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Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)Si vous ne visualisez pas cet email lisez-le sur le site
http://www.europalestine.comPublication CAPJPO - Europalestine -
La collecte pour l'Hopital Shifa de Gaza se poursuit : un grand merci aux premiers donateurs.Toutes les infos ici : http://www.europalestine.com/spip.php?article13672
Manifestations dans toute la France ce week-end ! (Photos)Non, la colère n’est pas retombée. Des milliers de personnes se sont rassemblées dans de nombreuses villes ce samedi et ce dimanche contre les provocations de Trump, contre la colonisation israélienne, le camp de concentration de Gaza, et les assassinats en série de Palestiniens, dont celui... (suite) -
Plus d’un millier de personnes sont venues exprimer leur refus du blocus de Gaza, leur mépris pour l’occupant israélien qui tue des invalides, leur soutien à la résistance palestinienne qui manifeste contre l’annexion de Jérusalem, ainsi que leur détermination à amplifier la campagne BDS.
Une foule... (suite) -
L’Autriche a officiellement depuis samedi un gouvernement d’extrême-droite, avec la désignation, au poste de vice-chancelier (vice-Premier ministre) du leader de l’extrême-droite locale, Heinz-Christian Strache.
(la nouvelle paire dirigeante autrichienne : Sebastian Kurz, Heinz-Christian Strache)... (suite) -
A voir et à diffuser, ci-dessous, les dernières images d’Ibrahim Abou Thurya, amputé des deux jambes, lâchement abattu vendredi par l’armée israélienne alors qu’il participait, à Gaza, à une manifestation de protestation contre la décision de Trump sur Jérusalem.
Ibrahim Abou Thurya (Soraya) était âgé de... (suite)
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Trégastel : Trois cents manifestants pour le maintien de La Poste !
Organisée samedi, à l’initiative des quatre élus de l’opposition municipale, la manifestation pour le maintien du bureau de La Poste, à Trégastel, a réuni 300 personnes.
Trois anciens maires et des représentants des syndicats Sud PTT, FO et CGT étaient présents.
Comme il l’avait annoncé lors du dernier conseil municipal, samedi 9 décembre, le maire, Paul Droniou, ainsi que les élus de la majorité n’ont pas participé au rassemblement, destiné à défendre les services publics sur la commune.
Des services en moins
Lors de sa prise de parole, Pascal Hémeury, conseiller municipal, a évoqué la nécessité de conserver un bureau de La Poste dans la commune et la très bonne fréquentation du bureau actuel, dont des habitants de Ploumanac’h et de Kérénoc. Rappelant la transformation du service en Relais poste commerçant (RPC) à Carrefour Market, il a dressé la liste des services qui ne seraient plus assurés, avec notamment la disparition d’un distributeur automatique de billets.
Les représentants syndicaux ont appelé les élus et les usagers à se mobiliser contre «la casse du service public». «À Trégastel, ce n’est pas La Poste qui avait décidé au départ de fermer, c’est le maire et la mairie qui ont décidé de supprimer les bâtiments et La Poste s’est, bien entendu, engouffrée dans la brèche», a souligné la représentante de la CGT.
Une pétition pour le maintien
Pascal Hémeury a appelé à signer la pétition qui sera proposée dans les commerces. Il a également précisé qu’une rencontre avec le directeur régional de La Poste va être demandée et que «l’histoire du bail commercial est à creuser».
Les manifestants ont ensuite formé une chaîne humaine autour du bâtiment de La Poste avant de se disperser.
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La laïciste Marlène Schiappa, égérie de la franc-maçonnerie, de la laïcité, met ses enfants dans une école catholique...
Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat à l’égalité « des femmes et des hommes » a reçu le 8 décembre dernier le prix spécial laïcité du Grand Orient de France.Au magazine La Vie, elle avait déclaré se faire sa propre religion. En l’occurrence, ses références sont toujours maçonniques, comme le lui a inculqué son père, Jean-Marc Schiappa, président de l’Institut de recherches et d’études de la Libre Pensée.En 2015, en tant qu’ajointe au maire socialiste du Mans, elle accueillait la Ligue des droits de l’homme en ces termes : « Elles ne sont pas si nombreuses, par les temps qui courent, les organisations qui affirment leur combat contre le cléricalisme, les cléricalismes, la doctrine sociale de l’Eglise ! » et terminait son discours par l’expression maçonnique « salut et fraternité ! ».Sa dernière initiative : subordonner les subventions associatives au respect d’une charte de la laïcité.Mais une révélation a de quoi susciter l’étonnement.Sylvie Tolmont, ancien député socialiste, a dévoilé sur Twitter que Mme Schiappa, chantre du laïcisme, de l’école laïque et républicaine ainsi que du libertinage sexuel, met ses enfants dans une école privée catholique du Mans !Et de mettre en exergue « l’incohérence manifeste entre sa communication valorisant l’école publique laïque et son choix de scolariser ses enfants dans une école confessionnelle, tant il me semble qu’on puisse légitimement interroger cette contradiction majeure ».Le moins que l’on puisse écrire, c’est que Marlène Schiappa n’a guère apprécié qu’on lève le voile sur son hypocrisie.Bien sûr, elle ne dément pas, et pour cause, mais dénonce une atteinte à sa vie privée.Précisons qu’elle est loin d’être la seule, au sein de la gauche laïcarde, à préférer l’école catholique pour ses enfants.
