• Etre ch'ti est un fabuleux héritage, car celà vous rend convivial et spontané (Valérie Bonneton). 

     

     
     
    24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 06:07/ CLIQUEZ SUR LE TITRE POUR ALLER SUR SON BLOG = 
    une caisse pleine d'abeilles

    Bonjour,

    Mr POPPINS prend des cours d'apiculture et va entamer en mars sa seconde année de cours.

    Hé oui il faut deux ans de cours et de pratique pour espérer arriver à élever des abeilles, récolter du miel....

    C'est passionnant croyez moi.

    Il lui fallait une caisse pour transporter le matériel d'apiculture.

    Il l'a trouvée et moi repeinte, la voici

    une caisse pleine d'abeilles
    une caisse pleine d'abeilles
    une caisse pleine d'abeilles
    une caisse pleine d'abeilles
    une caisse pleine d'abeilles
    une caisse pleine d'abeilles
    une caisse pleine d'abeilles
    une caisse pleine d'abeilles
    une caisse pleine d'abeilles
    une caisse pleine d'abeilles

    Voilà y a plus qu'à apprendre et les abeilles elles se sont mises à l'abri pour l'hiver dans leurs ruches.

    A bientôt avec un peu d'images d'AMIENS.

    Fabymary POPPINS


  • Dimanche 24 novembre 2013 7 24 /11 /Nov /2013 06:30

    Jean-Marc-Ayrault-1.jpgJean-Marc Ayrault cherche à rassurer, alors que gronde une contestation sociale considérable. Il veut faire croire qu'il serait disposé à engager des changements profonds sur la seule fiscalité, en cherchant à empêcher l'expression d'une colère généralisée sur tout ce qui touche à l'emploi, au revenu et à la croissance réelle.

    En réalité, le Premier ministre entend maintenir le cap de l'austérité pour la dépense privée : hausse de la TVA sur laquelle « il n'est pas question de revenir », parce qu'elle conditionne « la baisse du coût du travail » ; maintien de l'écotaxe. Pareil pour les dépenses de services publics : 60 milliards d'euros « au moins » d'économies de 2014 à 2017.

    La fusion envisagée entre l'impôt sur le revenu et la CSG aurait des conséquences nocives : transfert du financement de la protection sociale des profits des entreprises vers l'impôt sur le revenu ; transformation de ce dernier en un prélèvement proportionnel et non plus progressif ; inclusion de cet impôt dans un système de prélèvement à la source qui désavantagerait surtout les salariés.

    Disons-le tout net : toute réforme fiscale qui ne remet pas en cause l’austérité est une impasse. Il faut au contraire engager un changement fondamental pour sécuriser vraiment l'emploi, la formation, les revenus du travail et de remplacement, baisser le coût du capital (intérêts et dividendes) avec un nouveau crédit aux entreprises et une réforme radicale de la fiscalité. Il faut relancer massivement tous les services publics, au lieu des privatisations et de la capitulation devant le dogmatisme monétaire de la BCE.

    Avant la révolution de 1789, il y avait aussi une crise financière généralisée et une protestation contre les impôts excessifs qui nécessitaient de mettre en cause les privilèges de l'aristocratie. Aujourd'hui, ce sont les privilèges des grands actionnaires, des grands groupes, des grandes banques et la domination de la rentabilité financière sur toute l’économie qu'il s'agit de mettre à bas avec une nouvelle construction sociale et politique.

     
     
     

  • Ce matin en bref // 2013-11-24 // Dimanche 24 novembre 2013

    ce matin en bref♦  Le "Pacte d’avenir de la Bretagne" proposé par le gouvernement aura une "dimension sociale" notamment dans l’industrie agroalimentaire, a déclaré hier le ministre de l’Agroalimentaire, Guillaume Garot, sur Europe 1, en marge des manifestations bretonnes.
    Quelques milliers de manifestants en Bretagne : "Ce qui compte, ce n’est pas les chiffres, c’est de recentrer le débat sur l’emploi, le volet social du Pacte d’avenir", a déclaré le responsable régional CFDT.
    "Assez de changements nuisibles à l’enseignement", "Stop aux économies" – plus de vingt mille enseignants polonais ont manifesté hier à Varsovie en particulier contre la privatisation de l’école. "Nous sommes absolument opposés à la possibilité de transmettre au privé des écoles, des orphelinats et des établissements dédiés aux enfants" a déclaré Slawomir Broniarz, responsable du syndicat des enseignants ZNP.

