• 18 Juin 2019

    Publié par El Diablo

    Le patron d’EDF était invité, ce jeudi [13/06/2019], sur le plateau de 12H, l’heure H, notamment pour évoquer la concurrence « qui se contente d’attendre que nous leur fournissions une électricité à prix bas. »  

     

    « Maintenant, ça suffit ! » Sans perdre son flegme, le PDG d’EDF, Jean-Bernard Lévy, a de nouveau tapé du poing sur la table pour protester contre la régulation du nucléaire, qui dessert son entreprise. « Depuis des années, EDF n’est pas heureux de la régulation du nucléaire qui a été mise en place, il y a 10 ans et qui nous semble aujourd’hui dépassée » explique-t-il sur le plateau de 12H, l’heure H, en rappelant que cette régulation avait été « mise en place à un moment où EDF avait tout le marché des particuliers. »

     

    Il s’agissait alors de « contraindre EDF à vendre à un prix bas de l’électricité à ses concurrents pour qu’ils puissent prendre des parts de marché » souligne-t-il. « C’est fait ! Ils nous ont pris des parts de marché ! Chaque mois, nous perdons des clients parce que tout est organisé pour que nous perdions des clients. Maintenant, nous disons, ‘ça suffit !’ »

     

    Et de marteler : « toute la charge des investissements pèse sur EDF et nos concurrents se contentent d’attendre (…) L’année dernière, on a perdu environ un million de clients mais on en a regagné 300 000 qui sont partis puis finalement revenus. » Une situation qui semble avoir fait réfléchir le Premier ministre qui entend définir une nouvelle régulation du prix de l'électricité à l’échelle européenne.

     

    Pas de démantèlement d’EDF

    Jean-Bernard Lévy est aussi revenu sur le plan « Hercule » qui permettra la réorganisation du groupe EDF. « Il s’agit de donner à EDF les meilleures perspectives possibles pour continuer dans les décennies qui viennent à jouer son rôle pour avoir une électricité compétitive et génératrice d’emploi. » […]

     

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  • 18 Juin 2019

    Publié par El Diablo

    Image d'illustration

    Un reporter qui n’est pas payé par Niel ou Drahi n’est pas un journaliste.

     

    Par Jacques-Marie BOURGET

     

    Pour "Le Monde", et la presse qui va avec, un journaliste ne peut être qu'un membre du groupe du sérail de la fratrie de la convenance. Dés qu'un mal élevé, inconnu des réseaux de pouvoir, mais profondément JOURNALISTE met son nez sans carte de presse dans un dossier qui bouscule l'ordre établi, il est soulevé avec des pincettes car il sent mauvais, comme tous ces êtres qui ne sont pas du bon monde.

     

    Mes derniers amis, avec lesquels je viens de me réunir dans une cabine de karaoké, le savent, je ne suis pas du genre à critiquer la police. Quand ils coupent des mains, éborgnent des regards, provoquent la mort d’une vieille dame à Marseille je trouve ça vraiment juste et bien. D’ailleurs la vieille dame on ne va pas la compter puisqu’elle est algérienne. L’action policière est conforme à la comptine des Droits de l’homme, telle que récitée par Castaner : nous sommes une grande démocratie où la répression ne saurait être injuste. Les borgnes et les sans main, qui ont remplacé les « sans dents », doivent s’affirmer heureux. Le coup de matraque, le pétard du flash-ball sont comme le goupillon qui bénit le pécheur, ou le coup de règle de l’instit vintage. Va en paix mon fils.

     

    Mais ce qui m’a choqué, et là je vais être franc avec les amis de la police, c’est l’arrestation et la garde à vue d’un journaliste. Donc d’un confrère. Comme c’est une espèce en voie d’extinction, j’aime les hommes de presse, tout autant que le regretté volatile, le dodo. Mon premier mouvement a été de sauter sur une trottinette d’Hidalgo, qui n’est pas lente, pour foncer vers le commissariat d’Alfortville où le reporter était détenu par d’exquis policiers. Mon second mouvement fut de lire à la volée, sur téléphone, ce que disait la presse des malheurs du confrère : « Le journaliste militant Taha Bouhafs poursuivi pour « outrage », son téléphone mis sous scellé », lis-je dans « Le Monde » […]

     

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    COMMUNIQUÉ DE PRESSE

    Protection des sources : attention parquet glissant !


    Le mardi 11 juin à Alfortville (Val-de-Marne), Taha Bouhafs a été violemment interpellé par les forces de l’ordre alors qu’il couvrait pour le site d’information Là-bas si j’y suis une manifestation de soutien à des travailleurs sans papiers dans un centre Chronopost.

    Bien qu’ayant fait mention de son statut de journaliste, il a été brutalisé lors de l’arrestation, ce qui lui a valu une épaule déboîtée et dix jours d’ITT. Son avocat a annoncé avoir déposé plainte pour « violences par personne dépositaire de l’autorité publique ». Placé en garde à vue, il a été remis en liberté avec une convocation au tribunal pour « outrage et rébellion sur personne dépositaire de l’autorité publique ».

