• 30 septembre 2011

    La ferveur Royal envers et contre tout

    Sur France Info - 07:45

     

    Dernière semaine de campagne pour les candidats à la primaire socialiste avant le premier tour, le dimanche 9 octobre. Ségolène Royal était hier en meeting à Toulouse. A la peine dans les sondages, la présidente de Poitou-Charentes a déroulé ses propositions devant près d’un millier d’inconditionnels.

    Pour les autres, c’est un paradoxe. Pour elle, la preuve que les sondages mentent. Partout où elle passe, Ségolène Royal ranime la ferveur de ses fidèles. D’un côté les écharpes rouges de son armée de fidèles, de l’autre, le poison des sondages, qui la prédisent au mieux troisième. Elle, feint l’indifférence et déroule son programme. Au menu, mise sous tutelle des banques et interdiction des licenciements boursiers

    Ségolène Royal cible l’ennemi, Nicolas Sarkozy, mais aussi le rival, François Hollande, à propos notamment du cumul des mandats. "Je découvre que l’un des candidats, le favori des sondages pour ne pas le nommer, a annoncé que ça ne serait que pour 2014. Dormez tranquilles chers amis cumulards, vous êtes à l’abri avec des règles comme ça", lance la présidente de Poitou-Charentes.

    Et c’est dans ces moments qu’elle est la plus applaudie. Pour eux, c’est elle, et elle seule. Mais combien seront-ils à voter, au delà du cercle des fidèles, et notamment dans ces quartiers populaires sur lesquels elle fonde beaucoup d’espoir...

    Louise Bodet

     

    Posté par Jocegaly à 11:09 - PRIMAIRES

  • Ah bon !, si tu portes plainte j'y suis


  • crist2097

    La preuve flagrante que leurs sondages sont magouillés !

     


    La preuve en image que leurs sondages sont bel et bien magouillés ! Dans un article que j'ai posté ce jour à 11 heures sur le site de Désirs d'Avenir, je pointais du doigt les incohérences des sondages, et en particulier - en ce qui concerne celui du Grand Journal de ce jeudi soir – qui avait comme intitulé : quel est le candidat qui a été pour vous le plus convainquant lors du 2ème débat des primaires citoyennes ?

    Résultat du sondage mis sur grand écran : (voir la vidéo ci-dessous à partir de 5 :32)

    http://www.canalplus.fr/c-divertissement/pid3349-c-le-grand-journal.html

    F.Hollande 41 % ; M.Aubry 27 % ; A. Montebourg 26 % ; M. Valls 23 %  ;S. Royal 13 %  ;JM. Baylet 6 %

    Or, comme vous pouvez le constater en faisant en additionnant tous ces pourcentages, on arrive à un total de 136 % !!! Là, on croit rêver ! Comment une aussi grande chaîne de télévision comme Canal + peut-elle à ce point prendre les Français pour des demeurés ?

    Pour mémoire, la la quasi-totalité des sondages réalisés auprès des internautes (20 minutes, JDD, Le Parisien.fr, Le Nouvelobs.fr, Europe1), plébiscite S. Royal comme étant celle qui a été - et de loin - la plus convaincante lors de ce débat, ils nous sortent de derrière les fagots un sondage totalement irréaliste, voire carrément tronqué, pour tenter une fois encore de marginaliser S. Royal auprès des électeurs de gauche !

    A dénoncer très largement !


  •  
    Vendredi 30 septembre 2011 5 30 /09 /Sep /2011 17:25

    article_michel-neyrat-directeur-adjoint2.jpg

     

    Trois hauts responsables de la police française ont rejoint vendredi en garde à vue le n°2 de la police judiciaire de Lyon dans une enquête pour trafic de stupéfiants et corruption qui suscite un choc dans le corps.


    Les trois nouveaux suspects interrogés sont le patron de la BRI (Brigade de recherches et d'intervention, ex-"antigang") de Lyon, le responsable de l'antenne de la police judiciaire de Grenoble et l'adjoint de ce dernier, a-t-on appris de source policière.


