• 23/07/18

    Les 4 vérités de Trump aux traîtres qui dirigent l’Europe

     

    A la suite du sommet de l’Otan, où le représentant de l’Europe, Jean-Claude Juncker, a offert un spectacle lamentable, Donald J. Trump a donné son sentiment sur ce que devient l’Europe du même Juncker.

    Les médias bien-pensants se sont empressés de ne pas reprendre ses propos, sauf à les déformer pour les critiquer. En quelques phrases, le Président Trump a cassé la baraque des bien-pensants et fait sauter en éclat la dictature de la pensée, telle que la défendent Merkel, Macron et… Charles Michel.

    Voici les vrais propos de Donald J. Trump contenus dans ses 4 vérités, non pas aux peuples européens, mais à la plupart de leurs dirigeants (il a écarté les pays de l’Est : Pologne, Tchèque, Hongrie, Slovaquie, Autriche et, par ailleurs, l’Italie) qui sont occupés à trahir les peuples.

    1. LA VAGUE DE MIGRANTS VENUS DU MOYEN-ORIENT ET D’AFRIQUE CHANGE L’EUROPE POUR LE PIRE

    • « La Grande Bretagne est en train de perdre sa culture à cause de l’immigration.
    • La vague de migrants provenant du Moyen-Orient et d’Afrique est en train de changer l’Europe pour le pire.
    • Cette situation me peine personnellement du fait que je suis le fils de deux pays européens. J’éprouve beaucoup d’amour pour les pays d’Europe, n’oubliez pas que je suis essentiellement un « produit » de l’Union Européenne, soit l’Écosse et l’Allemagne, d’accord ? Mon père : l’Allemagne, ma mère l’Écosse.
    • Je pense que ce qui se passe en Europe est une honte.
    • Permettre à l’immigration de s’installer en Europe est une honte.
    • Je pense que l’immigration a changé le tissu du continent, et à moins que vous agissiez très rapidement, l’Europe ne reviendra plus jamais comme avant, et je ne peux pas dire par là que ce sera pour le mieux.
    • Alors je pense que permettre à des millions et des millions de gens d’entrer en Europe est triste, très triste.
    • Je pense que vous êtes en voie de perdre votre culture. Regardez autour de vous. Vous allez dans des lieux qui n’existaient pas il y à peine dix ou quinze ans ! »

    2. IL Y A DE PLUS EN PLUS DE LIEUX EN EUROPE OU LES EUROPEENS NE SONT PLUS CHEZ EUX. 

    • L’immigration n’est pas une richesse, ceux qui affirment le contraire sont des menteurs. Ceux qui ferment les yeux devant la situation sont des lâches, ceux qui s’en réjouissent sont des traîtres.
    • Tous ceux qui encouragent l’immigration ou se contentent de laisser faire devraient avoir honte (la honte est le lot des menteurs, des lâches et des traîtres)
    • Il y a de plus en plus de lieux en Europe où les Européens ne sont plus chez eux, l’Europe se ressemble de moins en moins.
    • Avec l’immigration l’Angleterre et l’Europe continentale sont perdantes, elles perdent leur culture, entendre par là leur identité propre, leur âme en somme.

    3. CEUX QUI ENCOURAGENT L’IMMIGRATION N’AIMENT PAS L’EUROPE

    • Si Trump se désole de la situation c’est parce qu’il aime l’Europe, étant lui-même d’origine européenne. Ceux qui encouragent l’immigration ou laissent faire, n’aiment pas l’Europe ou la détestent, même quand ils prétendent parler en son nom.
    • Il y a urgence en la demeure, l’immigration défigure l’Europe et les européens se doivent d’agir au plus vite, entendre par là qu’ils doivent au plus tôt remplacer les lâches et les traîtres qui les gouvernent.

    4. NOUS DEVONS FAIRE FACE AUX MENACES, CELLES DU DEDANS COMME CELLES DE L’EXTERIEUR

     

    « Les Américains (…) et les nations de l’Europe valorisent leur liberté et leur souveraineté. Nous devons travailler ensemble pour faire face aux forces menaçantes, celles du dedans comme celles de l’extérieur, elles cherchent avec le temps à saper nos valeurs et défaire nos attaches à la culture, à la foi et aux traditions, lesquelles ont fait de nous ce que nous sommes. Si nous laissons faire, ces forces mineront notre courage, saperont notre esprit et affaibliront notre volonté de nous défendre individuellement et de défendre nos sociétés. »

    « La question fondamentale qui se pose en notre temps est celle-ci : l’Occident a-t-il la volonté de survivre ? Avons-nous suffisamment confiance en nos valeurs pour les défendre, quel qu’en soit le prix ? Avons-nous assez de respect pour nos citoyens pour protéger nos frontières ? Avons-nous le désir et le courage de préserver notre civilisation face à ceux qui voudraient la subvertir et la détruire ? »

     

    Voir aussi notre article en page internationale.

