fin plus satisfaisante que La fiancée de Dracula.

     
    Ainsi, dans son triste état actuel, dépourvu d’idées politiques utiles, centré autour de conflits de race et de genre, le plus souvent préfabriqués, psychologiquement paralysé par la défaite électorale d’un candidat misérable face au Golem d’or de la Grandeur à Nouveau, le Parti démocrate revient en force avec un gambit qui a si bien fonctionné il y a des années : combattre le diable avec une enquête au Congrès.

    Avec le président Trump (ouah… quel concept !), ils ont une cible beaucoup plus juteuse que le Vieux Nixie. Ce n’était pas pour rien qu’ils l’appelaient « Dick le tordu ». Il est revenu d’une mort politique, deux fois dans sa carrière. La première fois, alors qu’il concourait comme vice-président de Dwight Eisenhower, il a été accusé d’avoir accepté en cadeau un manteau en peau de vigogne pour sa femme, Pat, et d’autres émoluments secrets en espèces. Il a vaincu ce sort, lors d’une des premières représentations épiques de l’âge de la télévision, le « Checkers Speech » – Checkers étant le cocker de la famille, que Nixon avait invoqué comme représentant de sa propre naïve innocence. Cela a vraiment bien marché.

    La deuxième quasi-mort a été sa défaite dans la course pour l’élection de gouverneur de Californie de 1962, suite à sa défaite à l’élection présidentielle de 1960 face à John F. Kennedy. « Vous n’aurez plus Nixon pour faire un croche pied… » dit-il à la presse. Mais il est sorti de sa tombe en 1968 – après avoir fortifié son compte bancaire en pratiquant le droit à Wall Street – alors que la guerre du Vietnam déchirait le pays (et détruisait le Parti démocrate de Lyndon Johnson et Hubert Humphrey).

    On a un peu oublié que, lors de son premier mandat, Nixon a fonctionné comme un exécutif très compétent, présidant à l’adoption d’une législation sociale et environnementale qui serait considérée comme progressiste aujourd’hui – bien qu’il soit encore mêlé au problème sans fin du Vietnam. Mais alors que, pendant la campagne de réélection de 1972, il a été un peu trop mignon – ou, au moins, ses soutiens de campagne le furent, embauchant un paquet de garçons de courses ex-CIA pour quadriller les bureaux de la DNC, qui ont ensuite été pris au piège sur la scène du crime, le sous-sol du complexe d’appartements du Watergate… et le reste, c’est l’Histoire.

    Quelle fabuleuse inquisition a été le Watergate ! Quels personnages de casting colorés : le vieux et vilain « avocat marron », le sénateur Sam Ervin, l’incroyable inquisiteur, le Professeur Sam Dash, les chevaliers républicains déchaînés, Elliot Richardson et Archibald Cox, John Dean, le solitaire et héroïque fuitant Gorge Profonde ! Et beaucoup d’autres. Les audiences de Watergate à la télévision étaient plus passionnantes que l’émission Downtown Abby. Une fois que le vieux Nixie eut fait le choix de la non-coopération et de la dérobade – on parle d’une dérobade dont il n’avait peut-être même pas eu vent à l’époque – c’était de la viande morte.

    Je me souviens de cette douce journée d’août, quand il a jeté l’éponge. (J’étais un jeune journaliste, quand les journaux comptaient encore.) Ce fut quasiment comme un orgasme national. « NIXON SE RETIRE ! » ont crié les titres. Un instant plus tard, il était sur la passerelle de son hélicoptère pour la dernière fois. Et voyez, sortant des coulisses, le génial Gerald Ford

    Pardonnez-moi d’être pris de nostalgie, au point de me faire du mal. Et maintenant, nous sommes dans les premiers mois de la Trumptopia, sur le point d’appuyer sur le bouton replay pour une nouvelle inquisition télévisée. À mon humble avis, Donald Trump est une personnalité beaucoup plus troublante que ne l’a jamais été Dick le tordu, infantile, narcissique, parfois avec une pointe psychotique, mais l’histoire du RussiaGate est plutôt fragile. À ce stade, après environ dix mois d’enquête NSA-FBI, rien de concluant n’a révélé que les hommes de Trump auraient eu une quelconque « collusion » avec la Russie pour en tirer un avantage injuste, lors des élections contre qui-vous-savez. L’ancien chef de la NSA, James Clapper, a déclaré publiquement deux fois, en termes clairs, qu’il n’y avait aucune preuve à l’appui des allégations (jusqu’à présent).

    Et il ne reste que le spectre du contenu actuel de la « collusion » – commodément ignoré par la soi-disant « Résistance » et ses porteurs d’eau du New York Times – les courriels piratés qui illustrent toutes sortes de comportements réels de l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton et de la direction nationale du Parti démocrate. L’épisode du général Mike Flynn semble particulièrement léger, car il est du devoir des nouveaux responsables du corps des affaires étrangères d’entrer en contact avec les ambassadeurs à Washington. Pourquoi pensez-vous que les pays envoient des ambassadeurs dans d’autres pays ?

    Le résultat de tout cela sera un cirque politique pour le reste de l’année et l’abandon de toute entreprise réelle par le gouvernement, à un moment de l’Histoire où des cygnes noirs très lourds volent au-dessus des nuages, ​​en attendant de nous tomber dessus. Amusez-vous de ces histrions si vous osez, et ne faites pas attention à l’économie en panne, dont les effets continuent à se développer.

    James Howrad Kunstler

    Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par M pour le Saker Francophone