Jusqu'au 15 janvier 2013 Exposition temporaire "Quoi de neuf docteur, la médecine à l'époque romaine" Il y a deux millénaires, dans la continuité de l’héritage hippocratique, les Romains avaient développé une pratique médicale centrée sur une lutte quotidienne pour la santé. Opérations chirurgicales, hygiène du corps, hôpitaux ou pratiques religieuses, la médecine des Romains nous est présentée à travers des objets exceptionnels. Grâce aux récentes recherches archéologiques, et aux croisements de plusieurs disciplines scientifiques, la médecine et la santé chez les Romains sont mieux connues aujourd’hui. Plus de 300 objets provenant de musées français, bulgare, suisses, allemands et belge, dont 150 instruments chirurgicaux ; - 3 tombes de médecins romains révèlant leurs instruments de travail ; - Un thème fort : la découverte de pratiques médicales et de la lutte quotidienne pour la santé dans l’Antiquité romaine ; - Des visites dédiées aux familles tous les samedis et dimanches, des animations et des conférences... tous les jours pendant les vacances de Noël visite famille à 16h30 (durée 30 min.), pour petits et grands, visites guidées du site archéologique (11h, 14h, 15h30) des collections permanentes (14h), et séances du film 3D (10h30, 13h30, 15h). Forum antique de Bavay Musée archéologique du département du Nord Allée chanoine Biévelet 59570 BAVAY Tél : +33 (0)3 59 73 15 55 Fax : +33 (0)3 59 73 15 51
Jusqu'au 10 février 2013 Exposition "Journal intime - Anne-Claude Jeitz et Alain Calliste à Sars Poteries Venus en résidence à l’atelier départemental du verre en fin d’année 2011, le couple d’artistes Anne-Claude Jeitz et Alain Calliste ont développé un projet autour du journal intime. Respectivement du Luxembourg et du Sud-Ouest de la France, ces deux artistes se distinguent par leurs œuvres en verre filé d’une finesse extraordinaire. Véritable dentelle de verre, elles sont à la fois délicates et monumentales. A Sars-Poteries, ils ont souhaité revenir à des pièces miniatures et confectionner, en duo, une histoire touchante et émotionnelle. A travers 11 tableaux, ils déclinent ainsi les pensées à la fois personnelles et pourtant si universelles d’une jeune fille de 15 ans. Sorte de voyage initiatique qui ramène chacun à sa propre histoire, son propre passage de l’adolescence à l’âge adulte. accessible à tous / gratuit Samedi 22 décembre samedi 29 décembre Visite découverte Discuter, échanger, questionner, apprendre : venez découvrir les oeuvres du musée avec un médiateur. Approche des collections permanentes et découverte de l'exposition en cours. à 16h30 Tarif : entrée + 2 € durée : 1h Rens : musée-atelier départemental du verre tél : 03 59 73 16 16 museeduverre@cg59.fr
Jusqu'au 1 septembre 2013 Exposition "les animaux durant la grande guerre" à Feignies Chevaux, chiens, pigeons et bien d’autres animaux faisaient partie du quotidien des combattants durant le conflit. Cette exposition se propose donc de mettre en lumière le rôle de ceux-ci et la place centrale qu’ils occupaient auprès des soldats. Près de 14 millions d’animaux seront les compagnons de misère des hommes dans la boue des tranchées et l’horreur des combats. Utilisés pour le transport, le ravitaillement ou les communications, les animaux vont payer un très lourd tribut à cette folie meurtrière que fut la première guerre mondiale. Du lundi au vendredi 13h à 17h Fort de Leveau Tel : 03 27 62 37 07 fortdeleveau@wanadoo.fr
Samedi 22 décembre A 16h au centre Lowendal (salle A) à Le Quesnoy à partir de 3 ans "La petite fille de neige" par le fil d'Eléa proposée par la communauté de Communes du Quesnoy et la bibliothèque municipale "Une petite fille naît de la neige et rencontre tour à tour un ours, un loup et un renard..." Ce conte traditionnel russe nous invite à nous souvenir de valeurs nobles telle que la gratitude, la vérité, le pardon. Animation suivie d'un atelier de déguisements rens et réservations : 03 27 51 57 40 bmlequesnoy-le-quesnoy.com
Mercredi 26 décembre A 17h "Mission Noël, les aventures de la famille Noël" à partir de 4 ans Film d'animation américain de Sarah Smith Comment le Père Noël fait-il pour apporter tous les cadeaux, à tous les enfants du monde, en une seule nuit ? Théâtre des 3 chênes de Le Quesnoy 03 27 28 78 20 service.culturel@lequesnoyvilleforte.fr Mercredi 26 au vendredi 28 décembre Stage jeux et jouets gallo-romains pour les enfants de 7 à 12 ans De 14h à 16h du lundi au vendredi, 5€ les 2 h, sur réservation. Forum antique départemental - Allée Chanoine Biévelet - 59570 BAVAY - France Fax : +33 (0)3 59 73 15 51 Mail : forumantique@cg59.fr
Jeudi 3 janvier 2013 pour les enfants. Découverte de la poterie, ses usages, du tournage et de la cuisson. Ils se familiarisent ensuite avec une technique simple du travail de la terre, et réalisent un objet que vous pourrez récupérer après cuisson (15 jours après l’animation). Tarif : 10 € par enfant (environ 2h d’activités) Réservation souhaitable Musée vivant de la Poterie Cour des Potiers 59680 Ferrière la Petite tél : 03 27 62 79 60
A l'occasion des fêtes de fin d'année, offrez-vous ou faites découvrir toutes les saveurs de l’Avesnois dans un panier garni confectionné à votre demande par une des Boutiques de l’Avesnois.
