• POINT ACTU de l'UD CGT NORD

    N° 23/20 juin 2013

     

    Souscription Financière de la CGT en faveur de la NVO

      Objectif 1 €/par syndiqué en s’appuyant sur les syndicats

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  • 19 juin 2013

    TRELON - L'Orchestre Barbet

    Je dois les deux premières photos à Gérard Lemaire que je remercie. Elles nous montrent l'orchestre Barbet rebaptisé au début des années 70 "Dreaming Men". A noter que Gérard (à la batterie) figure sur ces deux photos

    TRELON-Dreaming men version classqiueThe Dreaming Men (version classique) - © G. Lemaire

    TRELON-Dreaming men version rockThe Dreaming Men (version rock) - © G. Lemaire

    Merci également à Michel Bombart qui m'a envoyé les deux autres photos ci-dessous. Elles concernent également l'orchestre Barbet mais sont plus anciennes (années 50). A cette époque c'était l'orchestre "Androbert" 

    ORCHESTRE ANDROBERTL'Orchestre Androbert - © M. Bombart

    BARBET - familleUne partie de la famille Barbet sur le pérron d'un chalet du château - © M. Bombart

    Sur cette belle photo prise sur le perron d'un chalet du château, on reconnaît André Barbet (assis à gauche) et sa sœur (assise à droite), debout de gauche à droite un frère d'André, Mrs Harand et Hautier ainsi qu'une autre personne non identifiée.

    Lien connexe : http://chris59132.canalblog.com/archives/2011/10/15/22344152.html

    NB : Si vous penzsez avoir reconnu d'autres personnes, merci de laisser un commentaire ci-dessous

     

    Posté par CHRIS NORD à 16:35 - - Commentaires [1] - Permalien [#]
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  • Cyril LAZARO

     
    Mercredi 19 juin 2013 3 19 /06 /Juin /2013 21:06

    La deuxième conférence sociale sera-t-elle le prélude à une confrontation ?

    La conférence sociale, jeudi et vendredi au Palais Iena, devrait être musclée... Copyright Reuters

    La conférence sociale, jeudi et vendredi au Palais Iena, devrait être musclée...

     

    La seconde grande conférence sociale se tient jeudi 20 et vendredi 21 juin. Du côté des syndicats, la CGT est prête à mener la bataille contre la réforme des retraites. La centrale de Thierry Lepaon, qui a annoncé une journée de mobilisation pour la rentrée de septembre, se prépare à une confrontation avec le gouvernement. En revanche, la CFDT assume de plus en plus sa position réformiste même si elle rejette toute "cogestion" avec la majorité. Quant à FO, qui se sent lâchée, elle pourrait être tentée de durcir sa position. Dans le camp patronal, la quasi certitude de voir Pierre Gattaz prendre la présidence du Medef a resserré les rangs autour de lui. Le gouvernement fait donc face à plusieurs fronts.

    " Ils vont venir, ils seront tous là car la Grande conférence sociale se tiendra !! Y aura même la CGT la fille maudite...".

    Ce petit emprunt parodique à Charles Aznavour permet de planter le décor de la seconde grande conférence sociale qui se tiendra les 20 et 21 juin au Conseil économique, social et environnemental (Cese). L'Ambiance sera nettement plus morose que l'année dernière où les syndicats n'avaient pas caché leur joie d'accueillir François Hollande, fraichement élu à la présidence de la République... Il faut reconnaître que les confédérations avaient largement contribué à la défaite de Nicolas Sarkozy.

    Même le Medef était sorti satisfait de la première conférence

    Même le Medef était sorti satisfait de cette conférence sur un point : l'annonce de l'ouverture d'une négociation interprofessionnelle sur la flexibilité du marché du travail. Celle qui devait déboucher sur l'accord du 11 janvier 2013, transformé depuis en loi (elle a été publiée au « Journal Officiel » du 16 juin).

    Cette année, il n'y aura plus du tout le même enthousiasme. La seconde édition intervient sur fond de hausse ininterrompue du chômage, d'un poids accru de la fiscalité (particuliers et entreprises) et d'une stagnation du pouvoir d'achat et de la consommation. Au menu de cette conférence : les réformes des retraites et de la formation professionnelle, les filières et emplois de demain, la construction de l'Europe sociale, etc. Autant de sujets qui fâchent et qui vont permettre d'étaler les divisions dans le camp syndical.