     

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    Genève : enfin un joli rayon de soleil dans un automne morose

    Publié le 24 Novembre 2013

    Genève :  enfin un joli rayon de soleil dans un automne morose

    "Un accord a été trouvé à Genève sur le nucléaire iranien"

     

    Hormis les faucons d'Israël et les vrais qui ici les soutiennent, c'est un titre quasi unanime de la presse qui est pris comme un signal positif pour la paix en général et la diminution des tensions au Moyen-Orient en particulier.

     

    Reste une question: ce qui s'applique à l'Iran (qui depuis 1970 a ratifié le traité antiprolifération et dit s'y tenir) n'est-il pas en terme d'égalité de traitement applicable à toute la planète, en particilier envers les états qui refusent de le signer, avec au besoin les mêmes moyens de coercitions que ceux imposés à l'Iran, et à le faire effectivement respecter - avec les mêmes méthodes -pour ceux qui l'ont signé et ne le respecte pas ?

     

    Si Fabius fait une déclaration allant dans ce sens, Canaille le Rouge s'engage à la publier sans commentaires ni illustrations perfides et (ou) tendancieuses.

     

    Haliburton pour l'instant n'aura pas son champ de profits (pardon, de bataille). L'air est plus léger ce matin.

     

    Le chef de l'amirauté (celui qui commande le porte avion israëlien en méditérannée et tient l'aussière maitrisant l'escorteur d'escadre du Quai d'Orsay a du faire preuve de réalisme et contre mauvaise fortune bon coeur.

     

    Comment va-t-il s'y prendre pour dénucléariser Israël et le pakistan ? (l'Inde, non signataire, a décidé un moratoire de son industrie militaire nucléaire à la fin des années 90 et s'y tient)

     

    Concernant la France, La Canaille attend avec impatience les questions d'actualité ou les interpelations du gouvernement - et qui va les poser- pour voir concernant son propre arsenal ce qui va être engagé.

     

    Et que Montebourg ne nous dise pas qu'il faut persister pour sauver des emplois industriels. A voir le nombre de cancers qui se révèlent parmis les ouvriers des arsenaux du coté de Guernevez, ce serait aussi une source d'économie pour la sécu, une vraie, là. 

     

    Au fait, un mot comme ça en passant, vous ne trouvez pas curieux ce tapage médiatique sur le nucléaire civil (et pas de ¨naïveté" ici sur sa propreté absolue énoncée de principe) et le silence des batelleurs de vertes estrades dès qu'il s'agit du militaire et même leur alignement concernant l'Iran sur les positions des faucons éclairant pour partie où nichent ici nos vrais ?

     

    En matière de luttes pour la Paix, rien n'est définitivement gagnée.Vite, une déclaration et des initiatives du Mouvement de la paix, ne serait-ce que pour indiquer qu'il existe encore.

     

     

    Rédigé par Canaille Lerouge

    Publié dans#L'Utopie - çà se construit., #Paix et droits des peuples


  • La lettre du Dimanche : Le Biocentrisme.‏

     

     

    www.ecologie-radicale.org

     

     

     

    La lettre de Gérard CHAROLLOIS     le dimanche 24 novembre 2013

    TEL 06 76 99 84 65

     

     

     

     

                 Le biocentrisme.

     

     

     

     

    Après les ères des tribus, des cités, des nations, des empires, des identités meurtrières, des races et des communautés fermées, que vienne le temps du biocentrisme.

    Ce concept s’oppose au théocentrisme et  à l’anthropocentrisme qui mettent les mythes ou une espèce élue au centre.

    En revanche, le biocentrisme ne s’oppose pas à l’humanisme. Il l’englobe, en considérant comme des acquis irréversibles ses conquêtes politiques. Il élargit le cercle de l’empathie.

     

     

     

    Tout être éprouvant le principe du plaisir déplaisir vaut, quelles que soient ses performances dans le déchiffrage par l’intelligence du grand livre du monde ou celles à courir vite.

    L’individu vaut parce qu’il peut souffrir et non par ses capacités cognitives ou ses aptitudes physiques.

    Le biocentrisme répudie ainsi tant le spécisme que le racisme dès lors qu’il ne reconnaît qu’une communauté : celle des vivants.

    Point n’est besoin, pour le biocentriste, de postuler l’absence de différences, voire d’inégalités dans les diverses performances, puisque le fondement éthique réside dans l’intérêt à être.

    Tout vivant possède un intérêt équivalent à ne pas être torturé, maltraité, asservi, soumis à la contrainte.

     

     

     

     

    Nos sociétés ne s’élèvent pas encore à ce stade de prise de conscience de l’unité fondamentale du vivant.

    Nos contemporains perdurent à traiter les animaux comme des marchandises et à contester le droit de toutes les espèces dites sauvages à peupler la terre.

