• 15 Juin 2019

    Publié par El Diablo

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    Suppression des trésoreries en Val-de-Marne : les syndicats contre-attaquent

     

    Vent debout contre l'ébauche du projet de réorganisation de l'administration fiscale en Val-de-Marne, les représentants syndicaux de Solidaires, CGT et FO ont boycotté leur CHSCT (Comité hygiène et sécurité des conditions de travail) le mardi 11 juin. 

     

    Après un envahissement de la réunion, l’intersyndicale l’a désertée pour préparer la mobilisation alors que commence la phase de concertation.

     

    «Le scénario que nous propose la direction est pire que celui auquel nous nous attendions. Nous pensions qu’ils fusionneraient certaines de nos implantations mais ils sont allés bien plus loin que cela en supprimant des services et la totalité des trésoreries. Nous ne pouvions pas siéger aujourd’hui parce que notre priorité est d’obtenir l’annulation de ce projet», motive David Ferreira, le secrétaire départemental de Solidaires Finances Publiques. Alors que le premier CHSCT de l’année devait se tenir ce mardi à Créteil, de nombreux agents ont envahi la salle où devait se dérouler la réunion pour interpeller directement la direction et exprimer leur désaccord avec la nouvelle carte.

     

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  • 15 Juin 2019

    Publié par El Diablo

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    Le ministère de l’Intérieur commande en masse des munitions pour fusils d’assaut et des grenades de désencerclement

     

    par Jean-Marc Manach

     

    Les nouvelles armes de maintien de l’ordre et de « gestion démocratique des foules » sont responsables de dizaines de mutilations à vie et de blessures graves. Qu’importe ! Le ministère de l’Intérieur vient d’entériner de nouvelles commandes massives : 10 000 grenades de désencerclement par an, qui s’ajoutent aux centaines de lanceurs de balles de défense (LBD) achetés en fin d’année dernière. Plus étonnant, la place Beauvau a acheté 25 millions de cartouches de fusils d’assaut pour les quatre prochaines années. « Allô, place Beauvau ? C’est pour une commande » : enquête sur ces étranges appels d’offres.

    Le ministère de l’Intérieur ne cesse d’étoffer son stock d’armes, non létales comme létales. Il avait déjà passé commande, le 23 décembre dernier, de 1280 nouveaux « lanceurs mono-coup » type LBD, principalement pour la gendarmerie, et de 450 LBD semi-automatiques – des « lanceurs multi-coups » (LMC) [1] pour les policiers. La place Beauvau vient successivement d’acheter 40 000 nouvelles grenades à main

    (…)

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  • Bonjour, voici la lettre d’information du site « CAPJPO - EuroPalestine » (http://www.europalestine.com)
    Si vous ne visualisez pas cet email lisez-le sur le site
    http://www.europalestine.com
    Publication CAPJPO - Europalestine
     
     
       
     

  • saker_bandeau

     

    Qui en profite ? ... Mise à jour

    ... Les attaques d'aujourd'hui contre des pétroliers dans le golfe d'Oman ne sont pas dans l'intérêt de l'Iran Par Moon of Alabama − Le 13 juin 2019 Quelques tweets publiés par le guide suprême iranien à l'issue de sa rencontre avec le Premier ministre Abe, donnent à penser que l'Iran pourrait être amené à commettre ...




     

    Souverainistes de tous les pays - unissez-vous !

    Par The Saker – Le 7 juin 2019 – Source thesaker.is via Unz Review Nous savons tous que les néocons sont de loin le groupe de sponsors le plus important et le plus influent des guerres d’agression américaines. Ce sont eux qui ont exercé le plus de pression pour l'invasion de l'Irak, et ...




     

    Le Ministre britannique des affaires étrangères défend la torture sur les journalistes, avant d’expliquer que nous devons les protéger

    Par Caitlin Johnstone − Le 1er juin 2019 − Source Medium.com Le Ministre britannique des affaires étrangères Jeremy Hunt vient de prononcer un discours qui vantait les vertus des médias libres, louant les journalistes assez courageux pour affronter l’oppression tyrannique des gouvernements et exposer la vérité sur leurs perversions. Et alors ...




     

    Les globalistes n'ont besoin que d'un événement majeur de plus pour finir le sabotage de l'économie

    Par Brandon Smith − Le 29 mai 2019 − Source Alt-Market.com Comme je l'avais prédit dans mon article "La guerre commerciale de Trump : un écran de fumée parfait pour un krach boursier", publié en mars 2018, ainsi que dans mon article "La distraction de la guerre commerciale : Huawei et la théorie ...




     
     
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  • RSF est une éolienne qui fait du vent pour en tirer de l’énergie.

    Le "Nobel Israélien" récompense Reporters Sans Frontières.