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18 Décembre 2017
PASSAGE À NIVEAU: l’infrastructure homicide par excellence.
photo reprise sur le blog de canaille le rougePar Canaille le Rouge
Une phrase au JT de 13h00 a fait rugir de colère Canaille le Rouge :
"supprimer le passage à niveau (PN en langage cheminot) "coûterait" 6 millions d'euro".
Colère devant cette logique comptable alors que des gosses sont tués, que des familles sont définitivement traumatisées amputée d'un des leurs ou devant accompagner toute sa vie une victime physiquement ou (et) moralement mutilée.
Rage devant cette inhumanité financière alors qu'un collègue de Canaille le Rouge toutes les nuits ou presque de ce qui lui reste à vivre va trainer, comme une tunique d’émeri qui lui frottera la peau cet instant où cramponné sur son freinage d'urgence et son sifflet il mesure lucidement que le pire se jette à sa figure.
Pas question à ce stade de porter appréciation sur l'accident lui-même. D'abord exprimer solidarité et sympathie aux familles endeuillées, aux blessés aux cheminots des Pyrénées-Orientales. Mais aussi devant cette approche de maquignon du JT, juste donner un éclairage à partir de son expérience professionnelle. A chaque fois qu'il y a mort sur un PN, les pouvoirs publics et la SNCF se renvoient la balle pour savoir qui doit payer la suppression du contexte homicide et sont d'emblée d'accord pour rechercher "l'erreur humaine" qui les disculperait.
Canaille le Rouge dans ses activités militantes a assisté un jour au débat complètement surréaliste de savoir si le tracé d'une voie empruntant un ancien chemin de halage devait faire supporter à la SNCF le coût de suppression d'un PN lié à la modernisation d'une ancienne voie royale à diligences croisant le canal, le canal ayant été comblé. L'état (le préfet) disant que la SNCF devait assumer la servitude puisque bénéficiaire de l'implantation. Le procès était dû à la mort d'une famille fauchée sur un franchissement du PN non gardé et alors sans barrières à cet endroit.
6 millions d'Euro. Le chiffre jeté sur la table pour faire peur.
Et alors ! Admettons le chiffre. La vie d'un gosse serait à mesurer à cette aune ?
Alors allons-y donnons dans cette indécence qu'ils savent si bien planter pour faire paravent à leurs saloperies.
Combien de ce CICE versé chaque année permettrait de financer combien de suppressions de PN.
Posons aussi la question qui n'est jamais posée : pourquoi une carte scolaire qui produit du transport routier à mesure des réorganisations du maillage des établissements pour permettre de concentrer les coûts d'administration, le nombre d'élèves à maximiser par classe, limiter le nombre des enseignants et des personnels pédagogiques d'encadrement, baisser la charge d'entretien des établissements et équipements scolaires, sportifs, culturels pour permettre de dégager des milliards pour renflouer les banques et abonder le capital au nom de la baisse du coût du travail ?
Les larmes de ministres sont des larmes de crocodiles !
Ce même jour, à l'autre bout du pays, le conseil régional de Bretagne décide de fermer le lycée professionnel Jean Moulin à Plouhinec (lequel assure des formations en prise avec l'économie locale), de faire transhumer les jeunes entre Carhaix et Concarneau. Combien de km sur les routes ? Combien de PN à franchir ? Combien de cars qui vont suite à cette décision faire la trésorerie des boites de transport et financer la modernisation de la flotte des autocaristes venant concurrencer la SNCF cela sur fonds publics et détérioration des conditions de vie et d'études des jeunes ?
Était-ce le cas pour Millas ? A ce moment de l'enquête La Canaille ne le sait pas.
Mais ce qu'il sait c'est que la logique du maintien d'un croisement de 400 tonnes d'acier lancées à 80 km/h avec 1 à 20 tonnes sur pneu juste régulé par deux barrières en plastique assistées de feux rouges peuvent satisfaire le législateur, pas l'exigence de sécurité, pas le souci de formation et d'épanouissement de ces jeunes assassinés par la logique d'un système qui rien que pour cela est à renverser.
