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    Cuba Coopération France <contact@cubacoop.org> Les nouveautés depuis le 27 avril 2017 La lettre électronique Hebdo de Cubacoopération Chers amis, Rentré dimanche de La Havane après une semaine intense de rencontres pour notamment préparer notre initiative de Novembre 2019, « Victor Hugo visionnaire de Paix » à l’occasion du 500e anniversaire de la capitale cubaine.  

     


  • il semblerait que les anciens patrons d'Emmanuel Macron sponsorisent tout de même l’enfant de la “maison” en toute discrétion.

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    Suivez les conseils de David Rothschild , votez Macron, mieux, aidez le en toute discrétion.

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    Aucune entreprise n’a financé le mouvement [En marche!, NDLR], aucune structure juridique, se défendait Emmanuel Macron sur BFM TV le 24 février.

    Certes. Mais il semblerait que ses anciens patrons sponsorisent tout de même l’enfant de la “maison” en toute discrétion.

    En témoigne ce texto envoyé il y a quelques mois par la direction de Rothschild à un listing très sélect de banquiers d’affaires de la place parisienne : « Chers amis, un cocktail dînatoire de levée de fonds est organisé pour Emmanuel Macron le 27 septembre à 20 heures à la Terrasse Martini, 50 avenue des Champs-Élysées. À cette occasion, Emmanuel vous fera part de sa vision et de ses propositions, cela sera aussi l’occasion de discuter avec lui de façon informelle. Si vous souhaitez vous joindre à nous, pourriez-vous le confirmer en répondant à ce SMS, en indiquant si vous serez accompagné. Pour des raisons de confidentialité, nous vous demandons une très grande discrétion autour de cet événement. »

    Selon En marche!, 6,5 millions d’euros de dons ont été récoltés auprès d’environ 20 000 particuliers. Seulement 3 % de ces dons seraient supérieurs à 5 000 euros.

    https://www.valeursactuelles.com/politique/coulisses-politiques-quand-rothschild-sponsorise-macron-72133

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    Un ex-Rothschild à l’Elysée

    Avril 2011. David de Rothschild suit avec toujours autant d’attention et d’intérêt la vie politique française. Il s’interroge : « Et qui voyez-vous comme candidat socialiste à la présidentielle ? » La question surprend. Depuis des semaines, la candidature de Dominique Strauss-Kahn s’impose dans tous les sondages. Les primaires socialistes seront pour lui une formalité, assure-t-on. Pourtant, David de Rothschild n’y croit pas. Il y a, chez DSK, ce je-ne-sais-quoi, cette réticence à se jeter dans le combat pour le pouvoir qui le gêne. « François Hollande, n’est-ce pas ? » poursuit-il. Dans la maison, Emmanuel Macron, le plus jeune associé gérant de la banque, a déjà rejoint l’équipe du futur candidat socialiste et travaille d’arrache-pied pour lui fournir des notes sur les sujets les plus divers.

    Tous se doutaient que ce brillant et atypique banquier d’affaires serait aspiré par le pouvoir. Quand il était arrivé à la banque, à 31 ans, en 2008, il avait déjà eu trois vies : étudiant en philosophie, il avait été assistant de Paul Ricoeur, avait commencé une thèse, avant de s’apercevoir que tout cela n’était pas pour lui. (…) Alors, il bifurqua vers la haute fonction publique (Sciences po, Ena) pour terminer, comme il se devait, dans la botte de l’Inspection des finances. A peine sorti de ses études, il est tenté par une troisième vie : la politique. Il s’embarqua pour faire de la politique locale chez les socialistes du Pas-de-Calais. Mais entre le jeune inspecteur des finances et les caciques de Liévin, le courant ne passe vraiment pas.

    Retour, donc, à l’Inspection des finances à temps plein. Il refuse d’intégrer un cabinet ministériel du gouvernement Sarkozy et reste à Bercy. C’est là que Jacques Attali le repère et l’appelle pour devenir rapporteur de sa commission sur la croissance. Les travaux de celle-ci ont connu le sort de toutes les précédentes : ils ont été enterrés dans les oubliettes de l’Histoire au premier obstacle, en l’occurrence la réforme des taxis parisiens !

    Mais entre-temps, sur les conseils de Serge Weinberg et les recommandations de Jacques Attali, Emmanuel Macron avait rejoint la Banque Rothschild. « J’ai eu de la chance, dit-il. J’avais un parcours très peu intelligible. Personne ne pouvait le comprendre ailleurs que chez Rothschild. » Tout en découvrant le métier de banquier d’affaires, les affaires internationales, il planchait sur le programme économique de François Hollande. Car cette vie de vif-argent, pour lui, ne pouvait avoir qu’un temps. Mi-avril 2012, tout en conseillant, en tant qu’associé de la banque, le groupe Nestlé pour le rachat – pour 11,9 milliards de dollars tout de même – de l’activité de nutrition infantile de Pfizer, face à Danone, il continuait à s’entretenir quotidiennement avec les proches du futur président, à les abreuver de notes et de réflexions sur la crise, la macroéconomie, les banques et autres. Jusqu’à ce qu’on l’appelle à l’Elysée...

