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    1)Venezuela : Rapport de l'Expert Indépendant de l'ONU Alfred De Zayas sur la promotion d'un ordre international démocratique et équitable à propos de sa mission en République Bolivarienne du Venezuela traduit par Françoise Lopez. Pour que ce long rapport soit plus lisible, nos avons choisi de ne traduire pour le moment que la partie concernant le Venezuela. La partie concernant l’Equateur sera traduite et mise en ligne ultérieurement. Un document extrêmement important à lire absolument pour comprendre les réactions qu’il a suscité… Cet Alfred De Zayas est vraiment un excellent rapporteur qui a fait son travail d’une façon extrêmement sérieuse. Son rapport résume très bien la situation au Venezuela et ses remarques sont extrêmement pertinentes. 

     

    2)Venezuela : L'Equateur expulse l'ambassadrice du Venezuela , un article d’Alba Ciudad du 18 octobre 2018 traduit par Françoise Lopez. Décidément, Lenin Moreno n’en rate pas une...
     
    3)Venezuela : Le Venezuela expulse la chargée d'affaires de l’Equateur , un communiqué du Gouvernement Bolivarien du 18 octobre 2018 traduit par Françoise Lopez.
     
    Bonne lecture à tous,
     
    Françoise Lopez

  • VOITURE ÉLECTRIQUE : FAUSSE BONNE IDÉE OU ARNAQUE ?

    72 MILLIARDS €
    Le gouvernement a lancé un plan d'installation pour un coût total
    d'environ 72 milliards d?euros

    En cette période post-salon de l’automobile, que ce soient les constructeurs, les médias ou bien l’état, tout le monde fait la promotion de cette « fabuleuse » voiture électrique.

    La voiture électrique est plus polluante que d’autres moyens de transport automobile

    Il y a déjà plusieurs années que nous sommes quelques uns (de plus en plus nombreux) à dire et expliquer que la voiture électrique n’est pas la solution à la pollution. Nous n’oublions jamais non plus de rappeler que s’attaquer à la voiture sans toucher aux avions, camions, bateaux etc. c’est faire de l’écologie punitive par le petit bout de la lorgnette.

    Aujourd’hui, alors que même la Chine se veut leader sur ce marché au salon de Paris, regardons exactement ce qui fait que la voiture électrique est plus polluante que d’autres moyens de transport automobile. Personne n’en parle, Il apparaît que « ce ne serait pas politiquement correct » de dire le contraire de ce qui nous est asséné quotidiennement aussi bien par les pseudos écologistes que par d’autres politiques « très impliqués » dans l’environnement.

    Je vais donc prendre ce très grand risque de déplaire à la pensée unique juste pour placer quelques vérités qui, pour certains, ne sont pas bonnes a dire.

     Le cycle de vie d’un véhicule électrique le rend aussi polluant qu’un véhicule diésel ou a essence. Le subventionner n’a pas de sens.

    La fabrication des batteries est tellement émettrice de CO² qu’il faut  avoir parcouru de 50 000 à 100 000 km en voiture électrique pour commencer à être moins producteur de CO² qu’une voiture thermique. Soit 15 à 30 km par jour, 365 jours par an, pendant 10 ans ! (Stéphane Lhomme directeur de l’observatoire du nucléaire)

     L’empreinte Carbonne de la fabrication des batteries est catastrophique, un vrai désastre écologique. Et nous n’en sommes qu’au début ! Ajoutons à cela que ces batteries utilisent nombre de métaux rares sur la planète, dont les ressources sont très limitées,  leur extraction  elle  aussi très polluante. Enfin le recyclage de ces batteries n’est aujourd’hui absolument pas étudié sur une grande échelle, c’est aussi un désastre annoncé incontournable.

    La voiture électrique pollue avant même de rouler

    Il est aussi important de comprendre que tout le CO2 émis par une voiture électrique est envoyé dans l’atmosphère avant même que ne soit parcouru le moindre kilomètre, au moment de la fabrication des batteries et de leurs charges, alors que la voiture thermique émet son CO2 au fil des ans.