SOURCE :
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L’idée de “crise humanitaire” est utilisée pour intervenir au Venezuela
- 15 Déc 2017
L’expert indépendant de l’Organisation des Nations Unies (ONU) Sur la Promotion d’un Ordre International Démocratique et Equitable Alfred de Zayas a averti qu’on utilise le terme « crise humanitaire » pour intervenir au Venezuela et renverser le Gouvernement actuel.
« Ce terme de « crise humanitaire » devient facilement un prétexte à une intervention pour renverser le Gouvernement élu, » a-t-il expliqué lundi dans une interview accordée à Telesur.
Alfred de Zayas a indiqué qu’au Venezuela, il y a un problème de pénurie d’aliments et de médicaments « mais ce n’est pas une situation d’urgence aigüe » et le Gouvernement a une série de programmes pour résoudre ces situations.
« Je n’aime pas les exagérations. Les crises humanitaires existent dans de nombreux pays d’Afrique, du Moyen Orient. Au Venezuela, il y a une pénurie mais il faut connaître les causes de ces problèmes, savoir jusqu’à quel point c’est la faute du Gouvernement, jusqu’à quel point c’est le résultat de la guerre économique qui vient de l’étranger, des sanctions, de la chute du prix du pétrole, de l’inflation, de la contrebande (vers la Colombie), » a-t-il déclaré.
L’expert de l’ONU a rappelé l’histoire de la crise au Chili en 1973 mais « ils n’oublient pas que (Henry) Kissinger et (Richard) Nixon ont dit qu’on ne pouvait pas tolérer qu’un modèle alternatif réussisse en Amérique Latine et ensuite, le Gouvernement (de Salvador Allende) a été renversé par la force grâce à un coup d’Etat. »
De même, De Zayas a indiqué qu’une autre raison éventuelle des signalements d’une soi-disant crise humanitaire au Venezuela serait de faire diversion : « Il y a d’autres problèmes, au Brésil, au Honduras, en Argentine, dont on parle très peu. »
Il a expliqué que l’intervention dans un pays ne peut être basée que sur des cas de génocide comme au Rwanda en 1994 et au Cambodge dans les années 70.
Il a précisé que l’article 2 paragraphe 3 de la Charte des Nations Unies est très clair dans sa condamnation des interventions car elle plaide pour la résolution des conflits par le dialogue.
« Les membres de l’Organisation régleront leurs controverses internationales par des moyens pacifiques de telle sorte que ni la paix ni la sécurité internationales ni la justice ne soient mises en danger, » dit l’article 2 paragraphe 3 de la Charte des Nations Unies.
Sur les demandes de la droite internationale pour que le président constitutionnel du Venezuela, Nicolás Maduro, soit jugé pour crimes contre l’humanité, l’expert de l’ONU a assuré que c’est quelque chose de « surréaliste » et que « ce n’est pas sérieux. » Il a indiqué qu’il « y a 20 ou 30 autres chefs d’Etat qui tomberaient plus facilement sous cette juridiction. »
Il a remis en question, en outre, le fait que l’on n’enquête pas sur les Gouvernements impliqués dans des crimes contre l’humanité pendant les interventions en Irak, en Afghanistan et en Libye.
De Zayas a dit que quelques semaines avant de se rendre au Venezuela, il a été harcelé : « Ils m’ont affublé de toutes sortes d’épithètes et sur les réseaux sociaux, on disait que je n’étais pas indépendant » mais il a précisé que ceux qui le critiquent « ne veulent pas un rapporteur indépendant, ils en veulent un qui vienne condamner. Je viens écouter pour ensuite formuler des recommandations constructives. Moi, ça ne m’intéresse pas de condamner un Etat, je viens aider par mes conseils, mon assistance technique. »
L’expert indépendant est arrivé au Venezuela le 27 novembre dernier et il a rencontré des fonctionnaires du Gouvernement, des victimes de violations des droits de l’homme et de la violence de ce qu’on appelle les « guarimbas » (protestations violentes de l’opposition) pour connaître la situation politique, économique et sociale du pays.
« J’ai vu 15 ou 16 ministres, des conseillers, pour savoir ce qui s’est passé ces dernières années, la chute des prix du pétrole, la pénurie, le manque d’approvisionnement, » a-t-il précisé.
« Je voulais voir de mes propres yeux et à la fin de mes huit jours de visite, je ferai au chancelier des recommandations préliminaires, » a-t-il dit.
Il a indiqué qu’avant de venir au Venezuela, il a révisé les rapports de la Commission Inter-américaine des Droits de l’Homme (CIDH) et qu’il n’était pas convaincu que sa méthodologie « soit correcte et objective. »
Traduit de l’espagnol par Françoise Lopez pour Bolivar Infos. Relu par Investig’Action
Source: Correo del Orinoco