Liste des Boutiques participant à l'opération - Les vergers Tellier à Le Quesnoy (2 points de vente), - l’établissement Defroidmont à Maroilles, - la ferme hélicicole de l’Avesnois à Croix Caluyau, - la ferme du pont des loups à Saint Aubin, - la Ferme des Bahardes à Etroeungt, - le petit panier d’Obies, - la ferme du Pont de Sains à Féron, - le Lycée agricole de Le Quesnoy, - la ferme du Tout Vent à Beaufort - la Pommeraie du Courtil à Beugnies,
Ici le terroir s’exprime avec goût !
Les nouveaux jus de pommes, pommes mûres et cidre marque " Produit du Parc Naturel Régional de l'Avesnois " sont disponibles!
L’association « Vergers hautes tiges de l’Avesnois » a produit cette automne, pour la 5 ème année du jus de pommes, de pommes mûres et du cidre avec l’appui du Parc et du Centre Régional de Ressource Génétique (CRRG). Ce jus, issus de variétés de pommiers locaux conduits en hautes tiges non traités est valorisé par la marque « Produit du Parc Naturel Régional de l’Avesnois ». Le jus est disponible à la vente directement chez les producteurs: Mme DUBOIS à Jolimetz : 03 27 27 67 80 Mr DRUET à Saint Aubin : 03 27 59 29 89 Mr HARBONNIER à Gommegnies : 03 27 49 86 31 Mr DELVA à Ors : 03 27 77 63 01 Mr LENGLET à Le Favril : 03 27 77 15 06 Mr BRUNELET à Petit Fayt : 03 27 57 27 78 Mme PAUCHARD à Beaurepaire sur Sambre : 03 27 77 95 82
C'est le bon moment pour penser à vos plantations ! Habitants du Parc naturel régional de l’Avesnois, vous pouvez bénéficier, gratuitement, de conseils téléphoniques en plantation de haies champêtres et vergers familiaux : quelles essences pour ma haie ? Quelles distances de plantation ? Comment tailler mon fruitier ?... Un technicien du Parc naturel régional de l’Avesnois peut répondre aux questions que vous vous posez en matière de plantation, au 03.27.77.51.60 ou stephane.marache@parc-naturel-avesnois.com
Il était étonnant que Bernard-Henri Lévy, homme de tous les combats douteux, n’ait pas encore fait entendre sa voix dans la charge anti nationalisation qui rassemble les soldats perdus du néolibéralisme flamboyant, en compagnie de Jacques Attali et Christophe Barbier, les duettistes de L’Express, de l’inévitable Elie Cohen, invité permanent des plateaux télé, et de quelques autres. Grâce à sa chronique du Point, on a enfin retrouvé le BHL pur et dur, prêt à soutenir l’assaut contre Arnaud Montebourg avec le même enthousiasme que lors du bombardement de la Libye par les avions de l’Otan.
Que nous dit donc le philosophe préféré d’Arielle Dombasle ? Que dans le dossier Florange, Arnaud Montebourg - pour lequel « il a de la sympathie » (ça ne mange pas de pain) – a trahi les dogmes de l’économie, et que l’évocation de la nationalisation d’Arcelor-Mittal était un crime contre l’esprit.
Aux yeux de BHL, l’affaire est classée : quoi qu’en disent les ouvriers, certains ministres, et nombre d’experts, les hauts-fourneaux de Florange sont « obsolètes ». En conséquence, la moindre intrusion publique aurait pour conséquence de voir « toute notre sidérurgie…se laisser gangrener par des dispositifs industriels fantômes maintenus artificiellement ».
