• 04 juillet 2013

    WIGNEHIES - Fête du Cheval

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    Posté par CHRIS NORD à 08:24 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
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  • ROSEMAR

     
     
    Mardi 2 juillet 2013 2 02 /07 /Juil /2013 21:10

     

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    On a appris, ces derniers jours, que les services secrets des Etats-Unis ont espionné l'Europe. Bruxelles serait une cible privilégiée de l'espionnage américain : le renseignement américain se serait immiscé dans les plus hautes instances européennes...

     

    Des micros auraient été posés dans des bureaux, les services secrets américains auraient piégé les locaux de l'union européenne à Washington, à Bruxelles et à l'Onu pour avoir accès à ses réseaux informatiques internes : l'espionnage d'une institution politique crée un véritable scandale...On pousse, de tous les côtés, des cris d'orfraie mais enfin, il paraît évident que tout le monde espionne tout le monde ! Les européens eux-mêmes ne sont, sans doute, pas en reste pour espionner d'autres pays d'Europe ou d'ailleurs : il est vrai que les Américains disposent de moyens plus sophistiqués et plus puissants.. mais, pour autant, l'espionnage n'est pas de leur seul ressort.

     

    L'usage d'internet a permis aux communications de se développer mais, en même temps, qui peut être protégé de toute intrusion dans sa vie privée ?

     

    C'est le règne de Big Brother prévu par Georges Orwell, l'auteur de 1984 qui est bel et bien en train de se mettre en place.

     

    Chacun d'entre nous utilise internet tous les jours, chacun d'entre nous laisse des traces, des documents, exprime des opinions...

     

    Internet est un outil merveilleux mais le revers de la médaille, c'est bien cette visibilité, cette incapacité que nous avons à nous protéger des intrusions dans nos idées, nos vies privées.

     

    Par le réseau internet, tout le monde peut être surveillé, fiché : c'est effrayant, mais c'est là une réalité...

     

    L'espionnage concerne tous les domaines, la vie privée, mais aussi le monde politique et industriel : les pays, les entreprises se livrent à une concurrence terrible et effrénée et il n'est pas étonnant que chacun essaie de voir les atouts industriels de l'autre...

     

    Nous vivons dans un monde de connections : comment y échapper ? Nous envoyons des mails,nous consultons des sites et tous ces renseignements sont facilement accessibles.

     

    Peut-on même se passer d'internet ? Ce n'est pas envisageable car l'informatique est partout : dans les bureaux, dans les établissements scolaires, dans nos maisons... L'informatique est incontournable et, comme tout progrès, il présente des inconvénients que l'on aura des difficultés à maîtriser.

     

    Sommes-nous donc voués à être sans cesse espionnés, épiés, surveillés et contrôlés ? Nos sociétés vont vers cette tendance...

     

    Prendre conscience de ces problèmes est essentiel : veillons déjà à ne pas passer trop de temps devant nos claviers, à ne pas nous laisser envahir et subjuguer par tous les médias qui nous entourent...

     

    Veillons à garder un contact direct avec la nature, avec les autres... Veillons à préserver une véritable communication.

     

    Internet, comme tout progrès, nous permet d'acquérir une certaine liberté mais peut-être aussi un instrument d'asservissement et de contrôle...

     
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    espionnage

  • Analyses - Points de vue :  PUBLIE  SUR  LE SITE DE L'OBSERVATOIRE  DES  INEGALITES

    Dépenses d’éducation : la France dépense-t-elle vraiment trop ?
    le 28 juin 2013
     

    Sur 14 pays riches comparables, la France est au dernier rang en matière de dépense par élève au primaire, au 11e rang pour l’enseignement supérieur et au 7e pour le secondaire. Un choix de société. Par Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.



    Sur 14 pays de l’OCDE comparables, la France est au dernier rang en matière de dépense [1] par élève au primaire, au 11e rang pour l’enseignement supérieur et au 7e pour le secondaire (collèges et lycées), comme l’indique le rapport « Regards sur l’éducation 2013 », de l’organisation internationale. Pour comparer le niveau d’investissement scolaire de la France au reste des pays riches, la moyenne de l’ensemble de l’OCDE n’a pas de sens : on met ensemble la France, le Chili, la Turquie ou le Mexique. Nous n’avons donc gardé que les pays les plus peuplés et les plus riches de cet ensemble [2].

