• Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
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    http://www.europalestine.com
    Publication CAPJPO - Europalestine


    Chantage à l’antisémitisme :Shlomo Sand recadre sèchement Macron

    L’universitaire israélien de culture française Shlomo Sand ridiculise dans son dernier billet le lamentable président Macron et les velléités de ce dernier d’assimiler la dénonciation de l’idéologie sioniste à de l’antisémitisme. 
    A lire, ci-dessous, le billet qu’il a publié lundi dans Mediapart 
    À propos des sémites et des antisémites, des sionistes et des antisionistes 
    25 févr. 2019 Par Shlomo Sand Mediapart.fr Si toute expression antijuive dans le monde ne cesse de m’inquiéter, j’éprouve un certain (...)Lire la suite

     

    La campagne Boycott samedi à Douai (photos)

    Les militants d’EuroPalestine se sont rendus samedi sur le marché de Douai (Nord), où ils ont animé une table d’information, expliquant sans relâche la nécessité de la campagne de Boycott Désinvestissements Sanctions (BDS) à l’encontre d’Israël, tant que cet Etat persécutera le peuple de la Palestine.   Lire la suite

    Rassemblement réussi dimanche à Paris pour la Palestine et contre le chantage à l'antisémitisme (album photos)

    Sionisme, antisionisme, résistants et occupants, comment on essaie de nous la "faire à l’envers », ont été au menu du rassemblement à la Fontaine des Innocents ce dimanche. 
    Nous avons ainsi transmis au public venu nombreux des informations non couvertes par les médias. Sur la situation dans le camp de concentration de Gaza, sur celle des prisonniers politiques palestiniens, la torture des enfants, et la poursuite de la colonisation, avec toutes ses atrocités. 
    De nombreuses prises de parole, sur (...) Lire la suite

     
       





  • Wilma Jung
    VENEZUELA. Le danger est passé, mais d'autres viendront 
    Une fin de semaine tendue est passée aux frontières terrestres et maritimes du Venezuela sans d'autres incidents que les escarmouches échouées à la frontière avec la Colombie où les troupes affaiblies de Juan Guaidó n'ont pas réussi à satisfaire leurs chefs et à monter de toutes pièces une provocation servant de prétexte à une agression militaire contre la Patrie de Simón Bolívar.

    Puisque les images valent plus que mille mots, un abondant témoignage graphique a été recueilli au sujet de l'attitude professionnelle et sérieuse des forces de défense et de sécurité bolivariennes par rapport au vandalisme des fauteurs de troubles qui n'ont même pas hésité à incendier deux camions chargés de la prétendue aide humanitaire que l'on entendait faire entrer par la force au Venezuela.

    Il y a eu, oui, des comportements pathétiques autour de cette mascarade, le protagoniste de l'un d'entre eux a été le propre Guaidó qui a constaté sa capacité réduite de convocation.

    Samedi matin, il a publié un message exalté sur les réseaux sociaux dans lequel il proclamait l'entrée des camions avec la fameuse aide humanitaire depuis le Brésil, quelque chose qui n'a eu lieu que dans son imagination peut-être un peu réchauffée par la chaleur de Cúcuta.

    Le rôle joué par Pablo Casado, chef du Parti Populaire espagnol a ete bien plus triste car il a accusé directement le président Nicolás Maduro au sujet de l'incendie de deux camions à la frontière entre la Colombie et le Venezuela alors que les preuves démontrent que, premièrement, les faits sont survenus du côté de Cúcuta et deuxièmement, les auteurs ont été des jeunes violents.

    Mal informé Monsieur Casado ? Ou mal intentionné ?. Peut-être les deux choses à la fois, je crois et je voudrais bien que ses collègues politiques de l'Union Européenne aient un peu plus de décence, de sens commun et d'intelligence.

    Les grands médias ont vu aussi un grand fiasco car ils s'étaient rendus sur place pour filmer la chute du gouvernement bolivarien et ils sont rentrés les mains vides ou pleines de mensonges pour les dire à leur auditoire naïf.

    Les présidents de la Colombie, Ivan Duque et du Chili, Sebastian Piñera n'ont pas non plus atteint leurs objectifs car ils n'ont pas pu entrer en conquérants en territoire vénézuélien pendant que, selon eux, le chavisme tombait à leurs pieds comme un château de cartes.

    Ce danger est passé, mais on ferait preuve d'une grande ingénuité si l'on pensait que la comédie a pris fin. De nouveaux chapitres, sans aucun doute plus dangereux, approchent surtout maintenant qu'il a été démontré que l'homme de paille de Washington, Juan Guaidó, n'est pas la figure qu'il leur faut et ils devront trouver d'autres alternatives.