     

    source

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  • C'est la triste vérité, nous sommes confrontés à un problème de style pédophile dit le psychothérapeute Adriano Segatori.

    Le professeur Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse du profil d’Emmanuel Macron, basée notamment sur sa biographie et ses images de campagne, le pousse à conclure, de manière très argumentée : « Macron est un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même. »

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    Si cette union avait eu lieu dans l'environnement social prolétaire, cet environnement qu'Emmanuel Macron méprise profondément, et bien E. Macron aurait été détruit, et aurait été suivi par les services sociaux...

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    Sylvain Wavelet a partagé la publication de Jean Pierre Pinon. (à voir sur FB )
      · 30 avril, 11:41 ·
     
     
    L’image contient peut-être : 3 personnes, costume
    Jean Pierre Pinon
      · 29 avril, 09:20 ·
     

    Je dédie ce poème au candidat de la règle d'or, dont le mépris envers le peuple est au moins équivalent à l'indifférence que le peuple insoumis porte à ce jeun...e arrogant, cupide et vaniteux.
    Jean Pierre Pinon.

    Victor Hugo.
    Jeune homme ! je te plains ; et cependant j'admire
    Ton grand parc enchanté qui semble nous sourire,
    Qui fait, vu de ton seuil, le tour de l'horizon,
    Grave ou joyeux suivant le jour et la saison,
    Coupé d'herbe et d'eau vive, et remplissant huit lieues
    De ses vagues massifs et de ses ombres bleues.
    J'admire ton domaine, et pourtant je te plains !
    Car dans ces bois touffus de tant de grandeur pleins,
    Où le printemps épanche un faste sans mesure,
    Quelle plus misérable et plus pauvre masure
    Qu'un homme usé, flétri, mort pour l'illusion,
    Riche et sans volupté, jeune et sans passion,
    Dont le coeur délabré, dans ses recoins livides,
    N'a plus qu'un triste amas d'anciennes coupes vides,
    Vases brisés qui n'ont rien gardé que l'ennui,
    Et d'où l'amour, la joie et la candeur ont fui !

    Oui, tu me fais pitié, toi qui crois faire envie !
    Ce splendide séjour sur ton coeur, sur ta vie,
    Jette une ombre ironique, et rit en écrasant
    Ton front terne et chétif d'un cadre éblouissant.

    Dis-moi, crois-tu, vraiment posséder ce royaume
    D'ombre et de fleurs, où l'arbre arrondi comme un dôme,
    L'étang, lame d'argent que le couchant fait d'or,
    L'allée entrant au bois comme un noir corridor,
    Et là, sur la forêt, ce mont qu'une tour garde,
    Font un groupe si beau pour l'âme qui regarde !
    Lieu sacré pour qui sait dans l'immense univers,
    Dans les prés, dans les eaux et dans les vallons verts,
    Retrouver les profils de la face éternelle
    Dont le visage humain n'est qu'une ombre charnelle !

    Que fais-tu donc ici ? Jamais on ne te voit,
    Quand le matin blanchit l'angle ardoisé du toit,
    Sortir, songer, cueillir la fleur, coupe irisée
    Que la plante à l'oiseau tend pleine de rosée,
    Et parfois t'arrêter, laissant pendre à ta main
    Un livre interrompu, debout sur le chemin,
    Quand le bruit du vent coupe en strophes incertaines
    Cette longue chanson qui coule des fontaines.

    Jamais tu n'as suivi de sommets en sommets
    La ligne des coteaux qui fait rêve ; jamais
    Tu n'as joui de voir, sur l'eau qui reflète,
    Quelque saule noueux tordu comme un athlète.
    Jamais, sévère esprit au mystère attaché,
    Tu n'as questionné le vieux orme penché
    Qui regarde à ses pieds toute la pleine vivre
    Comme un sage qui rêve attentif à son livre.

    L'été, lorsque le jour est par midi frappé,
    Lorsque la lassitude a tout enveloppé,
    A l'heure où l'andalouse et l'oiseau font la sieste,
    Jamais le faon peureux, tapi dans l'antre agreste,
    Ne te vois, à pas lents, loin de l'homme importun,
    Grave, et comme ayant peur de réveiller quelqu'un,
    Errer dans les forêts ténébreuses et douces
    Où le silence dort sur le velours des mousses.