    Si l’on observe la dépense d’éducation rapportée à la richesse nationale, la France arrive en 9e position sur 14, avec 6,3 % du Pib. C’est beaucoup moins qu’au Danemark (8 %) ou en Norvège (7,6 %), mais l’indicateur est peu significatif. Pour mesurer l’investissement du pays dans le domaine de l’éducation, il faut tenir compte du nombre d’élèves à chaque niveau. On peut tirer trois leçons des chiffres de l’OCDE (voir les tableaux ci-dessous).

    D’abord, le constat est désormais largement admis : l’enseignement primaire est très nettement sous doté en France. Notre pays consacre par an deux fois moins à un élève de primaire (6 600 dollars) que la Norvège (12 200). La France est bonne dernière de la liste, notamment parce que les enseignants à ce niveau sont les plus mal payés des pays riches. Dans certains pays, les enseignants disposent de davantage de personnels de soutien, comme c’est d’ailleurs le cas en maternelle en France. La prime de 400 euros qui sera versée par le gouvernement ne changera en rien la situation.

    Ensuite, la France arrive en 11e position sur 14 pour les dépenses par élève dans l’enseignement supérieur. Elle ne devance que l’Italie, l’Autriche et l’Espagne. Un étudiant suédois coûte 30 % de plus qu’un étudiant français. Mais les écarts sont énormes en France entre les filières sélectives (IUT, BTS et grandes écoles principalement) et les autres où les étudiants sont entassés en nombre dans des amphithéâtres, ce qui fait baisser la moyenne.

    Enfin, contrairement à une idée reçue, la France occupe une place dans la moyenne aussi pour l’enseignement secondaire, au niveau du Royaume-Uni et de la Belgique, mais loin derrière la Norvège ou l’Autriche. Notre pays est moins mal classé, mais reste loin d’avoir surinvesti ce niveau. Nos collégiens et nos lycéens disposent du standard moyen d’études des pays riches.

    L’argent ne fera pas le bonheur du système éducatif français. Les élèves français souffrent d’un enseignement peu modernisé depuis les années 1960, très académique et taillé sur mesure pour la culture des élèves de milieux favorisés. Mais le manque de moyens va encore dégrader les choses. Il n’aidera pas à recruter les meilleurs enseignants, à réduire le nombre d’élèves par niveau (du primaire et de l’université notamment), ou à offrir des conditions matérielles d’études dignes de ce nom aux étudiants (campus, bibliothèques, logements, etc.). Du côté des enseignants, l’hypocrisie règne : une évaluation et des exigences limitées, en contrepartie de salaires peu élevés pour un bon nombre [3]. Deux voies s’offrent à notre pays : continuer à investir dans ses services publics en général [4] et la formation en particulier, ou se lancer dans une concurrence perdue d’avance en baissant le coût du travail. Depuis des années, la seconde voie a été choisie et la nouvelle majorité n’y a pas changé grande chose. Le gouvernement va dépenser 20 milliards par an dès l’an prochain dans ce sens, via la mise en place du Crédit d’impôt pour la compétitivité. Une prime aux entreprises considérable : l’ensemble du budget de la recherche et de l’enseignement supérieur vaut 25 milliards, celui de l’enseignement scolaire 64 milliards.

    Comparaisons internationales des dépenses publiques : une confusion totale
    Les dépenses publiques d’éducation sont-elles trop élevées en France par rapport aux autres pays ? Avec 6,1 % de son Pib en 2011 selon Eurostat, la France dépense plus que l’Allemagne (4,4 %) mais moins que le Royaume-Uni (6,9 %). Les comparaisons qui ne prennent en compte que la sphère publique n’ont pas de sens pour le citoyen car tout est histoire de tuyaux. Les dépenses d’enseignement supérieur aux Etats-Unis par exemple ne sont pas comptabilisées, mais les familles doivent bien payer l’université. La réponse aux besoins est simplement plus inégalitaire entre ceux qui ont les moyens et les autres. Il faut par ailleurs prendre en compte la démographie : la France dépense plus dans l’enseignement secondaire, parce que sa fécondité est plus élevée et que la reprise a été forte à partir du milieu des années 1990.
    Dépense par élève au primaire dans les pays de l'OCDE
    Unité : En dollars de parité de pouvoir d'achat
      Dépense par élève
    Norvège 12 255
    Etats-Unis 11 193
    Danemark 10 935
    Autriche 10 244
    Suède 9 987
    Royaume-Uni 9 396
    Canada 8 933
    Belgique 8 852
    Japon 8 353
    Italie 8 296
    Pays-Bas 7 954
    Finlande 7 624
    Espagne 7 291
    France 6 622
    OCDE 7 974
     