    Une CGT crispée qui se radicalise

    La CGT, d'abord. Bien que rassurée sur sa place de première confédération du pays, selon les résultats de la « mesure d'audience de la représentativité syndicale » connus depuis la fin mars 2013, la centrale de Thierry Lepaon - son nouveau secrétaire général qui a succédé dans la difficulté à Bernard Thibault - apparaît comme totalement isolée. La CFDT a refusé de travailler avec elle pour élaborer des positions communes de revendications. Idem avec FO qui a retrouvé son splendide et traditionnel isolement après avoir accepté un petit pas de deux avec la centrale de Montreuil pour tenter de s'opposer à la loi sur l'emploi. D'où une radicalisation de la CGT qui évoque « un rapport de forces » avec le gouvernement. Thierry Lepaon estimant que les salariés « doivent s'occuper de leurs affaires ».

    Bref, l'idée d'organiser un grand mouvement social à la rentrée fait son chemin. D'ores et déjà, Thierry Lepaon a décidé d'une première journée de mobilisation début septembre. Une sorte de tour de chauffe... Plusieurs députés socialistes s'en inquiètent, surtout quand week-end après week-end, le PS perd chacune des élections législatives partielles. C'est donc une CGT très remontée qui va se présenter à la Conférence sociale, notamment sur le dossier des retraites avec les préconisations du rapport Moreau qu'elle conteste fortement. Pour la CGT, l'allongement de la durée de cotisation serait un casus belli, estimant que la vraie question « est celle de la répartition de la richesse entre le capital et le travail ».

    Une CFDT trop proche du pouvoir ?

    Le cas de la CFDT est totalement différent. Depuis l'arrivée au pouvoir de la majorité socialiste, la centrale de François Chérèque, puis de Laurent Berger, est très écoutée. Elle vit même une sorte de lune de miel avec le gouvernement, même si Laurent Berger se défend de « toute cogestion » du pays, comme il a tenu à le préciser dans un entretien au journal « Le Monde » daté du 18 juin. Avec l'appui de la CFTC et de la CFE-CGC, elle revendique cependant de plus en plus ouvertement sa position réformiste. Elle a négocié et défendu l'accord interprofessionnel sur l'emploi, pour le plus grand bonheur du ministre du Travail Michel Sapin. Elle n'est pas contre un allongement de la durée de cotisation pour les retraites mais à certaines conditions : prise en compte de la pénibilité, réduction des inégalités pour les femmes, etc.

    Surtout, elle plaide pour une réforme de fond tendant à faire converger les différents régimes actuels vers un dispositif unique. Cette proximité entre la CFDT et le gouvernement fait d'ailleurs grincer quelques dents en interne au PS. Certains ont jugé précipitée la nomination de François Chérèque à l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et à la tête du think tank Terra Nova.... Proche du PS. Surtout que cette nomination était loin d'être la seule.

    D'autres membres éminents de l'équipe Chérèque ayant rejoint des cabinets ministériels. « Il ne faudrait pas laisser dériver FO et fâché Mailly », lance ainsi un député PS. De fait, la centrale de Jean-Claude Mailly semble, elle aussi, tentée par une radicalisation, notamment sur le dossier des retraites. Dans la majorité, on prie donc le gouvernement de faire un geste en direction de FO. Notamment sur le chantier de la fonction publique où la centrale est bien implantée. Sinon, il serait dangereux de voir Force Ouvrière rejoindre la CGT, Solidaires (Sud) et la FSU dans un camp du refus dont la puissance de frappe à la rentrée de septembre pourrait être démultipliée par le ras le bol ambiant de la hausse du chômage... Division et risque de radicalisation de certaines organisations donc. Ce qui n'est pas de très bon augure pour la majorité en place...