    Jacques-Marie BOURGET

    Enfin les planètes sont alignées : RSF reçoit un million de dollars d'une organisation israélienne pour sa "défense de la démocratie" (ne rions pas dans ce cimetière). Ce Prix est une justice pour cette ONG qui supporte l'OTAN et toutes les guerres menées par les États-Unis.

    Le 21 octobre 2000, à Ramallah, tandis qu’une balle de M16 israélien volait avec ardeur vers mon poumon gauche, j’ai eu le temps de me dire : « Bon, je vais au tapis mais, merci le diable et Robert Ménard, Reporters Sans Frontières sera là pour me relever ».

    En cas de malheur, quand vous êtes journaliste, « correspondant de guerre » comme ils disent, vous êtes imprégné, instruit du total support que vous pouvez attendre de l’ONG sans frontières. Très mal en point mais même pas mort, j’ai pu constater l’incroyable soutien que m’a délivré RSF à mon endroit : rien. Mais pourquoi ? Parce que je n’avais pas reçu la bonne balle, y’avait erreur comme souvent chez Colissimo. Si les ordures salopardes et fascistesSerbes m’avaient collé la même punition au Kosovo, là, je ne dis pas. Le bronze pour ma statue, dressée dans le jardin de Ménard, était déjà prêt, bouillant à glouglous. Mais là, être touché par du 5,56 lancé par un État démocratique, c’était inconcevable pour RSF. Sûrement ma faute.

    Poussé au cul par mon avocat, l’admirable et si patient William Bourdon, le Ménard a été contraint, dans mon dossier, de se porter partie civile. Pour « tentative d’assassinat volontaire », incrimination qui le mettait en transe. Comment le petit Robert pouvait-il expliquer à ses amis israéliens sa trahison judiciaire ? Le soutien à un gugus hostile ? J’ignore par quelle génuflexion le pitre, aujourd’hui de Béziers, s’est fait pardonner. Mais je n’ai plus entendu parler de RSF. Sauf en 2012, dans un lapidaire communiqué, toujours publié sous la pression de Bourdon. J’ai donc été un reporter sans Reporters Sans Frontières. Aujourd’hui c’est avec le Syndicat National et la Fédération Internationales des Journalistes que je termine mon combat devant les juges, dix-neuf années plus tard.

    Et je tire une grande satisfaction que ces défenseurs en peau de lapin m’aient ignoré. Le dernier avatar de cette ONG amie de l’OTAN et des néoconservateurs étasuniens le démontre : le 19 mai à Tel Aviv, en présence du président israélien, RSF a reçu le Prix Dan David. C’est étonnant comme un million de dollars suffit à ramollir le morale. Et RSF a un énorme besoin d’argent, tant la PME est lourde. Ménard était bien plus doué pour rabattre les dollars venus de Washington, ou de l’extrême droite cubaine exilée à Miami. A ce sujet, pour pénétrer à l’intérieur de cette machine qui ressemble à l’éléphant d’acier qui se balade parfois dans les rues de Nantes, sautez sur le livre de Maxime Vivas La Face Cachée de Reporters sans frontières chez Aden éditions. Maxime met l’ONG à poil, la vérité toute nue.

    A Tel Aviv, sous les hourras de l’ambassadrice de France, Christophe Doloireest resté ferme sur le principe en recevant un prix patronné par un criminel de guerre : Henry Kissinger. Bravo Christophe, tu es un saint. Petit drame, il faut partager les sous avec un pseudopode du milliardaire Georges Sorros. Un faucon américano-canadien qui tient boutique de l’ultra libéralisme à l’université de Budapest. Savoir que ce personnage a approuvé toutes les guerres étasuniennes doit consoler Deloire dans son devoir de partage. C’est un frère en idées. Compter les dollars avec un tel compère, ça fait monter le cours de l’honneur. Le président de RSF, piètre Haski, et des éminences du Conseil comme Paul Moreira(1), des gens intraitables avec principes, doivent ressentir un peu de la joie de Christophe. Un garçon enthousiaste mais qu’il faut aider puisque, outre l’enfant Jésus, il doit aussi porter la lourde engeance de RSF sur le dos.

    Les Palestiniens, qui sont des cons, n’ont rien compris au combat de RSF ont protesté contre ce « Nobel » remis à Christophe : « Le fait que Reporters sans frontières ait reçu ce prix porte tristement atteinte à sa crédibilité. En réalité, recevoir un prix pour « la démocratie » en présence de Reuven Rivlin, président du régime israélien qui a voté, en juillet dernier, la Loi sur l’Etat-nation qui institue officiellement l’apartheid, n’aide pas la démocratie, bien au contraire. » Allons bon. Jamais contents ceux-là. Catherine Hall est elle aussi est une emmerdeuse. Cette historienne et féministe anglaise d’University College de Londres a refusé les dollars de Dan.

