• Nouvel article sur les échos de la gauchosphère

    un trou noir dans les analyses médiatiques

    by GdeC

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    je ne me rappelle pas avoir vu un seul exemple d'éditorialiste quel qu'il/elle soit qui ait un seul instant évoqué ni même supposé l'existence d'une opposition de gauche... Pour eux, globalement, " la gôche", ce serait le ps. Bien bien bien... Finalement, leur monde est très binaire : il y a le parti au pouvoir et l'opposition, qui actuellement serait de droite. Bien bien bien... La nuance et l'appréhension de la complexité sont les mamelles de nos médias.

    Misère de l'information française.

     

  • Une manif., des « engagements », vigilance maintenue…

    Heureux de se retrouver - on s'organise.

    Heureux de se retrouver – on s’organise.

    En ce mardi matin ensoleillé, une vingtaine de syndiqué-e-s et de militant-e-s ont manifesté devant la Direction territoriale  de l’Avesnois afin d’accompagner Didier, assistant familial démissionnaire.

    Par sa démission, notre camarade « dépité, dégoûté, écoeuré » mais pas désengagé, dénonce  l’insuffisance d’accompagnement et d’écoute, le manque de considération et la maltraitance…de l’administration à son encontre.

    Dès notre arrivée, nous avons été « accueilli-e-s » par les forces de l’ordre, deux gendarmes  du cru mobilisés  pour assurer la sécurité des représentants territoriaux.  Déterminés à être reçus, bons enfants mais très bruyants,  les portes de la direction territoriale nous ont été ouvertes après une demi-heure de slogans anti-SAF et quelques plaisanteries amplifiées au porte-voix. Le directeur territorial a reçu une délégation composée de Didier, de quatre assistant(e)s familia(les)ux et de Martine Vis, Secrétaire générale du syndicat CGT du CG59.

    Le directeur a reconnu la  gestion calamiteuse et la faute inexcusable de l’administration pour n’avoir pas en temps et en heure répondu à l’interpellation de Didier en date du 26 janvier 2014. Il a invoqué des problèmes de santé et  souligné l’embarras à apporter une réponse alors qu’une proposition de rencontre était programmée, d’après lui,  lorsque la lettre de démission est arrivée.

    Le Directeur Territorial a retracé rapidement les problèmes rencontrés par notre collègue et notamment lors de l’accueil du dernier jeune confié.

    Didier a précisé que sa démission n’est pas consécutive aux difficultés avec ce jeune mais qu’elle est due aux nombreuses carences  et dysfonctionnements du service : le défaut de réponse à ses nombreux courriers, la valse des référents avec ses répercussions sur la prise en charge du jeune  – et ceci malgré l’engagement maximum de certains  d’entre-eux -  l’attitude du SAF, le décalage et les contradictions entre le discours tenu lors des formations et le fonctionnement effectif du Département…

    La délégation a insisté sur les difficultés qu’engendre l’absence récurrente de réponses de l’administration sur les interrogations, les observations que font remonter les assistantes familiales qui, par conséquent, se retrouvent seules face à la conduite à tenir dans des situations à risques où leur responsabilité, en cas d’incident, peut être engagée.

    Elle a également rappelé un certain nombre de revendications tels que le remboursement des frais de déplacement, des fiches de salaire plus lisibles …mais aussi une reconnaissance du travail effectué, la prise en compte des observations, le rôle du SAF entre « carotte et bâton ».

    L’administration s’engage :

    • à être désormais plus réactive dans ses réponses

    • à améliorer le dialogue entre les différents professionnels notamment grâce à la mise en place du Projet Personnalisé pour l’Enfant où la consigne est donnée d’associer les Assistants Familiaux  dès la première écriture.

    Didier a pris bonne note de ces engagements. Bien que démissionnaire, notre camarade ne capitule pas,  il  assurera dorénavant des permanence à l’UL de Maubeuge pour défendre ses ex-collègues  ASSFAM.