    Second sujet qui n’est jamais abordé dans la propagande pour la voiture électrique, c’est la production d’énergie pour recharger ces voitures. Dans notre pays 80% de l’énergie électrique est fournie par l’atome, si demain tout le parc automobile était branché sur le réseau, ce sont plusieurs centrales nucléaires qu’il faudrait fabriquer, la soi disant énergie renouvelable étant incapable de faire face à une telle demande. Et encore dans notre pays nous sommes privilégiés, mais dans certains pays l’électricité est produite par le charbon beaucoup plus polluant. Notre voiture électrique (atomique), faite pour de petits trajets, est aussi polluante  et même plus que les moteurs a explosion.

    L’installation de bornes de rechargement est aussi une catastrophe financière. Le gouvernement a lancé un plan d’installation de 7 millions de bornes de rechargement à environ 12 000 euros pièce, soit un coût d’environ 72 milliards d’euros. On voit même des maires de petites communes, croyant ridiculement faire un geste écologiste,  dépenser l’argent des administrés pour mettre des bornes auxquelles personne ne va se brancher (surtout a la campagne)

    Enfin le « fameux » bonus écologique, frisant souvent les 10 000 euros réservés à ceux qui ont les moyens d’acheter une voiture électrique très chère, donc des ménages aisés à qui on fait un cadeau supplémentaire. Imaginez une prime de 10 000 euros pour acheter un véhicule essence ou diesel, ce serait la même opération pour l’écologie.

    Enfin il est impossible de parler de la voiture électrique sans aborder le problème des particules fines, elles sont en grande partie produites par le frottement des pneus sur le goudron et les freins, à ce que je sache les voitures électriques ont des roues, des pneus des freins et produisent de particules fines, pas autant que le diesel mais quand même, c’est à prendre en compte. Bien sur on ne parle que de voitures, les très nombreux camions qui roulent sur les routes de France polluent beaucoup plus que le parc des automobiles mais là encore, intouchable.

    Bien sûr cet article n’a pas pour but de faire la promotion de la voiture diesel qui est en soi aussi très polluante, mais de pointer que la propagande faite autour du véhicule électrique est un tissus de mensonges.

    Une des grandes questions qui se posent c’est : Pourquoi seule la voiture est ciblée par les défenseurs de l’environnement comme responsable des gaz a effets de serre (et pas les taxes) Pourquoi ne pas parler du maritime ?

    La France vient d’inaugurer les plus grand porte container du monde, plus de 380 mètres (4 terrains de football), 59 mètres de large, une poussée équivalente à celle de 11 réacteurs d’un airbus, l’énergie pour mettre en mouvement ce monument est considérable. Fonctionnant au fuel lourd (le plus polluant) il pollue autant que 55 millions de voitures. Un chiffre effrayant quand on sait que sur les océans ce sont plus de 40 navires de cette taille qui naviguent en continu. Sans parler du reste de la flotte maritime celle de loisir et celle de pêche.

     Quant aux avions il est interdit d’en parler « c’est du commerce » mais chaque passager d’un avion, allant en vacances pollue plus en un trajet que ce qu’il pollue toute l’année avec sa petite voiture.

    Voilà donc un constat qui me paraît nécessaire de faire, j’avais rencontré l’an passé des constructeurs automobiles dans un salon, ils sont tous d’accord ou presque mais refusent d’en parler ouvertement. Par contre l’avenir des moteurs à hydrogène paraît plus qu’intéressant, mais ce sujet semble tabou, pourtant les experts sont très prolixes sur ses qualités et son « véritable » impact sur l’environnement.


  • VENEZUELA : LES « ADMIRABLES » PASSENT À L’ « ACTION »

    19 Oct 2018, 

     

    « Admirable » c’est ainsi que le Président Maduro a salué les Campesinos lors de leur longue marche de 21 jours.