    Source : OCDE, Regards sur l'éducation, édition 2013. Année des données : 2010
    Dépense par élève au secondaire dans les pays de l'OCDE
    Unité : En dollars de parité de pouvoir d'achat
      Dépense par élève
    Norvège 13 852
    Autriche 12 551
    Etats-Unis 12 464
    Pays-Bas 11 838
    Danemark 11 747
    Belgique 11 004
    France 10 877
    Royaume-Uni 10 452
    Suède 10 185
    Japon 9 957
    Espagne 9 608
    Finlande 9 162
    Canada 8 997
    Italie 8 607
    OCDE 9 014
     
    Source : OCDE, Regards sur l'éducation, édition 2013. Année des données : 2010
    Dépense par élève au supérieur dans les pays de l'OCDE
    Unité : En dollars de parité de pouvoir d'achat
      Dépense par étudiant
    Etats-Unis 25 576
    Canada 22 475
    Suède 19 562
    Danemark 18 977
    Norvège 18 512
    Pays-Bas 17 161
    Finlande 16 714
    Japon 16 015
    Royaume-Uni 15 862
    Belgique 15 179
    France 15 067
    Autriche 15 007
    Espagne 13 373
    Italie 9 580
    OCDE 13 528
     
    Source : OCDE, Regards sur l'éducation, édition 2013. Année des données : 2010

    Photo : © WavebreakmediaMicro - Fotolia



    [1Tous types de dépenses confondues, publiques mais aussi privées, car c’est bien ce qui compte pour les ménages.

    [2La liste est discutable, mais en ajouter un ou deux ne changerait en rien les résultats

    [3Même si les écarts sont élevés au sein de la profession entre notamment les professeurs des écoles et les agrégés du secondaire

    [4Ce qui n’empêche pas d’en améliorer la qualité et de réaliser des économies


  • Quand le monarque renvoie sa ministre.‏

     

     

     
     
     
      
     Quand le monarque congédie sa ministre.
     
     
     
      
    La ministre de l'écologie, Delphine BATHO ne s'était guère illustrée par un esprit de résistance aux lobbies contre nature.
    L'amputation de 7% de son budget lui donna l'audace de critiquer cette absence de volonté gouvernementale de promouvoir l'écologie.
    En France, pays encore très monarchiste dans ses  moeurs politiques, la liberté d'expression, officiellement célébrée par  de tonitruantes déclarations des droits, cède constamment sous divers prétextes imposteurs.
     
    Un ministre demeure, comme sous LOUIS XVI un commis du prince tenu de réciter les dogmes officiels sous couvert de "solidarité gouvernementale".
    En la forme, certains ministres d'hier et d'aujourd'hui suscitent notre compassion lorsqu'ils doivent citer dix fois par interview le nom de celui qui les fit ministres.
    Ce pays ne serait-il pas mûr pour une vraie démocratie dans laquelle chacun, ministre ou chômeur,puisse exprimer librement, sereinement, clairement sa pensée!
     
     
     L'état, ses hiérarchies désuètes, ses obligations de réserve napoléoniennes reflètent une société sclérosée.
    Sur le fond, la ministre renvoyée, tels un TURGOT ou un NECKER, dénonce la dictature de la finance et des marchés qui imposent à un gouvernement pas plus socialiste qu'écologiste, une politique de rigueur monétaire.
    "Il faut faire des économies, diminuer la dépense publique, bloquer le salaire des agents et en réduire le nombre".
    Sans doute "pour sortir du tunnel"!
     
     
      
    qui peut croire encore à ces billevesées?
     
     
      
    Sous le joug de la finance, les sociétés sont entraînées dans une spirale régressive qui n'a rien de conjoncturelle.
    Dans les années à venir, les mêmes économistes affirmeront encore : "Il faut réduire la dépense publique, bloquer les salaires, supprimer les emplois".
    Et ce jusqu'au jour où les peuples se lèveront pour briser les paradigmes dits "libéraux" et pour rétablir la vraie liberté: celle d'expression.
     
     
      
    Quant au nouveau ministre de l'écologie, Philippe MARTIN, souhaitons-lui de résister aux lobbies funestes contre nature, mais souvenons-nous que lorsqu'il présidait le conseil général du GERS, il fit abattre massivement les platanes bordant les routes de son département, platanes dont aucun ne quitta jamais sa place pour venir méchamment percuter un assassin de la route qui sans lui aurait fauché un piéton ou tout autre usager pacifique de la voirie.
    Quant aux élus dits VERTS, il serait grand temps pour eux de protéger les couleuvres en cessant de les avaler.
     
