• Dimanche 31 mars 2013 7 31 /03 /Mars /2013 09:41

    http://a4.ec-images.myspacecdn.com/images02/103/32680982debe45c2af0751f2b26dc116/l.jpg17 mai 2013

    journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie

    Le 17 mai, journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie, est l’occasion pour la CGT de renouveler son engagement aux côtés des lesbiennes, gays, bisexuel-le-s et trans (LGBT).

     Forte de ses valeurs fondatrices de justice sociale et de solidarité, la CGT s’est engagée de longue date dans le combat contre les discriminations et pour l’égalité des droits des personnes quelles que soient leur orientation sexuelle et identité de genre.

    L’année 2013 en France est marquée par l’ouverture du droit au mariage et à l’adoption aux couples de même sexe. Néanmoins, l’expression publique, violente et haineuse, de l’opposition à cette avancée historique majeure, nous rappelle que la société n’est pas totalement immunisée contre les thèses homophobes, transphobes et sexistes.

    Nous le mesurons tous les jours sur le terrain de l’entreprise, où cette discrimination s’exprime encore et toujours. Elle génère de la souffrance au travail pour les salarié-e-s LGBT quand elle ne les prive pas tout simplement de l’accès à l’emploi. Nous constatons toutefois que les victimes font de plus en plus appel à nos syndiqué-e-s pour faire cesser et réparer l’injustice subie. Nous nous efforçons d’être dignes de cette confiance.

    Notre ancrage dans le monde du travail donne à nos élu-e-s et mandaté-e-s la possibilité d’être des acteurs-trices actifs-ves de la lutte contre l’homophobie et la transphobie et d’agir concrètement pour l’égalité des droits. Ces problématiques sont loin d’être généralement abordées dans la négociation collective dans les entreprises, c’est pourtant vers cela qu’il faut tendre. L’accès au mariage pour tou-te-s n’évacue pas la question d’inégalité des droits des couples pacsés ou vivant en concubinage devant les droits sociaux dans l’entreprise, qu’ils soient accordés par la direction ou décidés par les comités d’entreprise. Souvenons-nous dans notre travail syndical quotidien qu’il nous est possible d’agir là-dessus.

    En cette année 2013 la CGT appelle de ses vœux de nouvelles avancées pour la reconnaissance des droits des personnes trans.

    Nous espérons ainsi que l’Organisation Mondiale de la Santé qui est en train de réviser sa très respectée classification internationale des maladies (CIM), acte la dépsychiatrisation de la transidentité. Rappelons que le choix de la date du 17 mai comme journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie s’est fait en raison de la suppression en 1993 de l’homosexualité de la liste des maladies mentales par l’OMS. Vingt ans après l’heure est venue de reconnaître enfin cette intégrité psychique aux trans.

    Nous attendons également du gouvernement français des avancées concrètes pour les droits des trans, dans l’esprit de la résolution 1728 du Conseil de l’Europe et des recommandations Hammarberg.

    Les employeurs se servent des discriminations pour diviser et opposer les salarié-e-s. La CGT tient à réaffirmer que la lutte contre les discriminations et pour l’égalité des droits des personnes LGBT est une lutte pour la justice et la dignité humaine. C’est un apport essentiel à la transformation sociale et c’est par l’engagement de chacun-e que nous la gagnerons.

    La lutte contre l’homophobie et la transphobie est un apport essentiel à la transformation sociale et c’est par l’engagement de chacun-e que nous la gagnerons

     

     
     

     

     

     

     

     
    Par udcgtnord.over-blog.fr - Publié dans : Droits et Libertés

  • LA Lettre du Dimanche : Parler fort et clair.‏

     

     

    www.ecologie-radicale.org

     

     

     

    La lettre de Gérard CHAROLLOIS           le dimanche 31 mars 2013

    TEL 06 76 99 84 65

     

     

     

              Parler fort et clair.

     

     

     

    Selon une information, le vendredi 22 mars, un comité dénommé GROUPE LOUP, comprenant des éleveurs, chasseurs, élus et des protecteurs de la nature aurait accepté, pour l’an prochain, un doublement du nombre de loups à tuer, soit 24 au lieu de 12.

     

    Ce résultat pitoyable, cet échec pour le vivant illustre ce qu’affirme la CONVENTION VIE ET NATURE, à savoir, que la participation à des organes consultatifs mis en place par les pouvoirs publics n’apporte qu’une caution morale à l’extermination de la biodiversité.

     

     

     

     

    Il faut d’abord constater que le lobby agro-cynégétique est toujours majoritaire au sein de ces comités qui n’accueillent qu’à titre de touche ténue verte quelques protecteurs accoutumés aux humiliations et que consolent occasionnellement la poignée demains d’un ministre, une séance de petits fours sous les lambris de la république et au pire une décoration.