    Citons, par exemple, les menaces proférées par le secrétaire d'état des États-Unis, Mike Pompeo. Il ne faut pas non plus oublier que le Pentagone a profité de l'occasion pour avancer ses pions dans les Caraïbes et en Amérique du Sud où les États-Unis possèdent de nombreuses bases militaires particulièrement en Colombie et que d'autres restent actives au Panama.

    Il est bon de constater que le coup d'état « humanitaire » a échoué, que la Force Armée Bolivarienne ne s'est pas fragmentée et qu'elle reste unie et solide aux côtés du gouvernent et des forces populaires et que la patrie de Chávez a résisté une fois de plus à l'assaut de ses ennemis.

    Edité par Reynaldo Henquen
    25 février 2019

    Photo : Marche pour la dignité et la défense de la Révolution le 23 février 2019.

    Source : http://www.radiohc.cu/…/184433-le-danger-est-passe-mais-d'a…

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    Amérique Latine Résistances

  • Nouveaux sur notre site http://bolivarinfos.over-blog.com

     
    En page d’accueil:
     
    1)Venezuela : Rupture des relations politiques et diplomatiques avec la Colombie , un communiqué du Gouvernement de la République BOlivarienne du Venezuela du 23 février 2019 traduit par Françoise Lopez.
     
    2)Venezuela : L'opposition cherche à faire entrer « l'aide humanitaire » par la force , un article d’Alba Ciudad du 23 février 2019 traduit par Françoise Lopez. A lire absolument pour bien comprendre les événements.
     
    3)Venezuela : Des camions incendiés utilisés pour justifier une intervention militaire , un article d’Alba Ciudad du 23 février 2019 traduit par Françoise Lopez. Un article très détaille, à lire absolument aussi pour bien comprendre les événements…
     
    4)Venezuela : Bolton menace le Venezuela d'autres sanctions pour avoir empêché « l'aide humanitaire » d’entrer , un article du Resumen Latinoamericano du 23 février 2019 traduit par Françoise Lopez.
     
    5)Venezuela : Un bateau avec un équipage yankee transportant de la soi-disant « aide humanitaire » obligé de faire demi-tour, un article du Resumen Latinoamericano du 23 février 2019 traduit par Françoise Lopez.
     
    Quelqu’un m’a demandé ce qui signifiait l’expression « faux positif. » C’est vrai que c’est une expression un peu bizarre, alors, j’ai décidé de la remplacer dorénavant dans mes traductions par « manipulation » qui me semble plus proche de la réalité: c’est ce qu’on appellerait en français « une provocation », c’est à dire un événement créé de toute pièce pour le mettre sur le dos de celui qu’on veut attaquer en utilisant, par exemple, des paramilitaires colombiens vêtus  d’uniformes vénézuéliens … Mais « provocation » ne me convient pas vraiment non plus parce qu’une provocation, c’est une action destinée à provoquer une riposte. Là, c’est autre chose, c’est une action destinée à être mise au crédit de quelqu’un d’autre… Je crois que « manipulation » convient  mieux.
     
    Bonne lecture à tous,
     
    Françoise Lopez

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    Bulletin de Ruffin #45
     
    Mon bouclier, c'est vous !
     

    Malgré la boue et la gadoue, maintenir notre supériorité morale.

     
     
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    francois_ruffinSur le quai de Ouistreham : « Il y a 2 ans je me suis retrouvé face à des migrants qui dormaient dans le fossé, et ça m’a éclaté à la figure ». Ici 300 personnes s’organisent face à ça, le collectif CAMO. #jveuxdusoleil #ouistreham
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    François Ruffin

