• jeudi 30 novembre 2017

    Pérou : nouvelles traces de la civilisation inca

    Une  citadelle encore inconnue près de Cuzco

    incas

    A-t-on découvert de nouvelles traces du célèbre Empire inca au Pérou, berceau de la civilisation précolombienne annihilée par l'arrivées des conquistadors espagnols au 16ème siècle ? Une découverte importante a eu lieu près de Cuzco dans la luxuriante végétation entourant ce site très connu, qui était la capitale de cet ancien empire.

    cuzco

     Il s’agirait de vestiges d’une citadelle inca en pierres se composant de murs, d’enceintes carrées et d’habitations situées dans la région de Sacramento, un lieu localisé entre la vallée de Lacco Yavero et la réserve naturelle de Megantoni, une mise au jour effectuée par des paysans de la province cusqueña de Calca missionnés par le Service national des zones naturelles protégées par l’État (SERNANP) avec des vidéos et des photographies qui ont été mises à la connaissance du public pour crédibiliser leur annonce tonitruante de ce mois d’octobre.

    La découverte a été menée grâce à une série d’investigations débutées il y a plusieurs années, cependant, cette information n’a pas encore été corroborée officiellement par le ministère de la Culture et le Sernamp, une entité qui a le pouvoir de contrôle dans ce domaine, car on évoque une zone située dans une réserve naturelle. Les autorités de l’État devraient arriver dans la région pour certifier les conclusions faites par les « comuneros » du village de Qorimayo, ces derniers ont bravé les difficultés liées à un environnement hostile en marchant durant deux semaines au cœur de la nature tropicale pour enfin tomber sur ces ruines séculaires.

    Pour le maire de Qorimayo, Javier Alegre, les vestiges retrouvés pourraient même correspondre à la mythique cité Inca Paititi, des déclarations faites au journal local Correo.

     Le Paititi est jusque-là une ville mythique inca, perdue en Amazonie péruvienne, les aventuriers de toute espèce recherchent depuis plus de 400 ans ce lieu empreint de mystère, sans succès, les diverses expéditions étant restées stériles. L’Empire inca était si vaste, qu’aujourd’hui encore, des vestiges archéologiques, des lieux d’exception ont été préservés des regards indiscrets, leur isolement leur permettant d’échapper aux pilleurs, mais aussi aux scientifiques désireux de percer les mystères de ces lieux occupés par des civilisations brillantes qui ont constitué l’identité culturelle d’une région.

    paititi

     La légende de Paititi est née après l’interprétation de quelques écrits du XVIe siècle dont les auteurs étaient Vaca de Castro, Pedro Sarmiento de Gamboa et Juan Álvarez Maldonado. Ces auteurs se réfèrent à un royaume situé dans la forêt amazonienne qui n’a jamais été trouvé, et il n’existe pas d’interprétations valables de son existence à ce jour.

     Rappelons que près de la zone en question vit une population indigène qui a fait le choix de l’isolement volontaire, de fait les expéditions sur zone deviennent illégales et même risquées si les permis nécessaires ne sont pas délivrés pour entreprendre ces incursions.

    Cuzco était la capitale de l’Empire inca et c’est dans cette région que l’on retrouve les trois principales citadelles construites par la civilisation inca, le célèbre Machu Picchu, Choquequirao et Vilcabamba.

    L’Empire inca a été le plus vaste de l’histoire précolombienne en Amérique s’étendant sur environ 2,5 millions de km², à son apogée il abritait en son sein quelque 16 millions d’habitants, il n’est pas rare donc de révéler des lieux oubliés pendant des siècles.

