• STX Saint-Nazaire : grève contre le projet d’accord compétitivité

    by xxx

    France 3 Pays de la Loire, 1 juillet 2013 :

    Tôt ce matin, une partie des salariés de STX de Saint-Nazaire a bloqué plusieurs portes d'accès au site en opposition au projet d'accord "Compétitivité" que la direction souhaite mettre en place.

    Les portes 1, 4 et la forme Joubert ont été bloquées tôt ce lundi matin par les salariés de STX Saint-Nazaire. Une action à l'appel de la CGT et de FO contre le projet d'accord sur la compétitivité.

    Les salariés reprochent notamment à ce plan de "mettre en place le travail gratuit (20 minutes de plus par jour), la flexibilité (avec la modulation) et la remise en cause de nombreux droits et garanties (ITDR, mutuelle …)."

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  • 01 juillet 2013

    ..." comment nous allons détruire 7 pays en 5 ans" (Général Wesley CLARK 2.3.2007)

     

     En route vers la 3ème Guerre Mondiale !

     

     Balisage

    00.00  pouquoi les US ont-ils...

    00.48  Dollar, or, et pétrodollar

    04.00  Irak...

    05.59  "il s'agit d'un mémo qui décrit comment nous allons détruire 7 pays en 5 ans" (Général Wesley Clark 2 mars 2007)

    06.17  ... Lybie

    06.40  ... Iran

    07.05  ...Syrie

    08.08  Moyen Orient et Afrique

    08.55  ...QUI TIRE LES FICELLES?.. A QUI CELA PROFITE?...

    10.55  QUE FAIRE?...:  3 étapes...

     

     

    Posté par Jocegaly à - -

     


  • 01 juillet 2013

    Face au scandale de surveillance PRISM, que savaient les politiques européens ?

     

    Sur 01.net

     

    En 2012, une étude du Parlement européen soulignait, dans l’indifférence générale, le risque d’une surveillance massive et mondiale par les autorités américaines. La députée Françoise Castex vient maintenant de saisir la Commission européenne.
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     La Commission, royaume de la sourde oreille
    La Commission, royaume de la sourde oreille
    Révélé par The Guardian et The Washington Post, le programme de surveillance PRISM est un énorme scandale, mais aussi un coup dur pour les responsables politiques européens. En effet, une étude du Parlement européen de 2012 avait déjà pointé du doigt la loi FISAAA (Foreign Intelligence Surveillance Act Amendments Act), et en particulier l’article 1881a qui autorise de facto « une surveillance de masse ciblée spécifiquement sur les données de personnes qui vivent en dehors des Etats-Unis ». Cette étude n’a pas provoqué un très fort émoi à Bruxelles. Il faut dire qu’elle restait théorique : elle soulignait le fait qu’une telle surveillance était juridiquement possible.

    « Le pire scénario que nous nous étions imaginé »

    Les informations de nos confrères britanniques et américains apportent maintenant la preuve qu’une telle surveillance de masse a bel et bien été implémentée et qu’elle fonctionne depuis plusieurs années. « Cette révélation confirme totalement notre travail, explique Caspar Bowden, l’un des coauteurs de l’étude du Parlement européen. Néanmoins, j’avoue avoir été estomaqué par l’ampleur de ce programme de surveillance. Il s’agit en fait du pire scénario que nous nous étions imaginé. » En effet, selon les informations révélées, neuf géants de l’Internet ont été « enrôlés » dans le programme de surveillance PRISM, depuis l’année 2007, dont Google et Facebook. Apple est le dernier à l’avoir rejoint.
    Neuf géants du web nous espionnent
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    Evidemment, aucune de ces grandes marques n’a avoué faire partie de ce club secret. Au contraire, elles nient tout en bloc, tour à tour. Mais ont-elles réellement le choix ? En effet, la loi FISAAA est une loi qui concerne le renseignement extérieur et la sécurité nationale des Etats-Unis. Avouer l’existence de ce procédé de surveillance pourrait enfreindre la loi US Espionage Act, qui interdit la publication d’informations classées sur les méthodes de renseignement.
    D’ailleurs, le directeur national du renseignement américain, James Clapper, le dit sans détour dans un communiqué publié hier : « La révélation non autorisée d’informations sur ce programme important et complètement légal est répréhensible et met en péril la sécurité des Américains ». Un message que les directeurs de communication de tous ces géants du web ont certainement reçu cinq sur cinq.

    Mais que fait la Commission ?