    Nous pouvons compter sur lui, un ancien de la métallurgie, ce ne sera pas un plaisantin.

    À toujours refaire le monde, on oublie de poser pour la photo !

    À toujours refaire le monde, on oublie de poser pour la photo !

    Presque au complet ! manque le photographe....

    Presque au complet ! manque le photographe….
    Les camarades se serrent les coudes !

     

    Publié dans cgt 59

  • Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
     
    Publication CAPJPO - Europalestine
     

    Le prisonnier palestinien Wahid Abou Mariya en grève de la faim depuis 77 jours

    samedi 29 mars 2014
     

    Le prisonnier politique palestinien Wahid Hamdi Abou Mariya, en grève de la faim depuis 77 jours pour protester contre sa détention « administrative », se trouve dans un situation médicale critique, a indiqué son avocat.

     

    Roger Waters : « Pourquoi je dois m’exprimer sur Israël, la Palestine et l’appel BDS »

    samedi 29 mars 2014
     

    Un beau texte du célèbre chanteur des Pink Floyd, qui réaffirme son soutien à la campagne BDS, et s’en explique.

     

     


  • Lundi 31 mars 2014 1 31 /03 /Mars /2014 09:19 - Communauté : les anti-capitalistes  PUBLIE PAR DIABLO 

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    Mettons fin une bonne fois pour toutes au blocus de Cuba !

     

    Contrairement à certains clichés tenaces diffusés tous azimuts par la droite et par de soi-disant progressistes en mal de références idéologiques, Cuba a depuis les premières heures de la Révolution attaché une grande importance à la jeunesse. Sa formation a naturellement constitué pour le nouveau régime un défi capital.

     

    Fidel Castro, qui a fêté l’an dernier son quatre-vingt-septième anniversaire, écrivait il y a déjà cinquante ans : « nous ne voulons pas d’une jeunesse qui se contente d’écouter et répéter, nous voulons une jeunesse qui pense. Nous ne voulons pas d’une jeunesse qui nous imite, mais qui apprenne par elle-même à être révolutionnaire et qui se convainque toute seule de l’être. Nous voulons une jeunesse qui développe pleinement sa pensée ».

     

    Ces mots ont été écrits en 1962. Depuis, Cuba a vu le monde évoluer considérablement : la crise des missiles, l’hostilité des Etats-Unis et l’effondrement bloc soviétique sont passés par là.  Lors de la période spéciale des années quatre-vingt-dix, très peu auraient parié un kopeck sur l’avenir de son modèle socialiste.

     

    Pourtant, les conditions difficiles dans lesquelles l’a plongée l’impérialisme étasunien n’ont pas empêché l’île rebelle de résister. Mieux, Cuba a fait des émules dans toute l’Amérique latine. Des expériences nouvelles et originales ont vu le jour : au Nicaragua sandiniste en 1979, au Venezuela de Chavez dans les années quatre-vingt-dix, en Bolivie avec Morales et en Équateur avec Correa au début du troisième millénaire. Dans le même temps, les deux géants du continent sud-américain, le Brésil et l’Argentine, souscrivent à un mode de développement autonome malgré des contradictions considérables qui se sont manifestées par des manifestations démocratiques de masse comme on a pu le voir il y a quelques mois dans les principales villes brésiliennes.

     

    Inutile évidemment de nier que l’étranglement économique permanent et les attaques terroristes sporadiques dont a été victime Cuba n’ont pas eu d’effets négatifs sur la qualité de vie de ses citoyens, et ce tant du point de vue de la disponibilité des produits manufacturés que de celui de la démocratie. Onnéglige naturellement ces aspects fondamentaux quand on est en guerre. Cuba, fondée de facto en 1898 comme une colonie des États-Unis, est dans les faits en situation de conflit non déclaré depuis cinquante pour défendre son indépendance acquise de haute lutte en 1959.