    Una mañana se ha levantado,

    Ô tierra ciao, tierra ciao, tierra ciao, ciao, ciao.
    Una mañana se ha levantado,
    Para luchar contra el opresor,
    Oh campesino, llévame contigo,
    Ô tierra ciao, tierra ciao, tierra ciao, ciao, ciao.
    Oh campesino, llévame contigo,
    Porque siente que va a morir.

    « Admirable » c’est ainsi que le Président Maduro a salué les Campesinos lors de leur longue marche de 21 jours. Ainsi depuis les Etats les plus reculés du Venezuela près de soixante-dix paysans ont débuté leur marche vers Caracas pour rencontrer le gouvernement et revendiquer les points suivants :

    • Adopter une politique agricole pertinente et cohérente.
    • Renforcer la production paysanne.
    • Combattre le paramilitarisme et ses bailleurs de fonds
    • Rechercher et sanctionner les responsables et les complices du harcèlement et des expulsions
    • Garantir la sécurité juridique des récupérations
    • Appui à la création de la chaîne paysanne Terra TV.

    Une marche « admirable » mais pauvre. Pauvre car pavée de heurts : ces 435 kilomètres, les paysans les ont parcourus avec des moyens rudimentaires. Accompagnés d’un camion pour le ravitaillement en eau ils n’ont pu compter sur la vieille mécanique que peu de fois : des détours imprévus, des pannes, des pneus crevés, et aucune aide des institutions publiques.

    Pour la médiatisation de leur combat, c’est grâce à leur post sur les réseaux sociaux et à leurs « selfies » qu’ils ont pu apporter une dimension médiatique à leur lutte. Et même lorsqu’ils ont appris la mort de trois de leurs compagnons sur la route, ils ont poursuivis. Les mafias des grands propriétaires terriens, bien qu’elles les effrayent encore, ne les impressionnent plus. Trop de paysans sont tombés pour abandonner les millions de pas qui les éloignent de la capitale. Cette marche ils l’ont affronté seuls mais ils l’ont arpenté pour le bien de tous les Campesinos vénézuéliens.

    L’ennemi capitaliste à peur, il a peur car une union nationale paysanne suivie de la volonté Chaviste de Maduro abattrait les oligarques véreux et les politiques corrompues par ces derniers. La « marcha » a divisé le gouvernement, entre ceux qui ont et qui veulent continuer à bénéficier des émoluments de la révolution du « Comandante » et ceux qui veulent suivre cette révolution sociale menée depuis Simon Bolivar jusqu’à Nicolas (Maduro).

    C’est un moment spécial pour la révolution car au-delà de mettre en exergue la lutte de paysans, cette marche va apporter de la visibilité à la culture rurale, à la lutte pour des semences biologiques, l’accès à l’eau et au droit foncier.

    « Nous voulons être vu tels que nous sommes ! »

    Il n’existe que peu de reportage à leur propos, les paysans sont inaudibles et invisibles. Les quelques minutes existantes dans le paysage audiovisuelle vénézuélien à propos de l’agriculture sont dédiés aux grand propriétaires terriens, les « terratenientes » et à leur culture d’huile de palme, à leurs champs de cana sucre, aux hectares de maïs pour le bioéthanol ou au « bienfait » de l’utilisation d’intrants chimique ou autre.

     « Combien de personnes nous nourrissons ? Et combien de personnes nous reconnaissent ? »

    La médiatisation de cette lutte ne passera pas par le mass-média mais par les médias alternatifs. Voilà pourquoi les élèves de l’EPLACITE soucieux de construire la Terra TV pour et par les paysans sont allés à leur rencontre. Pendant une semaine nous les avons accompagnés dans leurs réunions et dans leurs activités dans le but d’établir une relation de confiance et de lutte commune.

