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    Le seul langage qu'ils seront capables de comprendre

    Publié le 27 Septembre 2014

    il va falloir

    affûter et tonifier

    nos lexiques

    et décaper

    les teintures

    de camouflage

    Le seul langage qu'ils seront capables de comprendre

    Le Havre, 24 septembre. La police arraisonne le cortège de la CGT qui allait voir le Premier ministre comme négocié avec les autorités de la République.

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    Selon une source policière, cette interdiction pour la CGT découlait du « souhait » du Premier ministre de «ne voir personne » lors de son arrivée aux Docks Océane. La manifestation, « pourtant déclarée auprès des renseignements généraux », insiste Reynald Kubecki, a donc été interdite.

    La nouvelle s’est rapidement propagée jusque sur le port. Réunis au foyer, plus de 500 d’entre eux, qui ont cessé le travail, ont ensuite pris la direction de la rue des Briquetiers pour « venir délivrer les militants séquestrés », se jouant, au passage des forces de l’ordre qui avaient sécurisé les carrefours.

    Puis direction le rond-point des Docks Océane. « En réponse à la violence de la police, le port est arrêté », indique Joann Fortier, le secrétaire général du Syndicat des dockers. 

     

     

     

    En tentant de rester hors de l'outrance pour qualifier le comportement de Valls, chacun notera que le maquignon de matignon n'a pas les mêmes agoraphobies quand l'Agora est patronale.

     

    Canaille le rouge dédie ce constat à ceux qui (y compris au sénat jusqu'à hier) ne sentent pas dans l'opposition à ce gouvernement aussi antisocial que menteur sans que l'on parvienne à mesurer laquelle des deux qualités d'essence patronale domine sur l'autre.

     

    Vraissemblablement que les semaines qui viennent vont être à utiliser pour éclairer les naïfs, les inciter à se défendre beaucoup plus et beaucoup mieux collectivement, comme pour mettre en lumière ceux qui font semblant de croire que ce ne sont que des faux pas.

     

    Quand un premier ministre en arrive là, il signe la nature non seulement de sa politique mais du fond de ses choix. Mais ne serons surpris que les historiques autruches volontaires. Et une autruche, même avec des plumes teint en rouge, reste une autruche.

    Rédigé par Canaille Lerouge

    Publié dans #social, #démocratie, #politique


  • 27/09/14

    Les USA ont bombardé sept pays en six ans et la France cinq pays en quatre ans

    Sur SOTT.NET

    Les USA ont bombardé sept pays en six ans et la France cinq pays en quatre ans

    "La paix c'est la guerre" écrivait George Orwell dans son célèbre roman d'anticipation "1984", pour dépeindre les systèmes totalitaires suivis en cela par tous les pros des guerres d'ingérence dites humanitaires (Biafra au Nigeria, Irak, Libye, Syrie,...) dans la droite ligne de l'idéologie coloniale et non moins totalitaire. Le prix nobel de la paix occidental, Barak Obama, porté par le lobby militaro-industriel semble avoir retenu la leçon.

    En 6 années il a fait bombarder 7 pays dont l'Afghanistan, l'Irak, la Syrie, la Libye, la Somalie, le Pakistan et le Yemen. La France n'est pas en reste, en l'espace de quatre ans, elle a bombardé 4 pays : la Libye, la Côte d'Ivoire, le Mali, l'Irak, tout en guidant les bombardements US en Somalie. Pour son action au Mali, le "chef de guerre" Hollande - dont les dictateurs françafricains de Déby à Sassou Nguesso sont de fidèles alliés - a reçu le prix de la paix de l'Unesco.

    En clair, la paix au Nord c'est la guerre au Sud. Fallait juste avoir le décodeur de la novlangue occidentale impérialiste et néocoloniale en vogue chez les communicants de l'Empire.

