• 14 Novembre 2018

    Publié par El Diablo

    Comment la CGT peut-elle encore entretenir l’illusion d’une « EUROPE SOCIALE » possible ?

    Nous apprécierons notamment le passage qui évoque une « harmonisation sociale par le haut » dans un texte co-signé avec la CFDT, l’UNSA et la CFTC qui ont soutenus l’ANI, le pacte de responsabilité, la loi El Khomri et les ordonnances Macron....

     

     

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  • 14 Novembre 2018

    Publié par El Diablo

    MACRON et les ANNÉES 30 : IGNORANCE et AVEUGLEMENT

    Macron et les années 30 : quand Louis-Philippe se rêve en Charles de Gaulle.

    C’est indéniable : Emmanuel Macron adore les commémorations. Pas au point de se rendre en personne à celles de l’attentat du 13 novembre 2015, de peur de passer pour un homme obsédé par le passé – on a déjà rappelé ici le rapport assez fantomatique que semble entretenir le Président avec l’Histoire. De fait, les commémorations nationales jouent, depuis un an et demi, un rôle bien défini : celui de moments privilégiés pour rappeler au vil peuple français, qu’Emmanuel Macron semble si désolé de diriger, qu’il ferait mieux, au lieu de se plaindre du temps qu’il fait et de ses usines qui disparaissent, de se souvenir qu’avant, c’était bien pire. Pour cette commémoration du centenaire de la victoire de 1918, donc, point de soldats, de peur de déplaire à cette Allemagne dont il nous faut à tout prix regagner la confiance. Mais en revanche, nous aurons eu – cela devient une habitude – une leçon d’histoire et même, de morale historique, dispensée par le Président, établissant un audacieux parallèle entre les années 1930 et la période actuelle. C’est de ce parallèle, où la méconnaissance historique le dispute à la cuistrerie verbeuse, qu’il sera ici question ; car rien ne semble plus dangereux, lorsque de telles contre-vérités sont professées avec autant d’aplomb, que de renoncer paresseusement à leur opposer une saine analyse factuelle.

    « L’Europe est face à un risque : celui de se voir démembrer par la lèpre nationaliste (sic) et d’être bousculée par des puissances extérieures, et donc de perdre sa souveraineté » , nous dit ainsi Emmanuel Macron. Il est déjà, à ce stade, permis de formuler quelques doutes : l’arrivée au pouvoir, par les urnes, de tous ces dirigeants dits populistes n’est-elle pas, en réalité, bien plus la conséquence que la cause d’un délitement de l’Union européenne, déjà engagé depuis de longues années ? Il faut, sans relâche, rappeler cette vérité : l’Union n’a pas attendu les populismes pour  entamer son déclin. Et les manifestations de sa déliquescence ne manquent pas ; prenons donc quelques exemples.

    UE : qui sont les fossoyeurs ?

    On peut ainsi évoquer, pêle-mêle : le cavalier seul allemand lors de la crise des réfugiés en 2015 ; le comportement erratique de la BCE lors de la crise de 2008, qui vit cette institution outrepasser ses prérogatives au point de devenir l’exécutant des basses oeuvres de l’Union ; la mise à mort expiatoire de la Grèce décidée par Bruxelles, et dont le peuple grec n’a pas fini de payer les dramatiques conséquences ; plus loin encore, le feuilleton de l’article 7 que l’on voulait déjà appliquer à l’Autriche, en 1999. On peut aussi, naturellement, rappeler le « non » au référendum de 2005 […]

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  • 14 Novembre 2018

    Publié par El Diablo

    AUTOMOBILES « VACHES À LAIT » ! Les péages d’autoroutes vont encore augmenter en février 2019 !

    Le gouvernement a donné son feu vert aux sociétés d'autoroutes pour des augmentations exceptionnelles du tarif des péages dès 2019, afin de financer le programme de 700 millions d'euros de travaux prévus. De quoi alimenter la grogne du 17 novembre ?