     

     

    lien: http://lepeuple.be/les-4-verites-de-trump-aux-traitres-qui-dirigent-leurope/91412

     
    Posté par Jocegaly à - -

  • 23/07/18

    Ce qui est choquant et inacceptable... Jacques Sapir 23/07/2018

     
     
    Le Président de la République aurait déclaré que le comportement d’Alexandre Benalla était choquant et inacceptable[1]. Cette déclaration date du dimanche 22 juillet. Les mots sont forts, du moins en apparence. Mais ils cachent en réalité une profonde hypocrisie qui se combine aussi avec un immense aveuglement. Le Président de la République croit agir avec autorité en ne disant pas quand il compte intervenir sur cette affaire[2]. Mais il agit comme un enfant qui commence par se cacher et qui, quand son stratagème est éventé, accuse un autre. Le Président de la République doit aujourd’hui faire face à ses responsabilités et affronter les conséquences de ses actes.
    Ce qui est inacceptable
    Nous savons aujourd’hui que le Président de la République était au courant, par son directeur de cabinet, des faits reprochés à M. Benalla dès le 4 mai. Il convient ici de rappeler le texte de l’article 40 du Code de Procédure Pénal [3]:
    « Le procureur de la République reçoit les plaintes et les dénonciations et apprécie la suite à leur donner conformément aux dispositions de l'article 40-1.
    Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs. »
    Il y a quelques jours, le responsable de la communication à l’Elysée affirmait que la sanction interne qui avait frappé M. Benalla, soit quinze jours de suspension sans salaire, était « lourde ». De qui se moque-t-on ?
    Qu’est-ce qui est choquant et inacceptable ? Ne serait-ce pas plutôt que le Président de la république, qui est le Premier Magistrat, n’ait pas demandé, dès qu’il en fut informé, soit le 4 mai, que ces faits soient portés à la connaissance du Procureur de la République. Ne serait-ce pas plutôt le fait que si cette affaire n’avait été portée à la connaissance du public par un organe de presse, jamais ces faits n’auraient été portés à la connaissance de la justice ?
    Ce qui est choquant
    Il faut qu’Emmanuel Macron cesse de se moquer du monde. Le préfet de police a eu connaissance de ces faits dès le 2 mai. Le Ministre de l’Intérieur probablement le 3 ou le 4 mais. Personne n’a dit mot. Personne n’est allé trouver le procureur. Cela montre qu’il y a bien eu une tentative de dissimulation de cette affaire. Et, dans cette tentative de dissimulation, un rôle éminent fut joué par le Président de la République lui-même. Le scandale aujourd’hui est là.
    Bien sur, les faits reprochés à M. Benalla, ses actes de violence, l’usurpation de l’autorité de la police, sont choquants. Mais, ils le sont moins que les actes commis par les personnes ayant autorité sur lui et qui ont manifestement cherché à dissimuler ces faits. Ils sont moins choquants que les pratiques d’obstruction auxquelles la Présidence s’est livrée les 19, 20 et 21 juillet en empêchant le Premier Ministre et le Ministre de l’intérieur de rendre compte devant le Parlement, en se refusant à tout dialogue avec l’Assemblée par le biais du Ministre chargé des relations avec le Parlement, M. Castaner. Par ailleurs, loin de prendre ses distances avec lui après ce qui s’était passé le 1er mai, le Président de la République a manifestement conservé toute sa confiance dans un homme qui aurait dû être présenté à un juge d’instruction. Il l’a couvert de privilèges si ce n’est de cadeaux. C’est cela qui aujourd’hui choque les français. C’est cela que les français trouvent inacceptable.
    Parler ou se démettre
    Faudra-t-il donc que les français exigent l’application de l’article 68 de la Constitution ? Rappelons que cet article nous dit que : « Le Président de la République ne peut être destitué qu'en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat. La destitution est prononcée par le Parlement constitué en Haute Cour . [4]»
    Car, manquement, il y en a eu et ils sont manifestes. En ne demandant pas à ce que le procureur de la République soit informé des faits dont il avait connaissance, le Président de la République, qui est le Premier Magistrat, a manqué aux devoirs de sa charge. En cherchant à dissimuler ces mêmes faits, et en faisant obstruction à la volonté du Parlement de connaître de cette affaire, le Président a aussi, et de manière même encore plus grave, manqué aux devoirs de sa charge.
    Si nous sommes dans un état de droit, si nous sommes encore en République, le Président doit s’en expliquer immédiatement. Que ce soit par l’intermédiaire du Premier-ministre devant la Parlement (puisque lui même ne peut s’y rendre) et non pas à travers les réponses du Ministre de l’intérieur devant une commission d’enquête, ou que ce soit directement devant les Français. Il ne peut plus prétendre parler quand il le voudra[5]. Il n’est plus temps pour cela et les Français ne le comprendraient pas. Il doit donc parler maintenant ou plus jamais, c’est à dire démissioner.
     