    Que te fais tout cela ? Les nuages des cieux,
    La verdure et l'azur sont l'ennui de tes yeux.
    Tu n'est pas de ces fous qui vont, et qui s'en vantent,
    Tendant partout l'oreille aux voix qui partout chantent,
    Rendant au Seigneur d'avoir fait le printemps,
    Qui ramasse un nid, ou contemple longtemps
    Quelque noir champignon, monstre étrange de l'herbe.
    Toi, comme un sac d'argent, tu vois passer la gerbe.
    Ta futaie, en avril, sous ses bras plus nombreux
    A l'air de réclamer bien des pas amoureux,
    Bien des coeurs soupirants, bien des têtes pensives ;

    Toi qui jouis aussi sous ses branches massives,
    Tu songes, calculant le taillis qui s'accroît,
    Que Paris, ce vieillard qui, l'hiver, a si froid,
    Attend, sous ses vieux quais percés de rampes neuves,
    Ces longs serpents de bois qui descendent les fleuves !
    Ton regard voit, tandis que ton oeil flotte au loin,
    Les blés d'or en farine et la prairie en foin ;
    Pour toi le laboureur est un rustre qu'on paie ;
    Pour toi toute fumée ondulant, noire ou gaie,
    Sur le clair paysage, est un foyer impur
    Où l'on cuit quelque viande à l'angle d'un vieux mur.
    Quand le soir tend le ciel de ses moires ardentes
    Au dos d'un fort cheval assis, jambes pendantes,
    Quand les bouviers hâlés, de leur bras vigoureux
    Pique tes boeufs géants qui par le chemin creux
    Se hâtent pêle-mêle et s'en vont à la crèche,
    Toi, devant ce tableau tu rêves à la brèche
    Qu'il faudra réparer, en vendant tes silos,
    Dans ta rente qui tremble aux pas de don Carlos !

    Au crépuscule, après un long jour monotone,
    Tu t'enfermes chez toi. Les tièdes nuits d'automne
    Versent leur chaste haleine aux coteaux veloutés.
    Tu n'en sais rien. D'ailleurs, qu'importe ! A tes côtés,
    Belles, leur bruns cheveux appliqués sur les tempes,
    Fronts roses empourprés par le reflet des lampes,
    Des femmes aux yeux purs sont assises, formant
    Un cercle frais qui borde et cause doucement ;
    Toutes, dans leurs discours où rien n'ose apparaître,
    Cachant leurs voeux, leur âmes et leur coeur que peut-être
    Embaume un vague amour, fleur qu'on ne cueille pas,
    Parfum qu'on sentirait en se baissant tout bas.
    Tu n'en sais rien. Tu fais, parmi ces élégies,
    Tomber ton froid sourire, où, sous quatre bougies,
    D'autres hommes et toi, dans un coin attablés
    Autour d'un tapis vert, bruyants, vous querellez
    Les caprices du whist, du brelan ou de l'hombre.
    La fenêtre est pourtant pleine de lune et d'ombre !

    Ô risible insensé ! vraiment, je te le dis,
    Cette terre, ces prés, ces vallons arrondis,
    Nids de feuilles et d'herbe où jasent les villages,
    Ces blés où les moineaux ont leurs joyeux pillages,
    Ces champs qui, l'hiver même, ont d'austères appas,
    Ne t'appartiennent point : tu ne les comprends pas.

    Vois-tu, tous les passants, les enfants, les poètes,
    Sur qui ton bois répand ses ombres inquiètes,
    Le pauvre jeune peintre épris de ciel et d'air,
    L'amant plein d'un seul nom, le sage au coeur amer,
    Qui viennent rafraîchir dans cette solitude,
    Hélas ! l'un son amour et l'autre son étude,
    Tous ceux qui, savourant la beauté de ce lieu,
    Aiment, en quittant l'homme, à s'approcher de Dieu,
    Et qui, laissant ici le bruit vague et morose
    Des troubles de leur âme, y prennent quelque chose
    De l'immense repos de la création,
    Tous ces hommes, sans or et sans ambition,
    Et dont le pied poudreux ou tout mouillé par l'herbe
    Te fait rire emporté par ton landau superbe,
    Sont dans ce parc touffu, que tu crois sous ta loi,
    Plus riches, plus chez eux, plus les maîtres que toi,
    Quoique de leur forêt que ta main grille et mure
    Tu puisses couper l'ombre et vendre le murmure !