    Proposer un outil de communication et les enseignements théoriques et pratiques pour le développer ne s’enseigne pas verticalement mais sur base d’une concertation horizontale. Les cinéastes en herbes de l’EPLACITE peuvent leur apporter les clefs, mais c’est aux « Campesinos» d’ouvrir les portes pour élargir l’horizon audiovisuel.

    Accompagnés de caméras et de micro, ils ont filmé leurs interventions, écouté leurs besoins et entendu le média qu’ils veulent développer. La révolution ne se construira pas par quelques cris mais par la mobilisation de toutes les voix conscientes que c’est un processus utopiques pour lequel nous devons nous battre chaque jour.

    Des assemblées pour un débat démocratique participatif

    Leur lutte ne s’est pas achevée à Caracas, une fois réunis dans la capitale ils en ont profité pour se concerter. Comment ouvrir leur champ de lutte aux autres Campesinos du pays ? Par des assemblées. Une fois le noyau dur formé, les Admirables se sont divisés pour parcourir le pays en formant des assemblées en invitant les autres agriculteurs lors d’assemblées locales.

    Au cours de ces assemblées ils ont écouté les revendications extérieures et ont décidés d’élire des représentantes et des représentants dans chaque région du pays. Ces élu.e.s sont continuellement invités à les renseigner sur leur fonctionnement et sur les incidents de la région. De plus chaque élu.e.s aura pour mission de se déplacer jusqu’à la capitale pour la création d’un congrès paysan.

     Investir dans l’agriculture, certes mais surtout investir dans le champ des mentalités

    Entre deux assemblées paysannes, je me joins aux Campesinos, nous discutons de leurs objectifs et des conclusions qu’ils tirent de ces assemblées. Le message est passé, mais l’objectif visé par les nouveaux élus ne coïncide pas avec leur vision à long terme. S’ils veulent une révolution verte, ils la veulent agrobiologique.

    Ce qu’ils veulent produire, c’est sur le long terme en symbiose avec leur terre. Mais ce qu’ils entendent par des assemblées, c’est la promotion l’agriculture transgénique, la diffusion d’OGM, bref ils veulent produire pour exporter et s’agrandir et voir le vert du Dollar. Si une révolution du droit foncier aura lieu, il devra être encadrée par un accompagnement à l’agriculture biologique pour ne pas reproduire les erreurs vécues dans d’autres pays.

    Une marche qui divise le gouvernement bolivarien

    Au niveau institutionnel, cette action a chamboulé le paysage du gouvernement. Si les Admirables étaient soutenus par le ministre de l’éducation et par Nicolas Maduro, elle ne l’était pas pour Wilmar Castro Ministre de l’agriculture et vice-ministre de l’économie. Homme fort de la politique du gouvernement Vénézuélien il a participé à l’élaboration de la reconversion monétaire, il est donc une pièce maitresse pour Maduro, malgré ses divergences sur le plan de la lutte paysanne. En effet sa vision économique lui préconisant un développement à court et à moyen terme de l’agriculture industrielle ne coïncide pas avec les valeurs défendue par les Campesinos.

    Afin de rassembler les différentes parties prenantes de ce secteurs et le gouvernement le samedi 6 octobre s’est tenu le Congrès Nationale de la lutte paysanne et tous ont été invités à s’y rendre pour envisager l’avenir des agriculteurs vénézuéliens.

    Y si se muere el campesino
    Ô tierra ciao, tierra ciao, tierra ciao, ciao, ciao.
    Y si se muere el campesino
    Tú lo debes enterrar,
    enterrar en la montaña,
    Ô tierra ciao, tierra ciao, tierra ciao, ciao, ciao.
    Enterrar allà en la montaña
    Bajo la sombra de una bella flor

    Source : Journal de Notre Amérique


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    1)Venezuela : Interview de Ronnie Ramírez, cinéaste et professeur de cinéma, traduite par Françoise Lopez pour le Réseau. Un excellent article qui mérite d’être largement diffusé pour faire connaître l’existence de ce Réseau et ses objectifs.
     