Bref, pour BHL comme pour l’élite germanopratine, la sidérurgie lorraine est un « canard boiteux » qu’il faut achever au plus vite, afin d’éviter une contamination générale. BHL a des antécédents de marque puisque c’était déjà ce que disait Laurent Fabius en 1984, lorsqu’il était Premier ministre d’un certain François Mitterrand.
Or cela relève d’une fable de la même nature que celle du chien que l’on accuse d’avoir la rage pour mieux l’abattre. La sidérurgie n’a rien d’archaïque. Elle n’est pas l’équivalent moderne de la marine à voile, de la brouette ou de la diligence. C’est une industrie d’avenir et de haute technologie.
Comme en attestent les différentes études laissées sous le boisseau, les usines lorraines du groupe Arcelor-Mittal représentent un potentiel qui tient la comparaison avec d’autres sites de production pourtant mieux situés, grâce à ses atouts propres, à commencer par une main d’œuvre hautement qualifiée. Encore faudrait-il en finir avec la grève de l’investissement de Lakshmi Mittal, qui pense plus à ses actionnaires qu’à la destinée des hauts fourneaux de Florange.
Mittal ? Vous avez dit Mittal ? Ce nom n’apparaît qu’une fois sous la plume de BHL, comme s’il n’existait pas, comme si c’était un faux problème, comme s’il n’avait aucun rendre à compte à ses ouvriers et à un Etat dont il bénéficie des largesses en tout genre. En revanche, l’ex nouveau philosophe dénonce la « haine anti-patrons et, plus précisément, anti-patrons mondialisés qui n’est pas le son le plus subtil à faire entendre aux investisseurs étrangers dont la France a bien besoin pour compenser le manque à gagner généré par le départ de ceux de ses investisseurs tricolores qu’effraie la politique fiscale de M. Hollande ».
On commence par cibler Montebourg et on finit par absoudre Depardieu en dénonçant l’une des (rares) mesures de justice prise par le nouveau pouvoir. Tout cela pour fustiger « les vieilles lunes de cette gauche guesdiste, bêtement étatiste, sourdement souverainiste qui est une de nos plaies nationales ». Rien ne vaut en effet la gauche bourgeoise, sottement privatisatrice, lourdement libre-échangiste et platement eurolibérale.
La boucle est bouclée. Les avions du chef de guerre idéologique BHL peuvent retourner sur le porte-avion d’où ils se sont envolés, dans l’attente d’une nouvelle mission.
François, il manque 5 milliards pour les retraites source : ( Le jour où la France s'arrêta de payer ) "François, comme tu le sais, aujourd’hui, c’est le jour des retraites. On doit sortir 5 milliards à 11 heures. C’est-à-dire maintenant. Il nous en manque deux. C’est pas bien méchant, mais… faudrait que tu débloques les fonds tout de suite pour nous aider.”
Une impossible réforme des retraites
On croirait presque à de la surprise dans les petits papiers qui se succèdent dans la presse, sur un mode mélangeant la gravité et l'euphémisme à la grosse louche : malgré laréforme de Sarkozyen 2010, zut et flûte, les régimes de retraite vont rester déficitaires.
Pourtant, cela fait des années que différents économistes, blogueurs ou analystes un peu sérieux de la vie française se font l'écho d'une préoccupation grandissante sur ce sujet, et il y a quelques mois déjà, des articles relayaient les difficultés grandissantes et les cris d'alerte poussés par les caisses de retraite sentant leur fin proche (L'AGIRC et l'ARRCO puisant actuellement dans leurs réserves afin d'assurer le paiement des pensions.)
Et d'après leurs calculs, elles seront épuisées en 2017 pour l'AGIRC et 2020 pour l'ARRCO (et ça, si la situation reste stable, ce qui propulserait la France tout entière à Disneyland).
Début décembre les régimes de répartitions étaient systématiquement en déséquilibre, et montrait de façon éclatante pourquoi la seule issue à ce problème traîné comme une mauvaise gangrène par le pays depuis des décennies résidait dans une solution amère : réduire les pensions et augmenter l'âge de départ.
On comprend qu'électoralement, ce n'est pas vendeur du tout. Et on comprend donc que l'actuel gouvernement se retrouve dans ses petits souliers quand il s'agit de faire perdurer ce système vermoulu : eh oui, les réformes Sarkozy, en 2010, étaient franchement insuffisantes, mais les actuels dirigeants n'avaient pourtant pas trouvé de mots assez durs pour condamner les affreuses mesures de la droâte socialoïde. Débinant les micro-retouches de l'UMP dans les retraites, ils doivent maintenant s'attaquer au gros-œuvre, sachant que politiquement parlant, les syndicats, les retraités, les salariés, les fonctionnaires et les professions à régimes favorisés sont déjà aux aguets.