     
     
     
     
     
    Posté par Jocegaly à -

  • 23/07/18

    Affaire Benalla, Nicolas Dupont-Aignan réagit sur CNews le 20/0/2018

    Ajoutée le 22 juil. 2018
    Le vendredi 20 juillet 2018, Nicolas Dupont-Aignan président de Debout la France réagissait sur l'Affaire Benalla dans la matinale de CNews
     
    Posté par Jocegaly à

  • 23/07/18

    Splendide Daniel Barenboïm: "la loi israélienne « Etat-nation » est une « forme claire d’apartheid"

    Splendide Daniel Barenboïm, encore et toujours DEBOUT contre l'apartheid .

    C'était en 2011:   "C'est un geste unique de l'Europe tout entière pour vous, à Gaza." Des mots forts du chef d'orchestre Daniel Barenboïm en guise de préambule à un concert pour la paix dans la Bande de Gaza... Daniel Barenboïm est entré dans l'enclave palestinienne à partir de l'Égypte, par le poste frontière de Rafah, avec 25 musiciens.
    Le chef israélo-argentin, porteur d'un passeport palestinien est, à 68 ans, un militant pour la paix entre Israéliens et Palestiniens: ... http://fr.euronews.net/

    Souvenir:
    Daniel Barenboïm donne un concert pour la paix à Gaza.  
     
     
     
     
     
    Aujourd'hui,  "Dans un article intitulé « Aujourd’hui, j’ai honte d’être un Israélien », écrit dans Haaretz on Sunday, Barenboïm a déclaré que la loi, votée jeudi, « confirme la population arabe comme citoyens de seconde zone ».
     
    La loi a été adoptée par un vote de 62 voix contre 55 et deux abstentions parmi les 120 membres de la Knesset, le parlement du pays, après des mois de débats politiques.
    Quelle est cette loi de l’État nation d’Israël ?
    – En moins de 500 mots, la loi dit qu’Israël est la « patrie historique » et le « foyer national » du peuple juif
    – Elle dit que seuls les Juifs ont le droit d’exercer leur autodétermination nationale en Israël
    – Elle dit que Jérusalem est la capitale d’Israël et l’hébreu est sa langue
    – Elle décrit la colonisation juive comme une «valeur nationale» à promouvoir par l’État ..."

    Lire l'article de Réseau international   ci dessous:

    *

    Selon Barenboïm, la loi israélienne « Etat-nation » est une « forme claire d’apartheid »

     

    Un pianiste de renommée mondiale dit avoir honte d’être Israélien après l’adoption de la loi

    Daniel Barenboïm, pianiste et chef d’orchestre de renommée mondiale, a qualifié la loi israélienne « Etat-Nation » de «forme très claire d’apartheid».

    Dans un article intitulé « Aujourd’hui, j’ai honte d’être un Israélien », écrit dans Haaretz on Sunday, Barenboïm a déclaré que la loi, votée jeudi, « confirme la population arabe comme citoyens de seconde zone ».

    La loi a été adoptée par un vote de 62 voix contre 55 et deux abstentions parmi les 120 membres de la Knesset, le parlement du pays, après des mois de débats politiques.

    Quelle est cette loi de l’État nation d’Israël ?

    – En moins de 500 mots, la loi dit qu’Israël est la « patrie historique » et le « foyer national » du peuple juif

    – Elle dit que seuls les Juifs ont le droit d’exercer leur autodétermination nationale en Israël

    – Elle dit que Jérusalem est la capitale d’Israël et l’hébreu est sa langue

    – Elle décrit la colonisation juive comme une «valeur nationale» à promouvoir par l’État

    Le texte intégral de la loi israélienne sur l’état du peuple juif

    Après le vote, des membres palestiniens de la Knesset ont hurlé et déchiré des documents.

    La loi donne aux Juifs la suprématie sur tous les citoyens israéliens non-juifs, ce que les critiques et les membres de la minorité palestinienne de l’Etat ont qualifié de raciste.

    Barenboïm a rappelé qu’en 2004 il avait prononcé un discours à la Knesset, dans lequel il avait parlé de la déclaration d’indépendance de l’État d’Israël.

    Il dit qu’il l’avait qualifié de « source d’inspiration pour croire aux idéaux qui nous ont transformés de Juifs en Israéliens ».

    Barenboïm a déclaré : « Les pères fondateurs de l’Etat d’Israël qui ont signé la Déclaration ont considéré le principe de l’égalité comme le fondement de la société qu’ils étaient en train de construire.

