• Venezuela : nouvelles sanctions de l’UE

    Christian RODRIGUEZ

    L’UE vient de prononcer de nouvelles sanctions contre le Venezuela. 11 personnalités éminentes ont été déclarées persona non grata sous des prétextes fallacieux et inexacts autant que ridicules. Cette liste s’ajoute aux 7 précédentes pour des motifs similaires.

    Parmi elles, Delcy Rodríguez, vice-présidente de la République Bolivarienne et Xavier Moreno, secrétaire général du CNE (Conseil National Electoral) qui est, entre autre, le plus grand organiste vénézuélien et qui s’est produit un peu partout dans le monde.

    Delcy Rodriguez était la présidente de l’Assemblée Constituante considérée comme illégitime par l’UE, alors qu’elle a été démocratiquement élue, qui l’accuse d’avoir usurpé les compétences de l’Assemblée Nationale et d’avoir empêché l’opposition de participer au processus politique.

    Xavier Moreno est accusé d’avoir approuvé les décisions du CNE qui ont bafoué la démocratie, d’avoir contribué à l’établissement de l’Assemblée Constituante et d’avoir manipulé le processus électoral.

    Les autres personnalités concernées sont :

    —  Tareck El Aissami, ministre de l’industrie, ex vice-président et superviseur des services secrets, accusé de graves violations aux Droits de l’Homme, détentions arbitraires et tortures.

    —  Sergio Rivero, inspecteur général des Forces Armées accusé de répression contre l’opposition, détentions arbitraires et intimidations envers la presse.

    —  Jesús Suárez, ancien Commandant en Chef des Forces Armées, accusé de violations des Droits de l’Homme, mauvais traitement envers les détenus et utilisation de tribunaux militaires pour juger des manifestants civils.

    —  Iván Hernández, directeur général des services de contre-espionnage et chef de la garde présidentielle, accusé d’atteinte aux Droits de l’Homme, de répression envers l’opposition démocratique, usage excessif de la force et mauvais traitement envers les détenus.

    —  Elías Jaua, ministre de l’Education, président de la commission présidentielle de l’Assemblée Constituante, accusé d’avoir bafoué la démocratie et l’état de droit pour son rôle prépondérant dans l’établissement de l’Assemblée Constituante.

    —  Sandra Oblitas, vice-présidente du CNE, accusée d’avoir bafoué la démocratie, d’avoir faciliter l’établissement de l’Assemblée Constituante et d’avoir manipulé le processus électoral.

    —  Freddy Bernal, directeur des comités locaux d’approvisionnement, accusé d’avoir affamé la population à des fins électorales.

    —  Katherine Harrington, ancienne vice-présidente du Tribunal Suprême, accusée de violer la constitution, de bafouer la démocratie et de ne pas engager de poursuites contre les responsables de violation des Droits de l’Homme du régime Maduro.

    —  Socorro Hernández, membre du CNE, accusée d’avoir bafoué la démocratie, d’avoir faciliter l’établissement de l’Assemblée Constituante et d’avoir manipulé plusieurs processus électoraux.

    Ceci n’est qu’un résumé succinct des chefs d’accusation.

    Il est clair que les motifs invoqués par l’UE relèvent de l’obsession irrationnelle et entièrement soumise à celle de Trump sur l’absence de démocratie, la manipulation des processus électoraux et la répression envers une opposition dont on oublie soigneusement de souligner qu’elle a été particulièrement violente.

    On aurait préféré que l’UE soit plus critique sur l’élection frauduleuse du dictateur Erdogan ou sur le putschiste Temer qui a commandité l’emprisonnement sans preuves de Lula pour l’empêcher de se présenter à la prochaine élection présidentielle.

    Il y a des bons dictateurs et des mauvais dictateurs.

    Venezuelaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!!!

    https://fr.scribd.com/document/382522635/Estos-serian-los-11-funcionar...

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  • Trump, ou le syndrome de la balle dans le pied

    Bruno GUIGUE

    Les Etats-Unis qui jettent le « multilatéralisme » aux orties, le retrait américain de l’accord sur le nucléaire iranien, la guerre commerciale qui pointe à l’horizon, le G7 qui tourne à la foire d’empoigne, l’Union européenne réduite à l’impuissance : ce qui pourrait passer superficiellement pour une série de mini-crises est révélateur de tendances profondes. C’est comme un foisonnement de signes cliniques. Il y a ce que l’on voit - de simples péripéties, dirait-on -, et puis, sous cette apparence, comme un délitement souterrain des structures.