     

     

    Les ministres, les parlementaires, les préfets localement  obéiront à la voix de leur maître et le « protecteur » de service devra avaliser une petite extension du temps d’ouverture de la chasse, le classement d’une espèce supplémentaire sur la liste des prétendus « nuisibles », des prélèvements de « gestion et de régulation » !

    Or, le monde agro-cynégétique, obsédé d’aseptisation et de maîtrise de la nature, est très minoritaire dans la société contemporaine.

    La démocratie commande que prenne fin sa mainmise sur la nature, dès lors qu’une immense majorité  souhaite moins de chasse, des animaux sauvages dans nos forêts et montagnes.

     

     

     

    Mais, me dira-t-on, que faites-vous du dialogue, toujours nécessaire en démocratie ?

    Les comités Théodules où l’on disserte de la faune n’ont rien de démocratiques.

    Ils ne reflètent pas la volonté des citoyens mais les fantasmes destructeurs des ennemis de la terre.

     

     

     

    Vouloir exterminer les loups, avoir anéanti l’ours pyrénéen, délirer sur les méfaits des gypaêtes, des cormorans, des bernaches, considérer la belette comme un « nuisible » et plus généralement l’animal,être sensible, comme de la chair à fusil ne manifestent pas des opinions, mais des arriérations, voire des crimes contre nature.

    En feignant de dialoguer avec le lobby agro-cynégétique les protecteurs accrédités par le pouvoir octroient un paravent de pluralisme à un etat partial, complice de ceux qui font la guerre au vivant.

     

     

     

    Sans doute, ces protecteurs, ne le font-ils pas consciemment et nombre d’entre eux peuvent siéger dans ces commissions et conseils de bonne foi.

    Souhaitons qu’ils découvrent le rôle funeste qu’on leur fait jouer.

     

     

     

     

    Nous disons clairement, sans lâche précaution, qu’il faut en finir avec l’actuel anéantissement programmé de la nature.

     

     

     

    Depuis trente ans, la société est paralysée par le lobby des tueurs et la faiblesse des protecteurs.

    Seuls les recours juridictionnels ont permis d’insignfiantes avancées.

    Sans fanatisme, sans outrance, il serait temps de poser des principes fondamentaux.

    Quels principes ?

    Ceux-ci : faisons la paix avec la nature et cessons de la sacrifier aux activités ludiques des arriérés et aux appétits économiques des spéculateurs.

    Proclamons que l’animal appelle notre respect et que son mépris est aussi condamnable que le racisme.

    Exposons qu’il n’y a pas « d’abus de la chasse » mais que la chasse est un abus, une insulte à la dignité humaine lorsqu’on veut comprendre que cette dignité repose sur le respect de la sensibilité d’autrui.

     

     

     

    A force d’être tièdes, timorés, prudents, les écologistes et protecteurs deviennent froids et parfaitement inaudibles.

    Ils seront écoutés, convaincants, persuasifs lorsqu’ils parleront haut, fort et clair.

    Ce jour-là, ils n’accepteront plus la mort de 24 loups.

    Qu’importe si ce quota de victimes n’était pas réalisé, puisque le mal tient dans le message négatif adressé à la société.

    Le loup n’est pas un problème, pour nous. Il est une chance et nous devons l’accueillir avec enthousiasme.

     

     

     

     

              Gérard CHAROLLOIS

     

     

     

    CONVENTION VIE ET NATURE

    MOUVEMENT D’ECOLOGIE ETHIQUE ET RADICALE

    POURLE RESPECT DES ÊTRES VIVANTS ET DES EQUILIBRES NATURELS.


  • Ouais, je me suis fendue pour le titre 

    C' était pas un cadeau pour moi que ce premier thème des Photographes du Dimanche dans leur version mensuelle:

    — Cloches, oeufs et chocolat — 

    Evidemment dans mon bled, pas l'ombre d' un oeuf en chocolat,  et bien sûr, pas de cloches. (et le premier qui rajoute, "si, yen a au moins une" je le regarde méchamment, ok ?)

     

    Bon.
    Alors voilà.

     

     

    Qui qu' a fouillé dans ses vieilles photos ?
    J'ai trouvé des oeufs... mais ils ne sont pas trop frais ça ne fait rien ?


    DSCN3362.jpg 

    Bon Dimanche de Pâques
    à tous !