    La dignité, l'honnêteté politique commandent qu'ils quittent un gouvernement dont le premier ministre rêve d'un gigantesque aéroport et dont le président de la république fait la cour à des chasseurs.
     
     
     
             Gérard  CHAROLLOIS
     
    CONVENTION VIE ET NATURE
     
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    Note perso sur Philippe Martin : rien de bon à attendre concernant les animaux ...
     

  • L’avion du Président bolivien Evo Moralès détourné : le gouvernement français à la botte des Etats-Unis dans l’affaire Snowden ?

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    JUSQU’OÙ IRA LA LÂCHETÉ DES EUROPÉENS ?

    L’AVION D'EVO MORALES DÉTOURNÉ PAR COUARDISE

     

    C’est tout simplement inouï. L’avion du président bolivien Evo Morales a été contraint mardi d’atterrir à Vienne, en Autriche, à son retour de Moscou. Les espaces aériens français et portugais lui ont été interdits, selon le ministre bolivien des Affaires étrangères.

     

     

    Et pourquoi ? Parce que, d’après les autorités portugaises et françaises, les aéroports des deux pays avaient, le même jour, la même heure, des problèmes techniques. C’est pas beau ça ?

     

     

    La vérité, c’est qu’une rumeur voulant qu’Edward Snowden soit à bord de l’avion présidentiel a couru pendant quelques heures. Ca a suffi pour qu’ils fassent dans leur froc. Couards, on savait qu’ils l’étaient. Lâches et incapables d’assumer leurs décisions, on le savait aussi, mais pas au point de mentir avec des énormités invoquant problèmes technique global et simultané dans tout le ciel européen.

     

     

    La Bolivie a finalement démenti la présence de l’Américain dans l’avion du président Morales. Il a du s’étouffer de rire, le président Bolivien. Que faire d’autre, devant tant de… je ne trouve pas mes mots.

     

     

    Il n’y a pas que la France et le Portugal. L’Autriche, comme pour s’excuser d’avoir accepté l’atterrissage,  annonce par son ministère des Affaires étrangères, que les autorités autrichiennes « ignoraient » pour quelle raison le chef de l’État bolivien avait atterri à Vienne. Prudence, n’est-ce pas ? La Norvège, qui a reçu une demande d’asile de Snowden invoque un problème de procédure pour ne pas accéder à la demande. La Pologne, quant à elle, affirme bien avoir reçu une demande, mais, Ô misère de misère ! elle ne remplit pas les conditions. Le ministre polonais des Affaires étrangères, Radoslaw Sikorski, rajoute même que « si c’était le cas, je ne ferais pas de recommandation positive ». En voilà au moins un qui est couard mais pas lâche.

     

     

    Est-il donc si terrible, le grand ami américain ? D’ailleurs, peut-on appeler ami quelqu’un qui nous fait flipper au point d’en perdre nos repères et notre honneur ?

     

     

    Seul le président vénézuélien, Nicolas Maduro, a estimé mardi que Snowden « mérite la protection du monde ». « Il n’a pas encore demandé la nôtre. Quand il le fera, nous donnerons notre réponse », a-t-il ajouté, interrogé par Reuters à Moscou. Digne héritier de Chavez.

     

    Avic

     

    Source : Réseau International

     

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    Communiqué du PARTI DE GAUCHE sur l'affaire SNOWDEN
    Le gouvernement a décidé de refuser l'accès à l'espace aérien français au président de la Bolivie au prétexte de soupçons infondés sur la présence à bord de l'avion présidentiel d'Edward Snowden.

    En traitant ainsi le président Evo Morales Ayma comme un dangereux terroriste et en mettant en doute la parole du Ministre des Affaires étrangères bolivien qui a assuré aux autorités françaises que Snowden n'était pas à bord, le gouvernement français a commis une lourde faute politique et diplomatique qui n'honnore pas notre pays déjà si malmené par son alignement atlantiste.

    Cette attitude, ainsi que celle des gouvernements espagnol et portugais, signe l'asservissement européen aux intérêts des Etats-Unis qui pourtant nous espionnent.

    Le Parti de Gauche demande au gouvernement français de présenter immédiatement des excuses au gouvernement bolivien et à son premier représentant, le président Evo Morales Ayma.

    Le Parti de Gauche demande en outre que le gouvernement français cesse d'aider le gouvernement étatsuniens responsable d'espionnage au niveau mondial et soutienne celui qui a permis de faire éclater la vérité au grand jour, Edward Snowden.

    La France doit lui accorder l'asile politique.

    Communiqué du Parti de Gauche du 3 juillet 2013