    Un camp patronal tonifié

    A l'inverse, le camp patronal se présente à cette conférence sociale sous de meilleures auspices. Au Medef, la guerre des trois n'aura pas lieu, depuis le ralliement de Patrick Bernasconi et Geoffroy Roux de Bézieux à Pierre Gattaz qui a ainsi la quasi certitude de succéder le 3 juillet à Laurence Parisot à la tête de l'organisation patronale. Pour l'actuelle présidente, la conférence sociale sera d'ailleurs l'une de ses dernières sorties publiques. Elle sera certainement sur la même longueur d'ondes que son successeur pour réclamer, déjà, un deuxième accord sur l'emploi allant plus loin sur la flexibilité ainsi qu'une modification du financement de la protection sociale pour alléger les cotisations pesant sur les entreprises.

    La CGPME de Jean-François Roubaud réclamera elle aussi un allégement des cotisations et l'UPA (artisans employeurs) sera satisfaite d'un gouvernement qui a mis des bornes au statut de l'auto-entrepreneur. Certes, les organisations patronales souhaiteraient davantage de clarté dans la politique gouvernementale, notamment sur la fiscalité des entreprises. Mais, globalement, les dernières décisions de l'équipe de Jean-Marc Ayrault ont plutôt rassuré les entreprises. C'est, en tout cas, l'avis exprimé par Laurence Parisot. Reste à savoir si son successeur manifestera la même opinion une fois à la présidence... Si ce n'est pas le cas, le gouvernement va se retrouver « coincé » entre un pôle syndical radicalisé mené par la CGT et un « patronat de combat » prêt à s'opposer. Un mélange détonnant.

    Source latribune.fr

     
     

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    "Chères amies, chers amis,

     

    je me suis prêtée au jeu de la réflexion autour d'un sujet de philosophie posé aux lycéens à l'occasion des épreuves du baccalauréat cette semaine.

    "Peut-on agir moralement sans s'intéresser à la politique?": la question est posée par le sujet de l'épreuve de philosophie cette année à l'occasion du baccalauréat pour la série scientifique.

    Il semble que les relations entre morale et politique soient un facteur de débat et la défiance du peuple envers ses représentants transparaît en filigrane de cette interpellation adressée aux lycéens en 2013. Je considère que l'on peut y répondre de deux manières complémentaires.

    En premier lieu, la politique n'est pas censée être immorale, elle signifie textuellement s'intéresser aux affaires de la cité, ambition plus que louable! Si les déviances de certains élus jettent l'opprobre sur le reste des hommes et des femmes qui mettent leurs convictions au service de l'intérêt général, le vibrant message de Stéphane HESSEL, "indignez-vous" et surtout ensuite "engagez-vous" garde toute sa vigueur dans un monde qui risque la désillusion de sa jeunesse. Les indignés espagnols comme la jeunesse de France ont su s'engager moralement, comme les associations de notre ville, ceux qui veulent changer le monde, la société ou simplement la ville où ils vivent, Avignon. La politique peut revêtir des formes très diverses et chacun se les approprie à sa manière.

    En second lieu, je rappellerais que l'on peut "faire de la politique autrement". Etre exemplaire, prôner le non-cumul des mandats et se l'appliquer, être simple, au plus près des aspirations et des soucis des habitants au quotidien, toute l'année, comme j'essaie de le faire depuis plusieurs années déjà. Être dans l'action, être sur tous les terrains pour changer résolument le cours des choses. Mon combat pour la gratuité des transports en commun en est un exemple, comme mes engagements passés, je l'espère. Parce que la politique, c'est aussi comme je le dis parfois, tenter de rendre les gens heureux.

    Enfin, comment ne pas penser à cette expression passée en proverbe qui rappelle que l'action publique consiste à "servir sans s'asservir", c'est-à-dire à ne jamais perdre de vue les vertus du bien commun et la volonté d'améliorer le quotidien de ceux qui nous ont élus. J'ajouterai que la politique, c'est "servir sans se servir" et que si j'ai écrit quelques lignes sur mon blog au sujet d'une "indicible envie de crier ma colère", c'est parce que j'ai toujours cru dans la beauté de l'engagement pour les autres.

    Il faut montrer l'exemple. Parce que comme le disait Paul VALERY, "toute morale prophétise"... Voilà ce qui m'anime aujourd'hui pour reconquérir Avignon!"