     

     

    N’est-il pas enfin temps de mettre un terme à cette situation ? Beaucoup de mesures en ce sens ont été entreprises ces dernières années de la part des autorités cubaines. Une certaine libéralisation économique pour donner un peu d’air aux petites entreprises, un élargissement de l’accès à Internet rendu possible grâce à un nouveau câble téléphonique développé avec le soutien du Venezuela, la possibilité de voyager à l’étranger, la libération de la plupart des soi-disant dissidents.

     

     

    De toute évidence, la Révolution ne craint pas la libre-circulation des idées. Yoani Sánchez, la bloggeuse que les champions autoproclamés de la démocratie ont élevée au rang d’icône (en oubliant au passage les dizaines de journalistes tués chaque année au Mexique, en Colombie ou au Honduras) peut aller et venir à sa guise sur la planète entière.

     

    La Révolution ne craint pas la libre-circulation des idées, des personnes et des biens. L’impérialisme si ! Tant et si bien qu’il continue de maintenir un embargo anhistorique et haineux qui se heurte, paradoxalement, aux principes fondés sur la liberté du commerce international. Le capitalisme n’est pas à une contradiction près…

     

    L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté en octobre 2013 pour la vingt-deuxième année consécutive une résolution sur « la nécessité de lever le blocus économique, commercial et financier imposé à Cuba par les États-Unis d’Amérique », décrété après « un différend qui a vu le jour alors que la majorité de la population actuelle n’était même pas née », a affirmé le représentant de la Zambie. Le blocus a encore été renforcé sous la présidence de M. Barack Obama, « particulièrement dans le secteur financier ». Fidèles au rendez-vous onusien, les États-Unis et leur fidèle allié Israël se sont une vingt-deuxième fois d’affilée opposés à la résolution de l’ONU. Selon les chiffres cités par La Havane dans le rapport du secrétaire général, le blocus aurait coûté depuis son origine en 1960 la bagatelle de 1.126 milliards de dollars à Cuba. Rien que ça !

     

    Le gouvernement des États-Unis est seul, défiant la volonté des Nations du monde, dans la mise en œuvre de ce crime contre l’humanité. Il agit dans l’intérêt d’une poignée de groupes économiques qui veulent s’approprier les richesses de Cuba et appauvrir le peuple cubain dont la Révolution apporta la santé, les libéra de la misère et apporta aussi une éducation universelle partagée par les pauvres de la planète. Il faut plus que jamais mettre fin au blocus de Cuba, cette honte de l’humanité !

    Capitaine Martin

     

    source:http://www.resistance-politique.fr/


  • Lundi 31 mars 2014 1 31 /03 /Mars /2014 09:24 - Communauté : les anti-capitalistes

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    Sondages : les travailleurs demande à sortir 

    de l’Union Européenne

     sortir de l’Euro, la detestation de l’UE grandit

     

     

    Les enseignements de quelques enquêtes récentes au sujet de l’hydre européenne.

    Alors qu’à  l’unanimité les grands medias ne cessent de chanter les louanges d’une Union Européenne et d’un Euro protecteur, alors que les partis de gouvernement du PCF tendance PGE à l’UMP ne cessent d’enfoncer un peu plus notre pays dans la machine mortifère de désintégration européenne – sans oublier le FN et son discours hypocrite au sujet de l’UE lui qui oublie de dire qu’il n’a pas voter contre l’Acte Unique, lui qui dans son programme ne prévoit pas de sortir de l’UE, deux enquêtes d’opinions réalisées en ce début d’année 2014 viennent confirmer le discrédit total de la construction européenne auprès des classes populaires. Sortir de l’UE sortir de l’Euro, voila une revendication plus forte que jamais dans l’opinion.

     

    55% d’ouvriers sont pour sortir de l’UE, sortir de l’Euro

    Commençons par la première enquête (Ipsos pour le Monde France Inter Cevipof Fondation Jean Jaurès de janvier 2014) :

    70% de nos concitoyens pensent qu’il faut renforcer les pouvoirs de décisions de notre pays même si cela doit limiter les pouvoirs de l’UE, c’est 5% de plus que lors de la précédente enquête. Et chez les ouvriers cette proportion monte à 78% !