    La dernière fois que j’avais pris Deloire en flagrant délit de braconnage, c’est en 2013. A la lecture de nouvelles venues du Gabon j’avais constaté que notre mètre-étalon de la déontologie s’en était allé faire la quête chez l’exemplaire Ali Bongo. Pour l’excuser, disons qu’il n’était pas seul dans cette battue, puisque le leader était une petite bande attachée à Libération, organisatrice d’un Forum qui, on le sait aujourd’hui (le Parquet National Financier enquête), lui a rapporté 3,45 millions. Associé à cette entreprise démocratique, on ignore en revanche combien RSF a tiré de sa mission civilisatrice... Tout cela pour vous indiquer que Deloire a autre chose à faire que de s’occuper d’un journaliste qui s’est fait flinguer par Israël.

    La mécanique de RSF est semblable à celle des éoliennes : faire du vent pour en tirer de l’énergie. Il faut paraître, passer à la télé, émouvoir, protester pour affirmer la posture du défenseur de presse. Porter des « vestes de reporters » même pour aller au Zéphyr boire un coup sur les boulevards. Après il faut espérer recevoir assez d’argent pour faire vivre la boutique. Vous l’avez bien compris, le dollar ne vient que si l’ONG soutien la démocratie, celle de Dick Cheney, de Paul Wolfowitz et autres néocons, et ainsi on pérore sans honte et en toute liberté lors de raout organisés par la French American Foundation, une officine de la CIA. Ainsi, à Bayeux, où RSF patronne un barnum sur le thème de « correspondants de guerre », un Prix a été remis à Bilal Abdul Karim, magnifique homme de presse mais aussi djihadiste à ses heures. Un supporteur de « rebelles syriens », ça ne se conçoit pas sans Prix.

    On notera que, depuis quelque mois, RSF se penche enfin sur un OVNI pendant longtemps ignoré, la presse française. Les journaux étant des bailleurs de fonds de Ménard, ce dernier n’était pas assez sot pour les critiquer. Plutôt à les aider en dénonçant les vrais ennemis des journalistes tricolores, les énergumènes de banlieue. En son temps, Ménard a osé publier tout un « rapport » nous enseignant que le beur, recevant mal l’aimable et bien disposé cameraman de BFM, était vraiment un disciple de Pol Pot. Notre vrai ennemi. Doloire a tourné cette page. Il ose évoquer le cadavre qui bouge encore, les journaux de France. Avec les sous du Prix Dan David, Drahi, Lagardère, Dassault et Niel ont intérêt à faire gaffe, les missiles vont tomber. Et attendre le Prix Jair Bolsonaro. C’est sympa, il est remis au Brésil. Avec des filles, de la musique.

    Jacques-Marie BOURGET

    EN COMPLEMENT (LGS) :

    Sur cette vidéo datée du 7 juin 2018, la revue REGARDS.fr, de Clémentine Autain (député LFI/Ensemble) et Elsa Faucillon ( députée PCF) accorde un interview de 20 minutes à Christophe Deloire Pierre Haski. 
    A partir de la minute 9.35, va être désigné nommément le nom d’un grand ennemi de la presse en France, peut-être un peu responsable de violences contre les journalistes.

    (1) Note de Maxime Vivas à propos de Paul Moreira, membre du conseil d’Administration de RSF : Il avait naguère en charge l’émission "90 minutes" sur canal +. Il avait produit un reportage puant de mauvaise foi sur Cuba : il filmait en caméra caché (alors que n’importe qui peut filmer à Cuba) pour créer une ambiance d’oppression, il provoqua longuement un policier, sans obtenir l’incident souhaité, il proposa à un enfant rencontré dans la rue de l’emmener au musée puisque le régime castriste interdisait l’accès aux mineurs non accompagnés. Tout était de ce tonneau (de rhum frelaté).

    Voici comment son reportage était présenté : « Enquête clandestine sur l’apartheid cubain. Pour échapper au contrôle de la police politique sur les Cubains qui parlent aux journalistes étrangers et montrer l’apartheid qui sépare implacablement les Occidentaux de la population locale, une équipe de « 90 minutes » s’est introduite clandestinement dans l’île, où la révolution « romantique » a viré au cauchemar ». 
    Clandestine, apartheid, contrôle, police, introduite clandestinement, cauchemar. Le tout en quatre lignes. C’était l’annonce d’un reportage pire que ça.

    J’avais polémiqué avec lui après la diffusion de ce pamphlet malhonnête. Il m’avait répondu par une assez longue lettre d’où il ressortait que j’étais un stal, qu’on n’avait pas la même conception de la démocratie et que j’étais informé par les services secrets cubains.

    Normal qu’il administre à présent une ONG (sic) que Ménard sut faire financer par des sociétés écrans de la CIA.

    MV.

    URL de cet article 35006 
    https://www.legrandsoir.info/le-nobel-israelien-recompense-reporters-sans-frontieres.html