     

    De nouveaux tarifs entreront en vigueur le 1er février 2019 pour les péages autoroutiers. Le Journal du Dimanche a fait savoir le 11 novembre que le gouvernement avait autorisé les sociétés privées d'autoroute à appliquer des augmentations exceptionnelles, qui seront additionnées à l'inflation – cette dernière n'étant pas encore connue.

     

    Selon les chiffres de l'AFP, les majorations seront comprises entre 0,1% et 0,39%. En août, le ministère des Transports avait donné son feu vert à un programme de 700 millions d'euros de travaux sur les autoroutes concédées. Les automobilistes paieront «la majorité» de la note, selon le JDD.

    […]

     

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  • 14 Novembre 2018

    Publié par El Diablo

    Miguel Diaz-Canel , le président cubain

    Miguel Diaz-Canel , le président cubain

    Vous ne le saurez pas, toute la presse, même Mediapart, fait silence, sur la rencontre le 31 octobre 2018 entre le nouveau président de Cuba, Miguel Diaz-Canel, de passage à Paris, et le premier ministre de France Edouard Philippe, à Matignon.

     

    Mais pourquoi donc ce silence ? Pourquoi cette censure unanime, de tous les organes d'information sur une information qui n'est pas anodine.

    Le nouveau chef de l'état cubain, Miguel Diaz-Canel a été reçu, lors de son passage en France, par Edouard Philippe, le premier ministre français, pour un échange et un repas en commun en cette mi journée du 31 octobre.

    Il faut aller sur les sites cubains d'information, et, paradoxalement, sur le site de Guadeloupe 1ère, chaine de France Télévision en Guadeloupe, pour en être informé. Incroyable! 

    En plus, le jour où, à l'ONU, Cuba présente une résolution, pour la 25e fois, demandant la levée du blocus économique financier et commercial imposé par les Etats-Unis. Blocus criminel, et s'appliquant de manière extraterritorialle, bafouant toutes les lois internationales validées par la majorité des pays du monde. 

    Cette résolution sera, une fois de plus votée par l'immense majorité des 192 pays représentés à l'ONU, seuls les Etats-Unis et son allié du gouvernement d'extrême droite d'Israël ne la votent pas. 

    Décidemment, lorsqu'il s'agit de Cuba, il faut faire silence, mentir, ne pas dire et commenter ce qui ce passe dans ce pays. 

    Pourtant les défenseurs des droits de l'homme, et de la femme pour être complet, et de la démocratie, pourrait un peu regarder ce qui se passe aujourd'hui à Cuba. 

    Un événement peut-être unique au monde: Cuba a lancé la révision de sa constitution adoptée en 1976, et l'ensemble de la population cubaine est appelée à en débattre. Et à faire des propositions de modifications. Des centaines de milliers de cubaines et de cubains, dans des milliers de réunions, discuttent, échangent, expriment des accords ou des désaccords, proposent des évolutions ou des modifications sur ce projet de constitution qui deviendra la base de l'organisation de la société cubaine. 

    Dans quel autre pays du monde un tel événement démocratique se passe?

    Silence, il ne faut pas en parler.

    Il ne faut pas en parler parce que le projet de nouvelle constitution entend maintenir, avec l'accord de la population cubaine, les acquis de sa révolution. Et permettre un nouveau développement de son économie.

     Sans le blocus, qu'aucun autre pays du monde subit avec autant de constance et de durée, et qui dans l'année écoulée a couté plus de 4 milliards de dollars de perte à l'économie cubaine, on imagine ce que la population cubaine aurait pu avoir comme développement pour son mieux être. 

    Alors, si la rencontre de ce jour, entre le 1er ministre de la France et le chef de l'état cubain, Miguel Diaz-Canel, permet de développer de nouveaux échanges économiques, malgré le blocus, c'est une bonne nouvelle. 

    Que l'ensemble de la presse dite libre vous aura consciencieusement caché. 