     
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  • 30/11/17

    Seule la souveraineté est progressiste

    Bruno GUIGUE

    Lors du 25ème sommet des pays membres de l’Organisation de l’unité africaine, le 26 juillet 1987, le président du Conseil national révolutionnaire de Burkina Faso dénonçait en ces termes le nouvel asservissement de l’Afrique : “Les origines de la dette remontent aux origines du colonialisme. Ceux qui nous ont prêté de l’argent, ce sont ceux-là qui nous ont colonisés, ce sont les mêmes qui géraient nos Etats et nos économies, ce sont les colonisateurs qui endettaient l’Afrique auprès des bailleurs de fonds.” La dette du tiers-monde est le symbole du néo-colonialisme. Elle perpétue le déni de souveraineté, pliant les jeunes nations africaines aux desiderata des ex-puissances coloniales.

    Mais la dette est aussi l’odieuse martingale dont se repaissent les marchés financiers. Prélèvement parasitaire sur des économies fragiles, elle enrichit les riches des pays développés au détriment des pauvres des pays en voie de développement. “La dette (...) dominée par l’impérialisme est une reconquête savamment organisée pour que l’Afrique, sa croissance, son développement obéisse à des normes qui nous sont totalement étrangères, faisant en sorte que chacun de nous devienne l’esclave financier, c’est-à-dire l’esclave tout court de ceux qui ont eu l’opportunité, la ruse, la fourberie de placer les fonds chez nous avec l’obligation de rembourser.”

    Décidément, c’en était trop. Le 15 octobre 1987, Thomas Sankara est tombé sous les balles des conjurés au grand bénéfice de la “Françafrique” et de ses juteuses affaires. Mais le courageux capitaine de cette révolution étouffée avait dit l’essentiel : un pays ne se développe que s’il est souverain et cette souveraineté est incompatible avec la soumission au capital mondialisé. Voisine du Burkina Faso, la Côte d’Ivoire en sait quelque chose : colonie spécialisée dans la monoculture d’exportation du cacao depuis les années 20, elle a été ruinée par la chute des cours et entraînée dans la spirale infernale de la dette.

    Le marché du chocolat pèse 100 milliards de dollars et il est contrôlé par trois multinationales (une suisse, une étatsunienne et une indonésienne). Avec la libéralisation du marché exigée par les institutions financières internationales, ces multinationales dictent leurs conditions à l’ensemble de la filière. En 1999, le FMI et la Banque mondiale exigent la suppression du prix garanti au producteur. Le prix payé aux petits planteurs étant divisé par deux, ils emploient pour survivre des centaines de milliers d’enfants-esclaves. Appauvri par la chute des cours liée à la surproduction, le pays est également contraint de diminuer les taxes sur les entreprises. Privé de ressources, esclave de la dette et jouet des marchés, le pays est à genoux.

    La Côte d’Ivoire est un cas d’école. Un petit pays à l’économie extravertie (le cacao représente 20% du PIB et 50% des recettes d’exportation) a été littéralement torpillé par des étrangers qui ne visent qu’à maximiser leurs profits avec la complicité des institutions financières et la collaboration de dirigeants corrompus. Thomas Sankara l’avait compris : s’il est asservi aux marchés, l’indépendance d’un pays en développement est une pure fiction. Faute de rompre les amarres avec la mondialisation capitaliste, il se condamne à la dépendance et à la pauvreté. Dans un livre prophétique paru en 1985, Samir Amin nommait ce processus de rupture “la déconnexion du système mondial”.

    Lorsqu’on analyse l’histoire du développement, un fait saute aux yeux : les pays les mieux lotis sont ceux qui ont pleinement conquis leur souveraineté nationale. La République populaire de Chine et les nouveaux pays développés d’Asie orientale, par exemple, ont mené des politiques économiques volontaristes et promu une industrialisation accélérée. Ces politiques reposaient - et reposent encore largement - sur deux piliers : la direction unifiée des efforts publics et privés sous la houlette d’un Etat fort et l’adoption à peu près systématique d’un protectionnisme sélectif.