    33% de nos concitoyens pensent qu’il faut sortir de l’euro, là encore c’est 5% de plus que lors de la précédente enquête. Chez les ouvriers cette proportion s’élève à 55%.

    Seconde enquête (BVA pour Le parisien Aujourd’hui en France l’IRIS, mars 2014) :

    40% des personnes interrogées éprouvent de la crainte à l’égard de l’UE alors que 31% seulement pensent que c’est une source d’espoir.

    Si l’on regarde dans le détail seulement 23% des moins de 34 ans placent leur espoir dans l’UE. Seulement 9% des ouvriers ont encore espoirs en l’UE. Alors que 46% des cadres supérieurs ont espoirs en l’UE. De manière générale, en onze ans, la moitié de ceux qui pensaient que L’UE représentait un espoir de progrès ont changé d’avis. Les arguments de ceux qui comme le PRCF démontrent depuis 10 ans que l’UE n’est pas réformables se trouvent il est vrai totalement confirmé par la réalité.

     

    Selon un sondage OpinionWay pour le Figaro réalisé en février 2014, 56% des personnes interrogées éprouvent déception, crainte ou rejet à l’égard de l’UE. Si l’on ajoute les indifférents le pourcentage monte à 68%. 56% c’est à 1% près le score du non au référendum du 29 mai 2005.

     

    La défiance et le rejet envers l’UE ne cessent de monter en France

    Trois sondages, trois, résultats identiques, la défiance et le rejet envers l’UE ne cessent de monter en France, qui plus est, le fort clivage des résultats entre des eurolâtres se trouvant massivement parmi les CSP+, c’est-à-dire les dirigeants, et les euro-sceptiques se trouvant massivement parmi les CSP-  c’est à dire les couches populaires, doit interroger sur le bien fondé de l’UE comme construction « soi-disant » démocratique. L’UE est une construction de classe. Un levier du néolibéralisme, une arme d’exploitation massive des travailleurs construite par et pour l’oligarchie capitaliste. Dans ces conditions, il est parfaitement logique que sur la base de leur expérience -désindustrialisation, chômage de masse, précarisation, mise en concurrence des travailleurs, liquidation de leurs protection sociale et de leur service public…. – ce soit les classes populaires qui les plus durement frappées par le fouet de l’Euro, les plus durement blessées par les fers de Bruxelles rejettent le plus l’Union Européenne.

     

    La prise de conscience du caractère profondément réactionnaire de l’UE

    Comment être surpris par ces sondages ? Il ne font que montrer que le Peuple de France, se dégageant de la propagande massivement eurolâtre est pleinement conscient du caractère fondamentalement réactionnaire qu’est l’UE. (Rappelons nous du 29 mai 2005 !). C’est d’ailleurs en ces termes qu’a été condamnée l’UE par des dizaines d’organisation de jeunesse, dont et c’est une nouveauté réjouissante, les jeunes communistes de France.

     

    De fait, le citoyen français n’est ni aveugle ni sourd, il ne peut qu’entendre les discours émanant tant de la commission européenne que des divers gouvernements nationaux (qui constatons-le ne sont que les deux bras d’une même politique de casse sociale mise au service d’une même idéologie réactionnaire, les deux bras de l’oligarchie capitaliste). Ces discours enjoignent de détruire le contrat social français fondé sur le compromis progressiste du CNR imposé à la Libération par les forces populaires de progrès (dont la principale et très majoritaire était un parti communiste puissant) à un patronat qui avait massivement collaboré. Le citoyen français ne peut que constater les conséquences sur le terrain lorsque ces politiques neolibérales de casse sociale sont mises en œuvre : baisse des salaires, casse de la protection sociale, hausse frénétique du chômage et des emplois précaires, augmentation des impôts et taxes pesant sur le travail quand le capital et la rente sont  de plus en plus protégés, concurrence et dumping social tant à l’interne en UE que plus généralement dans le contexte d’un capitalisme re-mondialisé.