Or, pour équilibrer le système de retraite, comme je le notais ci-dessus, il n'y a pas trente six façons de procéder : soit il faudra travailler plus longtemps, soit il faudra relever les cotisation, soit il faudra diminuer les pensions versées. Et bien évidemment, un mix de tout cela est envisageable, avec des proportions alchimiques dont on sait déjà qu'elles ne pourront, quoi qu'il arrive, ménager ni la chèvre, ni le chou, ni le sourire de la crémière qui va se prendre une bonne avoinée. Eh oui : toucher l'âge de départ ou diminuer les pensions, c'est en parfaite contradiction avec les discours des socialistes lorsqu'ils étaient dans l'opposition, et comme à l'accoutumée, en totale opposition avec leurs promesses de campagnes (mais là, on a l'habitude). Quant à relever les cotisations, on se délecte déjà des grimaces de Moscovici. Montebourg en frétille déjà.
Mais ceci ne suffira pas. Bien sûr, On peut tripoter un peu ces paramètres histoire de faire tenir les pensions quelques années de plus : par exemple et au hasard, on peut aligner tout le monde, fonctionnaires, élus divers et variés et autres privilégiés du rail ou de l'électricité, sur un seul système, celui du régime général, qu'on aura soin de rendre aussi simple et lisible que possible structurellement. On peut aussi tenter, comme le suggère Nicolas Doze dans la chronique qu'il a consacrée au sujet, de bricoler une retraite à points permettant au salarié de partir lorsqu'il jugera avoir acquis suffisamment de points, ces derniers étant convertis en monnaie au moment du départ et en fonction des conditions macro-économiques du moment.
Mais même avec ces ajustements (nécessaires au moins pour des raisons morales de justice et de réelle égalité entre les citoyens), le sort du système de retraites par répartition à la Française est déjà scellé : il s'effondrera (avec plus ou moins de fracas en fonction du nombre de personnes assujetties).
Ce serait bien trop horrible : des orphelins seraient jetés en pâture à Baal, des veuves seraient violées, les armées de Satan débarqueraient et en moins de 24h, ce serait la fin du monde (et ça nous amènerait pile poil vendredi 21, ce qui est très commode, finalement).
À l'évidence, les discussions qui s'engagent timidement de la part de ce gouvernement gêné aux entournures et se développeront en janvier sous les impulsions mollassonne du Conseil d'Orientation des Retraites se traduiront essentiellement par des calculs d'apothicaires, des négociations de marchands de tapis sur des modifications de petits paramètres rigolos, ici, là et là. Mais jamais, ô grand jamais, il ne sera question des pistes les plus sérieuses de refonte (alignement des régimes, ouverture à la concurrence, capitalisation).
S'il y a bien un mot dont nos socialistes ne sont pas avares, c'est celui de réforme. Quand ce n'est pas du calendrier scolaire, du contenu des enseignements, du code du travail ou de la Sécurité sociale, c'est de la société de consommation, du mariage ou du code du logement qu'ils vont s'occuper à grands coups joyeux de truelle législative. Ça n'arrête pas, et quand ce n'est pas "réforme", c'est "changement" pour faire plus actuel, plus "maintenant". Devant cette accumulation de réformes toutes régulièrement menées tambour battant, qui ont toutes, ensuite, été elles-mêmes suivies par d'autres réformes, personne ne semble s'arrêter pour noter que ça ne marche pas, que les gens qui les mènent n'en ont finalement jamais réussi l'ombre d'une, et que chaque équipe revient sur le travail de la précédente sans jamais améliorer significativement le résultat (puisque toutes décident qu'une réforme est indispensable).
Arras: la CGT ErDF et GrDF veut préserver les activités sociales du comité d’entreprise
La CGT ErDF et GrDF a appelé à un déploiement de grande envergure, devant les sous-préfectures de Saint-Omer, de Béthune, la préfecture d’Arras et l’Unité client fournisseur d’Arras.
Les manifestants se sont fait entendre pour le maintien des activités sociales du comité d’entreprise. Ils luttent contre un projet de révision du financement des activités sociales basé sur la masse salariale, et non plus sur les ventes hors taxes de gaz et d’électricité. Autre sujet de courroux: ce qu’ils considèrent comme la remise en cause du fonctionnement du comité d’entreprise. Les électriciens rejettent le mode de gouvernance proposé, avec la nomination d’un directeur, au-delà de la présence du conseil d’administration élu.
Plus de la moitié des salariés du maroquinier Hermès employés dans l'usine de sacs de luxe de Bogny-sur-Meuse dans les Ardennes ont cessé le travail depuis mardi pour réclamer une revalorisation salariale. Ils réclament une réévaluation du salaire de base de 60 euros brut.