    Françoise Castex saisit la Commission européenne
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    La question qui se pose maintenant: que va faire l’Europe ? Il n’existe aucune preuve que les données personnelles de citoyens européens ont été aspirées au travers de PRISM, mais c’est très probable. Alors que des négociations politiques sont en cours sur le projet de règlement pour l’amélioration de la protection des données personnelles, les responsables politiques européens vont devoir prendre position : faut-il laisser faire les autorités américaines, ou ériger des barrières de protection ? Et dans ce cas, comment faire, car il est difficile de contrôler les flux de données sur la Toile ?
    Afin de remuer le pouvoir exécutif européen, l’eurodéputée Françoise Castex a, dès aujourd’hui, saisi la Commission européenne. En particulier, elle demande si la Commission était informée de l’existence de ce système de surveillance et ce qu’elle prévoit pour protéger la vie privée des ressortissants de l’Union. Il sera intéressant de connaître les réponses.
    A lire aussi :
    Retrouvez notre dossier complet. Prism : surfez, vous êtes surveillé !
    Posté par Jocegaly à -

  • Nouvelle publication sur les échos de la gauchosphère

    Parisot du matin, chagrin. Et puis non : colère !

    by gauchedecombat

    index"Laurence Parisot quitte ses fonctions, l'heure du bilan.  Laurence Parisot n'exclut pas de s'engager en politique. Laurence Parisot a indiqué dimanche qu'elle souhaitait "rester dans le débat public".  Elle retrouvera prochainement le Conseil économique, social et environnemental (CESE) ¹. Elle a plaidé pour la création d'une entreprise qui "n'existe pas encore" et "qui permettra notamment d'exploiter le gaz de schiste dans notre pays". Laurence Parisot, prêche pour une réforme des retraites incluant un recul de l'âge légal de départ à 63 ans. "il faut accepter de travailler plus longtemps".  Elle ne se voit pas devenir une "énième vice-présidente de l'UMP" car elle n'envisage de s'engager qu'partir du moment où il s'agit de faire un travail constructif, déterminé, positif." (ndlr : "et toc").  Il y a un ajustement économique important qui est en train de se faire dans notre pays. Peut-être que nous arriverons vers un ajustement politique aussi ».  Laurence Parisot salue un Sarkozy "exceptionnel en 2008" et la méthode de "concertation" mise en place par Hollande. "

    Voila voila... je n'ai fait que collecter des titres et des déclarations de la Présidente sortante du Medef dans la presse, et les mettre bout à bout. De rien, merci. Elles proviennent pour la plupart essentiellement de sa prestation médiatique  dans le cadre du Grand Rendez-Vous d' Europe 1, hier, avec Elkabbach, qui soit-dit en passant ne risquait pas de trop la contredire... Comme on l'exprime sur twitter,  #jedisçajedisrien...  Elle quittera ses fonctions à la tête du Medef officiellement mercredi 3 juillet, après avoir tenté d'en modifier les statuts pour s'y maintenir coûte que coûte comme une moule sur son rocher.

    Bien bien bien.  Belle soupe servie à la patronne d'un syndicat de grandes entreprises non représentatives de la composition entrepreneuriale  française. Elle n'est pourtant synonyme à mes yeux que des seules régressions sociales que nous ayons connues ces dix huit dernières années. j'accuse d'ailleurs le parti hollandais d'en avoir signé certaines des deux mains sans sourciller, tout en se laissant désigner comme étant de gauche. Belle usurpation d'identité. On devrait les attaquer pour plagiat. Voilà voila, le monde comme il va. Ce texte n'est qu'un fétu de paille à la dérive. C'est tout. Ma maigre contribution du jour. Faites couler dans le flux. Ou pas. M'en fout. Vanitas vanitatum, et omnia vanitas...

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    ¹ une fonction tout à fait désintéressée et au service de tous, cela va de soit. Hormis la contradiction qui consiste à appeler à l'exploitation du gaz de schiste dont tout un chacun peut s'informer sur les méfaits environnementaux, alors que ce conseil économique et social est aussi censé être "environnemental", voilà ce que nous dit le blogueur de Slovar sur le sujet : Laurence Parisot, la grande pourfendeuse des dépenses publiques vient de rejoindre le Conseil économique social et environnemental où elle touchera 3786,76 euros mensuels issus du budget de l'état. Institution où elle pourra continuer à fustiger le gouvernement et ses dépenses improductives. (source)