    SOURCE:

    EN LIEN CI-DESSOUS L'ARTICLE PUBLIÉ PAR "LES AMIS DE CUBA" : 


  • Taxes sur les carburants : le blocage du 17 novembre 2018

    Publié le 14 novembre 2018 par frico-racing

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    Taxes sur les carburants : le blocage du 17 novembre 2018

    Y aller ou pas ?

    Le 17 novembre prochain, les automobilistes et usagers de la route exaspérés par la montée du prix des taxes sur les carburants sont appelés à manifester en bloquant les routes... Le mouvement des "gilets jaunes", né d'une pétition en ligne, a fait tache d'huile sur les réseaux sociaux, avec la création de groupes Facebook incitant les automobilistes à bloquer les axes routiers en arborant un gilet jaune ce jour-là pour protester contre l'augmentation des prix à la pompe.  

    17 novembre : une seule question :
    "Est il légitime de contester le racket gouvernemental sur les carburants ?
    OUI, comme il est légitime de revendiquer la hausse des salaires, retraites, ou refuser tout recul social, etc !...

    Tout le reste n'est que bavardage, n'en déplaisent aux pseudo-gardiens de la pureté idéologique déconnectés des réalités et du terrain... Habitués à "rater le côche" à défaut de "prendre le train en marche !""

    frico

    Alors que faire ? D’abord, sans hésitation, s’opposer à cette arnaque qui consiste à nous faire croire que ces hausses font partie d’une stratégie contre le réchauffement climatique... Ainsi donc, la grande politique écologique de ce gouvernement devrait être payée par les automobilistes... Les grandes entreprises qui polluent continueront d’empocher le CICE, le transport aérien ne subit pas les foudres de taxe sur le kérosène, les croisières, cargos et les jets privés poursuivront sans entraves leur promenade pour les plus riches. Une nouvelle fois, c’est au grand nombre de payer la facture, au moment même où les prix ne cessent de grimper contrairement aux salaires (bloqués de puis 35 ans), rendant les fins de mois toujours plus difficiles...On le voit, "l'alibi écologique", (Au même titre que la dette), est "l'outil idéologique" pour imposer politiques d'austérité et reculs sociaux aux peuples !

    Ce qu'il faut c'est :

    - Que le ferroutage soit développé, alors qu'il ne fait que reculé au profit du transport routier.

    - Une vraie politique en faveur des transports en commun incluant la gratuité.

    - Taxer le kérosène, qui ne l'est pas aujourd'hui en France, contrairement à d'autres pays et les gros cargos et paquebots qui polluent autant que la totalité des voitures du monde.
    - Taxer Total et ses 10 milliards de profits annuels
    - Cesser de fermer des petites lignes de train.
    - Revenir à la TVA 5,5% sur les transports en commun pour une écologie efficace et juste socialement.

    - Rétablir l'ISF et taxer les Transactions financières

    - Relocaliser nos productions (donc forcément nationaliser les secteurs clefs de l'économie), ce qui nécessite de sortir de l'UE et du capitalisme !...

    Au travers de la révolte sur le prix du carburant, les Français expriment une colère qui vient de loin. Cette colère, elle s’appelle pauvreté, territoires abandonnés, sentiment d’êtres pigeonnés, pendant que le "haut du panier" se bourre !... Certes, nous ne pouvons continuer à dégrader l’environnement sans courir un risque vital pour l’humanité... Mais on ne peut accepter que l’impôt pèse toujours plus sur les plus faibles en exonérant les plus riches et le Capital (principal pollueur de la planète).

    De la même façon, il ne faut pas laisser cette colère exploitée ou "récupérée" par l’extrême droite qui se fiche comme d’une guigne des enjeux climatiques, des inégalités, des abandons de services publics... Il ne faut pas se tromper de combat, tout en sachant qu'une manif un samedi sera loin d'être suffisante pour les faire reculer, la dessus comme sur le reste !..Et que sans "organisation" (politique, syndicale), le mouvement n'ira pas loin (à l'image de "nuit debout").

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