     

    L’UE c’est la guerre et la misère

    Aussi, lorsque le travailleur de France constate qu’il est au chômage, victime de délocalisation induite par les politiques européennes de désindustrialisation massive (cela commença avec la CECA !, cela va continuer de s’aggraver avec le TTIP, avec un Euro verrouillé au service de la rente !), que son système de retraite et de santé est détricoté un peu plus chaque jour par les faucons de la commission européenne et de ses petits préfets trustant tous les gouvernements de manière servile.

    • Lorsque le travailleur de France constate que la santé, l’éducation, la recherche, les infrastructures, qu’il a patiemment mis en place par l’intermédiaire de son travail et de ses impôts sont peu à peu livrés au Libre Marché.
    • Lorsque le travailleur de France constate que détruisant les frontières l’UE ne cesse de s’étendre tel l’aigle impérial avide de rapine qu’il est,
    • Lorsque ce même travailleur de France constate que l’UE sème la guerre de Tripoli à Kiev, de Belgrade à Damas, augmentant ainsi en son sein propre comme sur ces frontières externes le nombre de miséreux sans défense, comme autant de chair à canon dans la guerre à mort que livre l’Hydre européenne contre les droits et les salaires des travailleurs d’Europe.
    • Et lorsque le travailleur de France voit que cela se fait sous les bons hospices d’une classe politique unanimement pro UE du FN à Pierre Laurent défendant ainsi pied à pieds les intérêts d’une petite caste d’oligarques financiers qui se gavent de dividendes et de crédits d’impôts sans naturellement travailler, que doit penser le travailleur de France ?

     

    La dangereuse illusion de l’impossible autre Europe : un mensonge qui divise et affaiblie la gauche

    Un deuxième enseignement de ces sondages, c’est que la fracture européenne traverse profondément la gauche française (Nous ne parlons évidemment pas du PS et de EELV qui ne méritent même pas le qualificatif de centriste tant leurs politiques sont marqués du sceau néolibéral des cabris eurolâtres tenants de l’austérité mortifère pour les peuples et de la rentabilité maximale pour le capital.)

    C’est un danger pour le peuple de France car surfant sur les illusions alter-européistes plus ou moins honnêtes qui traversent le FdG, le Faux Nez  du capital mondialisé (FN) dévoie les thématiques souverainistes de progrès dans le libéralisme et la xénophobie, utilisant les vieilles mais toujours aussi efficaces et dangereuses méthode des imposteurs fascistes volant nos mots et thématiques pour mieux piéger les travailleurs.. Alors qu’il faut le dire avec clarté, le FN n’est pas et n’a jamais été pour la sortie ni de l’euro ni de l’UE. Derrière le masque, il est toujours la le vieux FN ultra libéral.

    Le rôle des progressistes est alors de reprendre leur place naturelle, c’est à dire à la tête des luttes du Peuple pour son émancipation et sa souveraineté. Car sans souveraineté populaire aucun combat social gagnant n’est possible,c’est là tout l’enjeu de la Résistance populaire à la mise en place de l’Hydre européenne.

     

    Loin de la pensée unique eurolâtre sachons voir que notre Peuple prend conscience que l’UE est une tenaille qui le broie

     

    Au coté du PRCF engagez vous dans la résistance à cette UE du capital mondialisé en commençant par une campagne massive d’abstention lors de la farce électorale du 25 mai 2014.

     

    Rejoignez ceux qui résistent, à l’appel du CNR-RUE (Comité National de Résistance Républicaine à l’Union Européenne). Formons un front du peuple unis dans l’action, à l’image des militants du PRCF, du M’PEP, des CPF, et de tous ces communistes des Assises du Communisme et au-delà qui tous revendiquent et luttent pour la sortie de l’UE, de l’Euro et de l’OTAN.

     

    Pour s’en sortir il faut en sortir ! Sortons notre pays des griffes de l’UE, de l’euro, de l’OTAN et du capitalisme.


    source: http://www.initiative-communiste.fr/