    Un tel constat devrait suffire à balayer les illusions nourries par l’idéologie libérale. Loin de reposer sur le libre jeu des forces du marché, le développement de nombreux pays résulta au XXème siècle d’une combinaison des initiatives dont l’Etat fixait souverainement les règles. Nulle part, on ne vit sortir le développement du chapeau de magicien des économistes libéraux. Partout, il fut l’effet d’une politique nationale et souveraine. Protectionnisme, nationalisations, relance par la demande, éducation pour tous : la liste est longue des hérésies grâce auxquelles ces pays ont conjuré - à des degrés divers et au prix de contradictions multiples - les affres du sous-développement.

    N’en déplaise aux économistes de salon, l’histoire enseigne le contraire de ce que prétend la théorie : pour sortir de la pauvreté, mieux vaut la poigne d’un Etat souverain que la main invisible du marché. C’est ainsi que l’entendent les Vénézuéliens qui tentent depuis 1998 de restituer au peuple le bénéfice de la manne pétrolière privatisé par l’oligarchie réactionnaire. C’est ce qu’entendaient faire Mohamed Mossadegh en Iran (1953), Patrice Lumumba au Congo (1961) et Salvador Allende au Chili (1973) avant que la CIA ne les fasse disparaître de la scène. C’est ce que Thomas Sankara réclamait pour une Afrique tombée dans l’esclavage de la dette au lendemain même de la décolonisation.

    On objectera que ce diagnostic est inexact, puisque la Chine a précisément connu un développement fulgurant à la suite des réformes libérales de Deng. C’est vrai. Une injection massive de capitalisme marchand sur sa façade côtière lui a procuré des taux de croissance faramineux. Mais ce constat ne doit pas faire oublier qu’en 1949 la Chine était un pays misérable, dévasté par la guerre. Pour sortir du sous-développement, elle a consenti des efforts colossaux. Les mentalités archaïques ont été ébranlées, les femmes émancipées, la population éduquée. Au prix de multiples contradictions, l’équipement du pays, la constitution d’une industrie lourde et le statut de puissance nucléaire ont été acquis sous le maoïsme.

    Sous l’étendard d’un communisme repeint aux couleurs de la Chine éternelle, ce dernier créa les conditions matérielles du développement futur. Si l’on construit annuellement en Chine l’équivalent des gratte-ciel de Chicago, ce n’est pas parce que la Chine est devenue capitaliste après avoir connu le communisme, mais parce qu’elle en réalise une sorte de synthèse dialectique. Le communisme a unifié la Chine, il lui a restitué sa souveraineté et l’a débarrassée des couches sociales parasitaires qui entravaient son développement. De nombreux pays du tiers-monde ont tenté d’en faire autant. Beaucoup ont échoué, généralement à cause d’une intervention impérialiste.

    En matière de développement, il n’y a aucun modèle. Mais seul un pays souverain qui s’est doté d’une voilure suffisante peut affronter les vents de la mondialisation. Sans la maîtrise de son propre développement, un pays (même riche) s’installe dans la dépendance et se condamne à l’appauvrissement. Les firmes transnationales et les institutions financières internationales ont pris dans leurs filets de nombreux Etats qui n’ont aucun intérêt à leur obéir. Dirigeant l’un de ces petits pays pris à la gorge, Thomas Sankara clamait le droit des peuples africains à l’indépendance et à la dignité. Il renvoyait les colonialistes de tous poils à leur orgueil et à leur cupidité. Il savait surtout que l’exigence de souveraineté n’est pas négociable et que seule la souveraineté est progressiste.

    Bruno GUIGUE

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    https://www.legrandsoir.info/seule-la-souverainete-est-progressiste.html
     
    Posté par Jocegaly à -

  • Ça n'empêche pas Nicolas

    Blog de Jean Lévy sur l'actualité politique au jour le jour.