    Permanence parlementaire,
    90 Chaussée Saint-Pierre
    80000 Amiens


  • LE PEUPLE BOLIVARIEN INFLIGE UNE NOUVELLE DÉFAITE AUX MÉDIAS OCCIDENTAUX

    220px-Gustavo_Petro_Mayor_of_Bogota_(cropped_2)Plus loin, toujours plus loin dans la propagande : “Nicolas Maduro brûle les camions d’aide humanitaire”. Le sénateur Gustavo Petro, ex-maire de Bogota, ex-candidat à la présidence de la Colombie, et qui n’a jamais ménagé ses critiques vis-à-vis du gouvernement Maduro, s’indigne face au lavage de cerveau : “Les camions ont été brûlés par les hommes de Guaidó (éphémère “président” du Venezuela nommé par Donald Trump, NdR). Si l’incendie des camions sert de prétexte à une invasion, Duque (actuel président colombien, protégé d’Alvaro Uribe, NdR) et Guaidó passeront à l’Histoire comme instigateurs de la violence sur la base d’un mensonge. Depuis que j’ai commencé à écrire sur le concert, et sur la soi-disant “aide humanitaire”, depuis qu’ont été découverts les vrais auteurs de l’incendie des camions, j’ai clairement dit que la stratégie de Duque et de Trump était l’invasion violente. Nous avons vu qu’en Colombie, chaque fois que nos peuples indigènes manifestent et protestent, on les réprime et on les tue, la même chose se produit pour nos paysans, nos étudiants, nos vendeurs ambulants, pour ceux qui s’opposent, demandent la justice et cherchent des vérités. Si la priorité de Duque avait été la protection de la population civile à la frontière, il n’aurait pas mené cette stupide opération d’agression, concert inclus. A présent le contrôle de la frontière est aux mains des cartels mexicains de la drogue. Nous ne pouvons rester spectateurs, nous devons agir, nous bouger pour la paix. Après son échec, Juan Guaido n’a pas choisi la voie d’un vrai dialogue au Venezuela mais de demander ouvertement une intervention militaire étrangère, sans que lui importent les milliers de compatriotes qui mourraient dans son pays. Je l’invite à ouvrir les portes du dialogue (1)

    Le “blocage-par-Maduro-de-l’aide-humanitaire” convoyée dans des avions militaires US par Elliot Abrams, ex-chef des escadrons de la mort en Amérique Centrale, étaient une fake news annoncée. Deux jours avant les incidents, Dmitri Polyanskiy, premier adjoint du représentant permanent de la Russie à l’ONU, déclarait : “Sous prétexte d’une livraison d’une aide humanitaire au peuple vénézuélien, les États-Unis sont en train de préparer une provocation «flagrante» à la frontière entre le Venezuela et la Colombie, pour le 23 février. Se trouvant apparemment dans un état de frénésie, nos collègues américains, ont décidé de diffuser de fausses nouvelles au sein du Conseil de sécurité » (2).

    images_cms-image-000554727Même pronostic de la part du diplomate Celso Amorin (photo), ex-Ministre des affaires étrangères, et ex-Ministre de la défense du Brésil (2003-2014) :  “l’aide humanitaire des Etats-Unis pour le Venezuela est une provocation pour intervenir dans ce pays et forcer Nicolás Maduro à partir. Il s’agit d’une provocation, pour créer une situation paramilitaire qui mène à un changement de régime » (3). L‘ancien président Lula s’était également exprimé, depuis sa prison politique : « Nous ne pouvons permettre la soumission du Brésil aux Etats-Unis. Maduro est le problème des vénézuéliens, pas des états-uniens. Ils parlent de la faim mais ils ne parlent pas de leur embargo qui tue des enfants, des hommes et des femmes innocents ». Même José Miguel Insulza, ex-Secrétaire Général de l’OEA, qui a souvent critiqué le gouvernement de Chavez, avait admis: « Voir débarquer en Colombie le Chef du Southern Command des Etats-Unis, avec toutes sortes de généraux et le sénateur Rubio et d’autres, tout cela sent de moins en moins l’aide humanitaire et de plus en plus la recherche d’un prétexte de confrontation« .

    On comprend que l’envoyé du Pape François en Colombie, Luis Mariano Montemayor, ou le Président de la Croix Rouge en Colombie Christoph Harnisch (4) aient refusé de participer à la mise en scène d’une “aide” qu’ils considèrent, tout comme le Secrétariat Général de l’ONU lui-même, plus “politisée qu’humanitaire”. Déjà, dans les années 80, Elliot Abrams et la CIA avaient usé de faux emblèmes de la Croix Rouge pour envoyer illégalement des armes aux paramilitaires de la “Contra” au Nicaragua. Ce 23 février, à la frontière de la Colombie, certains paramilitaires portaient le même insigne…

    Leurs violences ont été repoussées par les forces armées du Venezuela, mais aussi par la population vénézuélienne. Car il ne faudrait pas l’oublier : si personne n’a réussi à violer le territoire du Venezuela et si l’image du militant d’extrême droite Guaido entrant, triomphant, au Venezuela, juché sur le marche-pied d’un camion “humanitaire”, restera une fake news, c’est aussi grâce à cette résistance populaire. Les paramilitaires colombiens ont quand même fait 315 blessés chez les chavistes (en menant des attaques à San Antonio, Ureña et Boca de Grita).

