• Cyril LAZARO

     
    Mercredi 26 septembre 2012 3 26 /09 /Sep /2012 20:31

    3 millions de chômeurs !

    La CGT dans l’action, avec les salariés le 9 octobre.

    mercredi 26 septembre 2012

    Au 15ème mois consécutif de hausse du nombre des demandeurs d’emploi, dépassant les 3 millions de chômeurs indemnisés et un total de plus de 5 millions en ajoutant les bénéficiaires du RSA, les demandeurs d’emploi en formation et ceux qui ne sont pas comptabilisés, la nécessité de sortir du dogme prétendant que le coût du travail serait responsable de la crise s’impose.

    Il est urgent de sortir de la logique de privilégier la rémunération des actionnaires dont le coût est nettement plus élevé que le coût du travail, alors que la rentabilité financière des entreprises est en hausse.

    C’est de nouvelles stratégies pour la création d’emplois dont le pays a besoin, en investissant dans les moyens des services publics pour l’emploi, l’éducation, la formation, la recherche et le développement.

    Les négociations en cours pour la sécurisation de l’emploi doivent véritablement aboutir à trouver les leviers de relance de l’emploi associés à un Nouveau Statut du Travail Salarié et la Sécurité Sociale Professionnelle pour tous.

    L’intervention des salariés et privés d’emploi est plus que jamais nécessaire pour faire entendre ces revendications.

    Pour peser sur les négociations, Pour permettre la relance de l’industrie et de l’emploi, La cgt appelle à participer aux manifestations du 9 octobre à Bordeaux, Epinal, Lyon, Marseille, Paris, Rennes, Toulouse et Clermont Ferrand.

    Montreuil, le 26 septembre 2012

    Source cgt.fr

     

  • Cyril LAZARO

     
    Mercredi 26 septembre 2012 3 26 /09 /Sep /2012 20:51

     

    Septembre 2012

     

     

    Mai 2011

     

  • MDR: François Hollande, un homme un vrai, tourne les talons pour ne pas croiser Ségolène Royal à l’ONU

    Classé dans: Présidence Hollande |

    C’est un fait divers, une anecdote, mais elle en dit long sur la force de caractère de celui à qui incombe la charge de diriger la France dans cette période difficile.

    Par peur d’affronter les foudres de Valérie Trierweiler, le président de la république française a préféré faire brutalement demi tour, au vu des journalistes, pour éviter de se retrouver face à face avec Ségolène Royal, être pris en photo avec elle en train, c’est tout de même la mère de ses enfants, de l’embrasser.

    Le président français François Hollande et son ex-compagne Ségolène Royal se sont retrouvés à quelques mètres l’un de l’autre aujourd’hui à New York en marge de l’Assemblée générale de l’ONU, explique un journaliste du Figaro.

    Tandis que le président Hollande faisait son entrée dans un bâtiment des Nations Unies pour participer à une réunion sur le Sahel, Ségolène Royal expliquait à une vingtaine de journalistes français les raisons de sa présence, en sa qualité de vice-présidente de l’Internationale socialiste.

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    Quand Hollande a aperçu Ségolène Royal tenant son point presse devant une forêt de micros et de caméras, il a brutalement finalement fait demi-tour.

    Quel homme, quel courage. Que vont inventer les journalistes socialistes pour dissimuler la couardise de leur chouchou ? Il avait oublié ses notes dans son cartable ?

    Géraldine Woesnner, correspondante d’Europe 1 aux Etats-Unis, a été témoin de la scène.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/26/97001-20120926FILWWW00662-hollande-et-royal-se-croisent-a-new-york.php


  • Fonds franco-qatari : l'inquiétude des maires de banlieues

    Politique de la villePublié le mercredi 26 septembre 2012

    Annoncée fin 2011, la création d'un fonds d'investissement qatari à destination des "territoires déshérités" aura bien lieu. Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg vient en effet de donner son feu vert, comme il l'a annoncé à l'Association nationale des élus locaux pour la diversité (Aneld), jeudi dernier. Le dossier avait été mis entre parenthèses pendant la période électorale ; les échanges de ces dernières semaines entre Paris et Doha ont permis de parvenir à un accord, avec quelques modifications à la clé. Initialement destiné à la banlieue exclusivement, ce fonds franco-qatari verrait ainsi son champ d'intervention élargi aux "territoires déshérités où il y a une forme de vitalité économique (...) et où les investissements ne suivent pas", a précisé la porte-parole du ministère, mardi. Une correction qui inclurait les zones rurales défavorisées. Au passage, l'affaire qui était auparavant suivie par le ministre chargé de la Ville est aujourd'hui entre les mains du ministre du Redressement productif…
    Le fonds serait abondé par des crédits provenant de l'Etat français, de l'Emirat et d'entreprises qui "ont des intérêts économiques au Qatar". A l'origine prévu pour un montant de 50 millions d'euros, le fonds sera doté au départ de 100 millions d'euros, à parité entre la France et le Qatar. Les sommes serviront à soutenir les jeunes créateurs d'entreprises et à les aider dans leur développement. Un montant non négligeable au regard des 548 millions d'euros dont dispose la politique de la ville cette année dont 145 millions d'euros consacrés à la revitalisation économique. Les élus seront associés aux prises de décisions. L'Aneld, partie prenante du projet depuis le début, siègera au sein de la commission d'attribution. Ce devrait aussi être le cas de l'Association des maires de France (AMF) et de l'Association des régions de France (ARF).
    Cette intervention étrangère dans le champ de la politique de la ville n'est pas une première. A travers l'association Yump, la Suède vient par exemple de décider de soutenir l'entrepreneuriat en Seine-Saint-Denis. Mais l'investisseur est loin de faire l'unanimité et l'Aneld non plus. Cette association créée en 2009 suite à l'élection de Barack Obama ne cache pas son attrait pour le modèle communautariste anglo-saxon. Et le Front national, en première ligne contre ce projet, n'est pas le seul à craindre une dérive communautariste. Il y a quelques mois Claude Dilain, sénateur PS et ancien maire de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), avait déjà vu dans l'opération un "signe de la coupure entre la société française et les banlieues". L'association Ville et Banlieue, qu'il a longtemps présidée, se montre réticente depuis le début du projet. Cette fois-ci c'est son vice-président qui prend la plume. "Non, les banlieues ne sont toujours à vendre", s'insurge Gilles Leproust, maire communiste d'Allonnes (Sarthe), qui demande aux autorités françaises de se "ressaisir". "La nouvelle majorité gouvernementale ne peut déléguer à d'autres les réponses aux attentes des habitants", souligne-t-il. L'élu s'interroge également sur "la nature démocratique de l'Etat qatari" et dénonce les atteintes aux libertés individuelles et aux droits de femmes commises "quotidiennement" dans ce pays, ou encore son soutien financier à des "mouvements extrémistes".
    Le Qatar a déjà réalisé de nombreux investissements dans le football et l'immobilier en France où il bénéficie depuis 2009 d'une exonération sur les plus-values immobilières. La levée de ce "cadeau fiscal" permettrait de "trouver des moyens financiers pour financer les projets des quartiers", fait valoir Gilles Leproust.
     

    Michel Tendil


  • Jeudi 27 septembre 2012 4 27 /09 /Sep /2012 09:09

     

    retour en régie de l'eau :

     Pour un vrai débat !

      eaubiencommun2

     

    lettresureau sept12a

    lettresureau sept12b

    eaubiencommun