     

     

    29 Novembre 2017
    La France complice d’un crime de masse au Yémen, par Bruno Guigue
    La France complice d’un crime de masse au Yémen, par Bruno Guigue

    Réseau International

     

    par Bruno Guigue

     

    Dans l’indifférence générale, le pays le plus pauvre du monde arabe subit l’horreur d’une agression étrangère meurtrière. Bombardée nuit et jour, la population est affamée par le blocus. Le Yémen compte 27 millions d’habitants. Selon l’ONU, 10 millions d’entre eux nécessitent une aide humanitaire d’urgence, 7 millions sont menacés par la famine et un million sont la proie d’une épidémie de choléra. La pénurie de carburant paralyse les transports, le fonctionnement des réseaux d’eau potable, d’électricité, d’assainissement.

    L’aviation saoudienne n’épargne ni les écoles, ni les hôpitaux, ni les lieux de culte. Répandant la terreur, elle cherche à faire plier le peuple yéménite. Ce n’est pas une guerre contre des combattants, mais une entreprise de démoralisation de la population, de destruction totale, d’arasement des infrastructures. L’action combinée des frappes aériennes et du blocus (aérien et maritime) vise à mettre à genoux une population tout entière. Riyad prétend défendre le gouvernement légitime. Mais alors, pourquoi imposer le blocus à l’ensemble du pays ?

    Depuis mars 2015, la coalition dirigée par les wahhabites massacre des civils en prétendant combattre une rébellion coupable de s’être alliée avec l’ex-président Ali Abdallah Saleh contre son successeur pro-saoudien Abd Rabbo Mansour Hadi. Cette intervention a fait plus de 10 000 victimes, mais elle n’a pas fait bouger les lignes de force. L’offensive terrestre a échoué, la résistance yéménite est farouche, et un missile a frôlé la capitale saoudienne le 9 novembre. Des centaines de milliers d’enfants souffrent de malnutrition dans un pays dévasté par les bombes et affamé par le blocus, mais cette guerre est sans issue.

    La propagande saoudienne la justifie, pourtant, en invoquant la légalité internationale. Le mouvement “Ansarullah” a investi la capitale du pays en septembre 2014 et poussé le président Mansour Hadi à la démission en janvier 2015. Ce succès inattendu a pris de court les Saoudiens et leurs parrains occidentaux. Décidés à intervenir, ils ont obtenu du conseil de sécurité de l’ONU le vote de la résolution 2216 du 14 avril 2015 condamnant la prise du pouvoir par les Houthis et réaffirmant la légitimité du président Hadi.

    Cette décision onusienne a offert une couverture juridique autorisant Riyad à frapper le Yémen sans ménagement pour vaincre la rébellion. Perversion du droit international, c’est un chèque-en-blanc qui permet au pays arabe le plus riche d’écraser sous les bombes le pays arabe le plus pauvre. Tout se passe comme si l’agresseur bénéficiait d’une sorte de permis de tuer à grande échelle, avec la bénédiction de puissances occidentales qui lui fournissent des armes en quantité illimitée tandis que la rébellion houthie se voit frappée par l’embargo.

    Les armes utilisées pour massacrer le peuple yéménite, la coalition ne les a pas trouvées au pied d’un sapin de Noël. Ce sont des armes occidentales. Les bombes larguées sur les enfants yéménites sont d’une précision remarquable. Félicitations ! Le système de guidage électronique est français. Grâce à leur rayon d’action, les F-15 saoudiens peuvent frapper où ils veulent. Encore bravo, les avions-ravitailleurs sont français. Le blocus maritime qui affame la population yéménite est d’une redoutable efficacité. Cocorico, la marine française y participe. L’histoire retiendra que Hollande et Macron ont fait crever les enfants yéménites.

    Que vaut la vie de ces pauvres gosses, en regard de notre merveilleuse industrie de la mort ? La monarchie saoudienne est le premier client de la France. Elle lui a acheté 9 milliards d’armes entre 2010 et 2016, soit 15 à 20 % des exportations françaises. Sans états d’âme, la République arme le bras de l’assassin. Depuis deux ans, Riyad commet un crime de masse dont Paris est complice. En 2011, la France a détruit la Libye au nom des droits de l’homme. En 2017, elle participe à la destruction du Yémen au nom du chiffre d’affaires. La “patrie des droits de l’homme” n’est plus qu’un tas de fumier.