    Les conformistes bêlant râillent les femmes et hommes de mieux qui osent dénoncer les « saines traditions sanguinaires », tellement admises par les foules serviles.

    Pour eux, contester la chasse, la corrida, le gavage, la vivisection, l’élevage concentrationnaire, trahit son « zoolâtre » extrémiste.

    Voyons, dit le formaté : « cela s’est toujours fait ».

     

     

     

     

    Le processus mental est identique à celui qui justifiait, autrefois, l’esclavage, la torture des suspects, le bûcher des impies et qui, dans certains pays, de nos jours encore, justifie le confinement des femmes, la mise à mort des homosexuels et, de temps à autres, l’égorgement des infidèles.

    Le mal existe et endeuille la terre.

     

     

     

    Sans prendre la mesure de la nocivité de sa maîtrise absolue, l’homme ose énoncer que les grands herbivores dévastent ses cultures, que les prédateurs attaquent occasionnellement ses troupeaux, que des oiseaux lui disputent ses céréales ou ses poissons.

     

     

     

    Selon une information énoncée par des biologistes, 95% des vertébrés présents sur  terre aujourd’hui sont des humains et leurs animaux d’élevage et ne restent que 5% d’animaux dits sauvages.

     

     

     

    L’homme apprendra-t-il à temps à maîtriser sa maîtrise ?

    Cessera-t-il de croître et multiplier jusqu’à emplir la terre ?

     

     

     

    Reconnaître à la nature et aux animaux le droit de vivre assure corrélativement le triomphe des droits de l’homme, si souvent bafoués ici et là aux noms des religions, des dictatures, des raisons d’Etat, des « justes guerres ».

     

     

     

     

    En France, des esprits obscurantistes et féroces proclament « nuisibles » des êtres qui ne font que survivre malgré les persécutions.

    Or, d’un point de vue éthique, l’aseptisation en cours est inacceptable.

    Certes, la biodiversité  ne doit point préjudicier à  quelques individus ou groupes sociaux.

    Ainsi, concrètement parlant, illustrant notre propos par un exemple, si les loups, les lynx et les ours affectent l’élevage ovin, la collectivité doit remédier aux préjudices  subis par une catégorie sociale en subventionnant la biodiversité, c’est-à-dire en liant la « fonctionnarisation » en cours de l’élevage de montagne à la protection de la faune sauvage.

    Puisque 50% du revenu des éleveurs proviennent, desdites subventions, il suffit d’en subordonner l’attribution à la présence des hôtes naturels des bois.

    Les dits éleveurs pourront ainsi, à l’instar de  leurs homologues Italiens qui partagent les Abbruzes avec six cents loups, adopter de simples mesures de protection efficace, à savoir gardiennage des troupeaux et confinement nocturne.

     

     

     

     

    Il y a malheureusement encore à ce jour des hommes thanatophiles, occupant le brouhaha médiatique, avec leurs élucubrations sur le thème du « grand méchant loup », dévoreur de petits enfants. Ils disent collecter dans les registres paroissiaux du Moyen-âge des histoires d’attaques de loups contre l’homme.

    Pour se convaincre de l’insignifiance des assertions de ces « chercheurs » contre nature, il suffit de rappeler qu’en Italie, en Espagne où survivent 1500 loups, pas la moindre attaque d’humain n’est à déplorer.

    « Qui veut tuer le loup, l’accuse de la rage ».

     

     

     

    En revanche, en Asie, le tigre dévore occasionnellement le bipède. Cela appelle des mesures de précautions, mais nullement l’extinction de l’espèce.

    Il est douloureux qu’un tigre tue un homme, mais ne l’est-il pas qu’un homme tue un tigre ?

     

     

     

    Le biocentrisme fut promu, expliqué, illustré par notre regretté ami Jean-claude HUBERT, vice président de la CVN, auquel je dédie mon éditorial de cette semaine, trois ans après sa disparition brutale.

    Il n’aura pas assisté à l’émergence de ce monde meilleur dans lequel l’humain, loin de renoncer au vrai progrès, celui des connaissances et de la conscience, élargirait le cercle de l’empathie au vivant, tournant résolument le dos à la haine, au mépris, à la sottise dont le racisme stupide et le spécisme cruel sont les excroissances.

     

    Contre ces tares de l’esprit, contre ces abaissements de la dignité humaine, affirmons notre détermination à éradiquer le négationisme des droits du vivant.

     

     

     

                 Gérard CHAROLLOIS

     

     

     

    CONVENTION VIE ET NATURE

    MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

    POUR LE RESPECT DES ÊTRES VIVANTS ET DES EQUILIBRES NATURELS.