     

     

     

    http://img7.hostingpics.net/pics/67580oeuf_de_paques_tiram__2_.gif

     

     


  • profencampagne

     
    Dimanche 31 mars 2013 7 31 /03 /Mars /2013 12:17
     
     

     


  • Cyril LAZARO

     
    Dimanche 31 mars 2013 7 31 /03 /Mars /2013 10:41

    Chypre : les gros dépôts pourraient être ponctionnés jusqu'à 60 %

    Les gros dépôts de la Bank of Cyprus pourraient être plus ponctionnés qui ce qui avait été prévu par le plan de sauvetage initial. Les gros dépôts de la Bank of Cyprus pourraient être plus ponctionnés qui ce qui avait été prévu par le plan de sauvetage initial. | AP/Petros Karadjias

    Les détenteurs de gros dépôts à la plus grande banque de Chypre, Bank of Cyprus, pourraient enregistrer des pertes plus importantes que ce qui était d'abord envisagé dans le cadre du plan de sauvetage, allant jusqu'à 60 %. Les détenteurs de dépôts de plus de 100 000 euros verront en effet au moins 37,5 % de leurs fonds transformés en actions, et 22,5 % de leur fonds seront immobilisés jusqu'à ce que les autorités sachent si elles peuvent remplir les conditions du plan de sauvetage, a indiqué samedi 30 mars la Banque centrale.

    En contrepartie d'un prêt de 10 milliards d'euros conclu à Bruxelles, les autorités chypriotes doivent en effet trouver 5,8 milliards. A cette fin, les comptes dépassant 100 000 euros sont gelés à la Bank of Cyprus et à la Laïki, les deux plus grandes banques du pays. La première (18,5 milliards d'euros de dépôts) doit être restructurée et la seconde (9,2 milliards) liquidée. Des calculs sont en cours pour déterminer l'ampleur de la ponction prévue sur les dépôts à la Bank of Cyprus, qui a été fixée pour l'instant à 37,5 % mais pourrait aller jusqu'à 60 %.

    DÉCISION FINALE "SOUS 90 JOURS"

    "La première estimation a été que 37,5 % des dépôts au-delà de 100 000 euros seront convertis en actions", a indiqué à la presse le ministre des finances chypriote, Michalis Sarris. "Pour être sûrs – une fois que tous les calculs auront été faits sur le montant de la somme dont on a besoin, 22,5% a été mis de côté", a-t-il ajouté. La Banque centrale a indiqué que la décision finale sur le pourcentage à déduire serait faite "dans pas plus de 90 jours après la fin de l'évaluation" et le reste serait rendu au dépositaire. A la question de savoir si la ponction pourrait être supérieure à 60%, Mario Skandalis, un expert et cadre de la Bank of Cyprus, a indiqué que c'est "une possibilité mais je dirais qu'elle reste assez lointaine".

    Selon Marios Mavrides, député de DISY, le parti de droite du président, Nicolas Anastasiades, les 40 % restants seront placés "dans un compte bloqué pendant six mois pour empêcher les gens de retirer tout leur argent", mais doivent au final revenir à leur propriétaire. M. Mavrides a critiqué ce délai, rappelant qu'il menaçait la survie de nombreuses entreprises.

    "CHUTE LIBRE" À PRÉVOIR

    De façon générale, la restructuration drastique du paysage bancaire va avoir des conséquences dramatiques pour l'économie, ont prévenu de nombreux experts. L'Institut de la finance internationale (IIF), qui représente les plus grandes banques du globe, a estimé que pays allait connaître une "chute libre", avec une récession pouvant atteindre 20 % sur les deux prochaines années.

    LA PRESSE ACCUSE LES BANQUES DE CORRUPTION

    Parallèlement, les autorités se sont engagées à mener une enquête approfondie après la publication dans la presse d'une liste de prêts octroyés à des personnalités politiques qui auraient vu leur dette effacée par les banques pourtant proches de la faillite. Selon la presse grecque, Bank of Cyprus, Laïki et Hellenic Bank ont effacé des millions d'euros de dettes ces cinq dernières années au bénéfice de députés, de proches ou de sociétés liées à des personnalités politiques. Mais plusieurs personnes citées ont démenti tout favoritisme ou délit. A ce sujet, le ministre des finances a indiqué que les "banques, de temps en temps, font le choix de récupérer ou non l'argent qu'elles ont prêté". "Ces pratiques ne sont pas rares", a-t-il ajouté.

    Alors que les Chypriotes débutaient un long week-end, lundi étant férié, les mouvements de fonds restaient fortement limités. Pour les entreprises, seules les transactions commerciales habituelles et validées par une commission indépendante sont autorisées. Pour les particuliers, les retraits sont limités à 300 euros par jour et par personne et les paiements par carte à l'étranger ne peuvent dépasser 5 000 euros par mois. Les virements bancaires restent impossibles vers l'étranger et limitées vers Chypre même.

    Par ailleurs, les voyageurs quittant l'île ne peuvent pas emporter plus de 1 000 euros en espèces. A Larnaca, le principal aéroport du pays, des affichages en grec, anglais et russe pressent les voyageurs de respecter ces restrictions. Le décret instaurant ces mesures a été prolongé jusqu'à la fin de la semaine prochaine. La Banque centrale de Chypre a cependant indiqué que l'ensemble des mesures seraient réexaminées sur une base quotidienne pour être "ajustées" ou "allégées".

    Source lemonde.fr