    2)Venezuela : Peña Nieto ferait pression sur les entreprises mexicaines pour qu'elles créent des problèmes aux CLAP, un article d’Alba Ciudad du  19 octobre 2018 traduit par Françoise Lopez. Heureusement, celui-là va bientôt partir…
     
    3)Venezuela : L'ELN accuse Duque de pousser à une intervention militaire au Venezuela , un article d’Hispan TV du  19 octobre 2018 traduit par Françoise Lopez. Celui-là, par contre, il arrive…!!
     
    4)Venezuela : La population de Haïti se mobilise contre la corruption et revendique Petrocaribe, un article du  Courant Révolutionnaire Bolívar et Zamora du 17 octobre 2018 traduit par Françoise Lopez. On en a déjà parlé du détournement de l’argent de Petrocaribe en Haïti… Espérons que l’argent sera effectivement rendu au peuple…
     
    Bonne lecture à tous,
     
    Françoise Lopez

  • 20 Octobre 2018

    Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

    Je l'avoue, la glottophobie m'était jusqu'à ce jour inconnue. Heureusement, Jean-Luc Mélenchon a semble-t-il brocardé une journaliste qui avait l'accent occitan et une députée de la voix de son maître en a profité pour réclamer une loi contre la glottophobie, surtout contre le patron de la France insoumise.

    Je laisse à ces deux honorables représentants de la nation la valeur de leurs propos.

    Mais je reviens à la glottophobie. C'est la discrimination consistant à rejeter, ou à reléguer à un rang inférieur, un accent provenu d'une langue régionale française -dans le cas du député FI de Marseille et peut-être un comble, l'accent du Midi-, ou bien un accent étranger.

    Quant à qu'es aquò dans mon titre, c'est la traduction occitane du français qu'est ce. La langue d'oc, au même tire que l'italien, le castillan ou le catalan, dérive du latin populaire et des idiomes des autochtones avant que Rome ne les colonise. Et cette langue, n'en déplaise à quiconque, possède son vocabulaire et sa grammaire, ses écrivains, ses chanteurs et ses poètes. Elle était couramment parlé autrefois dans les usines comme dans les vignobles.

    A Port-la-Nouvelle, en mai-juin 1968, le comité de grève, auquel appartenait mon père, délégué CGT de l'usine CECA, débattait en occitan. Et bien avant cette date, lors de la révolte vigneronne du Midi en 1907 à laquelle mon arrière-grand-père participe, le 17e qui tourne ses crosses à Béziers, pour ne pas tirer sur les manifestants, hormis ses officiers, ne parle qu'occitan. Et la Commune de Narbonne en 1871 parle aussi cette belle langue.

    Ceci dit, le quésaco, utilisé à tort et à travers par certains, peut donc s'apparenter à la glottophobie, puisque je connais ce mot par la grâce de deux honorables représentants de la nation. Pour autant, représentants de toute la nation? Je vous laisse le choix de répondre.

    Roger Colombier

    Né à Narbonne, dans le département de l'Aude, exilé en région parisienne pour raisons économiques, toujours fier de ses racines révolutionnaires, ouvrières et occitanes. Et mèrda* de mèrda à tous ceux qui ne l'entendent pas!

    * Le a occitan en terminaison se prononce o. Sinon, mèrda provient du verbe emmerdar. Mais là, traduit qui voudra.

    Et puisqu'on approche du 100e anniversaire de la Grande Guerre:

    La glottophobie: Qu’es aquò?

    A travers des extraits de lettres et cartes postales, échangées entre les poilus et leurs familles durant la première guerre mondiale, sous la forme d’un almanach (une lettre par jour de l’année), Yves Rauzier nous fait découvrir la place de la langue d’oc dans les tranchées, chez les combattants venus des quatre coins d’Occitanie.





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