    « Ils se sont également engagés, et nous aussi, à  » rechercher la paix et de bonnes relations avec tous les États et peuples voisins « .

    « 70 ans plus tard, le gouvernement israélien vient d’adopter une nouvelle loi qui remplace le principe d’égalité et les valeurs universelles par le nationalisme et le racisme.

    ‘Persécution implacable’

    En moins de 500 mots, la loi de l’État Nation accorde des droits exclusifs d’autodétermination nationale – le droit de décider des priorités nationales d’Israël, d’importance symbolique et pratique – pour les Juifs, d’où qu’ils vivent, d’Israël ou de l’étranger, et qu’ils aient ou non la citoyenneté israélienne.

    La loi ne dit pas, notamment, que les citoyens palestiniens et les autres citoyens non juifs d’Israël ont droit à un traitement égal en vertu de la loi.

    La loi donne également à l’hébreu un statut supérieur à celui de l’arabe, ce qui en fait l’unique langue officielle de l’État et réduit le dernier à une simple langue avec un « statut spécial ».

    En effet, la loi de l’État-nation, qui, en tant que loi fondamentale, détient le pouvoir constitutionnel, signifie que le caractère ethnoreligieux d’Israël l’emporte sur son caractère démocratique.

    Barenboïm, directeur musical général de La Scala, de l’Opéra national de Berlin et de la Staatskapelle de Berlin, a co-fondé, avec Edward Said, le West-Eastern Divan Orchestra, un orchestre de jeunes musiciens arabes et israéliens basé à Séville.

    En tant que citoyen d’Argentine, d’Israël, de Palestine et d’Espagne, il a travaillé pendant des décennies, à travers sa musique, pour amener la réconciliation entre Israéliens et Palestiniens.

    Barenboïm écrivait dimanche : « La condition d’occupation et de domination sur un autre peuple correspond-elle à la déclaration d’indépendance ? Y a-t-il un sens à l’indépendance de l’un au détriment des droits fondamentaux de l’autre ?

    « Le peuple juif, dont l’histoire est un témoignage de souffrances continuelles et de persécutions incessantes, peut-il se permettre d’être indifférent aux droits et à la souffrance d’un peuple voisin ?

    Quatorze ans plus tard, je crois toujours qu’en dépit de toutes les difficultés objectives et subjectives, l’avenir d’Israël et sa position dans la famille des nations éclairées dépendra de notre capacité à réaliser la promesse des pères fondateurs tels qu’ils l’ont canonisée dans la Déclaration d’lndépendance.

    « Pourtant, rien n’a changé depuis 2004. Au lieu de cela, nous avons maintenant une loi qui confirme la population arabe comme citoyens de seconde zone, c’est donc une forme très claire d’apartheid ».

    ‘Les oppresseurs’

    Les groupes de défense des droits disent qu’Israël discrimine ses citoyens non-juifs depuis que l’État a été fondé en 1948, pointant du doigt des douzaines de lois israéliennes qui imposent un traitement préférentiel aux Juifs.

    Cependant, la loi aura un impact plus important et plus durable puisqu’elle consacre un système de droits à deux niveaux dans une loi fondamentale.

    A la fin de son article, Barenboïm écrit : « Je ne pense pas que le peuple juif ait survécu pendant 20 siècles, principalement après des persécutions et des cruautés sans fin, pour devenir aujourd’hui les oppresseurs, infligeant de la cruauté aux autres.

    « C’est exactement ce que fait cette nouvelle loi. C’est pourquoi, aujourd’hui, j’ai honte d’être un Israélien. »

     Photo: Barenboim se décrit comme un citoyen d’Argentine, d’Israël, de Palestine et d’Espagne (Reuters)

    Source : http://www.middleeasteye.net/news/barenboim-says-israels-nation-state-law-very-clear-form-apartheid-384002879

    Traduction : AvicRéseau International

     

     

    LIEN : Selon Barenboïm, la loi israélienne « Etat-nation » est une « forme claire d’apartheid »

     
    Posté par Jocegaly à -

  • Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
    Si vous ne visualisez pas cet email lisez-le sur le site
    http://www.europalestine.com

    Publication CAPJPO - Europalestine
     
    • Le Palestine Tour à la plage (photos)


      Moment de détente, samedi, à Sète, pour le Palestine Tour. Après un pique-nique à la forêt des Pierres Blanches, en route pour les criques et la baignade. 
      CAPJPO-EuroPalestine
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      Après Auvergne-Rhône-Alpes, le Palestine Tour est entré en Occitanie, avec une succession d’étapes, aussi festives que militantes, qui l’ont mené de Nîmes à Sète en passant par Montpellier et Pézenas. Un aperçu, en photos. 
      A Nîmes 
      A Montpellier 
      A la rencontre des habitants