    Curieusement, le chœur des pleureuses est aux abonnés absents. Il est vrai qu’on n’est pas en Syrie. Ni “Casques blancs” experts en maquillage, ni parlementaires écolos en vadrouille, ni droits-de-l’hommistes pour signer des pétitions. Le Yémen n’intéresse personne à Saint-Germain-des-Prés. Il est sorti des écrans-radar de la bobosphère. Mais pourquoi tant d’indifférence de la part de bonnes âmes si promptes à s’affliger du malheur planétaire ? La propagande occidentale nous fournit immédiatement la réponse : c’est la complicité des Houthis avec Téhéran. Appartenant à la communauté chiite “zaydite”, le mouvement “Ansarullah” servirait les ambitions de l’Iran.

    Le voilà donc, son crime impardonnable, à ce Yémen rebelle. Il est du côté des forces du mal, il pactise avec les mollahs. Les Houthis et leurs alliés admirent le Hezbollah libanais, ils soutiennent la Syrie souveraine, ils croient encore au nationalisme arabe. C’est inadmissible. Pire encore, ces incorrigibles Yéménites, eux, n’ont jamais marchandé leur solidarité avec le peuple palestinien. Pour les impérialistes et leurs larbins, la rébellion victorieuse à Sanaa est une scandaleuse anomalie, une verrue à supprimer du paysage. C’est le Vénézuéla de la péninsule arabique. Ne cherchons pas plus loin les raisons du calvaire qu’on inflige à ce peuple courageux.

    Bruno Guigue

    Source:https://www.facebook.com/notes/bruno-guigue/la-france-complice-dun-crime-de-masse-au-yémen/1254379738040812/


     

    Tag(s) : #Impérialisme, #Yemen

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    En page d’accueil:
    1)Honduras: Appel urgent… du 27 novembre 2017 traduit par Françoise Lopez.
    2)Communiqué de Solidarité Bolivarienne sur les élections présidentielles au Honduras du 27 novembre 2017.
    3)Honduras : fraude électorale, un article de Telesur du 29 novembre 2017 traduit par Françoise Lopez.
    4)Honduras : Une manifestation devant le Tribunal Electoral Suprême réprimée, un article de Telesur du 30 novembre 2017 traduit par Françoise Lopez.
    5)Amérique Latine : Communiqué d'ALBA Mouvements sur les élections au Honduras, du 28 novembre 2017 traduit par Françoise Lopez.
    6)Déclaration du Centre des Savoirs Africains Américains et Caribéens sur l’esclavage en Libye du 29 novembre 2017.
    Bonne lecture à tous,
     Françoise Lopez


  • Notre sélection des sorties

    en Sud-Avesnois

    pour un week-end réussi !

     

     



    Du jeudi 30 novembre

    au dimanche 3 décembre


    Village de Noël

    Grande roue

    Patinoire

    Place Verte


    FOURMIES

     

     
     

     
     


    Vendredi 1er, samedi 2 et

    dimanche 3 décembre


    St Nicolas

    au musée

    MTVS


    FOURMIES

     
     

     



    Samedi 2 décembre

    Spectacle musical

    Scooby Doo

    Théâtre Jean Ferrat

    A 14h


    FOURMIES
     
     
     

     
     



    Samedi 2 décembre

    Festival des solidarités

    Médiathéque Antoon Krings

    Dès 14h


    FOURMIES
     
     

     


    Dimanche 3 décembre

    Concert de Noël

    Eglise Notre Dame

    A 16h

    FOURMIES


     
     

     
     

    Du 13 octobre à fin mars

    Grainothèque

    PIDE

    Médiathèques

    SUD AVESNOIS


     

     

     

     
     
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