    Pour brosser le portrait d’un monde occidental à la dérive, il faut naturellement partir d’une analyse de ce qui se joue aux USA. D’abord parce que le poisson pourrit toujours par la tête, et ensuite parce que Trump contribue à ce pourrissement en s’ingéniant précisément à le conjurer. Le système politique américain étant ce qu’il est, la nouvelle administration, en effet, a les mêmes objectifs que les précédentes. Héritière d’un empire surdimensionné, elle s’efforce d’en maintenir l’hégémonie en pratiquant le déni de réalité.

    Son premier cheval de bataille, celui sur lequel Trump joue sa crédibilité, c’est la lutte contre le déclin industriel. Il doit son succès électoral du 8 novembre 2016 au ralliement des cols bleus ruinés par le libre-échange. La guerre commerciale entamée avec la Chine, l’UE et le Canada n’est pas une lubie : elle accomplit une promesse de campagne. Les USA sont le premier importateur mondial, et leur déficit avec la Chine dépassait en 2017 les 345 milliards de dollars. Il faut donc enrayer l’effondrement progressif des capacités productives américaines.

    Mais pour y parvenir, l’administration Trump est confrontée à un choix de méthode. Les USA ont connu une prospérité sans précédent en misant sur une mondialisation dont ils tiraient profit. Ce règne des multinationales est loin d’être achevé, mais elles produisent de moins en moins sur le sol américain. Pour conserver sa position dominante, le capitalisme américain, en réalité, a sacrifié sa propre classe ouvrière. Remplacée par des Chinois ou des robots, elle vient grossir les rangs des miséreux qui campent dans les faubourgs des grandes villes.

    A l’autre bout de l’échelle sociale, en revanche, tout va pour le mieux. Tandis que les pauvres sont de plus en plus nombreux, les riches sont de plus en plus riches. Contrairement aux emplois, qui sont délocalisés, les bénéfices réalisés à l’étranger sont rapatriés. Aggravée par une financiarisation débridée, cette distorsion entre la richesse et l’emploi ruine le consensus social américain. L’intelligence de Trump est de l’avoir compris et d’en avoir fait un argument électoral. La limite de cette intelligence, c’est qu’il s’y prend très mal pour résoudre le problème.

    Lorsque les règles du jeu deviennent défavorables à celui qui les a inventées, il a la tentation de vouloir les changer. Manifestement, c’est ce que fait Trump. Le libre-échange réduisant au chômage les ouvriers de la « Rust Belt », il veut instaurer des protections qui font fi des accords commerciaux internationaux. Or cette démarche représente la quadrature du cercle pour un pays comme les Etats-Unis. Ayant mondialisé son économie sous la pression des multinationales, il leur fera payer cher le moindre retour en arrière. En clair, le protectionnisme est à double tranchant, et c’est ce qu’ont montré les réactions chinoises, européennes et canadiennes.

    A supposer qu’elle ait lieu - ce qui n’est pas sûr - , la guerre commerciale sera au pire un désastre, au mieux un jeu à somme nulle. Trump le sait, et c’est pourquoi sa politique néo-impériale se contentera sans doute dans ce domaine de proclamations inoffensives. Il n’entend pas passer à la postérité comme celui qui a ruiné les fondements de la puissance américaine. Il préfère nettement ouvrir d’autres fronts où il pense pouvoir obtenir l’avantage. Et l’incohérence - ou l’imprévisibilité - qu’on lui prête souvent ici n’est probablement qu’apparente.

    Le meilleur exemple est celui de sa politique en matière nucléaire. En pratiquant le grand écart entre l’Iran et la Corée du Nord, Trump montre que le nucléaire, précisément, n’a aucune importance. D’abord parce que la nucléarisation de la Corée du Nord est un fait accompli - et irréversible - et qu’il n’y a rien d’autre à obtenir de ce pays - du point de vue américain - qu’un réchauffement diplomatique destiné à rassurer Séoul dans le but d’alléger la charge du parapluie militaire US. Ensuite, parce que l’Iran au contraire, bien qu’il n’ait aucune arme nucléaire, est un adversaire systémique des Etats-Unis et qu’il s’agit bel et bien de l’affaiblir par tous les moyens.

    De la Syrie au Yémen en passant par l’Irak, le Liban et la Palestine, Téhéran est une épine colossale dans le pied de Washington. Chef de file de l’axe de la résistance, il est la bête noire d’Israël, Etat-colon expansionniste auquel Trump s’est empressé de faire allégeance en remerciement de la neutralisation du lobby pro-israélien durant la campagne présidentielle. En isolant l’Iran, Trump fait coup double : il satisfait Tel Aviv - et Ryiad - tout en provoquant l’étranglement économique dont il attend un « regime change » par inanition, à défaut d’un soulèvement armé piloté de l’étranger sur le modèle syrien.