    Lors de sa garde à vue, les policiers ont saisi son smartphone, ce même appareil qui lui avait servi à filmer les images d’un certain Alexandre Benalla, le 1er mai 2018, place de la Contrescarpe. Outre le fait de constituer son principal outil de travail, ce téléphone contient évidemment toutes ses images et tous ses contacts.

    Première organisation de la profession, le Syndicat national des journalistes (SNJ) apporte son soutien à Taha Bouhafs, et s'interroge sur les motivations du parquet de Créteil, qui a récupéré le téléphone, placé sous scellés. Une fois encore, un procureur prend une initiative en contradiction avec la loi du 4 juillet 2010. Cette confiscation constitue une atteinte caractérisée à la protection du secret des sources des journalistes, pierre angulaire de la liberté de la presse. Les intimidations et les violences contre les journalistes doivent cesser.

     

    Paris, le 16 Juin 2019

     

    SOURCE:


  • 18 Juin 2019

    Publié par El Diablo

    photo d'illustration ( source: RT France )

    En marge de l’acte 31 des Gilets jaunes à Paris, des manifestants ont exprimé leur solidarité envers Julian Assange. Le fondateur de Wikileaks, incarcéré au Royaume-Uni et menacé d'extradition vers les Etats-Unis, doit être jugé en février 2020.

     

    Le 15 juin, en marge de l’acte 31 des Gilets jaunes à Paris, des manifestants ont tenu à exprimer leur soutien au fondateur de Wikileaks. «Liberté pour Julian Assange», pouvait-on ainsi lire sur une banderole. La veille, le tribunal londonien de Westminster avait annoncé que l'audience chargée de statuer sur l'éventuelle extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis aurait finalement lieu en février 2020. 

     

    Ce n’est pas la première fois que des Gilets jaunes ou sympathisants du mouvement affichent leur solidarité avec Julian Assange. Le 13 avril, un rassemblement en soutien au lanceur d'alerte s'était tenu devant le siège du journal Le Monde afin de réclamer la libération de l'Australien et de demander aux médias ayant utilisé les informations de WikiLeaks de le soutenir.

    […]

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  • 18 Juin 2019

    Publié par El Diablo

    photo d'illustration

    Par Jean ORTIZ

     

    Le 5 octobre 1971, le président Richard Nixon lança à son secrétaire d’Etat, Henry Kissinger : « j’ai décidé de virer Allende, ce fils de pute ». Admirez l’élégance du langage. Nixon poursuit : « nous ne devons pas laisser l’Amérique latine penser qu’elle peut emprunter un autre chemin sans en subir les conséquences ». Et d’ajouter : « faites-moi hurler l’économie » (chilienne).

     

    La guerre économique contre le régime d’Unité populaire fut impitoyable. Ces propos ont fait depuis mille fois le tour du monde, mais « l’oubli » des crimes et méfaits de l’impérialisme reste une maladie répandue.

     

    Aujourd’hui, les Etats-Unis voudraient que Cuba, la source, l’inspiratrice, et ceux qui suivent son exemple, comme le Venezuela bolivarien, subissent le même sort que le Chili de Salvador Allende. Il s’agit de contextualiser, situer, étudier, l’affrontement de classe et ses acteurs . Les médias dominants voudraient nous empêcher de soulever la chape du mensonge, de la manipulation.

     

    Je reste solidaire du chavisme, parce que depuis la « Baie des cochons » (1961), le renversement de Jacobo Arbenz (1954), le septembre chilien (1973), ceux qui campent sur le trottoir d’en face n’ont pas changé ; ils ont martyrisé le Chili, le Nicaragua, le Salvador, le Guatemala, l’Argentine, l’Uruguay, le Paraguay, le Honduras.

    […]

     

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  • MesOpinions.com : le site de pétition et sondage en ligne
    Oui à l'autorisation herbicide OSMOBIO Z.N.A non toxique pour remplacer le Glyphosate
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    Une alternative heureuse au glyphosate "cancérogène" est prête à être mise sur le marché, c'est le Z.N.A de OSMOBIO 100% naturel, issu de plantes et jugé non toxique à efficacité performante au désherbage. Son créateur, Mr. Jacques Le Verger, ingénieur en biologie végétal, a créé sa PME "OSMOBIO" en 2009 à Loudéac en Côtes d'Armor, attend depuis 2014 l'autorisation de mise sur le marché de son herbicide 100% naturel.

    Osmobio Z.N.A est testé avec succès sur différentes espèces de mauvaises herbes. « Il contient des actifs naturels non nocifs pour l’applicateur et les usagers, pénètre rapidement par les feuilles et détruit les racines des plantes indésirables », précise la Diro dans son rapport.

    Mr. Jacques Le Verger attend avec impatience son autorisation de commercialisation du Z.N.A de la part de l'agence officielle l'ANSES qui donne les autorisations donc les objectifs l'agence doit répondre, protéger la santé humaine, animale et végétale et à prévenir les risques émergents.

    Mr. Jacques Le Verger a depuis lors fait l’objet de dépôts de brevets en France et aux États-Unis en 2015, au Japon en 2016 et en Russie en 2017. Par ailleurs, il est en cours d’évaluation au Canada, au Brésil et en Argentine.
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