    Source : Russia Today Obama bombs 7th country in 6 years
     
    Posté par Jocegaly à - -

    • Jean-Luc Pérat
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    04 octobre 2014

    8h à 9h30 : votre Conseiller Général vous reçoit à Anor - en Mairie

    07 octobre 2014

    9h à 10h : votre Conseiller Général vous reçoit à Trélon - en Mairie

    11 octobre 2014

    8h30 à 10h : votre Conseiller Général vous reçoit à Anor - en Mairie

    15 octobre 2014

    14h à 15h : votre Conseiller Général vous reçoit à Ohain - en Mairie

    18 octobre 2014

    8h30 à 10h : votre Conseiller Général vous reçoit à Anor - en Mairie


  • 27/09/14

    EBOLA - La Russie met au point un vaccin expérimental contre Ebola

    Sur RBTH

    La Russie met au point un vaccin expérimental contre Ebola

     
      La Russie met au point un vaccin expérimental contre Ebola
    Crédit photo : PhotoXPress

    « Nous avons toutes les raisons de croire que le vaccin pourra être utilisé très prochainement pour prévenir la propagation du virus Ebola », a déclaré Mme Popova, sans toutefois mentionner de date précise.

    Une équipe spéciale formée d’épidémiologistes et de virologues russes est actuellement déployée en Guinée et travaille dans un laboratoire de virologie mobile conçu à partir d’un camion KAMAZ. Les spécialistes russes travaillant à l’hôpital de Donka, situé dans la capitale de Guinée Conakry, sont en contact étroit avec l’OMS et « Médecins sans frontières ».

    Informations les plus récentes

    Selon l’OMS, Ebola a infecté au 18 septembre 5 347 personnes, entraînant le décès de 2 618 d’entre elles. Le taux de mortalité moyen s’établit aux alentours de 60%, ce qui est inférieur aux épidémies précédentes pour lesquelles ce dernier atteignait les 90%.

    Cette poussée d’Ebola peut être considérée comme l’épidémie la plus importante depuis la découverte du virus en 1976. En plus de la Guinée, de la Sierra-Leone et du Libéria, des cas d’infections ont été signalés au Nigéria et au Sénégal. 

    Selon une étude de l’université d’Oxford, le virus Ebola pourrait se répandre dans 15 pays d’Afrique équatoriale, une zone dans laquelle vivent près de 22 millions de personnes. 

    Une autre menace potentielle concerne une éventuelle mutation du virus, rendant possible une contamination par le biais de projections de micro gouttelettes, et non plus seulement par contacts interpersonnels. Cette idée a été avancée par le docteur Michael Osterholm, du Centre de Recherche sur les maladies infectieuses de l’université du Minnesota.  

     

    Comment réduire la mortalité ?

     Mikhaïl Chtchelkanov, chercheur au sein de l’Institut de recherche en virologie Ivanov, a confié à RBTH qu’un vaccin, même expérimental, peut contribuer à lutter contre le virus, mais qu’il est plus important encore de mettre au point une thérapie appropriée. 

    Mikhaïl Chtchelkanov faisait partie du premier groupe de virologues russes à s’être déplacés en Guinée au début du mois d’août afin de participer à la lutte contre l’épidémie.

    « Si l’on fournit au patient la thérapie appropriée correspondant aux symptômes, on améliore de 10% ses chances de survie. Si l’on y ajoute une procédure de désinfection appropriée, on peut encore les améliorer de 10%. Si l’on ajoute en plus un système d’assistance respiratoire, il possible d’augmenter de 20% supplémentaires les chances de survie. Avec en plus une thérapie hémostatique, on gagne encore 10%. Et si en plus de tous ces éléments, on ajoute un antisérum, nous pouvons obtenir encore 25 à 30% de chances de survie supplémentaires », indique M. Chtchelkanov.

    Selon ce dernier, les fièvres hémorragiques, catégorie à laquelle appartient le virus Ebola, sont dangereuses en raison de leur vitesse de propagation et du fait que les épidémies surviennent dans des zones difficiles d’accès : ces zones sont dépourvues d’hôpitaux et les personnes infectées ne parviennent tout simplement pas à obtenir une assistance. Avec un traitement approprié, le taux de mortalité pourrait être ramené à 5-10%.

    « La fièvre hémorragique de Crimée-Congo par exemple, était bien connue du temps de l’URSS. En l’absence de normes sanitaires strictes, le taux de mortalité pouvait atteindre 50%dans les villages reculés de l’Asie centrale soviétique », indique M. Chtchelkanov.

    « Tuer l’oiseau dans son nid »

     Le principal problème de l’Afrique de l’Ouest est que l’épidémie n’a pas été endiguée en décembre 2013, lorsque les premiers cas ont commencé à se déclarer, alors que désormais, selon le docteur Chtchelkanov « on ne peut stopper sa progression qu’en déployant des soldats à un endroit donné afin d’isoler les villages les uns des autres », mais même cela ne permettra pas d’endiguer l’épidémie.  