    Mais la partie n’est pas gagnée. Car en coupant ce grand pays des circuits économiques et financiers occidentaux, il l’ouvre à d’autres influences. Ce n’est pas un hasard si l’Iran vient d’adhérer à l’Organisation de coopération de Shangaï au côté de la Russie, de l’Inde et de la Chine, cette organisation représentant désormais 40 % de la population et 25 % du PIB mondial. Le retrait américain de l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien, de plus, génère une série de dommages collatéraux. Il provoquera le départ de ce pays de nombreuses entreprises européennes, et notamment de Total, première capitalisation boursière du CAC40.

    Entreprise multinationale dont 30% du capital est détenu par des actionnaires américains, Total devait participer à l’exploitation du gisement gazier offshore « South Pars », le plus grand au monde, situé dans le golfe Persique et les eaux territoriales iraniennes. C’est fini. Le projet passe dans d’autres mains, et pas n’importe lesquelles. Poussé au départ par Washington, Total cédera la place au géant chinois des hydrocarbures CNPC, ravi d’emporter le morceau. En voulant punir Téhéran, Trump a fait un cadeau de choix à la Chine, principal concurrent des USA à la tête de l’économie mondiale et premier responsable du déficit commercial américain. C’est un comble.

    A l’entendre, Trump rêve de restaurer « la grandeur de l’Amérique ». Il a porté le budget militaire US à des sommets inégalés (700 milliards de dollars) et poursuivi une confrontation avec la Russie dont le seul intérêt - à courte vue - est de couper la Russie de ses partenaires européens, ce qui explique le rôle actif du Royaume-Uni, voltigeur de l’empire US, dans la diabolisation de Moscou. Il n’est pas néoconservateur à la façon de George W. Bush ni interventionniste à la sauce humanitaire comme l’étaient les démocrates. Mais comme il s’est fait élire pour conjurer les affres du déclin, il entretient le mythe d’une Amérique renaissante qui croit qu’il suffit d’aligner des porte-avions pour dominer le monde.

    Heureusement, cette ambition démesurée rencontre le principe de réalité sur tous les fronts. Le Moyen-Orient est l’épicentre d’une confrontation où Moscou s’est placé au centre du jeu, condamnant Washington à faire tapisserie pendant que les Russes mènent la danse. En dents de scie, la politique américaine en Syrie est vouée à l’échec. L’armée syrienne reconquiert le territoire national, et le dernier carré des supplétifs lobotomisés va rendre les armes. Tandis que Moscou et Damas célébreront les 50 ans d’une alliance désormais adossée au géant chinois, le mariage de Washington avec Riyad et Tel Aviv apparaîtra peut-être un jour comme une erreur de casting.

    En matière géopolitique, les apparences sont trompeuses. L’excès de puissance ne transfuse pas nécessairement en intelligence stratégique. Les Américains dépensent 2187 dollars par an et par habitant pour leur défense, contre 154 dollars pour les Chinois. On n’observe pas la même proportion dans les résultats. Les menaces proférées simultanément contre Moscou et Pékin sont à l’opposé de la stratégie - payante à l’époque de Kissinger - qui consistait à trianguler la Russie et la Chine afin de diviser les puissances continentales. Trump, lui, semble vouloir en découdre avec tout le monde (Chine, Russie, Iran, Syrie, Corée du Nord, Cuba, Vénézuéla) et - fort heureusement - il n’affronte personne pour de bon.

    L’Amérique de Trump croit qu’elle peut pratiquer la politique de celui qui retire l’échelle après l’avoir utilisée pour grimper au sommet. Mais la réalité, c’est qu’elle n’est plus vraiment au sommet. La politique néo-impériale de Donald Trump enrichira comme jamais les marchands d’armes et les magnats de la finance. Le paradoxe, c’est qu’elle contribuera aussi à l’hégémonie mondiale de ceux qui, loin des Etats-Unis, investissent dans les infrastructures et non dans les industries de l’armement, et qui combattent la pauvreté au lieu de l’entretenir. Inutile de préciser qui détient les clés du futur. La politique de Trump, pour l’Amérique, c’est le syndrome de la balle dans le pied.

    Bruno GUIGUE

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  • Au Venezuela se poursuit la construction du socialisme

    République sociale

    Plus d’un mois après les élections vénézuéliennes, il est temps de revenir sur ce temps fort de la vie politique de ce pays et de savoir sous quels aspects se poursuivra la Révolution, sous la présidence de Nicolas Maduro.

    Pour rappel, Nicolas Maduro avait été réélu à la tête de la Révolution bolivarienne le 20 mai dernier avec près de 68 % des suffrages exprimés, devançant largement le candidat de la droite Henri Falcon, qui recueillait un peu moins de 21 % des voix. Derrière l’évangéliste Javier Bertucci terminait troisième avec presque 11 % tandis que Reinaldo Quijada fermait la marche avec 0.39 % des voix.