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    D0H4yzpWsAEb1_dD0IBiLsX4AAguAERéunis à Cucuta (Colombie) quelques heures après l’échec du show de l’aide humanitaire : le président chilien Sebastian Pinera, Juan Guaido le « président » autoproclamé qui a fui le Venezuela à bord d’un hélicoptère militaire colombien, le président Ivan Duque, protégé d’Alvaro Uribe, et Luis Almagro, le secrétaire général de l’OEA qui consacre pratiquement tout son mandat au « changement de régime » à Caracas. Les visages parlent d’eux-mêmes.

    Prenant appui sur la vulgate médiatique mondiale, John Bolton, Mike Pompeo, Ivan Duque et Juan Guaido, ont promis de demander une “escalade dans l’usage de la force” (sic) à leurs alliés néo-libéraux du “groupe de Lima”, dès ce lundi 25 février. La chancellerie russe a expliqué que le texte en ce sens était déjà prêt le vendredi, et qu’un de ses paragraphes dénonçait les incidents du samedi avant même qu’il se produisent, en les attribuant au “régime de Nicolas Maduro”… Le dimanche 24, le sénateur états-unien Marco Rubio a tweeté une photo de Mouammar Kadhafi ensanglanté, prise peu de temps avant son assassinat, promettant à Nicolas Maduro le même sort “à brève échéance”. Pendant ce temps au Venezuela, tandis que quelques groupes d’opposants tentaient vainement d’appeler les forces armées à se soulever contre “la dictature”, de nombreuses manifestations chavistes avaient lieu, avec des milliers de personnes à Caracas, en défense de la souveraineté du Venezuela face l’offensive impériale. Mobilisations populaires occultées comme d’habitude par les médias occidentaux.

    Pour l’intellectuel décolonial Ramon Grosfoguel, qui dénonce le « ni Maduro ni Trump » d’une “extrême gauche” occidentalisée, “une des caractéristiques du chavisme est d’être un mouvement populaire où le leadership des femmes et surtout de femmes non-blanches des barrios (quartiers populaires) est très puissant et massif. Le grand problème de l’empire est que Chavez fut un grand pédagogue populaire de la libération qui a élevé la conscience de tout un peuple, et surtout des vénézuéliennes. La force spirituelle d’un peuple ne peut se mesurer avec des statistiques ni s’expliquer avec des mots, c’est quelque chose qui se ressent et qui se vit. Chávez n’est plus un individu mais tout un peuple. Difficile de comprendre ces mots sans connaître le Venezuela”. (5)

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    Une des femmes des quartiers populaires qui a défendu la frontière du Venezuela face aux assauts paramilitaires, le 23 février 2019.

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    Manifestations populaires à Caracas en défense de la souveraineté

    En recopiant sans le moindre sens critique le “plan média” états-unien, qui rappelle les “armes de destruction massive” à l’origine des huit cent milles morts irakiens, les journalistes occidentaux espèrent démobiliser l’opinion pour permettre l’assassinat d’une démocratie et occulter le nettoyage sanglant qui s’ensuivrait grâce au savoir-faire des marines et des paramilitaires d’Alvaro Uribe. Leur erreur est triple.

    Croire qu’occulter un peuple (qui n’est pas la minorité de droite médiatisée comme “peuple” mais bien la majorité sociale, pacifique, qui a voté 25 fois en 20 ans) fait que ce peuple n’existe pas et qu’il ne défendra pas sa Patrie.

    Croire qu’occulter vingt ans de réformes sociales et de démocratie participative, fait que ces réformes sociales et cette démocratie participative n’existent pas et ne seront pas défendues.

    Croire que cette propagande fonctionne dans une Europe où même la classe moyenne appauvrie a cessé de croire au storytelling des élites libérales.

    C’est aussi l’erreur de l’empire et des extrêmes droites vénézuélienne et colombiennes: croire qu’on peut, à coups de campagnes médiatiques, forcer un peuple à accepter des décisions prises sans lui, sans se soumettre aux urnes.

    Thierry Deronne, Caracas, le 25 février 2019

    Notes:
    (1)  https://twitter.com/petrogustavo/status/1099660775516524544  
    https://twitter.com/petrogustavo/status/1099763051111346177
    (2) http://versionfinal.com.ve/mundo/rusia-eeuu-prepara-una-provocacion-en-la-frontera-entre-colombia-y-venezuela/
    (3) https://www.brasil247.com/pt/247/mundo/384904/’Ajuda-humanit%C3%A1ria’-%C3%A9-provoca%C3%A7%C3%A3o-para-gerar-mudan%C3%A7a-de-regime-diz-Celso-Amorim.htm
    (4) https://www.telesurtv.net/news/cruz-roja-ayuda-humanitaria-venezuela-eeuu-20190211-0015.html
    (5) https://www.facebook.com/ProfGrosfoguel/

     

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