    Même les trois mille militaires que le président américain Barack Obama a déployés en Afrique de l’Ouest la semaine dernière ne pourront, d’après M. Chtchelkanov, qu’aider à renforcer le cordon sanitaire. 

    Il est difficile de stopper cette poussée du virus Ebola pour deux raisons fondamentales. Premièrement, l’infection est une maladie de focalité naturelle. Contrôler le processus de circulation du virus dans ses foyers naturels de forêt tropicale en Guinée, au Sierra-Leone et au Libéria est aujourd’hui pratiquement impossible.

    Cela nécessite des données qui pourraient être collectées à l’aide d’une station épidémiologique, dont la création est en cours de négociation par la Russie auprès des autorités guinéennes.

    Deuxièmement, l’Afrique de l’Ouest fait partie des zones les plus pauvres du globe, dans laquelle il n’existe pratiquement aucun équipement sanitaire ou épidémiologique moderne. 

    L’absence de conditions sanitaires appropriées est encore aggravée par les défaillances administratives de nombreux États d’Afrique de l’Ouest, ainsi que par les hauts niveaux de corruption qui empêchent la mise en place de mesures anti-épidémiologiques indispensables : pour un demi-dollar, une personne infectée est en mesure de sortir de la zone du cordon sanitaire. 

    Il est également important de tenir compte des croyances locales : les funérailles des personnes décédées se déroulent en présence de toute la population, les villageois prenant dans leurs bras le corps du défunt dans sa tombe. Tout cela ne contribue pas à une extinction rapide de l’épidémie.

    Nature du virus

    Les foyers naturels de la fièvre hémorragique Ebola se situent dans les collines du Nord de la Guinée, dans une zone forestière. Les roussettes (des chauves-souris frugivores) constituent le réservoir naturel du virus.

    Elles nichent habituellement dans les strates supérieures de la forêt tropicale et ne sont pas affectées par le virus à un niveau clinique, mais diffusent ce dernier à travers leurs déjections et leur salive. Les primates sont ensuite contaminés par ce biais. Les grands singes sédentaires et lents sont les premiers à contracter le virus.     

    Les chauves-souris infectées sont contagieuses pour les hommes. Une chauve-souris cuite convenablement est toutefois sans danger, dans la mesure où seule la découpe de sa carcasse peut présenter un risque de contamination. La seule façon de lutter contre le virus consiste à créer un vaccin et à procéder à une surveillance régulière des foyers infectieux.

     

     

    Avis d'expert

    Mikhaïl Chtchelkanov :

    «  Comme n’importe quel autre virus, Ebola pourrait être utilisé comme arme bactériologique. Ebola, la salmonellose, la grippe, toutes ces maladies pourraient être utilisées. Si n’importe quel agent pathogène se retrouve entre les mains de personnes compétentes, elles seront toujours en mesure d’arriver à leurs fins ».

    « Le virus Ebola du Zaïre n’est pas un virus artificiel. Nous ne savons pas encore comment manipuler correctement les virus afin d’en créer de nouveaux. Sans compter sur le fait qu’il faut d’abord les récupérer dans leur milieu naturel ».

     
    Posté par Jocegaly à - -

  • Nouvel article sur les échos de la gauchosphère

    programmer l’obsolescence, un délit !

    by GdeC

    pre_jeter

    Qui a dit que la politique ne sert à rien ? Dans le cadre du projet de loi sur la transition énergétique examiné ces deux derniers jours en commission,  un amendement écologiste voté hier permet de condamner l'obsolescence programmée. Les auteurs de cette opération, considérée alors comme une tromperie « sur la durée de vie du produit intentionnellement raccourcie lors de sa conception », pourraient  être punis d'une peine de prison de deux ans au plus, ainsi qu'une amende de 300 000 euros. Bien sûr, je soutiens l'intention et le geste, fort louables.  Mais je me demande comment,, techniquement, ce délit pourra être démontré... Quelqu'un peut me renseigner ?

    (Sur le sujet de l'obsolescence programmée, ce reportage d'Arte, bien qu'ancien, fort intéressant)