    Par ces élections, le peuple vénézuélien donnait une nouvelle claque à tous ceux rêvant l’arrêt de la Révolution bolivarienne et du socialisme au Venezuela. Ceux qui, au moyen de violences, les mêmes utilisées aujourd’hui pour déstabiliser le pouvoir populaire du gouvernement de Daniel Ortega au Nicaragua, ceux qui ont organisé des pénuries et menés des campagnes de désinformation visant à décrédibiliser la moindre action du gouvernement, ceux-là ont échoué dans leur plan, car le peuple vénézuélien est resté fidèle à son gouvernement et conscient de l’intérêt qu’il avait de renouveler sa confiance dans le socialisme.

    D’emblée, en prêtant serment, devant la Constituante, Nicolas Maduro a réaffirmé la voix du Venezuela dans la poursuite du socialisme et de la Révolution bolivarienne. Mais, devant les sanctions et les pressions, intérieures comme extérieures, le camarade Nicolas Maduro a défini six lignes d’actions visant à :

    « opérer un changement radical, une rectification en profondeur, et un profond réapprentissage. Nous ne faisons pas les choses correctement et nous devons changer ce pays ».

    En premier lieu, et malgré les crimes et les violences dont certains ont été reconnu coupables, des prisonniers ont été libérés afin de faciliter un processus de réconciliation nationale. De cette façon, ceux qui critiquent le gouvernement sur cette ligne ne pourront plus rien dire. Maduro n’était en rien obligé de procéder à ces libérations de personnes condamnés par la justice pour des faits avérés. Mais, en faisant ce geste, il montre un signe de la bonne volonté du gouvernement à faciliter la reprise du dialogue afin que les violences cessent.

    C’est le premier point des 6 axes majeurs qui domineront ce mandat. Je ne reviendrai pas sur les six mais simplement sur deux autres qui me paraissent intéressants. D’abord sa volonté – c’est le point numéro cinq – de défendre le pays contre les agressions de l’impérialisme nord-américain, qui n’a semble-t-il toujours pas assimilé que les pays latinos-américains sont indépendants et libres de construire leur propre modèle de société.

    Devant la recrudescence des sanctions, depuis l’arrivée au pouvoir de Donald Trump à la tête des EU, Maduro a annoncé que ces sanctions « seront surmontées tôt ou tard ».

    Le 6ème point concerne la poursuite du socialisme.

     » Le Venezuela a ratifié à nouveau notre socialisme du 20ème siècle, indépendantiste, solidaire, rebelle, chrétien, bolivarien. Nous devons construire le socialisme dans tous ses aspects. »

    De quoi rassurer tous les révolutionnaires admiratifs de ce qui se déroule au Veneuela depuis 1999 et la première élection d’Hugo Chavez à la tête du pays. De quoi aussi envoyer un message clair à ceux rêvant d’un retour à l’ordre ancien : le socialisme est la voie qu’à choisi le peuple vénézuélien.

    »» https://republiquesocialeblog.wordpress.com/2018/06/25/au-venezuela-se...
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  • Nouveaux sur notre site http://bolivarinfos.over-blog.com


    En page d’accueil:
    1)Mexique : López Obrador élu avec 53% des voix, un article du Courrier de l’Orénoque du 1° juillet 2018 suivi d’un article deTelesur du 2 juillet 2018 traduits par Françoise Lopez. Le second article évoque les élections aux autres charges qui ont eu lieu en même temps que les présidentielle.
    2)Mexique : Qui est López Obrador, le président élu du Mexique ?, un article deTelesur du 1° juillet 2018 traduit par Françoise Lopez.
    3)Mexique : Je ne trahirai pas le peuple du Mexique , un article deTelesur du 1° juillet 2018 traduit par Françoise Lopez. Un résumé des déclarations faites par Lopez Obrador après l’annonce des résultats.
    4)Mexique : La coalition de López Obrador, obtient une large majorité au Sénat et au Congrès, un article deTelesur du 2 juillet 2018 traduits par Françoise Lopez. Une grande victoire, donc… Nous nous en réjouissons!
    5) Mexique : Evo félicite López Obrador et demande au Mexique de « regarder vers le Sud pour affronter les menaces de l'Empire », un article du Resumen Latinoamericano du 1° juillet 2018 traduit par Françoise Lopez. Ce serait effectivement une bonne chose, que le Mexique face plus front avec l’Amérique Latine dans son ensemble… Une bonne chose pour  l’Amérique Latine mais sans doute surtout pour le Mexique! Faisons confiance à Lopez Obrador, il l’a certainement compris mais Evo a raison de le dire!
    Bonne lecture à tous,

     Françoise Lopez, 


  • Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
    Si vous ne visualisez pas cet email lisez-le sur le site
    http://www.europalestine.com

    Publication CAPJPO - Europalestine
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