    Pour eux rien n'est stérile en ces asiles frais.
    Pour qui les sait cueillir tout a des dons secrets.
    De partout sort un flot de sagesse abondante.
    L'esprit qu'a déserté la passion grondante,
    Médite à l'arbre mort, aux débris du vieux pont.
    Tout objet dont le bois se compose répond
    A quelque objet pareil dans la forêt de l'âme.
    Un feu de pâtre éteint parle à l'amour en flamme.
    Tout donne des conseils au penseur, jeune ou vieux.
    On se pique aux chardons ainsi qu'aux envieux ;
    La feuille invite à croître ; et l'onde, en coulant vite,
    Avertit qu'on se hâte et que l'heure nous quitte.
    Pour eux rien n'est muet, rien n'est froid, rien n'est mort.
    Un peu de plume en sang leur éveille un remord ;
    Les sources sont des pleurs ; la fleur qui boit aux fleuves,
    Leur dit : Souvenez-vous, ô pauvres âmes veuves !

    Pour eux l'antre profond cache un songe étoilé ;
    Et la nuit, sous l'azur d'un beau ciel constellé,
    L'arbre sur ses rameaux, comme à travers ses branches,
    Leur montre l'astre d'or et les colombes blanches,
    Choses douces aux coeurs par le malheur ployés,
    Car l'oiseau dit : Aimez ! et l'étoile : Croyez !

    Voilà ce que chez toi verse aux âmes souffrantes
    La chaste obscurité des branches murmurantes !
    Mais toi, qu'en fais tu ? dis. — Tous les ans, en flots d'or,
    Ce murmure, cette ombre, ineffable trésor,
    Ces bruits de vent qui joue et d'arbre qui tressaille,
    Vont s'enfouir au fond de ton coffre qui bâille ;
    Et tu changes ces bois où l'amour s'enivra,
    Toute cette nature, en loge à l'opéra !

    Encor si la musique arrivait à ton âme !
    Mais entre l'art et toi l'or met son mur infâme.
    L'esprit qui comprend l'art comprend le reste aussi.
    Tu vas donc dormir là ! sans te douter qu'ainsi
    Que tous ces verts trésors que dévore ta bourse,
    Gluck est une forêt et Mozart une source.

    Tu dors ; et quand parfois la mode, en souriant,
    Te dit : Admire, riche ! alors, joyeux, criant,
    Tu surgis, demandant comment l'auteur se nomme,
    Pourvu que toutefois la muse soit un homme !
    Car tu te roidiras dans ton étrange orgueil
    Si l'on t'apporte, un soir, quelque musique en deuil,
    Urne que la pensée a chauffée à sa flamme,
    Beau vase où s'est versé tout le coeur d'une femme.

    Ô seigneur malvenu de ce superbe lieu !
    Caillou vil incrusté dans ces rubis en feu !
    Maître pour qui ces champs sont pleins de sourdes haines !
    Gui parasite enflé de la sève des chênes !
    Pauvre riche ! — Vis donc, puisque cela pour toi
    C'est vivre. Vis sans coeur, sans pensée et sans foi.
    Vis pour l'or, chose vile, et l'orgueil, chose vaine.
    Végète, toi qui n'as que du sang dans la veine,
    Toi qui ne sens pas Dieu frémir dans le roseau,
    Regarder dans l'aurore et chanter dans l'oiseau !

    Car, — et bien que tu sois celui qui rit aux belles
    Et, le soir, se récrie aux romances nouvelles, —
    Dans les coteaux penchants où fument les hameaux,
    Près des lacs, près des fleurs, sous les larges rameaux,
    Dans tes propres jardins, tu vas aussi stupide,
    Aussi peu clairvoyant dans ton instinct cupide,
    Aussi sourd à la vie à l'harmonie, aux voix,
    Qu'un loup sauvage errant au milieu des grands bois !


  • 01/05/17

    Hollande annonce qu’il a fondé « en Marche », dans « UN PRESIDENT NE DEVRAIT PAS DIRE CA »,

     

    François Hollande expose aux journalistes son plan pour la prochaine élection présidentielle : la création d’une grande formation politique à partir du PS.

    « Tant qu’il y avait des partis de gauche, les communistes, les Verts, qui acceptaient de faire alliance avec le PS et qui représentaient quelque chose, on n’avait aucun intérêt à refonder le PS, commence-t-il. Mais dès lors que ces alliés se sont rigidifiés, sectarisés, il faut faire sans ces partis-là.
    Comment ?
    Avec le parti le plus important, on en fait un nouveau qui permet de s’adresser aux électeurs ou aux cadres des autres partis. Ce que vous ne faites plus par les alliances, vous le faites par la sociologie. Par l’élargissement. C’est une œuvre plus longue, plus durable, moins tributaire d’alliances. Vous pouvez imaginer que viennent aussi des gens qui n’ont jamais fait de politique partisane, des gens du centre »
    Ça ne peut pas être un jeu d’appareil parce que n’est pas en additionnant les socialistes, un bout de Radicaux, quelques communistes et quelques écologistes, c’est en disant : voilà, on fait une grande formation politique… »

     

     
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