    Michel Neyret, directeur adjoint de la police judiciaire de Lyon, avait été arrêté jeudi par l'Inspection générale des services (IGS, la "police des polices") avec son épouse à son domicile, et il était toujours en garde à vue vendredi à Paris.


    L'enquête menée initialement par la Juridiction interrégionale spécialisée de Paris (Jirs) portait sur un trafic international de stupéfiants passant par l'Amérique du sud et impliquant des trafiquants français et étrangers.


    Les policiers pourraient être présentés à l'issue de leurs gardes à vue à des magistrats parisiens. Plusieurs autres personnes présumées liées au grand banditisme sont également interrogées parallèlement à Cannes et à Lyon, a-t-on précisé.


    Les investigations portent sur les liens éventuels entre les policiers et des membres de la pègre et le bénéfice qu'ils en auraient tiré.


    Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a annoncé des sanctions disciplinaires, en marge d'un déplacement en Alsace. "Toutes les sanctions disciplinaires, avant même qu'on ait une décision judiciaire, seront prises", a-t-il dit.


    "Si la culpabilité de ce fonctionnaire (Michel Neyret - NDLR), voire d'autres, était mise en évidence par le travail des magistrats, ce serait une immense douleur pour la police nationale, une douleur de voir un des siens qui a quitté le droit chemin", a-t-il ajouté.


    Selon une source syndicale, Michel Neyret est soupçonné d'avoir rétribué des informateurs avec le produit de saisies de drogue, mais également "aidé des malfaiteurs et fait revendre de la drogue pour son propre compte".

     

     


    "TRAUMATISME" POUR LES COMMISSAIRES


    L'opération de l'IGS a été préparée dans la plus grande discrétion. Compte tenu de l'importance de l'affaire, le directeur central de la Police judiciaire, Christian Lothion, s'est rendu à Lyon jeudi.

    Michel Neyret, figure de la police locale, est connu pour avoir résolu des affaires de drogue et de cambriolages de bijouteries dans la région lyonnaise.


    Le policier apparaissait fréquemment dans les médias pour médiatiser les succès de la police lyonnaise.


    Il était proche d'Olivier Marchal, un ancien policier devenu réalisateur qu'il a conseillé il y a quelques mois lors du tournage du film "les Lyonnais", qui retrace les mésaventures du gang des Lyonnais d'Edmond Vidal, dossier sur lequel Michel Neyret avait travaillé à l'époque.


    Le dossier suscite un choc dans les syndicats de police, où certains n'écartent pas la thèse d'une manipulation de membres de la pègre pour compromettre la hiérarchie policière, tandis que d'autres disent espérer que ce dossier n'affecte pas l'image du corps dans l'opinion.


    Sylvie Feuchère, secrétaire générale du SCHFPN, le syndicat des commissaires, a dit sur France info que ce type de comportement, s'il était avéré, résultait d'une dérive liée aux relations entretenues dans le cadre du métier de policier.


    "La recherche de l'information va conduire à ce que les liaisons du domaine professionnel puissent devenir éventuellement personnelles, l'explication elle est là", a-t-elle dit.


    "On doit à la population des explications. Très sincèrement, je crois que, passé le traumatisme initial, s'il s'avère qu'un de nos membres a dysfonctionné, nous serons très satisfaits de voir que l'enquête a abouti et nous repartirons d'un bon pied parce que nous savons rebondir", a-t-elle ajouté.


    De nombreuses personnalités du monde de la justice à Lyon ont fait part de leur stupéfaction.

     

    Yahoo.fr

     

    Michel Neyret «conteste les faits» et se montre «combatif», a indiqué ce vendredi son avocat à l'AFP.


    sur Cri du Peuple 1871 : http://www.mleray.info/article-affaire-de-lyon-85520143.html

     

  • treschernorbert

     
    Vendredi 30 septembre 2011 5 30 /09 /Sep /2011 12:21

    deuil12